COLLECTION LE MARIN. J’ai baisé la femme de mon meilleur copain (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LE MARIN. J’ai baisé la femme de mon meilleur copain (3/3)
L’histoire dont je suis loin d’être fière, je l’ai enfouie dans ma mémoire.
Aujourd’hui, la plupart des acteurs de ce qui aurait pu devenir un mélodrame sont décédés me permettant de soulager ma conscience sans aucun risque de les blesser.
Principalement Alain mon meilleur pote tout au long de ces années à qui j’ai toujours tu que j’avais baisé sa femme avant son mariage et je dois l’avouer après, pendant de longues semaines.
Alain étant de retour à la veille d’une de mes permissions, je découvre que sa femme s’est tirée avec le lieutenant Martin.
Je me sens un peu cocu, car ce sont eux qui ont voulu me faire participer à leurs jeux à trois.
Pour mon plus grand plaisir.
Je suis allé avec de nombreuses putes, mais une comme elle, elle demandait à être connue.
Je rejoins Serge celui qui m’a remplacé à la base.
Il est à table et je lui pose une question s’il connaît le lieutenant.
• Bien sûr, il s’occupe de la formation des sous-offs.
Si tu le cherches, il est parti aujourd’hui pour l’île longue et embarquer sur le « Redoutable, » notre nouveau fleuron.
Le Redoutable, dans la marine, le premier sous-marin atomique français ça a fait du bruit.
Ouf, Martin aurait pu emmener Christelle à l’autre bout de la ville.
Brest, loin des yeux loin du cœur.
Je suis parti pour la gare et le lundi j’étais de retour.
J’ai pris le taureau par les cornes, je savais où étaient les chambres réservées à l’équipage de la Galatée.
Il était là assis sur son lit, en pleurs, une lettre à la main.
Au lieu d’entrer dans la marine, j’aurais dû devenir un acteur.
• Que se passe-t-il Alain, pourquoi es-tu en larmes ?
• Salop, je t’avais demandé de la surveiller !
• De quoi tu parles, explique pourquoi après des années d’amitiés tu me traites de salop ?
• Christelle, elle a quitté Toulon avec Martin, un officier que j’avais eu comme chef sur la Doris et que nous avions rencontré avant mon départ dans un restaurant.
• Tu es en train de me dire, qu’elle a rencontré un officier et qu’elle s’est barrée.
Martin de l’école des sous-offs ?
Le black guadeloupéen ?
J’étais à deux doigts de lui dire qu’elle aimait les bites noires et qu’il en avait certainement une plus grosse que la sienne.
• Oui• Certes, je t’avais dit que je la surveillerais, mais pour éviter une déprime de ton absence, pas pour apprendre qu’elle s’envoyait en l’air.
J’allais la voir, sans exagérer, les gens sont médisants.
Je dînais avec elle, lais au plus tard je là quittais à 21 heures.
• Tu as raison mon frère, excuse-moi.
• De rien frérot.
Comédien, j’aurais dû être acteur, je suis au bord des larmes.
• Je sais qu’avec toi et pour notre amitié me tromper aurait été une chose horrible.
• Merci, moi aussi elle m’a trompé, tu as dû trouver une télé neuve chez vous.
Il repart en sanglots, je suis à deux doigts de pleurer avec lui.
Je veux garder l’avantage afin que le moindre soupçon d’adultère entre elle et moi se dissipe dans son cerveau.
• Je l’ai même aidé à la monter et à l’installer, elle voulait te l’offrir pour ton retour.
Je l’ai porté depuis le supermarché, j’aurais eu besoin d’une bonne douche, mais me déshabiller chez toi, aurais été immoral pour moi.
• Tu aurais dû, j’avais réparé la serrure avant mon départ.
Tu aurais pu t’isoler !
Nous isoler, avec Martin, quand nous la retrouvions dans la baignoire à nous savonner le dos.
Inutile de mettre le verrou, ce que nous faisions pouvait ce faire au grand jour.
Il y a une semaine, nous étions tous les deux et c’est en levrette dans la baignoire qu’une nouvelle fois, je lui ai éclaté le petit.
• Pour la télé, il lui manquait deux cents francs pour te payer le plus beau modèle, je lui ai donné.
Elle a bien caché son jeu, elle devait le voir lorsque j’étais absent ou de service.
Je la prévenais toujours du jour ou j’allais venir la voir.
• Si tu as participé à la télé, tu vas être déçu.
J’ai pété les plombs après avoir lu la lettre qu’elle avait posée en évidence dessus.
Je l’ai balancée à l’autre bout de la salle.
• La lette !
• Non, la télé, je te rendrais tes deux cents francs.
• Laisse, dans le malheur qui t’accable, pas de souci d’argent entre nous.
Ouf, tranquille, cool, je prends et je lis la lettre.
Pas un mot sur moi.
Alain a quitté son logement lui rappelant trop sa salope de femme.
J’ai pris des risques, en montant sur les lieux de nos débauches, la vieille voisine.
Elle a été amnésique lorsque je l’ai revu, mais deux fois la mémoire pourrait lui revenir.
Par chance, ils avaient peu d’argent et peu de bien.
Nous avons tout chargé dans un camion, pour tout emmener à la salle des ventes.
Je descendais le dernier carton quant au pallier inférieur, j’ai entendu la vielle ouvrir sa porte et parler à mon pote.
Je me suis arrêté tendant l’oreille.
• Mon pauvre monsieur, quel grand malheur.
• C’est la vie, madame Germaine.
• Oui, mais pendant que vous étiez en mer, c’est atroce.
De mon temps, on savait se tenir, nous refusions de recevoir des hommes chez nous.
Je verdis, « des hommes. »
• Merci madame, Germaine, je rejoins mon camion, il est mal garé.
Une nouvelle fois, j’ai senti le vent du boulet passer près de moi.
J’entends la vieille claquer sa porte.
Je me remets à descendre, inutile qu’Alain se pose des questions pourquoi j’écoutais.
Voilà, je pourrais en rester là, mais j’ai dit que je donnais à Chris71 l’autorisation de publier le salopard que j’avais été.
Je pense que vous êtes d’accord mesdames ses lectrices !
Je finirais cette aventure du « Marin » par la rubrique, « que sont-ils devenus. »Je vous ai dit que certains avaient disparu parmi les cinq personnes ayant fait partie de ma trahison.
Je sais quatre à ce moment de mon récit.
La cinquième, c’est ma femme, mais commençons dans l’ordre.
Alain, le cocu, avant puis après, son mariage.
Il repose en paix près de Concarneau.
Après Toulon, il a été nommé à Lorient sur un 400 tonnes.
J’ai eu peur qu’il retrouve Martin et sa petite salope de femme.
Rien de tout ça même quand il venait chez moi.
Oui, moi aussi après Toulon, c’est à Brest sur divers bateaux que j’ai fait ma carrière.
Alain donc est toujours resté célibataire.
Il a semblé être vacciné par les femmes, du moins à demeure, car je pense qu’il devait aller au port de pêche de Lorient où il était facile de trouver chaussure à son pied.
Alain a fait comme moi 20 ans de marine et a fini Maître Principal, il vivait une retraite tranquille dans cette vieille maison de pécheur qu’il retapait.
Il est mort, il y a deux ans.
Christelle et Martin, ça va aller vite, Martin, mort noyer dans un bassin des sous-marins atomique de l’île longue.
Il avait emmené cette petite salope en Martinique et elle avait posé ses valises dans la maison d’un autre Martiniquais.
Il devait en avoir une plus grosse que la sienne.
Résultat, de retour en France ce couillon ayant cocufié Alain a refusé de l’être à son tour et a pris un bain sans retour.
Ça fait trois, dont deux décès, du moins connu.
Le quatrième, moi, lié à ma dulcinée, « plus blanc que blanc. »Humour, entre ma femme et moi, l’Auvergnio-Bretonne, s’appelle Ariel.
Moi, comme Alain, je suis à la retraite après 20 ans de bons et loyaux services.
Après mon aventure avec Martin et Christelle, j’ai passé les examens pour devenir officier des équipages.
Un moment je me suis posé la question si nos verges dans la chatte ou l’anus de Christelle avaient déclenché en moi l’envie d’être au même niveau que Martin.
Mais bon j’ai fait ce parcours et j’ai navigué pendant des années au large de Brest à faire des ronds dans l’eau.
Je suis parti en vacances de Brest après ma première affectation dans cette ville.
Je venais d’acheter une Fiat 850 coupé sport, ça m’a permis de faire le kéké devant les filles et fidèle à ma doctrine, je fuyais toutes celles demandant le mariage.
J’en ai tiré un grand nombre, car baisé sans lendemain, c’était tirer son coup.
Pendant ces vacances, je me suis arrêté à ma piscine de Vic-sur-Cère en Auvergne.
Une jolie brune est venue se mettre sur la serviette à côté de moi.
Je devais rester jusqu’au lendemain, mais c’est trois jours plus tard qu’elle s’est donné.
Pour elle, impossible les premiers jours même si c’en sont d’autres qui avaient fait le travail de dépucelage.
J’ai voulu la quitter fidèle à moi-même.
J’étais certain qu’en lui demandant de venir s’installer à Brest, elle fuirait, mais elle a dit banco et nous nous sommes mariés.
Voilà pourquoi je parle de l’Auvergnio-Bretonne.
Ce soir, sur ma terrasse face à la mer à quelques encablures, je vois passer la frégate Aquitaine D650 sur laquelle j’ai navigué pendant deux ans.
Ariel est à mes côtés sur un transat.
Nous sommes nus malgré notre âge.
Ariel est magnifique après la naissance de nos trois enfants.
Elle a sa main sur ma queue, je sais qu’elle mouille et comme je refuse les petites pilules bleues elle va devoir insister un long moment si elle veut venir sur moi.
Qu’elle se rassure, je ferme les yeux une fois le bateau passé et en revoyant le cul de Christelle prise entre nos deux bites noires et blanches, je serais aussi en forme que lors de nos 20 ans.
Aujourd’hui, la plupart des acteurs de ce qui aurait pu devenir un mélodrame sont décédés me permettant de soulager ma conscience sans aucun risque de les blesser.
Principalement Alain mon meilleur pote tout au long de ces années à qui j’ai toujours tu que j’avais baisé sa femme avant son mariage et je dois l’avouer après, pendant de longues semaines.
Alain étant de retour à la veille d’une de mes permissions, je découvre que sa femme s’est tirée avec le lieutenant Martin.
Je me sens un peu cocu, car ce sont eux qui ont voulu me faire participer à leurs jeux à trois.
Pour mon plus grand plaisir.
Je suis allé avec de nombreuses putes, mais une comme elle, elle demandait à être connue.
Je rejoins Serge celui qui m’a remplacé à la base.
Il est à table et je lui pose une question s’il connaît le lieutenant.
• Bien sûr, il s’occupe de la formation des sous-offs.
Si tu le cherches, il est parti aujourd’hui pour l’île longue et embarquer sur le « Redoutable, » notre nouveau fleuron.
Le Redoutable, dans la marine, le premier sous-marin atomique français ça a fait du bruit.
Ouf, Martin aurait pu emmener Christelle à l’autre bout de la ville.
Brest, loin des yeux loin du cœur.
Je suis parti pour la gare et le lundi j’étais de retour.
J’ai pris le taureau par les cornes, je savais où étaient les chambres réservées à l’équipage de la Galatée.
Il était là assis sur son lit, en pleurs, une lettre à la main.
Au lieu d’entrer dans la marine, j’aurais dû devenir un acteur.
• Que se passe-t-il Alain, pourquoi es-tu en larmes ?
• Salop, je t’avais demandé de la surveiller !
• De quoi tu parles, explique pourquoi après des années d’amitiés tu me traites de salop ?
• Christelle, elle a quitté Toulon avec Martin, un officier que j’avais eu comme chef sur la Doris et que nous avions rencontré avant mon départ dans un restaurant.
• Tu es en train de me dire, qu’elle a rencontré un officier et qu’elle s’est barrée.
Martin de l’école des sous-offs ?
Le black guadeloupéen ?
J’étais à deux doigts de lui dire qu’elle aimait les bites noires et qu’il en avait certainement une plus grosse que la sienne.
• Oui• Certes, je t’avais dit que je la surveillerais, mais pour éviter une déprime de ton absence, pas pour apprendre qu’elle s’envoyait en l’air.
J’allais la voir, sans exagérer, les gens sont médisants.
Je dînais avec elle, lais au plus tard je là quittais à 21 heures.
• Tu as raison mon frère, excuse-moi.
• De rien frérot.
Comédien, j’aurais dû être acteur, je suis au bord des larmes.
• Je sais qu’avec toi et pour notre amitié me tromper aurait été une chose horrible.
• Merci, moi aussi elle m’a trompé, tu as dû trouver une télé neuve chez vous.
Il repart en sanglots, je suis à deux doigts de pleurer avec lui.
Je veux garder l’avantage afin que le moindre soupçon d’adultère entre elle et moi se dissipe dans son cerveau.
• Je l’ai même aidé à la monter et à l’installer, elle voulait te l’offrir pour ton retour.
Je l’ai porté depuis le supermarché, j’aurais eu besoin d’une bonne douche, mais me déshabiller chez toi, aurais été immoral pour moi.
• Tu aurais dû, j’avais réparé la serrure avant mon départ.
Tu aurais pu t’isoler !
Nous isoler, avec Martin, quand nous la retrouvions dans la baignoire à nous savonner le dos.
Inutile de mettre le verrou, ce que nous faisions pouvait ce faire au grand jour.
Il y a une semaine, nous étions tous les deux et c’est en levrette dans la baignoire qu’une nouvelle fois, je lui ai éclaté le petit.
• Pour la télé, il lui manquait deux cents francs pour te payer le plus beau modèle, je lui ai donné.
Elle a bien caché son jeu, elle devait le voir lorsque j’étais absent ou de service.
Je la prévenais toujours du jour ou j’allais venir la voir.
• Si tu as participé à la télé, tu vas être déçu.
J’ai pété les plombs après avoir lu la lettre qu’elle avait posée en évidence dessus.
Je l’ai balancée à l’autre bout de la salle.
• La lette !
• Non, la télé, je te rendrais tes deux cents francs.
• Laisse, dans le malheur qui t’accable, pas de souci d’argent entre nous.
Ouf, tranquille, cool, je prends et je lis la lettre.
Pas un mot sur moi.
Alain a quitté son logement lui rappelant trop sa salope de femme.
J’ai pris des risques, en montant sur les lieux de nos débauches, la vieille voisine.
Elle a été amnésique lorsque je l’ai revu, mais deux fois la mémoire pourrait lui revenir.
Par chance, ils avaient peu d’argent et peu de bien.
Nous avons tout chargé dans un camion, pour tout emmener à la salle des ventes.
Je descendais le dernier carton quant au pallier inférieur, j’ai entendu la vielle ouvrir sa porte et parler à mon pote.
Je me suis arrêté tendant l’oreille.
• Mon pauvre monsieur, quel grand malheur.
• C’est la vie, madame Germaine.
• Oui, mais pendant que vous étiez en mer, c’est atroce.
De mon temps, on savait se tenir, nous refusions de recevoir des hommes chez nous.
Je verdis, « des hommes. »
• Merci madame, Germaine, je rejoins mon camion, il est mal garé.
Une nouvelle fois, j’ai senti le vent du boulet passer près de moi.
J’entends la vieille claquer sa porte.
Je me remets à descendre, inutile qu’Alain se pose des questions pourquoi j’écoutais.
Voilà, je pourrais en rester là, mais j’ai dit que je donnais à Chris71 l’autorisation de publier le salopard que j’avais été.
Je pense que vous êtes d’accord mesdames ses lectrices !
Je finirais cette aventure du « Marin » par la rubrique, « que sont-ils devenus. »Je vous ai dit que certains avaient disparu parmi les cinq personnes ayant fait partie de ma trahison.
Je sais quatre à ce moment de mon récit.
La cinquième, c’est ma femme, mais commençons dans l’ordre.
Alain, le cocu, avant puis après, son mariage.
Il repose en paix près de Concarneau.
Après Toulon, il a été nommé à Lorient sur un 400 tonnes.
J’ai eu peur qu’il retrouve Martin et sa petite salope de femme.
Rien de tout ça même quand il venait chez moi.
Oui, moi aussi après Toulon, c’est à Brest sur divers bateaux que j’ai fait ma carrière.
Alain donc est toujours resté célibataire.
Il a semblé être vacciné par les femmes, du moins à demeure, car je pense qu’il devait aller au port de pêche de Lorient où il était facile de trouver chaussure à son pied.
Alain a fait comme moi 20 ans de marine et a fini Maître Principal, il vivait une retraite tranquille dans cette vieille maison de pécheur qu’il retapait.
Il est mort, il y a deux ans.
Christelle et Martin, ça va aller vite, Martin, mort noyer dans un bassin des sous-marins atomique de l’île longue.
Il avait emmené cette petite salope en Martinique et elle avait posé ses valises dans la maison d’un autre Martiniquais.
Il devait en avoir une plus grosse que la sienne.
Résultat, de retour en France ce couillon ayant cocufié Alain a refusé de l’être à son tour et a pris un bain sans retour.
Ça fait trois, dont deux décès, du moins connu.
Le quatrième, moi, lié à ma dulcinée, « plus blanc que blanc. »Humour, entre ma femme et moi, l’Auvergnio-Bretonne, s’appelle Ariel.
Moi, comme Alain, je suis à la retraite après 20 ans de bons et loyaux services.
Après mon aventure avec Martin et Christelle, j’ai passé les examens pour devenir officier des équipages.
Un moment je me suis posé la question si nos verges dans la chatte ou l’anus de Christelle avaient déclenché en moi l’envie d’être au même niveau que Martin.
Mais bon j’ai fait ce parcours et j’ai navigué pendant des années au large de Brest à faire des ronds dans l’eau.
Je suis parti en vacances de Brest après ma première affectation dans cette ville.
Je venais d’acheter une Fiat 850 coupé sport, ça m’a permis de faire le kéké devant les filles et fidèle à ma doctrine, je fuyais toutes celles demandant le mariage.
J’en ai tiré un grand nombre, car baisé sans lendemain, c’était tirer son coup.
Pendant ces vacances, je me suis arrêté à ma piscine de Vic-sur-Cère en Auvergne.
Une jolie brune est venue se mettre sur la serviette à côté de moi.
Je devais rester jusqu’au lendemain, mais c’est trois jours plus tard qu’elle s’est donné.
Pour elle, impossible les premiers jours même si c’en sont d’autres qui avaient fait le travail de dépucelage.
J’ai voulu la quitter fidèle à moi-même.
J’étais certain qu’en lui demandant de venir s’installer à Brest, elle fuirait, mais elle a dit banco et nous nous sommes mariés.
Voilà pourquoi je parle de l’Auvergnio-Bretonne.
Ce soir, sur ma terrasse face à la mer à quelques encablures, je vois passer la frégate Aquitaine D650 sur laquelle j’ai navigué pendant deux ans.
Ariel est à mes côtés sur un transat.
Nous sommes nus malgré notre âge.
Ariel est magnifique après la naissance de nos trois enfants.
Elle a sa main sur ma queue, je sais qu’elle mouille et comme je refuse les petites pilules bleues elle va devoir insister un long moment si elle veut venir sur moi.
Qu’elle se rassure, je ferme les yeux une fois le bateau passé et en revoyant le cul de Christelle prise entre nos deux bites noires et blanches, je serais aussi en forme que lors de nos 20 ans.
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