COLLECTION LE MARIN. Maître d’hôtel de l’amiral à Tahiti (4/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. Maître d’hôtel de l’amiral à Tahiti (4/4)
Pardon.
C’est ce qui me vient à l’esprit lorsque j’entends Lauriane, la fille de l’amiral me proposer de monter boire un dernier verre chez elle au dernier étage d’un immeuble dans le centre de Papeete.
Deux fois déjà dans ma jeune vie, des femmes m’ont proposé d’aller boire un dernier verre et chaque fois ma queue s’est retrouvée à la fête.
La première fois, j’avais à peine 17 ans, c’était Adèle, la mère d’un copain.
Le coup classique, la fête des voisins à Joinville, une femme seule, abandonnée par son mari de longue date.
Elle avait un abandonnant avec un polichinelle dans le tiroir, qui plus tard est devenu mon pote.
Ce soir-là, ayant un peu trop bu, vous la raccompagnez après qu’elle ait prononcé cette phrase qui vient de sortir de la bouche de Lauriane.
J’y ai perdu mon pucelage, c’était peu de temps avant que je m’engage.
La deuxième, j’étais aux apprentis-mécaniciens de Saint Mandrier, une américaine de passage à Toulon était sur le port dans un café près de la mairie.
Elle était à la table voisine et m’a souri.
C’est en Français plutôt Franglais qu’elle a trouvé le moyen de me proposer une promenade dans sa voiture garée sur la rue parallèle au port.
Un chauffeur est venu nous ouvrir la portière sa casquette sous le bras.
Nous sommes montés au mont Faron, elle avait su que de là-haut, il était possible de voir toute la rade.
Je l’ai un peu embrassé sans qu’elle soit farouche et c’est au retour devant l’un des hôtels les plus chics de Toulon qu’elle a très mal prononcé cette phrase.
Je l’ai baisé autant qu’un homme puisse baiser une femme, c’était une gourmande.
C’est quelques semaines plus tard que j’ai vu un article dans un journal qui trainait à l’école sur une table que j’étais monté boire un dernier verre avec Greta Pearse la jeune starlette montante.
Elle était venue à Cannes pour le festival et à Toulon pour se faire un petit marin.
Depuis, je regarde ses films, elle a fait du chemin et l’on parle d’une possibilité d’Oscar pour son rôle dans « Looser ».
Une certitude, dans son lit, Greta avait été loin d’avoir un looser, Christian il avait assuré, l’honneur des hommes qui plus est marins français étant en jeu.
Là, c’est une nouvelle fois l’honneur de la marine que je vais défendre.
- Entre, va dans la cuisine et débouche-nous deux bières, je vais me rafraichir.
Elle ôte son casque de brousse qu’elle jette sur un canapé.
Ses cheveux blonds sont en chignon qu’elle détache les faisant tomber en cascade sur ses épaules les replaçant d’un geste du corps les faisant voler.
Même si elle est sur son côté pile, je la vois commencer à détacher sa chemise de brousse.
Je vais dans le frigo, c’est la première fois que je vois une salle de séjour ou la cuisine est incorporée dans un coin derrière un bar.
Sur le devant du plan de travail, il y a trois chaises hautes comme j’en ai croisé dans certains bars louches de Toulon.
Le frigo est à l’arrière, j’entends de l’eau coulée.
Ce bruit venant du couloir où Lauriane vient de s’éclipser.
Un instant l’idée de la rejoindre me traverse l’esprit, mais je me souviens que c’est la fille d’un amiral et il est possible qu’elle ait eu simplement envie de boire une bière entre deux copains.
Un petit problème, rien pour décapsuler.
Je suis un peu loin de la maison de Tahia, elle pourrait les ouvrir avec ses dents, mais j’ai plus d’un tour dans ma besace, je récupère une pièce et d’un coup rapide les deux capsules sautent.
Je vais vers le canapé blanc sur un mur blanc, la cuisine étant blanche et je pose les bières sur la table basse en bois blanc elle aussi.
Il y a deux fauteuils blancs comme le canapé je pose mes fesses sur l’accoudoir de celui de gauche.
Lauriane sort du couloir, son corps est entouré d’une large serviette tenue au-dessus de ses seins et avec une autre enfermant ses cheveux.
Elle vient s’assoir dans le fauteuil où je suis moi-même assis.
Je lui tends sa bière, nous trinquons en tapant nos deux goulots.
De la mousse s’échappe venant tomber sur la serviette.
Je fais un mouvement, je l’accroche, elle se dénoue et tombe dénudant le haut de son corps.
- Dis-moi, Christian, tu es bien rapide, si tu voulais voir mes seins, il suffisait de demander.
- Excuse, c’était un accident.
- Bien plaisant ma foi, il fait si chaud, comment les trouves-tu ?
Je sens l’invitation, c’était réellement pour boire un dernier verre coquin, putain, quelle chance, Alain nique la belle-mère, je vais baiser la fille.
L’amiral va être cocu sur toute la ligne.
Les Parigots, question cul nous sommes bien les meilleurs lorsque l’on s’en donne la peine.
J’avance ma main et je caresse sa poitrine, ses pointes cachées sortent de leur torpeur.
- Christian, j’ai un fantasme depuis que je suis toute petite !
- Dis-moi lequel, je vais essayer de le satisfaire ?
- Depuis le début de ma vie, mon père a été entouré de jeunes marins comme toi dans ces diverses affectations.
À Hourtin près de Bordeaux, à Dakar, à Brest sans oublier Toulon et encore Lorient.
Avant Tahiti où je l’ai suivi juste avant que je sois majeure, mon père était au ministère de la marine à Paris.
J’aimerais voir ce qui se cache sous vos ponts.
Je me lève, elle défait les quatre boutons, mon pont tombe.
- À oui, c’est sympa, ou peut directement se servir, tu me parlais des jeunes officiers que je serais susceptible de fréquenter en priorité, ils ont des pantalons, tu dois comprendre la difficulté.
Sans me laisser le temps de répondre, elle se saisit de ma verge, comme Alain je suis sans sous-vêtements dans ce pays chaud.
Comme elle, je suis passé à Dakar et dans ce pays aussi, il faisait chaud et c’est là-bas que j’ai enlevé mon sous-vêtement.
Était-elle là-bas à cette époque ?
Mais j’ai d’autres chats à fouetter, la coquine me saisit et avance sa bouche.
Je suis bien élevé, surtout en présence d’une jeune femme de cette qualité, je vois qu’elle sait se servir de nos queues nous les garçons.
De plus, comme je suis bien élevé, j’évite de lui arroser les amygdales, la mère de mon copain à Joinville aimait me sucer et avaler mon sperme, elle, je préfère voir venir.
Surtout que c’est elle qui me libère, se redresse et tout en me gardant dans sa main, conduit jusqu’à son canapé.
Elle se met en levrette, c’est la voisine de Joinville qui m’a appris que les femmes aimaient cette position.
Elle, c’était dans son vestibule et gourmande ayant ôté sa petite culotte qui gisait à nos côtés, elle a voulu que je la dévore avec ma langue et mes dents.
Je veux prendre mon temps, je m’agenouille derrière sa fente d’où perlent quelques gouttes.
Elle sort d’une douche, mais dès que j’y mets ma langue, c’est bien de la cyprine que je sens sous ma langue.
À Joinville, j’étais moins bien placé, mais là à bonne hauteur, j’ai tout loisir de passer ma langue de son anus à son bouton que je découvre sans avoir besoin de le sortir de son capuchon.
C’est bon de baiser avec une vieille comme Adèle.
Vous revenez plusieurs soirs, profitant de l’absence de votre pote.
Cette dame vous apprend les choses de la vie qu’un jeune homme doit savoir et qui vous servent à des milliers de kilomètres de distance pour que Lauriane se tortille et jouisse exprimant son plaisir.
Un puceau aurait profité de la situation et l’aurait pointé directement au risque d’éjaculer avant qu’elle arrive à prendre son plaisir.
- Mets-moi, je veux ta queue en moi, vas-y sans crainte je prends la pilule.
L’invitation ponctuée de votre premier baiser sa tête tournée vers moi et c’est vous qui saisissez votre verge qui entre facilement dans cette grotte qui vous tend les bras.
Vous lui prenez les hanches et comme vous aimez ça, vous la pilonner à la faire jouir jusqu’à la transporter dans un orgasme dévastateur.
Elle s’écroule, vous la faites descendre d’un étage et c’est elle qui se fait jouir en s’empalant sur vous.
Il est temps à votre tour de rendre les armes et c’est tout Papeete qui doit entendre notre couple jouir simultanément.
- On m’aurait dit que je réaliserais mon fantasme avec un jeune homme sachant m’apporter plusieurs orgasmes successifs, j’aurais traité cette personne de folle.
- Alors, soyons fou, as-tu d’autres fantasmes que je pourrais réaliser.
Elle m’entraîne sous la douche où nous nettoyons mutuellement, nous embrassant à pleine bouche, ce qui fait se redresser ma queue.
- C’est impossible, tu es insatiable, une vraie bête, mais baisses pavillon, oui j’ai un autre fantasme, après nous être habillé, nous allons le réaliser.
Nous reprenons sa voiture, c’est impossible qu’elle veuille que je fasse ça.
- Matelot, il vous est interdit d’entrer dans ce cercle réservé aux officiers.
Je le savais, je me fais jeter, quand un lieutenant s’approche du réceptionniste.
- Pardon mademoiselle, j’ignorais qui vous étiez, entrer, vous êtes les bienvenus.
C’est dans les bras l’un de l’autre que nous courrons vers un endroit impossible pour moi de penser y entrer un jour.
- Bonjours Lauriane, toujours en retard, mais on peut comprendre.
Nous venons de retrouver dans un salon deux autres couples, l’un l’homme en civile et la femme en tenue d’officier.
L’autre c’est l’inverse, l’homme, c’est un capitaine et la femme en robe à fleurs du pays.
Elle aussi des indoues Tahitiennes et est aussi jolie que Vanilla la petite pute.
Serge et Alida et Fabrice et Perle et Florentin, Lauriane et Christian, les présentations sont faits.
Un matelot maître d’hôtel, les yeux écarquillés de me voir là, nous sert des Martinis avant que nous allions dans le restaurant nous substanter.
Sept mois que j’ai rencontré Lauriane dans la propriété de son père.
Sept mois que j’ai trouvé le moyen de rester au service de la fille de l’amiral, mais principalement avec ma bite qui est toujours à la fête, car la drôlesse à plus d’un fantasme dans son sac.
Un mois que j’ai conduit Alain à son avion, son séjour et son service se terminant.
Carole était avec nous.
Elle ignorait que ma maîtresse s’était Lauriane, car au retour, si j’avais voulu c’est la belle-mère et la fille que j’aurais eue dans mon lit.
Ce septième mois, c’est Lauriane qui prend l’avion avec toute sa famille, l’amiral a fini son affectation et rentre en France pour prendre sa retraite.
Elle doit continuer des études de médecine.
Les mois qui suivent comme nous nous le sommes promis, chacun reprend sa vie après énormément de fantasme réalisé.
Tahia, Vanilla, non, Prune, peut-être la sœur de Vanilla qui a disparu du « gogo bar » avant à mon tour de revenir en France continuer a carrière.
Je suis à quelques mois de prendre ma retraite, je viens de prendre les rênes des mécaniciens d’un escorteur d’escadre comme maître principal.
Aujourd’hui, inspection du commandant.
Je me retrouve devant notre pacha, surnom que nous donnons aux commandants de navire.
- Matelot, si je comprends bien, la plaque de cale où l’on vous a placé, m’oblige à vous demander d’ouvrir la seule plaque libre.
Si je vous demande de le faire, je verrai une cale impeccable comme j’aime que mon bateau le soit.
Il faut dire que la peau de vache qui nous commande est connue dans toute la rade de Brest pour être le pacha le plus vache qui soit.
Ses inspections sont légendaires avec ses gants blancs promenés sur les tuyaux.
Bien sûr, une autre trape est ouverte et ça retombe sur moi.
- Maître Christian, venez dans mon bureau.
Putain, Lauriane va vouloir que je la saute sur sa couchette.
Je suis marié et j’ai trois petits Bretons.
Anaëlle, c’est la sœur d’Alain que j’ai retrouvée après mon retour en France.
Elle m’a suivi depuis Paris et fait figure locale avec ses cheveux roux et ses taches de rousseur.
La tromper avec celle de ma jeunesse impossible, après 10 ans, je suis follement amoureux.
Après son retour, Lauriane a su que Naval comme la marine était ouverte aux femmes, elle a changé son orientation et c’est sûrement elle qui m’a fait embarquer sur le même bateau qu’elle.
- Maître, vous avez été prévenu par vos commandants de secteurs le soin que je voulais que mon équipage porte à mon bateau.
En permettant que les cales des machines soient remplies de fiouls ou d’autres huiles, vous avez enfreint mes ordres.
Trouver des partis de cales où vous avez permis que des bidons de peinture argentée soient jetés et étalés au balai-brosse est inadmissible.
Croyez-vous que j’ignore ce qui se dit depuis des lustres dans la marine.
« Peinture sur merde, égale propreté. »
Vous avez donc permis à vos matelots de contourner mes directives.
En conséquence, je vous inflige trente jours d’arrêt de rigueur.
Au vu de vos états de service et la proximité de votre retraite, cette sanction sera accompagnée d’un sursis.
Rompez, retournez faire nettoyer mon navire, je viendrai faire une inspection inopinée dans vos machines quand bon me semblera.
J’ai salué Lauriane réglementairement et j’ai quitté ce commandant qui avait oublié ou voulu oublier que je l’avais sautée.
Pourtant, c’est bien elle qui m’avait aidé à transgresser les règles en m’introduisant au cercle des officiers de Papeete.
Il me restait quinze jours à faire avant la quille.
C’est le médecin de ma femme en ville qui m’a prescrit un arrête de travail me permettant d’éviter tout contact avec celle qui quelque part m’a évité de devenir alcoolique comme le second-Maître Hugo.
Je vous l’ai dit, c’est dans les bras de ma dulcinée que je me réfugie avant de dire :
« La quille bordel, »
Ce que disent tous les marins qui arrivent au bout de leur engagement.
Voilà, nous sommes au bout de cette aventure tahitienne.
Je vois déjà les anciens marins qui vont lire mon histoire que certains faits sont dans l’impossibilité de cadrer surtout avec les périodes.
C’est volontaire, une grande partie de cette histoire est réelle, le marin l’a vraiment vécue.
J’ai voulu préserver l’honneur de cet amiral, cocu avant l’heure.
Je veux ici éviter toute douleur pour cet homme s’il est toujours de ce monde.
C’est ce qui me vient à l’esprit lorsque j’entends Lauriane, la fille de l’amiral me proposer de monter boire un dernier verre chez elle au dernier étage d’un immeuble dans le centre de Papeete.
Deux fois déjà dans ma jeune vie, des femmes m’ont proposé d’aller boire un dernier verre et chaque fois ma queue s’est retrouvée à la fête.
La première fois, j’avais à peine 17 ans, c’était Adèle, la mère d’un copain.
Le coup classique, la fête des voisins à Joinville, une femme seule, abandonnée par son mari de longue date.
Elle avait un abandonnant avec un polichinelle dans le tiroir, qui plus tard est devenu mon pote.
Ce soir-là, ayant un peu trop bu, vous la raccompagnez après qu’elle ait prononcé cette phrase qui vient de sortir de la bouche de Lauriane.
J’y ai perdu mon pucelage, c’était peu de temps avant que je m’engage.
La deuxième, j’étais aux apprentis-mécaniciens de Saint Mandrier, une américaine de passage à Toulon était sur le port dans un café près de la mairie.
Elle était à la table voisine et m’a souri.
C’est en Français plutôt Franglais qu’elle a trouvé le moyen de me proposer une promenade dans sa voiture garée sur la rue parallèle au port.
Un chauffeur est venu nous ouvrir la portière sa casquette sous le bras.
Nous sommes montés au mont Faron, elle avait su que de là-haut, il était possible de voir toute la rade.
Je l’ai un peu embrassé sans qu’elle soit farouche et c’est au retour devant l’un des hôtels les plus chics de Toulon qu’elle a très mal prononcé cette phrase.
Je l’ai baisé autant qu’un homme puisse baiser une femme, c’était une gourmande.
C’est quelques semaines plus tard que j’ai vu un article dans un journal qui trainait à l’école sur une table que j’étais monté boire un dernier verre avec Greta Pearse la jeune starlette montante.
Elle était venue à Cannes pour le festival et à Toulon pour se faire un petit marin.
Depuis, je regarde ses films, elle a fait du chemin et l’on parle d’une possibilité d’Oscar pour son rôle dans « Looser ».
Une certitude, dans son lit, Greta avait été loin d’avoir un looser, Christian il avait assuré, l’honneur des hommes qui plus est marins français étant en jeu.
Là, c’est une nouvelle fois l’honneur de la marine que je vais défendre.
- Entre, va dans la cuisine et débouche-nous deux bières, je vais me rafraichir.
Elle ôte son casque de brousse qu’elle jette sur un canapé.
Ses cheveux blonds sont en chignon qu’elle détache les faisant tomber en cascade sur ses épaules les replaçant d’un geste du corps les faisant voler.
Même si elle est sur son côté pile, je la vois commencer à détacher sa chemise de brousse.
Je vais dans le frigo, c’est la première fois que je vois une salle de séjour ou la cuisine est incorporée dans un coin derrière un bar.
Sur le devant du plan de travail, il y a trois chaises hautes comme j’en ai croisé dans certains bars louches de Toulon.
Le frigo est à l’arrière, j’entends de l’eau coulée.
Ce bruit venant du couloir où Lauriane vient de s’éclipser.
Un instant l’idée de la rejoindre me traverse l’esprit, mais je me souviens que c’est la fille d’un amiral et il est possible qu’elle ait eu simplement envie de boire une bière entre deux copains.
Un petit problème, rien pour décapsuler.
Je suis un peu loin de la maison de Tahia, elle pourrait les ouvrir avec ses dents, mais j’ai plus d’un tour dans ma besace, je récupère une pièce et d’un coup rapide les deux capsules sautent.
Je vais vers le canapé blanc sur un mur blanc, la cuisine étant blanche et je pose les bières sur la table basse en bois blanc elle aussi.
Il y a deux fauteuils blancs comme le canapé je pose mes fesses sur l’accoudoir de celui de gauche.
Lauriane sort du couloir, son corps est entouré d’une large serviette tenue au-dessus de ses seins et avec une autre enfermant ses cheveux.
Elle vient s’assoir dans le fauteuil où je suis moi-même assis.
Je lui tends sa bière, nous trinquons en tapant nos deux goulots.
De la mousse s’échappe venant tomber sur la serviette.
Je fais un mouvement, je l’accroche, elle se dénoue et tombe dénudant le haut de son corps.
- Dis-moi, Christian, tu es bien rapide, si tu voulais voir mes seins, il suffisait de demander.
- Excuse, c’était un accident.
- Bien plaisant ma foi, il fait si chaud, comment les trouves-tu ?
Je sens l’invitation, c’était réellement pour boire un dernier verre coquin, putain, quelle chance, Alain nique la belle-mère, je vais baiser la fille.
L’amiral va être cocu sur toute la ligne.
Les Parigots, question cul nous sommes bien les meilleurs lorsque l’on s’en donne la peine.
J’avance ma main et je caresse sa poitrine, ses pointes cachées sortent de leur torpeur.
- Christian, j’ai un fantasme depuis que je suis toute petite !
- Dis-moi lequel, je vais essayer de le satisfaire ?
- Depuis le début de ma vie, mon père a été entouré de jeunes marins comme toi dans ces diverses affectations.
À Hourtin près de Bordeaux, à Dakar, à Brest sans oublier Toulon et encore Lorient.
Avant Tahiti où je l’ai suivi juste avant que je sois majeure, mon père était au ministère de la marine à Paris.
J’aimerais voir ce qui se cache sous vos ponts.
Je me lève, elle défait les quatre boutons, mon pont tombe.
- À oui, c’est sympa, ou peut directement se servir, tu me parlais des jeunes officiers que je serais susceptible de fréquenter en priorité, ils ont des pantalons, tu dois comprendre la difficulté.
Sans me laisser le temps de répondre, elle se saisit de ma verge, comme Alain je suis sans sous-vêtements dans ce pays chaud.
Comme elle, je suis passé à Dakar et dans ce pays aussi, il faisait chaud et c’est là-bas que j’ai enlevé mon sous-vêtement.
Était-elle là-bas à cette époque ?
Mais j’ai d’autres chats à fouetter, la coquine me saisit et avance sa bouche.
Je suis bien élevé, surtout en présence d’une jeune femme de cette qualité, je vois qu’elle sait se servir de nos queues nous les garçons.
De plus, comme je suis bien élevé, j’évite de lui arroser les amygdales, la mère de mon copain à Joinville aimait me sucer et avaler mon sperme, elle, je préfère voir venir.
Surtout que c’est elle qui me libère, se redresse et tout en me gardant dans sa main, conduit jusqu’à son canapé.
Elle se met en levrette, c’est la voisine de Joinville qui m’a appris que les femmes aimaient cette position.
Elle, c’était dans son vestibule et gourmande ayant ôté sa petite culotte qui gisait à nos côtés, elle a voulu que je la dévore avec ma langue et mes dents.
Je veux prendre mon temps, je m’agenouille derrière sa fente d’où perlent quelques gouttes.
Elle sort d’une douche, mais dès que j’y mets ma langue, c’est bien de la cyprine que je sens sous ma langue.
À Joinville, j’étais moins bien placé, mais là à bonne hauteur, j’ai tout loisir de passer ma langue de son anus à son bouton que je découvre sans avoir besoin de le sortir de son capuchon.
C’est bon de baiser avec une vieille comme Adèle.
Vous revenez plusieurs soirs, profitant de l’absence de votre pote.
Cette dame vous apprend les choses de la vie qu’un jeune homme doit savoir et qui vous servent à des milliers de kilomètres de distance pour que Lauriane se tortille et jouisse exprimant son plaisir.
Un puceau aurait profité de la situation et l’aurait pointé directement au risque d’éjaculer avant qu’elle arrive à prendre son plaisir.
- Mets-moi, je veux ta queue en moi, vas-y sans crainte je prends la pilule.
L’invitation ponctuée de votre premier baiser sa tête tournée vers moi et c’est vous qui saisissez votre verge qui entre facilement dans cette grotte qui vous tend les bras.
Vous lui prenez les hanches et comme vous aimez ça, vous la pilonner à la faire jouir jusqu’à la transporter dans un orgasme dévastateur.
Elle s’écroule, vous la faites descendre d’un étage et c’est elle qui se fait jouir en s’empalant sur vous.
Il est temps à votre tour de rendre les armes et c’est tout Papeete qui doit entendre notre couple jouir simultanément.
- On m’aurait dit que je réaliserais mon fantasme avec un jeune homme sachant m’apporter plusieurs orgasmes successifs, j’aurais traité cette personne de folle.
- Alors, soyons fou, as-tu d’autres fantasmes que je pourrais réaliser.
Elle m’entraîne sous la douche où nous nettoyons mutuellement, nous embrassant à pleine bouche, ce qui fait se redresser ma queue.
- C’est impossible, tu es insatiable, une vraie bête, mais baisses pavillon, oui j’ai un autre fantasme, après nous être habillé, nous allons le réaliser.
Nous reprenons sa voiture, c’est impossible qu’elle veuille que je fasse ça.
- Matelot, il vous est interdit d’entrer dans ce cercle réservé aux officiers.
Je le savais, je me fais jeter, quand un lieutenant s’approche du réceptionniste.
- Pardon mademoiselle, j’ignorais qui vous étiez, entrer, vous êtes les bienvenus.
C’est dans les bras l’un de l’autre que nous courrons vers un endroit impossible pour moi de penser y entrer un jour.
- Bonjours Lauriane, toujours en retard, mais on peut comprendre.
Nous venons de retrouver dans un salon deux autres couples, l’un l’homme en civile et la femme en tenue d’officier.
L’autre c’est l’inverse, l’homme, c’est un capitaine et la femme en robe à fleurs du pays.
Elle aussi des indoues Tahitiennes et est aussi jolie que Vanilla la petite pute.
Serge et Alida et Fabrice et Perle et Florentin, Lauriane et Christian, les présentations sont faits.
Un matelot maître d’hôtel, les yeux écarquillés de me voir là, nous sert des Martinis avant que nous allions dans le restaurant nous substanter.
Sept mois que j’ai rencontré Lauriane dans la propriété de son père.
Sept mois que j’ai trouvé le moyen de rester au service de la fille de l’amiral, mais principalement avec ma bite qui est toujours à la fête, car la drôlesse à plus d’un fantasme dans son sac.
Un mois que j’ai conduit Alain à son avion, son séjour et son service se terminant.
Carole était avec nous.
Elle ignorait que ma maîtresse s’était Lauriane, car au retour, si j’avais voulu c’est la belle-mère et la fille que j’aurais eue dans mon lit.
Ce septième mois, c’est Lauriane qui prend l’avion avec toute sa famille, l’amiral a fini son affectation et rentre en France pour prendre sa retraite.
Elle doit continuer des études de médecine.
Les mois qui suivent comme nous nous le sommes promis, chacun reprend sa vie après énormément de fantasme réalisé.
Tahia, Vanilla, non, Prune, peut-être la sœur de Vanilla qui a disparu du « gogo bar » avant à mon tour de revenir en France continuer a carrière.
Je suis à quelques mois de prendre ma retraite, je viens de prendre les rênes des mécaniciens d’un escorteur d’escadre comme maître principal.
Aujourd’hui, inspection du commandant.
Je me retrouve devant notre pacha, surnom que nous donnons aux commandants de navire.
- Matelot, si je comprends bien, la plaque de cale où l’on vous a placé, m’oblige à vous demander d’ouvrir la seule plaque libre.
Si je vous demande de le faire, je verrai une cale impeccable comme j’aime que mon bateau le soit.
Il faut dire que la peau de vache qui nous commande est connue dans toute la rade de Brest pour être le pacha le plus vache qui soit.
Ses inspections sont légendaires avec ses gants blancs promenés sur les tuyaux.
Bien sûr, une autre trape est ouverte et ça retombe sur moi.
- Maître Christian, venez dans mon bureau.
Putain, Lauriane va vouloir que je la saute sur sa couchette.
Je suis marié et j’ai trois petits Bretons.
Anaëlle, c’est la sœur d’Alain que j’ai retrouvée après mon retour en France.
Elle m’a suivi depuis Paris et fait figure locale avec ses cheveux roux et ses taches de rousseur.
La tromper avec celle de ma jeunesse impossible, après 10 ans, je suis follement amoureux.
Après son retour, Lauriane a su que Naval comme la marine était ouverte aux femmes, elle a changé son orientation et c’est sûrement elle qui m’a fait embarquer sur le même bateau qu’elle.
- Maître, vous avez été prévenu par vos commandants de secteurs le soin que je voulais que mon équipage porte à mon bateau.
En permettant que les cales des machines soient remplies de fiouls ou d’autres huiles, vous avez enfreint mes ordres.
Trouver des partis de cales où vous avez permis que des bidons de peinture argentée soient jetés et étalés au balai-brosse est inadmissible.
Croyez-vous que j’ignore ce qui se dit depuis des lustres dans la marine.
« Peinture sur merde, égale propreté. »
Vous avez donc permis à vos matelots de contourner mes directives.
En conséquence, je vous inflige trente jours d’arrêt de rigueur.
Au vu de vos états de service et la proximité de votre retraite, cette sanction sera accompagnée d’un sursis.
Rompez, retournez faire nettoyer mon navire, je viendrai faire une inspection inopinée dans vos machines quand bon me semblera.
J’ai salué Lauriane réglementairement et j’ai quitté ce commandant qui avait oublié ou voulu oublier que je l’avais sautée.
Pourtant, c’est bien elle qui m’avait aidé à transgresser les règles en m’introduisant au cercle des officiers de Papeete.
Il me restait quinze jours à faire avant la quille.
C’est le médecin de ma femme en ville qui m’a prescrit un arrête de travail me permettant d’éviter tout contact avec celle qui quelque part m’a évité de devenir alcoolique comme le second-Maître Hugo.
Je vous l’ai dit, c’est dans les bras de ma dulcinée que je me réfugie avant de dire :
« La quille bordel, »
Ce que disent tous les marins qui arrivent au bout de leur engagement.
Voilà, nous sommes au bout de cette aventure tahitienne.
Je vois déjà les anciens marins qui vont lire mon histoire que certains faits sont dans l’impossibilité de cadrer surtout avec les périodes.
C’est volontaire, une grande partie de cette histoire est réelle, le marin l’a vraiment vécue.
J’ai voulu préserver l’honneur de cet amiral, cocu avant l’heure.
Je veux ici éviter toute douleur pour cet homme s’il est toujours de ce monde.
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