COLLECTION LE MARIN. Retour de vie, sur mon passé, à Rio (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. Retour de vie, sur mon passé, à Rio (1/1)
• Messieurs dames merci d’être venus à cette réunion du conseil d’administration de la société que j’ai fondé il y a trente ans.
Je vous rappelle que j’ai l’intégralité des avoirs et des actifs.
Mon chargé d’affaires qui me suit depuis le début de mon aventure à l’intégralité des documents que nous avons remplie pour pouvoir vous annoncer que vous devenez propriétaires de mon affaire.
Merci messieurs-dames, je vous laisse avec lui.
Si un problème se pose Pierre à mon numéro de portable et pourra me joindre si vous avez le moindre souci.
Pierre je compte sur toi, ce numéro est à appeler seulement en cas de problème insoluble.
Mais comme promis, personne aucune autre personne.
Je me lève et je rejoins mon bureau, j’enlève mon costume et ma cravate.
J’ouvre la valise posée devant moi.
J’enfile pantalon tee-shirt et pull à col roulé et pour finir mon manteau très classique comparé à celui que je laisse sur mon porte-manteau.
Il me sera nécessaire jusqu’à l’aéroport.
J’ouvre mon coffre pour la dernière fois et je récupère mon argent et les billets achetés, il y a peu.
Un taxi me dépose et mes bagages ayant déjà été enregistré je monte à bord d’un Airbus direction Rio première étape de mon périple du retour sur vie.
Le personnel de bord est très sympathique et en quelques minutes ayant réussi à faire comprendre à mon voisin que son problème de prostate me passe au-dessus de la tête.
Je ferme les yeux et je revois défiler ma vie.
Entre 1968 années des manifestations qui devaient bouleverser notre pays et 1969, je suis avec mon pompon sur la tête, car je suis entré dans la marine nationale.
Pendant cette période, j’ai fait un deuxième tour du monde après celui de l’année précédente, c’est pourquoi je fais de nouveau escale à Rio ?
Je m’étais engagé pour cinq ans où j’ai débuté comme arpette à Saint Mandrier près de Toulon.
Pardon arpette terme employé pour parler des apprentis-mécaniciens.
Dans ces premiers temps de ma jeunesse, j’étais fière de porter ce pompon qui plaisait tant aux filles surtout qu’à cette époque je mesurais 1 m 83 pour 70 kilos.
J’ai perdu mon pucelage aux bas-fonds de Chicago dans une chambre lugubre, mais qui à cette époque m’est apparu comme le centre du monde.
Pour moi les noms sont évidents, je les ai vécus, Chicago pas aux U.S.A mais le quartier chaud de Toulon près du port.
À mon âge aucun souvenir, comment la fille était.
La seule chose dont je me souvienne c’est du moment où elle m’a lavé la queue.
Elle s’est couchée sur un lit a écarté ses cuisses et qu’à peine mon sexe entré en elle j’ai vidé mon sperme sans ressentir le plaisir que les branlettes m’apportaient jusqu’à ce jour que je croyais béni.
C’est pendant les vacances qui ont suivi que j’ai eu l’occasion de faire l’amour pour la première fois avec une femme bien plus vieille que moi.
Je l’avais draguée dans un club de jazz parisien.
Elle m’a emmené chez elle dans le 18e.
C’est dans son salon que j’ai connu le terme d’adultère, la femme étant mariée et son mari en voyage d’affaires.
J’adorais baiser et pendant trois jours, j’ai eu tout le loisir d’apprendre mon métier d’homme.
À la sortie de l’école comme j’étais bon élève j’ai eu la chance de partir pour un premier tour du monde sur l’aviso-escorteur Victor Schoelcher qui accompagnait la Jeanne d’Arc navire-école pour les futurs officiers.
J’ai vu de nombreuses villes qui m’ont marqué mais pas aujourd’hui où je vais rejoindre l’une de ces escales.
Parmi ces escales, il y a eu San Francisco où nous sommes restés huit jours en plein mouvement hippie.
Dans cette ville, j’ai eu l’occasion de sauter un maximum de ces filles qui prônaient l’amour libre.
C’est à ce moment que j’ai appris l’amour de groupe ou les garçons tous en fumant du hachisch regardaient leurs femmes se faire baiser par d'autres, dont moi.
« Faites l’amour, pas la guerre », nous disaient-ils.
Il est vrai que nous étions en pleine guerre du Vietnam.
C’est dans cette ville que mon futur, c’est dessiné.
J’ai appris que dans les années 1850, les maisons étant principalement en bois avaient brûlé.
C’est à ce moment-là que sont apparus les premiers systèmes d’extinction d’éventuels feux, qui auraient pu aider à éteindre ces incendies s’ils avaient existé.
À bord s’était principalement mon travail, la sécurité et l’entretien des extincteurs.
Tous naturellement quand mon contrat s’est terminé j’ai cherché un boulot dans ce milieu.
C’est en Suisse près de Neufchâtel qu’un Breton m’a embauché pour entretenir le parc que ses clients lui confiaient.
Un jour où il était parti comme le mari cocu du 18e la patronne petite femme boulotte a fait de moi son amant.
Baiser la patronne surtout qu’elle était chaude du cul était assez plaisant, mais nous avions fini par être tout sauf discret surtout que le patron était chasseur.
Je me suis bien gardé d’aller lui réclamer ma dernière paye qui a ce jour, s’il est toujours en vie doit être dans ses comptes.
Le temps passé là-bas m’avait appris pas mal de choses sur la gestion, car entre deux coups de queue madame voulait me former et m’apprendre à tenir les livres de comptes.
Je suis retourné en France et c’est dans la région parisienne que j’ai atterri.
J’étais attiré, car je sentais qu’il y avait des débouchés dans toutes ces tours qui se construisaient pour remplacer les bidonvilles ou s’entassaient les gens en mal de logement.
Nous étions très peu de temps après la guerre.
J’ai eu rapidement des clients et ayant pu faire un gros emprunt monter mon usine de fabrication de ces appareils.
CO2, poudre, eau distillée pour commencer, puis des grandes capacités qui ont fait ma fortune grâce à des innovations que j’ai apportées surtout sur le pouvoir couvrant de ces appareils.
J’ai travaillé avec les premiers chercheurs que j’ai embauchés sur des produits qui permettaient de couvrir des surfaces mouillantes bien plus grandes que celles en service sur les extincteurs de nos bateaux.
J’ai rapidement monté une unité de fabrication de ces extincteurs, ce qui m’a amené à avoir des directeurs dans chacune de ces unités.
C’est à cette époque que j’ai connu Geneviève qui devait devenir mon épouse.
Je suis resté marié presque vingt ans sans que nous ayons des enfants et que j’ai une descendance.
Je travaillais beaucoup et un jour, je me suis trouvé dans la même situation du temps ou j’étais jeune homme et que je baisais dans le 18e et en Suisse, j’étais cocu.
Mal lui en a pris, car j’ai mis un limier à ses trousses et j’ai gagné mon divorce sans aucune indemnité pour elle.
De mon côté je baisais sans aucun problème, ayant été habitué à Toulon aux moments tarifés c’est naturellement que chaque fois que je le pouvais je me payais ce qu'à notre époque, nous appelons une escorte girl.
Quand on est riche, il est enfantin après avoir glissé un gros billet dans la poche d’un réceptionniste qu’une jeune femme bien sous tous rapports et quelques fois fille de bonne famille vienne vous rejoindre dans votre lit.
Cela a été le cas à Paris ou après mon divorce j’ai fait venir chez moi l’une d’elles.
Quelle surprise de voir débarquer la fille d’un de mes gros clients avec lequel je déjeunais régulièrement.
Comme moi, il faisait valser les millions d’euros, ce qui était le cas jusqu’à tout à l’heure pour moi.
Je l’ai toujours vu avec sa fille qui était son assistante, assistante très fine, lunette noire, tailleuse stricte.
J’avais bien essayé de l’intéressé, mais elle semblait froide comme un glaçon.
Plus froide que Geneviève et pourtant la mienne sur le plan réfrigérateur était un modèle haut de gamme du moins avec moi après ce que j’ai découvert.
Nadia, c’est du moins le nom qu’elle m’avait donné faisait l’amour comme une panthère.
La première fois, c’est au moment de lui donner l’enveloppe que je l’ai reconnu.
Ses yeux maquillés et sa tenue provocante me montraient une femme, la femme dans toute sa splendeur.
J’aime le sexe, mais avec Nadia, le sexe était prouesse.
Elle aimait tous, elle voulait tous, je voulais tous, sans aucune ambiguïté je lui ai tout fait, je la payais grassement pour ça.
La sodo, se faire prendre en levrette, ma bite dans son cul pendant que mes doigts, non ma main la fistait.
Je l’ai sautée de nombreuses fois à la limite de lui demander de m’épouser et régulièrement nous mangions à la Tour d’Argent avec son papa jusqu’au jour où un jeune homme de son âge se trouvait avec eux.
C’était leur comptable qui était là dans le cadre du rachat d’une des entreprises de son père que je voulais acquérir.
En fait, c’était son fiancé et elle arborait à ce repas une magnifique bague de fiançailles.
Bien sûr, chaque fois pas un mot sur ses activités parallèles.
Femme d’affaires le jour, pute la nuit et quelle pute.
Ce fut notre dernier repas, car l’acquisition de leur entreprise je l’ai réalisé ce jour-là mettait le mot fin à notre relation de travail et par suite logique à nos rapports tarifés.
J’ai appris son mariage et la disparition de son profil sur le site Internet me permettant de la convoquer dans mon lit.
Je l’ai revu il y a peu, la panthère s’était transformée en bonne mère de famille après deux enfants.
Elle avait pris au bas mot, trente kilos et je suis persuadé que comme moi ou le mec du 18e sans oublier la Suisse son comptable de mari devait avoir rejoint la cohorte des bêtes à cornes.
Le tourbillon de ma vie m’a amené à un matin où j’ai regardé derrière moi.
J’ai vu un gouffre qui me suivait alors j’ai décidé de tourner le dos à cette masse de fric que j’amassais et de tout quitter.
Le projet de tout plaquer à soixante ans et de vivre différemment s’est fait jour, il y a quelques semaines, j’ai convoqué Pierre et on connaît, la suite je suis dans cet avion.
Rio, Copacabana, sa plage inondée de soleil au pied de mon balcon.
Chambre spacieuse avec bar où je sirote un petit whisky.
Je me remémorant les partis de football, pieds nus dans le sable mou contre ces enfants toujours les mêmes aujourd’hui qui sont devenus les rois du monde en matière de football.
J’ai joué dix minutes avant de prendre la place dans les buts malgré mes vingt ans, complétement cassé.
Des hôtels existaient déjà avec leur luxe et loin de moi à cette époque la pensée qu’un jour, je serais sur l’un de ces balcons.
J’ai refait les mêmes balades qu’à l’époque pain de sucre dans une cabine bien plus moderne que la première fois où nous passions au-dessus des gens dans leur bidonville, vivant sous nous.
Nous nous demandions avec les copains si nous arriverions au sommet.
Déception pour monter au Christ Rédempteur du Corcovado où c’est en taxi que j’accède au sommet l’attente pour monter avec le petit train étant trop long.
De là-haut, je reconnais le quai où nous étions amarrés et j’ai du mal à retrouver la boîte ou j’ai connu une petite poupée avec laquelle j’ai passé plusieurs nuits.
L’évocation de cette fille conjuguée à la préparation de mon voyage ou plutôt de ma fuite m’a ravivé bien des souvenirs, étant jeune à cette époque, qu’est-elle devenue ?
Alors que je me promenais sur la plage, m’arrêtant pour regarder des filles jouer aux bitchs volley, l’une d’elles s’arrête et viens me parler en portugais.
Dans mes relations d’affaires j’avais un Portugais et j’en connais quelques mots.
Comprenant que j’étais Français elle appelle Paola sa copine me la présentant comme une amie ayant vécu en France et parlant français.
Le soir je l’attendais devant mon hôtel où nous avons dîner avant de monter dans ma chambre.
À Paris dans la conversation, le Bois de Boulogne est plusieurs fois revenu.
Après avoir retrouvé mes moments de solitude avec une partie de sexe somment toute banale quand elle est partie, elle a sans problème accepter les dollars que j’avais dans ma main.
J’ai eu de la chance, Rio j’y suis revenu avec l’escorteur d’Escadre Vauquelin pour sa croisière en pays chaud après sa refonte et la fin de mes tours du monde avec l’escorteur de la pucelle.
Je suis retourné voir si la petite poupée était encore là, mais elle brillait par son absence.
Une femme de ma taille m'a abordé, nous étions au bar et elle m’a mis la main sur ma cuisse.
Comprenant l’invite dans ce bar à putes j’en ai fait de même pour découvrir une bosse là où j’espérais trouver une chatte.
J’ai payé les verres et au grand regret de la dame, du moins c’est l’impression qu’elle voulait donner, j’ai quitté le bar pour retourner rapidement à bord.
Courage fuyons bien qu’il faille bien de tout pour faire un monde.
Voilà, Rio, c’est certainement définitivement fini, ces moments sur la plage de Copacabana, c’est définitivement fini.
Je suis au pied de l’avion, direction Los Angeles, prochaine étape de mon tour du monde d’hommes mûrs recherchant les traces de son passé.
Hélas, dès Rio, je constate que le monde a évolué plus vite que ma petite personne et que mon âge est bien là lorsque je monte les marches me conduisant dans la carlingue de ce grand avion.
Je vous rappelle que j’ai l’intégralité des avoirs et des actifs.
Mon chargé d’affaires qui me suit depuis le début de mon aventure à l’intégralité des documents que nous avons remplie pour pouvoir vous annoncer que vous devenez propriétaires de mon affaire.
Merci messieurs-dames, je vous laisse avec lui.
Si un problème se pose Pierre à mon numéro de portable et pourra me joindre si vous avez le moindre souci.
Pierre je compte sur toi, ce numéro est à appeler seulement en cas de problème insoluble.
Mais comme promis, personne aucune autre personne.
Je me lève et je rejoins mon bureau, j’enlève mon costume et ma cravate.
J’ouvre la valise posée devant moi.
J’enfile pantalon tee-shirt et pull à col roulé et pour finir mon manteau très classique comparé à celui que je laisse sur mon porte-manteau.
Il me sera nécessaire jusqu’à l’aéroport.
J’ouvre mon coffre pour la dernière fois et je récupère mon argent et les billets achetés, il y a peu.
Un taxi me dépose et mes bagages ayant déjà été enregistré je monte à bord d’un Airbus direction Rio première étape de mon périple du retour sur vie.
Le personnel de bord est très sympathique et en quelques minutes ayant réussi à faire comprendre à mon voisin que son problème de prostate me passe au-dessus de la tête.
Je ferme les yeux et je revois défiler ma vie.
Entre 1968 années des manifestations qui devaient bouleverser notre pays et 1969, je suis avec mon pompon sur la tête, car je suis entré dans la marine nationale.
Pendant cette période, j’ai fait un deuxième tour du monde après celui de l’année précédente, c’est pourquoi je fais de nouveau escale à Rio ?
Je m’étais engagé pour cinq ans où j’ai débuté comme arpette à Saint Mandrier près de Toulon.
Pardon arpette terme employé pour parler des apprentis-mécaniciens.
Dans ces premiers temps de ma jeunesse, j’étais fière de porter ce pompon qui plaisait tant aux filles surtout qu’à cette époque je mesurais 1 m 83 pour 70 kilos.
J’ai perdu mon pucelage aux bas-fonds de Chicago dans une chambre lugubre, mais qui à cette époque m’est apparu comme le centre du monde.
Pour moi les noms sont évidents, je les ai vécus, Chicago pas aux U.S.A mais le quartier chaud de Toulon près du port.
À mon âge aucun souvenir, comment la fille était.
La seule chose dont je me souvienne c’est du moment où elle m’a lavé la queue.
Elle s’est couchée sur un lit a écarté ses cuisses et qu’à peine mon sexe entré en elle j’ai vidé mon sperme sans ressentir le plaisir que les branlettes m’apportaient jusqu’à ce jour que je croyais béni.
C’est pendant les vacances qui ont suivi que j’ai eu l’occasion de faire l’amour pour la première fois avec une femme bien plus vieille que moi.
Je l’avais draguée dans un club de jazz parisien.
Elle m’a emmené chez elle dans le 18e.
C’est dans son salon que j’ai connu le terme d’adultère, la femme étant mariée et son mari en voyage d’affaires.
J’adorais baiser et pendant trois jours, j’ai eu tout le loisir d’apprendre mon métier d’homme.
À la sortie de l’école comme j’étais bon élève j’ai eu la chance de partir pour un premier tour du monde sur l’aviso-escorteur Victor Schoelcher qui accompagnait la Jeanne d’Arc navire-école pour les futurs officiers.
J’ai vu de nombreuses villes qui m’ont marqué mais pas aujourd’hui où je vais rejoindre l’une de ces escales.
Parmi ces escales, il y a eu San Francisco où nous sommes restés huit jours en plein mouvement hippie.
Dans cette ville, j’ai eu l’occasion de sauter un maximum de ces filles qui prônaient l’amour libre.
C’est à ce moment que j’ai appris l’amour de groupe ou les garçons tous en fumant du hachisch regardaient leurs femmes se faire baiser par d'autres, dont moi.
« Faites l’amour, pas la guerre », nous disaient-ils.
Il est vrai que nous étions en pleine guerre du Vietnam.
C’est dans cette ville que mon futur, c’est dessiné.
J’ai appris que dans les années 1850, les maisons étant principalement en bois avaient brûlé.
C’est à ce moment-là que sont apparus les premiers systèmes d’extinction d’éventuels feux, qui auraient pu aider à éteindre ces incendies s’ils avaient existé.
À bord s’était principalement mon travail, la sécurité et l’entretien des extincteurs.
Tous naturellement quand mon contrat s’est terminé j’ai cherché un boulot dans ce milieu.
C’est en Suisse près de Neufchâtel qu’un Breton m’a embauché pour entretenir le parc que ses clients lui confiaient.
Un jour où il était parti comme le mari cocu du 18e la patronne petite femme boulotte a fait de moi son amant.
Baiser la patronne surtout qu’elle était chaude du cul était assez plaisant, mais nous avions fini par être tout sauf discret surtout que le patron était chasseur.
Je me suis bien gardé d’aller lui réclamer ma dernière paye qui a ce jour, s’il est toujours en vie doit être dans ses comptes.
Le temps passé là-bas m’avait appris pas mal de choses sur la gestion, car entre deux coups de queue madame voulait me former et m’apprendre à tenir les livres de comptes.
Je suis retourné en France et c’est dans la région parisienne que j’ai atterri.
J’étais attiré, car je sentais qu’il y avait des débouchés dans toutes ces tours qui se construisaient pour remplacer les bidonvilles ou s’entassaient les gens en mal de logement.
Nous étions très peu de temps après la guerre.
J’ai eu rapidement des clients et ayant pu faire un gros emprunt monter mon usine de fabrication de ces appareils.
CO2, poudre, eau distillée pour commencer, puis des grandes capacités qui ont fait ma fortune grâce à des innovations que j’ai apportées surtout sur le pouvoir couvrant de ces appareils.
J’ai travaillé avec les premiers chercheurs que j’ai embauchés sur des produits qui permettaient de couvrir des surfaces mouillantes bien plus grandes que celles en service sur les extincteurs de nos bateaux.
J’ai rapidement monté une unité de fabrication de ces extincteurs, ce qui m’a amené à avoir des directeurs dans chacune de ces unités.
C’est à cette époque que j’ai connu Geneviève qui devait devenir mon épouse.
Je suis resté marié presque vingt ans sans que nous ayons des enfants et que j’ai une descendance.
Je travaillais beaucoup et un jour, je me suis trouvé dans la même situation du temps ou j’étais jeune homme et que je baisais dans le 18e et en Suisse, j’étais cocu.
Mal lui en a pris, car j’ai mis un limier à ses trousses et j’ai gagné mon divorce sans aucune indemnité pour elle.
De mon côté je baisais sans aucun problème, ayant été habitué à Toulon aux moments tarifés c’est naturellement que chaque fois que je le pouvais je me payais ce qu'à notre époque, nous appelons une escorte girl.
Quand on est riche, il est enfantin après avoir glissé un gros billet dans la poche d’un réceptionniste qu’une jeune femme bien sous tous rapports et quelques fois fille de bonne famille vienne vous rejoindre dans votre lit.
Cela a été le cas à Paris ou après mon divorce j’ai fait venir chez moi l’une d’elles.
Quelle surprise de voir débarquer la fille d’un de mes gros clients avec lequel je déjeunais régulièrement.
Comme moi, il faisait valser les millions d’euros, ce qui était le cas jusqu’à tout à l’heure pour moi.
Je l’ai toujours vu avec sa fille qui était son assistante, assistante très fine, lunette noire, tailleuse stricte.
J’avais bien essayé de l’intéressé, mais elle semblait froide comme un glaçon.
Plus froide que Geneviève et pourtant la mienne sur le plan réfrigérateur était un modèle haut de gamme du moins avec moi après ce que j’ai découvert.
Nadia, c’est du moins le nom qu’elle m’avait donné faisait l’amour comme une panthère.
La première fois, c’est au moment de lui donner l’enveloppe que je l’ai reconnu.
Ses yeux maquillés et sa tenue provocante me montraient une femme, la femme dans toute sa splendeur.
J’aime le sexe, mais avec Nadia, le sexe était prouesse.
Elle aimait tous, elle voulait tous, je voulais tous, sans aucune ambiguïté je lui ai tout fait, je la payais grassement pour ça.
La sodo, se faire prendre en levrette, ma bite dans son cul pendant que mes doigts, non ma main la fistait.
Je l’ai sautée de nombreuses fois à la limite de lui demander de m’épouser et régulièrement nous mangions à la Tour d’Argent avec son papa jusqu’au jour où un jeune homme de son âge se trouvait avec eux.
C’était leur comptable qui était là dans le cadre du rachat d’une des entreprises de son père que je voulais acquérir.
En fait, c’était son fiancé et elle arborait à ce repas une magnifique bague de fiançailles.
Bien sûr, chaque fois pas un mot sur ses activités parallèles.
Femme d’affaires le jour, pute la nuit et quelle pute.
Ce fut notre dernier repas, car l’acquisition de leur entreprise je l’ai réalisé ce jour-là mettait le mot fin à notre relation de travail et par suite logique à nos rapports tarifés.
J’ai appris son mariage et la disparition de son profil sur le site Internet me permettant de la convoquer dans mon lit.
Je l’ai revu il y a peu, la panthère s’était transformée en bonne mère de famille après deux enfants.
Elle avait pris au bas mot, trente kilos et je suis persuadé que comme moi ou le mec du 18e sans oublier la Suisse son comptable de mari devait avoir rejoint la cohorte des bêtes à cornes.
Le tourbillon de ma vie m’a amené à un matin où j’ai regardé derrière moi.
J’ai vu un gouffre qui me suivait alors j’ai décidé de tourner le dos à cette masse de fric que j’amassais et de tout quitter.
Le projet de tout plaquer à soixante ans et de vivre différemment s’est fait jour, il y a quelques semaines, j’ai convoqué Pierre et on connaît, la suite je suis dans cet avion.
Rio, Copacabana, sa plage inondée de soleil au pied de mon balcon.
Chambre spacieuse avec bar où je sirote un petit whisky.
Je me remémorant les partis de football, pieds nus dans le sable mou contre ces enfants toujours les mêmes aujourd’hui qui sont devenus les rois du monde en matière de football.
J’ai joué dix minutes avant de prendre la place dans les buts malgré mes vingt ans, complétement cassé.
Des hôtels existaient déjà avec leur luxe et loin de moi à cette époque la pensée qu’un jour, je serais sur l’un de ces balcons.
J’ai refait les mêmes balades qu’à l’époque pain de sucre dans une cabine bien plus moderne que la première fois où nous passions au-dessus des gens dans leur bidonville, vivant sous nous.
Nous nous demandions avec les copains si nous arriverions au sommet.
Déception pour monter au Christ Rédempteur du Corcovado où c’est en taxi que j’accède au sommet l’attente pour monter avec le petit train étant trop long.
De là-haut, je reconnais le quai où nous étions amarrés et j’ai du mal à retrouver la boîte ou j’ai connu une petite poupée avec laquelle j’ai passé plusieurs nuits.
L’évocation de cette fille conjuguée à la préparation de mon voyage ou plutôt de ma fuite m’a ravivé bien des souvenirs, étant jeune à cette époque, qu’est-elle devenue ?
Alors que je me promenais sur la plage, m’arrêtant pour regarder des filles jouer aux bitchs volley, l’une d’elles s’arrête et viens me parler en portugais.
Dans mes relations d’affaires j’avais un Portugais et j’en connais quelques mots.
Comprenant que j’étais Français elle appelle Paola sa copine me la présentant comme une amie ayant vécu en France et parlant français.
Le soir je l’attendais devant mon hôtel où nous avons dîner avant de monter dans ma chambre.
À Paris dans la conversation, le Bois de Boulogne est plusieurs fois revenu.
Après avoir retrouvé mes moments de solitude avec une partie de sexe somment toute banale quand elle est partie, elle a sans problème accepter les dollars que j’avais dans ma main.
J’ai eu de la chance, Rio j’y suis revenu avec l’escorteur d’Escadre Vauquelin pour sa croisière en pays chaud après sa refonte et la fin de mes tours du monde avec l’escorteur de la pucelle.
Je suis retourné voir si la petite poupée était encore là, mais elle brillait par son absence.
Une femme de ma taille m'a abordé, nous étions au bar et elle m’a mis la main sur ma cuisse.
Comprenant l’invite dans ce bar à putes j’en ai fait de même pour découvrir une bosse là où j’espérais trouver une chatte.
J’ai payé les verres et au grand regret de la dame, du moins c’est l’impression qu’elle voulait donner, j’ai quitté le bar pour retourner rapidement à bord.
Courage fuyons bien qu’il faille bien de tout pour faire un monde.
Voilà, Rio, c’est certainement définitivement fini, ces moments sur la plage de Copacabana, c’est définitivement fini.
Je suis au pied de l’avion, direction Los Angeles, prochaine étape de mon tour du monde d’hommes mûrs recherchant les traces de son passé.
Hélas, dès Rio, je constate que le monde a évolué plus vite que ma petite personne et que mon âge est bien là lorsque je monte les marches me conduisant dans la carlingue de ce grand avion.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je suis en train d'écrire la suite, elle se fera à Los Angelès très cours séjour et après Tahiti...
J'aime beaucoup .vivement la suite