COLLECTION LE MARIN. J’ai baisé la femme de mon meilleur copain (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LE MARIN. J’ai baisé la femme de mon meilleur copain (2/3)
L’histoire dont je suis loin d’être fière, je l’ai enfouie dans ma mémoire.
Aujourd’hui, la plupart des acteurs de ce qui aurait pu devenir un mélodrame sont décédés me permettant de soulager ma conscience sans aucun risque de les blesser.
Principalement Alain mon meilleur pote tout au long de ces années à qui j’ai toujours tu que j’avais baisé sa femme avant son mariage et je dois l’avouer après pendant de longues semaines.
Alain second-maître mécanicien sur la Galatée sous-marin de type Daphné, bâtiment de 800 tonnes, est parti en mer pour environ quatre mois.
Son bâtiment accompagne l’escadre de la Méditerranée dont le porte-avions Foch aux abords du Canal de Suez afin de désamorcer le conflit lié aux deux pays le bordant après la guerre des six jours.
Un après-midi, nous recevons des nouvelles d’Alain, mari de Christelle.
Je la crois seule chez eux et après l’appel du soir, je rejoins leur domicile loin de penser ce que je vais y découvrir.
Christelle m’ouvre en peignoir négligé lorsque j’entends une voix venue de sa chambre.
Je la bouscule, me précipite pour trouver le Lieutenant de vaisseau Martin martiniquais la queue en main en train de se masturber dans l’attente du retour de la femme de mon copain.
• Lieutenant, vous avez de la chance d’être l’un de mes supérieurs.
Je vous casserais bien la gueule pour avoir détourné une honnête femme mariée de ses vœux de fidélité.
• Pauvre con, ou vois-tu un Lieutenant de vaisseau sur ce lit, et ou voix-tu une femme fidèle.
Je vois Christelle aller jusqu’au lit et se coucher là où elle devait être au moment où j’ai sonné.
Elle s’allonge aux côtés de son amant et pose sa tête sur son épaule.
Alors qu’elle est restée muette depuis mon entrée, sa main vient sur sa queue.
• Que veux-tu, me casser la gueule, d’homme à homme alors vas-y.
Mes galons sont sur la chaise de la salle à manger où, elle est venue s’empaler après le repas qu’elle m’avait préparé ?
Ma fureur retombe, à quoi sert de me coltiner le risque de me retrouver en tôle pour cette salope qui a fait croire à mon copain qu’elle était vierge le jour de leur mariage.
Je suis un peu coupable en lui ayant tu que nous avions eu une nuit de sexe dès notre première rencontre.
• Tu vois, elle tient ma queue, elle en veut encore et toi qui venait depuis des jours, elle t’a fait plusieurs appelle et tu semblais les ignorer.
Il a raison, au fil des soirs, Christelle vivait dans ce logement sans donner l’impression que j’étais là.
Il y a huit jours, je regardais une revue qu’elle avait achetée, malgré les économies qu’elle était censée faire.
Ayant oublié le peignoir qui montre une partie de son anatomie en ce moment, elle est entrée dans la salle aussi nue que le soir où je l’ai baisé.
Merde, elle essayait de m’allumer et moi comme un con pour ce simple motif de respect de la parole donné, j’ai ignoré l’appel.
• Va le sucer, quand il y en a pour un, il y en a pour deux, pas vrai Christelle !
• Oui, Martin.
Depuis que j’ai découvert le couple qui baisait dans mon dos et celui de mon ami, c’est le premier mot que cette salope prononce.
Elle se lève et comme j’ai défait ma ceinture, elle me dénude sans se poser plus de question.
Je retrouve sa bouche avec délice.
Il faut sire que ça fait un mois que ma bite se repose dans mon caleçon.
Évitant les putes, qui me faisaient pleurer d’ennui, les cuisses simplement ouvertes, que je pénétrais, me rendaient neurasthénique.
Miquette avait du jour au lendemain disparu et ses pipes par la même occasion.
La dernière femme que j’ai baisée, c’est la femme d’un joueur du RCT faisant ses courses au supermarché.
Elle m’a percuté avec son chariot, son mari étant en déplacement à Sydney avec l’équipe de France, je l’ai percutée chez eux.
Comme avec Christelle, je lui ai promis de revenir, mais son balaise que j’ai vu en photo sur la commode avec toutes les coupes et médailles gagnées au fil des années, j’ai décidé de la laisser se languir de ma venue.
Comme avec Martin qui se lève pour venir se faire pomper à tour de rôle, je suis fière mais adepte de la non-violence, laissant la castagne à d’autres.
• Viens, on va te baiser.
C’est à ce moment que j’ai cassé mon contrat avec Alain, je suis rentré dans sa chatte en levrette pendant qu’elle le pompait de nouveau.
Combien de fois avons-nous changé de place l’un devant l’autre derrière, elle ayant de nombreux orgasmes, jusqu’au dernier commun pour tous les trois.
Nous avons hurlé à la mort, réveillant certainement la vieille rencontrée dans l’escalier et à qui j’ai monté son cabas et qui vit dans l’appartement voisin.
• Dis-moi, je te connais, tu es le responsable pour les élèves du cours des sous-offs de la base, comment as-tu connu Christelle ?
Ce matin, c’est dans la cuisine en prenant notre café que nous discutons avec Martin comme deux bons vieux copains.
Christelle est dans la chambre massacrée par nos deux verges.
Si hier en venant voir Christelle, j’avais pensé devenir partenaire de fesse de ce galonné, j’aurais pensé qu’on me prenait pour un con.
• Oui, j’étais sur la Doris comme lieutenant de vaisseau, j’étais son chef.
Comme tu l’as dit, j’ai été nommé à l’école des sous-mariniers lorsque j’ai pris ce troisième galon.
Lui entre temps a été nommé sur la Galatée.
Je voyais son mari à la base et j’ai croisé le couple près du stade Mayol de rugby.
J’étais au restaurant mangeant seul et le couple est venu à mon côté.
J’étais à des lieues de penser avoir des rapports avec elle.
Tu sais qu’à la base tout se sait et que la Galatée avait appareillée pour plusieurs mois.
Il y a deux jours, j’ai rencontré Christelle sur le port qui profitait de la brise du soir.
Nous nous sommes reconnus et je lui ai offert un rafraichissement.
C’est là qu’elle m’avait donné son adresse et c’est comme ça que tu m’as retrouvé dans ses draps.
Nous avons fini de prendre notre petit déjeuner et comme la montée des couleurs étais proche, nous avons claqué la porte derrière nous.
• Revient ce soir, je suis de service.
Le soir, je suis revenu, j’ai eu droit à la chaise de la salle avant de finir ma nuit dans la chambre.
Christelle avait bien progressé depuis notre rencontre avant son mariage.
Elle proposait et elle disposait.
Comme je l’ai dit, au début de mon propos, je lui avais tous fait sauf ce qu’elle me demande ce deuxième soir, la sodomiser.
Ce fut une nouveauté pour moi.
Cette manière de la sauter, c’est avéré utile pendant de nombreuses fois où nous nous sommes retrouvés tous les trois.
Ils m’ont fait découvrir les doubles pénétrations.
Bite blanche et bite noir en même temps.
Elle était ouverte à tous, elle était partante pour tous.
Double vaginal, double péné, soit Martin dans son anus soit moi.
Et même dans les derniers jours, double anale, j’ai cru que nous l’avions déformé à vie.
Un matin, elle nous a demandés de l’aider, car Alain était près de revenir et elle voulait lui acheter sa télé.
Savait-elle déjà ce qu’ils allaient faire, mais je vais trop vite ?
Les sous-mains, moins il s’en dit, mieux c’est pour la dissuasion.
J’ai tous de même appris que la Galatée revenait à la veille d’une perm pour Paris.
Le soir, j’étais de service et je me suis fait remplacer.
Il fallait que je donne la nouvelle à Christelle et que nous décidions d’arrêter nos conneries et de cacher à mon copain que je l’avais trompé.
Ce soir-là, c’était le premier jour ou dans la marine, nous avons eu le droit d’être en civile hors de l’arsenal.
Je m’y étais préparé, je suis sorti en jean polo et basket.
Je suis monté jusque chez elle, personne pour me répondre.
Je suis redescendu, au 1er, j’ai croisé la veille voisine montant chez elle difficilement.
Je suis remonté avec son panier plein de légumes.
• Savez-vous si la jeune femme qui habite ici, est sortie ?
• La salope, qui passe ses soirées avec deux marins.
Depuis que son mari est parti, j’ai du mal à dormir, nos chambres ont un mur commun.
Certaines fois, j’ai failli appeler la police, j’ai cru qu’ils l’égorgeaient.
Elle est montée dans la voiture du lieutenant de vaisseaux avec des valises.
Je vois mal, mais je les ai reconnus, j’allais faire mes courses.
• Comment savez-vous que c’était un lieutenant madame ?
• J’ai du mal à voir clair, mais mon mari qui m’a quitté, était capitaine de corvette, je connais bien les grades des officiers.
Mamy aurait-elle tâté de leurs bites quand son capitaine de corvette partait en mer ?
• Et l’autre ?
• Un sous-officier, mais le lieutenant était seul avec la fille.
J’ai de la chance, ma tenue civile a dû la tromper avec sa mauvaise vue.
La salope, Christelle me met dans la merde.
Alain voulait me donner un double de ses clefs, j’avais refusé.
Est-elle partie en laissant une lettre dans laquelle elle avoue qu’elle le quitte pour un mec en galon après que j’ai été son amant.
Si c’est le cas, quel motif aurait-elle à me dénoncer à mon copain.
De toute façon le mal est fait, j’assumerais à son retour.
Je rentre à la base, les divers équipages sont à table dans le vaste réfectoire.
Mon copain m’ayant remplacé mange seul à sa table.
Je m’installe.
• Serge, connais-tu le lieutenant Martin ?...
Aujourd’hui, la plupart des acteurs de ce qui aurait pu devenir un mélodrame sont décédés me permettant de soulager ma conscience sans aucun risque de les blesser.
Principalement Alain mon meilleur pote tout au long de ces années à qui j’ai toujours tu que j’avais baisé sa femme avant son mariage et je dois l’avouer après pendant de longues semaines.
Alain second-maître mécanicien sur la Galatée sous-marin de type Daphné, bâtiment de 800 tonnes, est parti en mer pour environ quatre mois.
Son bâtiment accompagne l’escadre de la Méditerranée dont le porte-avions Foch aux abords du Canal de Suez afin de désamorcer le conflit lié aux deux pays le bordant après la guerre des six jours.
Un après-midi, nous recevons des nouvelles d’Alain, mari de Christelle.
Je la crois seule chez eux et après l’appel du soir, je rejoins leur domicile loin de penser ce que je vais y découvrir.
Christelle m’ouvre en peignoir négligé lorsque j’entends une voix venue de sa chambre.
Je la bouscule, me précipite pour trouver le Lieutenant de vaisseau Martin martiniquais la queue en main en train de se masturber dans l’attente du retour de la femme de mon copain.
• Lieutenant, vous avez de la chance d’être l’un de mes supérieurs.
Je vous casserais bien la gueule pour avoir détourné une honnête femme mariée de ses vœux de fidélité.
• Pauvre con, ou vois-tu un Lieutenant de vaisseau sur ce lit, et ou voix-tu une femme fidèle.
Je vois Christelle aller jusqu’au lit et se coucher là où elle devait être au moment où j’ai sonné.
Elle s’allonge aux côtés de son amant et pose sa tête sur son épaule.
Alors qu’elle est restée muette depuis mon entrée, sa main vient sur sa queue.
• Que veux-tu, me casser la gueule, d’homme à homme alors vas-y.
Mes galons sont sur la chaise de la salle à manger où, elle est venue s’empaler après le repas qu’elle m’avait préparé ?
Ma fureur retombe, à quoi sert de me coltiner le risque de me retrouver en tôle pour cette salope qui a fait croire à mon copain qu’elle était vierge le jour de leur mariage.
Je suis un peu coupable en lui ayant tu que nous avions eu une nuit de sexe dès notre première rencontre.
• Tu vois, elle tient ma queue, elle en veut encore et toi qui venait depuis des jours, elle t’a fait plusieurs appelle et tu semblais les ignorer.
Il a raison, au fil des soirs, Christelle vivait dans ce logement sans donner l’impression que j’étais là.
Il y a huit jours, je regardais une revue qu’elle avait achetée, malgré les économies qu’elle était censée faire.
Ayant oublié le peignoir qui montre une partie de son anatomie en ce moment, elle est entrée dans la salle aussi nue que le soir où je l’ai baisé.
Merde, elle essayait de m’allumer et moi comme un con pour ce simple motif de respect de la parole donné, j’ai ignoré l’appel.
• Va le sucer, quand il y en a pour un, il y en a pour deux, pas vrai Christelle !
• Oui, Martin.
Depuis que j’ai découvert le couple qui baisait dans mon dos et celui de mon ami, c’est le premier mot que cette salope prononce.
Elle se lève et comme j’ai défait ma ceinture, elle me dénude sans se poser plus de question.
Je retrouve sa bouche avec délice.
Il faut sire que ça fait un mois que ma bite se repose dans mon caleçon.
Évitant les putes, qui me faisaient pleurer d’ennui, les cuisses simplement ouvertes, que je pénétrais, me rendaient neurasthénique.
Miquette avait du jour au lendemain disparu et ses pipes par la même occasion.
La dernière femme que j’ai baisée, c’est la femme d’un joueur du RCT faisant ses courses au supermarché.
Elle m’a percuté avec son chariot, son mari étant en déplacement à Sydney avec l’équipe de France, je l’ai percutée chez eux.
Comme avec Christelle, je lui ai promis de revenir, mais son balaise que j’ai vu en photo sur la commode avec toutes les coupes et médailles gagnées au fil des années, j’ai décidé de la laisser se languir de ma venue.
Comme avec Martin qui se lève pour venir se faire pomper à tour de rôle, je suis fière mais adepte de la non-violence, laissant la castagne à d’autres.
• Viens, on va te baiser.
C’est à ce moment que j’ai cassé mon contrat avec Alain, je suis rentré dans sa chatte en levrette pendant qu’elle le pompait de nouveau.
Combien de fois avons-nous changé de place l’un devant l’autre derrière, elle ayant de nombreux orgasmes, jusqu’au dernier commun pour tous les trois.
Nous avons hurlé à la mort, réveillant certainement la vieille rencontrée dans l’escalier et à qui j’ai monté son cabas et qui vit dans l’appartement voisin.
• Dis-moi, je te connais, tu es le responsable pour les élèves du cours des sous-offs de la base, comment as-tu connu Christelle ?
Ce matin, c’est dans la cuisine en prenant notre café que nous discutons avec Martin comme deux bons vieux copains.
Christelle est dans la chambre massacrée par nos deux verges.
Si hier en venant voir Christelle, j’avais pensé devenir partenaire de fesse de ce galonné, j’aurais pensé qu’on me prenait pour un con.
• Oui, j’étais sur la Doris comme lieutenant de vaisseau, j’étais son chef.
Comme tu l’as dit, j’ai été nommé à l’école des sous-mariniers lorsque j’ai pris ce troisième galon.
Lui entre temps a été nommé sur la Galatée.
Je voyais son mari à la base et j’ai croisé le couple près du stade Mayol de rugby.
J’étais au restaurant mangeant seul et le couple est venu à mon côté.
J’étais à des lieues de penser avoir des rapports avec elle.
Tu sais qu’à la base tout se sait et que la Galatée avait appareillée pour plusieurs mois.
Il y a deux jours, j’ai rencontré Christelle sur le port qui profitait de la brise du soir.
Nous nous sommes reconnus et je lui ai offert un rafraichissement.
C’est là qu’elle m’avait donné son adresse et c’est comme ça que tu m’as retrouvé dans ses draps.
Nous avons fini de prendre notre petit déjeuner et comme la montée des couleurs étais proche, nous avons claqué la porte derrière nous.
• Revient ce soir, je suis de service.
Le soir, je suis revenu, j’ai eu droit à la chaise de la salle avant de finir ma nuit dans la chambre.
Christelle avait bien progressé depuis notre rencontre avant son mariage.
Elle proposait et elle disposait.
Comme je l’ai dit, au début de mon propos, je lui avais tous fait sauf ce qu’elle me demande ce deuxième soir, la sodomiser.
Ce fut une nouveauté pour moi.
Cette manière de la sauter, c’est avéré utile pendant de nombreuses fois où nous nous sommes retrouvés tous les trois.
Ils m’ont fait découvrir les doubles pénétrations.
Bite blanche et bite noir en même temps.
Elle était ouverte à tous, elle était partante pour tous.
Double vaginal, double péné, soit Martin dans son anus soit moi.
Et même dans les derniers jours, double anale, j’ai cru que nous l’avions déformé à vie.
Un matin, elle nous a demandés de l’aider, car Alain était près de revenir et elle voulait lui acheter sa télé.
Savait-elle déjà ce qu’ils allaient faire, mais je vais trop vite ?
Les sous-mains, moins il s’en dit, mieux c’est pour la dissuasion.
J’ai tous de même appris que la Galatée revenait à la veille d’une perm pour Paris.
Le soir, j’étais de service et je me suis fait remplacer.
Il fallait que je donne la nouvelle à Christelle et que nous décidions d’arrêter nos conneries et de cacher à mon copain que je l’avais trompé.
Ce soir-là, c’était le premier jour ou dans la marine, nous avons eu le droit d’être en civile hors de l’arsenal.
Je m’y étais préparé, je suis sorti en jean polo et basket.
Je suis monté jusque chez elle, personne pour me répondre.
Je suis redescendu, au 1er, j’ai croisé la veille voisine montant chez elle difficilement.
Je suis remonté avec son panier plein de légumes.
• Savez-vous si la jeune femme qui habite ici, est sortie ?
• La salope, qui passe ses soirées avec deux marins.
Depuis que son mari est parti, j’ai du mal à dormir, nos chambres ont un mur commun.
Certaines fois, j’ai failli appeler la police, j’ai cru qu’ils l’égorgeaient.
Elle est montée dans la voiture du lieutenant de vaisseaux avec des valises.
Je vois mal, mais je les ai reconnus, j’allais faire mes courses.
• Comment savez-vous que c’était un lieutenant madame ?
• J’ai du mal à voir clair, mais mon mari qui m’a quitté, était capitaine de corvette, je connais bien les grades des officiers.
Mamy aurait-elle tâté de leurs bites quand son capitaine de corvette partait en mer ?
• Et l’autre ?
• Un sous-officier, mais le lieutenant était seul avec la fille.
J’ai de la chance, ma tenue civile a dû la tromper avec sa mauvaise vue.
La salope, Christelle me met dans la merde.
Alain voulait me donner un double de ses clefs, j’avais refusé.
Est-elle partie en laissant une lettre dans laquelle elle avoue qu’elle le quitte pour un mec en galon après que j’ai été son amant.
Si c’est le cas, quel motif aurait-elle à me dénoncer à mon copain.
De toute façon le mal est fait, j’assumerais à son retour.
Je rentre à la base, les divers équipages sont à table dans le vaste réfectoire.
Mon copain m’ayant remplacé mange seul à sa table.
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