COLLECTION LE MARIN. J’ai baisé la femme de mon meilleur copain (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. J’ai baisé la femme de mon meilleur copain (1/3)
Bonjour, si le marin avait un peu disparu des écrans radar depuis des mois, c’était pour deux faits majeurs.
La première, la surcharge d’écriture de Chris71, ma plume et la teneur des propos que je lui ai tenus un soir où nous étions ensemble.
Je gardais en moi, cette aventure que j’avais vécue, mais que l’abus de Ricard a fait ressortir du plus profond de moi.
Je vois déjà les commentaires de vous, mesdames sur ce que j’ai fini par accepter malgré l’amitié qui me liait à mon pote, presque un frère.
Je retenais sous son coude mon histoire qui m’est arrivée avec Christelle, la femme d’Alain pour lequel j’étais leur témoin de mariage.
Alain, c’est le premier jour de notre incorporation pour cinq ans que je l’ai rencontré.
Moi, le Parisien, j’étais à la caserne de la Pépinière à Paris pour passer des examens d’aptitude aussi bien intellectuelle que physique que je l’ai rencontré.
Il était originaire de Bordeaux et était à Paris pour le même motif, ses parents étant monté à la capitale pour travailler à la poste.
Ils habitaient dans un H.L.M. de Gentilly.
On a sympathisé et nous nous sommes donné rendez-vous à la gare de Lyon nous retrouvant ensemble.
Départ pour Toulon et plus précisément à Saint Mandrier comme apprenti-mécanicien.
Mais ceux qui ont déjà lu les aventures du marin, savent ça, inutile de nous répéter.
École, ou nous apprenons à marcher au pas et les premières sorties ensemble dans le quartier de Chicago qui dans ces fins d’année 60 était plus mal famé que maintenant.
On se parlait facilement en ce temps-là, mais quand Miquette, la reine des suceuses de bites, des arpettes comme elle aimait à s’appeler s’est occupé de nous, nous étions les rois du pétrole.
De nouveau, j’ai déjà évoqué Miquette dans une aventure après ma vie dans la marine.
Bref, elle était une vieille pute qui nous suçait pour un simple billet.
Par chance l’après-midi où nous l’avons rencontré, Alain et moi avions touché notre maigre solde la veille.
Avec Miquette, c’était facile, vous la croisiez, elle vous poussait vers une porte cochère, elle défaisait votre pantalon à pont très pratique dans ces années-là.
Contrairement à maintenant où les Fermetures éclair de nos genres de jean empêchent les putes invisibles dans cette ville, mais il y en a si vous savez chercher, de vous sucer.
Miquette, vous pompait en vous masturbant et crachait le sperme ayant giclé dans sa gorge.
Une fois votre coup tiré, c’est tout juste si elle vous disait « au suivant ».
Ce fut le cas pour nous, je suis passé le deuxième, pour ma grande satisfaction personnelle, car nous nous prenions pour des mâles dominants à la sortie de cette bouche.
Est venu le temps du choix des embarquements.
Moi sur un escorteur d’escadre flambant neuf « Le Suffren » avec le fils d’un célèbre général à son commandement.
Lui, hors du choix, car il a voulu m’entraîner vers les sous-marins.
Étant claustrophobe, j’ai refusé pour notre plus grande chance.
Il était sur un 800 tonnes de la classe Daphné, la Doris et alors que je naviguait du côté de Lorient, nos copains de la Minerve nous quittait au large de Toulon.
Si je l’avais suivi, ça multipliait nos chances d’être sur ce sous-main qui m’empêcherait d’expliquer mon histoire avec Christelle et le Capitaine Martin.
Ce Capitaine originaire de la Martinique, on en reparlera lorsqu’il entrera en scène.
Le temps a passé, avec Alain, il nous est arrivé de nous retrouver à Paris lors de permissions communes.
Même en permission, nous avions l’obligation d’être en tenue.
Nous étions enchantés, car le pompon nous aidait à draguer.
Nous sortions le soir au Petit-Robinson à Joinville sur les bords de Marne.
C’est là que nous avons rencontré Christelle, avec sa copine Sylvia.
Lorsque nous draguions ensemble, chacun de nous choisissait sa chacune.
Il aimait les blondes, Sylvia l’était.
J’aimais les brunes, Christelle est naturellement venue dans mes bras.
Dans ces années-là, des filles baisaient ou d’autres attendaient le mariage.
Christelle faisait partie de la première catégorie et dès le premier soir, j’étais dans sa chambre d’étudiante.
En plus des putes à Toulon, j’avais eu une relation avec une femme dont le mari l’avait trompée avec la fiancée de son fils.
Elle m’avait donné les codes pour satisfaire une jeune femme, allant du cunnilingus à la branlette, mais avec sa main pendant que je la doigtais.
La levrette dont j’ignorais l’exitance car avec une pro, elle écartait ses cuisses attendant que vous vous masturbiez dans sa chatte.
Bref, j’ai fait la totale à Christelle avec la promesse de se retrouver dans cette chambre dès les prochaines perms.
Quand j’ai retrouvé Alain justement lors d’une perm dans les semaines qui suivaient, il m’a appris qu’il avait bien emballé Sylvia.
Il lui avait caressé les seins par-dessus son chemisier et soutien-gorge, mais à chaque fois qu’il avait voulu passer sa main sous sa jupe, elle avait serré les cuisses pour la bloquer.
Elle faisait partie de la catégorie, des filles cherchant la bagouze.
J’ai eu pitié de lui, j’ai tu que j’avais baisé Christelle, à quoi ça me servait de l’humilier.
C’est ça les copains.
Dans le même temps, Christelle, c’était une belle histoire du passé, je chassais d’autres sexes sur d’autres terrains.
Le temps a passé, presque trois ans.
Pour communiquer, nous avions des téléphones fixes ou le courrier de la Poste.
Nous avons fait notre cours de sous-off, lui à la base des sous-marins et moi à Cherbourg pour être responsable sécurité sur les bateaux.
Comme à la fin de notre école de formation à notre engagement, nous avons choisi notre affectation.
Lui sur un autre sous-marin classe Daphné, la « Galatée » et moi comme responsable du caisson sécurité de la base des sous marin de Toulon.
Entre-temps comme nous l’avons fait pour les marins de la « Minerve », l’ « Eurydice » autre sous-marin de la classe Daphné emportait son équipage vers les abimes au large de Saint-Tropez.
À eux aussi paix à leurs âmes, nous avions des copains d’école à bord.
Quand ils étaient à quai, je voyais Alain, car les sous-marins étaient si exigus, ils avaient un lit pour trois sur certains sous-marins alors l’équipage résidait dans la base.
C’est ainsi qu’un week-end ou j’étais de service, il est remonté dans sa famille fêter l’anniversaire de sa maman.
Quand il est revenu le lundi matin, son bâtiment prenant la mer en début d’après-midi, c’est un homme transformé qui est venu converser.
• Sais-tu qui j’ai rencontré au petit Rob, samedi soir ?
• Je croyais que tu allais fêter l’anniversaire de Geneviève, ta maman !
• C’était le dimanche, le samedi, j’ai revu Christelle !
Tu te souviens, tu avais essayé de la baiser comme moi, je l’avais fait avec sa copine Sylvia.
Elle était seule sa copine était absente à cette soirée.
• Je croyais que tu préférais les blondes !
• Elle se décolore, cet elle qui m’a reconnu.
• Tu as vu qu’elle était brune quand tu l’as baisé.
J’ai vu qu’Alain était offusqué.
• Tu rigoles, elle est vierge et veut être à moi le soir de notre mariage.
Je retourne à Paris dans quinze jours et je vais la demander en mariage.
Quel con, il s’est fait piéger, mais toujours copains, je persiste dans mon amnésie de ce que nous avons fait toute une nuit, Christelle et moi.
Mariage au mois de juin.
J’aurais voulu l’éviter, mais comment refuser d’être son témoin.
Mariage à Paris chez ses parents, Christelle était sans attache.
La confrontation était inévitable.
Par chance, c’est à l’église alors qu’Alain discutait avec le prêtre qui allait les marier, que j’ai pu parler avec elle.
• Christian, j’ai regretté de t’avoir perdu, tu devais revenir pendant une perm.
Alain m’a dit qu’il t’avait dit être content d’avoir rencontré une jeune fille vierge.
J’ignorais que vous aviez continué à communiquer, mais quand nous nous sommes revus, mon cœur a su que c’était lui.
Quand il m’a demandé en mariage, je savais que je lui mentais sur ma virginité, mais qu’est-ce un petit mensonge comparer à l’amour que je suis sûr de lui apporter.
Quelques jours plus tard, je les ai conduits de la gare de Toulon à leur logement dans le quartier Bon Rencontre près du stade de foot de la ville.
Célibataire, je vivais principalement à la base, mais nous avions passé des soirées à leur faire un nid d’amours avant qu’elle arrive.
Un jour, Alain a appris que son sous-marin partait pour presque quatre mois avec l’escadre de l’Atlantique près du Canal de Suez.
Les Égyptiens avaient fermé le canal, en conflit après la guerre des six jours et l’occupation du Sinaï par les Israéliens.
Il m’a demandé de venir voir sa femme qui pour la première fois se retrouvait seule dans une ville inconnue.
Elle aurait eu des attaches, elle y serait allée, mais elle était obligée de rester dans leur appartement de Toulon.
Quant aux parents de mon copain, l’atmosphère entre Christelle et sa belle-mère était conflictuelle, inutile d’y penser.
Pendant plus d’un mois, je suis venu deux trois fois par semaine le soir après avoir formé les marins des sous-marins à éteindre les incendies dans ces cylindres noirs.
Nous mangions des pâtes, car Christelle voulait économiser afin que mon copain trouve une télé dans son salon à son retour.
Christelle était coquette et avait retrouvé ses cheveux bruns, là encore, car la mode était passée et se faire décolorer, ça coutait.
Un jour, j’étais venu la veille et je lui avais dit être de service le lendemain.
J’ai appris que la Galathée avait fait relâche à Alexandrie et que les nouvelles étaient bonnes.
J’ai fait le mur comme nous disions, alors qu’après l’appel du soir, j’étais sortie voulant simplement donner à celle qui malgré notre relation d’avant mariage lui donner cette bonne nouvelle.
Quand elle est venue m’ouvrir, elle avait un peignoir passé à la va-vite montrant presque la totalité d’un de ses seins.
• Christian, que fais-tu là, je te croyais de service.
• Christelle, fou cet emmerdeur dehors, on a besoin de rien, vient, je bande.
Christelle se faisait un mec, j’ai vu rouge, je l’ai bousculé et suis allé jusqu’à la chambre.
Le capitaine Martin était là, nu, sa queue noire à la main se masturbant pour se tenir en érection...
La première, la surcharge d’écriture de Chris71, ma plume et la teneur des propos que je lui ai tenus un soir où nous étions ensemble.
Je gardais en moi, cette aventure que j’avais vécue, mais que l’abus de Ricard a fait ressortir du plus profond de moi.
Je vois déjà les commentaires de vous, mesdames sur ce que j’ai fini par accepter malgré l’amitié qui me liait à mon pote, presque un frère.
Je retenais sous son coude mon histoire qui m’est arrivée avec Christelle, la femme d’Alain pour lequel j’étais leur témoin de mariage.
Alain, c’est le premier jour de notre incorporation pour cinq ans que je l’ai rencontré.
Moi, le Parisien, j’étais à la caserne de la Pépinière à Paris pour passer des examens d’aptitude aussi bien intellectuelle que physique que je l’ai rencontré.
Il était originaire de Bordeaux et était à Paris pour le même motif, ses parents étant monté à la capitale pour travailler à la poste.
Ils habitaient dans un H.L.M. de Gentilly.
On a sympathisé et nous nous sommes donné rendez-vous à la gare de Lyon nous retrouvant ensemble.
Départ pour Toulon et plus précisément à Saint Mandrier comme apprenti-mécanicien.
Mais ceux qui ont déjà lu les aventures du marin, savent ça, inutile de nous répéter.
École, ou nous apprenons à marcher au pas et les premières sorties ensemble dans le quartier de Chicago qui dans ces fins d’année 60 était plus mal famé que maintenant.
On se parlait facilement en ce temps-là, mais quand Miquette, la reine des suceuses de bites, des arpettes comme elle aimait à s’appeler s’est occupé de nous, nous étions les rois du pétrole.
De nouveau, j’ai déjà évoqué Miquette dans une aventure après ma vie dans la marine.
Bref, elle était une vieille pute qui nous suçait pour un simple billet.
Par chance l’après-midi où nous l’avons rencontré, Alain et moi avions touché notre maigre solde la veille.
Avec Miquette, c’était facile, vous la croisiez, elle vous poussait vers une porte cochère, elle défaisait votre pantalon à pont très pratique dans ces années-là.
Contrairement à maintenant où les Fermetures éclair de nos genres de jean empêchent les putes invisibles dans cette ville, mais il y en a si vous savez chercher, de vous sucer.
Miquette, vous pompait en vous masturbant et crachait le sperme ayant giclé dans sa gorge.
Une fois votre coup tiré, c’est tout juste si elle vous disait « au suivant ».
Ce fut le cas pour nous, je suis passé le deuxième, pour ma grande satisfaction personnelle, car nous nous prenions pour des mâles dominants à la sortie de cette bouche.
Est venu le temps du choix des embarquements.
Moi sur un escorteur d’escadre flambant neuf « Le Suffren » avec le fils d’un célèbre général à son commandement.
Lui, hors du choix, car il a voulu m’entraîner vers les sous-marins.
Étant claustrophobe, j’ai refusé pour notre plus grande chance.
Il était sur un 800 tonnes de la classe Daphné, la Doris et alors que je naviguait du côté de Lorient, nos copains de la Minerve nous quittait au large de Toulon.
Si je l’avais suivi, ça multipliait nos chances d’être sur ce sous-main qui m’empêcherait d’expliquer mon histoire avec Christelle et le Capitaine Martin.
Ce Capitaine originaire de la Martinique, on en reparlera lorsqu’il entrera en scène.
Le temps a passé, avec Alain, il nous est arrivé de nous retrouver à Paris lors de permissions communes.
Même en permission, nous avions l’obligation d’être en tenue.
Nous étions enchantés, car le pompon nous aidait à draguer.
Nous sortions le soir au Petit-Robinson à Joinville sur les bords de Marne.
C’est là que nous avons rencontré Christelle, avec sa copine Sylvia.
Lorsque nous draguions ensemble, chacun de nous choisissait sa chacune.
Il aimait les blondes, Sylvia l’était.
J’aimais les brunes, Christelle est naturellement venue dans mes bras.
Dans ces années-là, des filles baisaient ou d’autres attendaient le mariage.
Christelle faisait partie de la première catégorie et dès le premier soir, j’étais dans sa chambre d’étudiante.
En plus des putes à Toulon, j’avais eu une relation avec une femme dont le mari l’avait trompée avec la fiancée de son fils.
Elle m’avait donné les codes pour satisfaire une jeune femme, allant du cunnilingus à la branlette, mais avec sa main pendant que je la doigtais.
La levrette dont j’ignorais l’exitance car avec une pro, elle écartait ses cuisses attendant que vous vous masturbiez dans sa chatte.
Bref, j’ai fait la totale à Christelle avec la promesse de se retrouver dans cette chambre dès les prochaines perms.
Quand j’ai retrouvé Alain justement lors d’une perm dans les semaines qui suivaient, il m’a appris qu’il avait bien emballé Sylvia.
Il lui avait caressé les seins par-dessus son chemisier et soutien-gorge, mais à chaque fois qu’il avait voulu passer sa main sous sa jupe, elle avait serré les cuisses pour la bloquer.
Elle faisait partie de la catégorie, des filles cherchant la bagouze.
J’ai eu pitié de lui, j’ai tu que j’avais baisé Christelle, à quoi ça me servait de l’humilier.
C’est ça les copains.
Dans le même temps, Christelle, c’était une belle histoire du passé, je chassais d’autres sexes sur d’autres terrains.
Le temps a passé, presque trois ans.
Pour communiquer, nous avions des téléphones fixes ou le courrier de la Poste.
Nous avons fait notre cours de sous-off, lui à la base des sous-marins et moi à Cherbourg pour être responsable sécurité sur les bateaux.
Comme à la fin de notre école de formation à notre engagement, nous avons choisi notre affectation.
Lui sur un autre sous-marin classe Daphné, la « Galatée » et moi comme responsable du caisson sécurité de la base des sous marin de Toulon.
Entre-temps comme nous l’avons fait pour les marins de la « Minerve », l’ « Eurydice » autre sous-marin de la classe Daphné emportait son équipage vers les abimes au large de Saint-Tropez.
À eux aussi paix à leurs âmes, nous avions des copains d’école à bord.
Quand ils étaient à quai, je voyais Alain, car les sous-marins étaient si exigus, ils avaient un lit pour trois sur certains sous-marins alors l’équipage résidait dans la base.
C’est ainsi qu’un week-end ou j’étais de service, il est remonté dans sa famille fêter l’anniversaire de sa maman.
Quand il est revenu le lundi matin, son bâtiment prenant la mer en début d’après-midi, c’est un homme transformé qui est venu converser.
• Sais-tu qui j’ai rencontré au petit Rob, samedi soir ?
• Je croyais que tu allais fêter l’anniversaire de Geneviève, ta maman !
• C’était le dimanche, le samedi, j’ai revu Christelle !
Tu te souviens, tu avais essayé de la baiser comme moi, je l’avais fait avec sa copine Sylvia.
Elle était seule sa copine était absente à cette soirée.
• Je croyais que tu préférais les blondes !
• Elle se décolore, cet elle qui m’a reconnu.
• Tu as vu qu’elle était brune quand tu l’as baisé.
J’ai vu qu’Alain était offusqué.
• Tu rigoles, elle est vierge et veut être à moi le soir de notre mariage.
Je retourne à Paris dans quinze jours et je vais la demander en mariage.
Quel con, il s’est fait piéger, mais toujours copains, je persiste dans mon amnésie de ce que nous avons fait toute une nuit, Christelle et moi.
Mariage au mois de juin.
J’aurais voulu l’éviter, mais comment refuser d’être son témoin.
Mariage à Paris chez ses parents, Christelle était sans attache.
La confrontation était inévitable.
Par chance, c’est à l’église alors qu’Alain discutait avec le prêtre qui allait les marier, que j’ai pu parler avec elle.
• Christian, j’ai regretté de t’avoir perdu, tu devais revenir pendant une perm.
Alain m’a dit qu’il t’avait dit être content d’avoir rencontré une jeune fille vierge.
J’ignorais que vous aviez continué à communiquer, mais quand nous nous sommes revus, mon cœur a su que c’était lui.
Quand il m’a demandé en mariage, je savais que je lui mentais sur ma virginité, mais qu’est-ce un petit mensonge comparer à l’amour que je suis sûr de lui apporter.
Quelques jours plus tard, je les ai conduits de la gare de Toulon à leur logement dans le quartier Bon Rencontre près du stade de foot de la ville.
Célibataire, je vivais principalement à la base, mais nous avions passé des soirées à leur faire un nid d’amours avant qu’elle arrive.
Un jour, Alain a appris que son sous-marin partait pour presque quatre mois avec l’escadre de l’Atlantique près du Canal de Suez.
Les Égyptiens avaient fermé le canal, en conflit après la guerre des six jours et l’occupation du Sinaï par les Israéliens.
Il m’a demandé de venir voir sa femme qui pour la première fois se retrouvait seule dans une ville inconnue.
Elle aurait eu des attaches, elle y serait allée, mais elle était obligée de rester dans leur appartement de Toulon.
Quant aux parents de mon copain, l’atmosphère entre Christelle et sa belle-mère était conflictuelle, inutile d’y penser.
Pendant plus d’un mois, je suis venu deux trois fois par semaine le soir après avoir formé les marins des sous-marins à éteindre les incendies dans ces cylindres noirs.
Nous mangions des pâtes, car Christelle voulait économiser afin que mon copain trouve une télé dans son salon à son retour.
Christelle était coquette et avait retrouvé ses cheveux bruns, là encore, car la mode était passée et se faire décolorer, ça coutait.
Un jour, j’étais venu la veille et je lui avais dit être de service le lendemain.
J’ai appris que la Galathée avait fait relâche à Alexandrie et que les nouvelles étaient bonnes.
J’ai fait le mur comme nous disions, alors qu’après l’appel du soir, j’étais sortie voulant simplement donner à celle qui malgré notre relation d’avant mariage lui donner cette bonne nouvelle.
Quand elle est venue m’ouvrir, elle avait un peignoir passé à la va-vite montrant presque la totalité d’un de ses seins.
• Christian, que fais-tu là, je te croyais de service.
• Christelle, fou cet emmerdeur dehors, on a besoin de rien, vient, je bande.
Christelle se faisait un mec, j’ai vu rouge, je l’ai bousculé et suis allé jusqu’à la chambre.
Le capitaine Martin était là, nu, sa queue noire à la main se masturbant pour se tenir en érection...
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