COLLECTION LE MARIN. Maître d’hôtel de l’amiral à Tahiti (2/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. Maître d’hôtel de l’amiral à Tahiti (2/4)
Nommé à Tahiti et plus précisément à l’arsenal de Papeete pour m’occuper du remorqueur affecté dans cette île paradisiaque, dans un premier temps, je fais la connaissance de Hugo, le second-maître mécanicien que je vais remplacer.
Un an, je serai là un an, mais certainement deux, car pour doubler mes points valables pour la retraite, je devrais rester deux ans.
Deux ans, si c’est pour me retrouver à baiser, la soi-disant vahiné chez qui je passe la soirée, très peu pour moi.
À trente ans, gros cul, grosses mamelles tombantes, une bouche à moitié édentée où j’ai un peu honte d’y avoir fourré ma bite après la biture que j’ai prise avec eux.
Hugo voulait que je prenne le relais pour l’approvisionner en bière et si j’étais resté ce jour-là, certainement une partie en trio.
Depuis il est retourné en France.
Sur le remorqueur, que nous faisons manœuvrer chaque semaine, afin qu’il soit toujours en état de manoeuvrer, Louis, le maître commandant et Bosco à la langue bien pendue.
Il m’a dit qu’il y a un an, sa vahiné avait accouché d’un garçon élevé par sa mère.
Bref, heureusement que j’ai évité le piège préférant me taper des pignoles plutôt que de risquer ma bite comme la première fois dans la bouche à moitié édentée de Tahia.
À bien y regarder, refuser le gros cul de Tahia est une chose, mais a mon âge se vider les couilles pour éviter les risques d’explosion est une nécessité.
Ce soir, je sors faire un tour en ville, j’ai l’habitude de boire un punch planteur sur le port.
À peine fini, sans bien m’en rendre compte, mes pas me portent dans le secteur de cette femme que j’ai fui pour éviter de me trouver dans la situation du second-maître Hugo.
Il a dû retrouver sa smala et celle qui l’a fait cocu.
« Gogo bar »
L’enseigne m’attire comme un aimant.
Je pousse la porte, des clients à des tables, tous des hommes avec certains à leur table, ce qui semble être des girelles.
À oui, « girelles, » ce sont de petits poissons multicolores péchés en Méditerranée, mais dans la période qui nous intéresse à Toulon dans la basse ville appelé Chicago, c’était des putes qui travaillaient dans des bars.
Au gogo bar, nul besoin de se creuser les méninges, ces filles courtes vêtu, maquillées avec outrance, s’avèrent être des suceuses de bites après rémunération.
Au bar, deux filles complètement différentes, une autre Tahia, mais d’une vingtaine d’années buvant une bière comme sa cousine, mais encore mettable.
Une autre Tahia au niveau des traits, car les pures Tahitiennes ont des visages reconnaissables entre mille.
Par contre, la deuxième, certainement une mitigée Indou- Tahitienne, comme il y en a de très nombreuses comme serveuse dans les boutiques de Papeete.
C’est une beauté.
J’ai la confirmation de mon impression de qui sont ces filles, quand un officier marinier second-maître de première classe, se lève, suit une fille et passe derrière un rideau.
Je regarde la fille qui d’emblée m’intéresse et je m’assieds à la table libérée par celui qui doit se faire allègrement sucer la queue.
Elle me regarde, j’évite de regarder, celle que je veux éviter.
La fille, la bonne, s’approche.
- C’est la première fois que je te vois ici beau marin.
- Je suis arrivée depuis peu de la métropole pour un an.
- M’offres-tu un verre ?
Me disant cela, sa main vient se poser sur ma cuisse.
J’ai tellement faim de chatte, que je sens le pont de mon pantalon blanc ce soulever.
- Une bière ?
- Plutôt un planteur aux fruits mélangés.
En me disant ça, elle s’avance pour prendre mon bachi qu’elle se met sur la tête.
Combien de fois, ai-je vu ces girelles à Toulon ou à Brest faire cela afin de mettre leur attribue bien féminin sous mon nez ?
Ça marche, car je vois que contrairement aux mamelles tombantes de Tahia lors de mes premiers jours, sa poitrine est petite, mais les pointes qui sont libres de toute entrave déforme le tissu plus qu’en temps normal.
Putain qu’elle est bandante.
Je passe la conversation somme toute très banale pour ce genre de fille, voulant savoir d'où je viens en France et bien sûr ici afin de savoir si elle va me fidéliser comme client.
À Toulon, j’ai fréquemment rencontré ces filles qui se trouvent des points communs puisqu’elles sont allées une fois à Paris et qu’elles ont vu la tour Effel.
À Papeete, c’est plus difficile, mais celle que je convoite pour éviter de me dire qu’elle est devenue pute alors qu’elle habite trois rues plus loin me demande si je connais Bora-Bora.
Bien sûr, je réponds négativement alors elle est originaire de cette île.
Je m’en branle littéralement, j’espère qu’elle va me demander fucki fucki.
Tu baises en langage international.
- Tu viens faire un petit tour derrière le rideau.
- Tu prends combien.
Elle me donne un tarif en franc pacifique, je converti, c’est moins cher qu’à Toulon et à Brest.
- Je te suis.
Nous passons le rideau, un étage, des portes.
Nous passons l’une d’elles, aussi épaisses qu’une feuille d’allumette.
« Amène ton cul que je t’encule ! »
Le sous-off se paye la boîte à chocolats de la Tahitienne.
Quand je vais éjaculer dans la chatte de celle qui avance devant moi, je devrai me souvenir de l’épaisseur des portes, sans être prude, j’aime faire cela dans l’intimité.
- Viens faire ta petite toilette mon chou.
L’intimité, la queue propre, on se retrouve à la sortie, sinon il faut mettre le carré blanc fraichement instauré en France.
Ouf, c’est fait, malgré son air ingénu, Vanilla s’avère une vraie pro et lorsque je retrouve le trottoir, je peux m’éloigner de la maison de Tahia.
Ça fait trois fois que je viens sous la tonnelle sur la plage de l’amiral responsable de la marine sur les îles du Pacifique.
L’amiral, j’ignore, comment il est fait, madame, je l’ai vu la dernière fois quand nous buvions notre bière à l’ombre.
Elle est passée près de nous, nous a salué avant d’aller s’allonger à quelques mètres sur une serviette bleu ciel.
Serviette sur laquelle sa peau parfaitement cuivrée par des heures de bronzage était rehaussée par son slip de bain blanc.
Je dis slip, car dès qu’elle s’est allongée, sans s’inquiéter de notre présence, elle a détaché son haut nous montrant des seins magnifiques et sans l’ombre d’une trace blanche.
La dame se fait bronzer les seins nus.
Quand elle a étalé sa crème solaire, j’ai eu envie d’aller lui proposer mes services, j’aurais bien aimé lui caresser les seins en lui passant la crème solaire, mais devant Alain, me prendre une baffe très peu pour moi.
Comme me l’a dit mon copain parigot et maître d’hôtel de la famille, c’est un remariage, lui presque la soixantaine elle 25.
Il lui a fait un garçon élevé par une nurse, madame, est simplement là pour se faire belle et pavaner au bras de son mari dans des soirées mondaines.
Cette semaine, je sais que l’amiral est parti pour huit jours en tournée d’inspection dans les îles sous le vent.
J’arrive, Alain est absent.
Il finit par arriver avec deux bières fraiches, il semble gêné quand sa patronne refaisant le coup du bronzage topless passe près de nous.
- Bonjour jeune homme, je suis content qu’Alain ait trouvé un ami, le service de l’amiral est assez exigeant surtout en temps d’attente.
Alain, je vous attends à 17 heures pour que vous me serviez mon thé.
- Oui, madame, je serais ponctuel.
Nous reprenons nos discussions, quand madame l’amiral se relève vers 16 heures et sans un regard vers le petit peuple, prend le chemin du retour sa serviette me cachant en partie le balancement de ses seins.
- Merde, c’est l’heure, il faut que je te quitte, je te dirais bien un secret, mais si ça s’ébruitait je le retrouverais avec un tas d’emmerdes.
- On est pays et même sous la torture entre pays on ferme sa gueule quand on nous fait des confidences.
- C’est tellement gros que j’hésite.
Tant pis, depuis trois jours, je suis l’amant de Carole, la femme qui m’attend pour son thé.
- Redit moi ça, j’ai bien compris, tu te sautes la jeune et jolie femme qui vient de me faire bander en remontant chez elle.
- Oui, il y a trois jours, j’étais sur la terrasse à ranger le bar d’extérieur.
La porte-fenêtre de la chambre du couple que je sers était ouverte, un rideau placé m’empêchant de voir.
J’ai entendu la chute d’un objet en verre ou en porcelaine avec un grand cri.
Sans penser à ce que j’allais trouver, je me suis précipité.
Carole était par terre un vase et les fleurs du bouquet que la servante avait confectionné éclaté avec la patronne elle aussi allongée et essayant de se redresser.
Elle glissait sur le carrelage à cause de l’eau répandue.
- Elle était nue !
- Ça, je l’ai vu plus tard, dans l’action, je pensais seulement qu’elle pouvait être blessée.
Je l’ai prise sous les aisselles.
Oui, elle était intégralement nue et les seins que tu as vus je les ai eus dans mes mains.
- Putain, t'es le mec le plus chanceux au monde, comment as-tu réussi à la sauter ?...
Un an, je serai là un an, mais certainement deux, car pour doubler mes points valables pour la retraite, je devrais rester deux ans.
Deux ans, si c’est pour me retrouver à baiser, la soi-disant vahiné chez qui je passe la soirée, très peu pour moi.
À trente ans, gros cul, grosses mamelles tombantes, une bouche à moitié édentée où j’ai un peu honte d’y avoir fourré ma bite après la biture que j’ai prise avec eux.
Hugo voulait que je prenne le relais pour l’approvisionner en bière et si j’étais resté ce jour-là, certainement une partie en trio.
Depuis il est retourné en France.
Sur le remorqueur, que nous faisons manœuvrer chaque semaine, afin qu’il soit toujours en état de manoeuvrer, Louis, le maître commandant et Bosco à la langue bien pendue.
Il m’a dit qu’il y a un an, sa vahiné avait accouché d’un garçon élevé par sa mère.
Bref, heureusement que j’ai évité le piège préférant me taper des pignoles plutôt que de risquer ma bite comme la première fois dans la bouche à moitié édentée de Tahia.
À bien y regarder, refuser le gros cul de Tahia est une chose, mais a mon âge se vider les couilles pour éviter les risques d’explosion est une nécessité.
Ce soir, je sors faire un tour en ville, j’ai l’habitude de boire un punch planteur sur le port.
À peine fini, sans bien m’en rendre compte, mes pas me portent dans le secteur de cette femme que j’ai fui pour éviter de me trouver dans la situation du second-maître Hugo.
Il a dû retrouver sa smala et celle qui l’a fait cocu.
« Gogo bar »
L’enseigne m’attire comme un aimant.
Je pousse la porte, des clients à des tables, tous des hommes avec certains à leur table, ce qui semble être des girelles.
À oui, « girelles, » ce sont de petits poissons multicolores péchés en Méditerranée, mais dans la période qui nous intéresse à Toulon dans la basse ville appelé Chicago, c’était des putes qui travaillaient dans des bars.
Au gogo bar, nul besoin de se creuser les méninges, ces filles courtes vêtu, maquillées avec outrance, s’avèrent être des suceuses de bites après rémunération.
Au bar, deux filles complètement différentes, une autre Tahia, mais d’une vingtaine d’années buvant une bière comme sa cousine, mais encore mettable.
Une autre Tahia au niveau des traits, car les pures Tahitiennes ont des visages reconnaissables entre mille.
Par contre, la deuxième, certainement une mitigée Indou- Tahitienne, comme il y en a de très nombreuses comme serveuse dans les boutiques de Papeete.
C’est une beauté.
J’ai la confirmation de mon impression de qui sont ces filles, quand un officier marinier second-maître de première classe, se lève, suit une fille et passe derrière un rideau.
Je regarde la fille qui d’emblée m’intéresse et je m’assieds à la table libérée par celui qui doit se faire allègrement sucer la queue.
Elle me regarde, j’évite de regarder, celle que je veux éviter.
La fille, la bonne, s’approche.
- C’est la première fois que je te vois ici beau marin.
- Je suis arrivée depuis peu de la métropole pour un an.
- M’offres-tu un verre ?
Me disant cela, sa main vient se poser sur ma cuisse.
J’ai tellement faim de chatte, que je sens le pont de mon pantalon blanc ce soulever.
- Une bière ?
- Plutôt un planteur aux fruits mélangés.
En me disant ça, elle s’avance pour prendre mon bachi qu’elle se met sur la tête.
Combien de fois, ai-je vu ces girelles à Toulon ou à Brest faire cela afin de mettre leur attribue bien féminin sous mon nez ?
Ça marche, car je vois que contrairement aux mamelles tombantes de Tahia lors de mes premiers jours, sa poitrine est petite, mais les pointes qui sont libres de toute entrave déforme le tissu plus qu’en temps normal.
Putain qu’elle est bandante.
Je passe la conversation somme toute très banale pour ce genre de fille, voulant savoir d'où je viens en France et bien sûr ici afin de savoir si elle va me fidéliser comme client.
À Toulon, j’ai fréquemment rencontré ces filles qui se trouvent des points communs puisqu’elles sont allées une fois à Paris et qu’elles ont vu la tour Effel.
À Papeete, c’est plus difficile, mais celle que je convoite pour éviter de me dire qu’elle est devenue pute alors qu’elle habite trois rues plus loin me demande si je connais Bora-Bora.
Bien sûr, je réponds négativement alors elle est originaire de cette île.
Je m’en branle littéralement, j’espère qu’elle va me demander fucki fucki.
Tu baises en langage international.
- Tu viens faire un petit tour derrière le rideau.
- Tu prends combien.
Elle me donne un tarif en franc pacifique, je converti, c’est moins cher qu’à Toulon et à Brest.
- Je te suis.
Nous passons le rideau, un étage, des portes.
Nous passons l’une d’elles, aussi épaisses qu’une feuille d’allumette.
« Amène ton cul que je t’encule ! »
Le sous-off se paye la boîte à chocolats de la Tahitienne.
Quand je vais éjaculer dans la chatte de celle qui avance devant moi, je devrai me souvenir de l’épaisseur des portes, sans être prude, j’aime faire cela dans l’intimité.
- Viens faire ta petite toilette mon chou.
L’intimité, la queue propre, on se retrouve à la sortie, sinon il faut mettre le carré blanc fraichement instauré en France.
Ouf, c’est fait, malgré son air ingénu, Vanilla s’avère une vraie pro et lorsque je retrouve le trottoir, je peux m’éloigner de la maison de Tahia.
Ça fait trois fois que je viens sous la tonnelle sur la plage de l’amiral responsable de la marine sur les îles du Pacifique.
L’amiral, j’ignore, comment il est fait, madame, je l’ai vu la dernière fois quand nous buvions notre bière à l’ombre.
Elle est passée près de nous, nous a salué avant d’aller s’allonger à quelques mètres sur une serviette bleu ciel.
Serviette sur laquelle sa peau parfaitement cuivrée par des heures de bronzage était rehaussée par son slip de bain blanc.
Je dis slip, car dès qu’elle s’est allongée, sans s’inquiéter de notre présence, elle a détaché son haut nous montrant des seins magnifiques et sans l’ombre d’une trace blanche.
La dame se fait bronzer les seins nus.
Quand elle a étalé sa crème solaire, j’ai eu envie d’aller lui proposer mes services, j’aurais bien aimé lui caresser les seins en lui passant la crème solaire, mais devant Alain, me prendre une baffe très peu pour moi.
Comme me l’a dit mon copain parigot et maître d’hôtel de la famille, c’est un remariage, lui presque la soixantaine elle 25.
Il lui a fait un garçon élevé par une nurse, madame, est simplement là pour se faire belle et pavaner au bras de son mari dans des soirées mondaines.
Cette semaine, je sais que l’amiral est parti pour huit jours en tournée d’inspection dans les îles sous le vent.
J’arrive, Alain est absent.
Il finit par arriver avec deux bières fraiches, il semble gêné quand sa patronne refaisant le coup du bronzage topless passe près de nous.
- Bonjour jeune homme, je suis content qu’Alain ait trouvé un ami, le service de l’amiral est assez exigeant surtout en temps d’attente.
Alain, je vous attends à 17 heures pour que vous me serviez mon thé.
- Oui, madame, je serais ponctuel.
Nous reprenons nos discussions, quand madame l’amiral se relève vers 16 heures et sans un regard vers le petit peuple, prend le chemin du retour sa serviette me cachant en partie le balancement de ses seins.
- Merde, c’est l’heure, il faut que je te quitte, je te dirais bien un secret, mais si ça s’ébruitait je le retrouverais avec un tas d’emmerdes.
- On est pays et même sous la torture entre pays on ferme sa gueule quand on nous fait des confidences.
- C’est tellement gros que j’hésite.
Tant pis, depuis trois jours, je suis l’amant de Carole, la femme qui m’attend pour son thé.
- Redit moi ça, j’ai bien compris, tu te sautes la jeune et jolie femme qui vient de me faire bander en remontant chez elle.
- Oui, il y a trois jours, j’étais sur la terrasse à ranger le bar d’extérieur.
La porte-fenêtre de la chambre du couple que je sers était ouverte, un rideau placé m’empêchant de voir.
J’ai entendu la chute d’un objet en verre ou en porcelaine avec un grand cri.
Sans penser à ce que j’allais trouver, je me suis précipité.
Carole était par terre un vase et les fleurs du bouquet que la servante avait confectionné éclaté avec la patronne elle aussi allongée et essayant de se redresser.
Elle glissait sur le carrelage à cause de l’eau répandue.
- Elle était nue !
- Ça, je l’ai vu plus tard, dans l’action, je pensais seulement qu’elle pouvait être blessée.
Je l’ai prise sous les aisselles.
Oui, elle était intégralement nue et les seins que tu as vus je les ai eus dans mes mains.
- Putain, t'es le mec le plus chanceux au monde, comment as-tu réussi à la sauter ?...
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