COLLECTION LE MARIN. Sa femme dépasse mes fantasmes (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION LE MARIN. Sa femme dépasse mes fantasmes (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. Sa femme dépasse mes fantasmes (1/2)
Comme de nombreuses histoires du marin, celle-ci se déroule dans les années 70.
Comme disent les conteurs d’histoires, en ce temps-là, il y avait entre Paris et Vintimille à la frontière italienne, des trains couchettes premières et aussi deuxièmes classes.
Six couchettes pour la deuxième classe et mieux loties car payantes plus chères, quatre pour les premières.
Il va sans dire qu’avec ma solde même d’engager dans ces années-là, les premières étaient réservées à des personnes plus huppées de notre société.
Afin d’embarquer à bord de ces trains, je passais régulièrement à chaque perm devant ce wagon sans me poser la question de ceux qui avaient les moyens de voyager moins serrer les uns que les autres.
Ce 2 janvier, ayant voyagé coucher dans un couloir l’an passé, pour rejoindre Toulon je voulais prendre une place assise de deuxième classe, mais hélas les quelques vagons avec couchettes étaient complets.
Je décidais de venir de bonne heure et dès la formation de mon train, sauter dans un wagon de deuxième classe et de m’installer dans le premier compartiment où une place serait libre.
Plus d’une heure d’attente, je suis loin d’être riche, mais j’ai encore le moyen de me payer un petit noir à la brasserie dans la gare à côté du kiosque à journaux.
Ce kiosque où j’ai acheté un livre de la bibliothèque bleue légèrement érotique.
Ça fait cinq minutes que je suis assis, à la terrasse couverte de la gare de Lyon lorsque l’on m’interpelle alors que discrètement je lis les premières pages de mon livre.

• Je m’excuse de vous déranger dans votre lecture, la terrasse est pleine et il y a deux chaises libres à votre table.
Pouvons-nous nous installer, nous allons prendre notre train !

Je lève la tête, un homme, la quarantaine est devant moi portant un manteau en loden beige porté par un homme ayant une petite moustache et de fines lunettes que nous disions d’intellectuel dans ces années-là.
Il est accompagné d’une grande rousse en vison et en toque de même matière se terminant par une paire de bottes noires se perdant dans le manteau.
Certainement des cuissardes protégeant du froid de ce mois de janvier.

• Jean, vous dérangez ce jeune homme qui lit tranquillement en attendant certainement l’arrivée de sa fiancée, rejoignons notre compartiment vous irez à la voiture bar s’il y en a une, boire votre café.

J’ai vu de jolies femmes dans ma vie, mais certainement plus jeune que son mari, cette femme à une classe folle.
Est-ce le début de ma lecture et les quelques lignes érotiques que je viens de lire, mais sous mon pont, mon sexe a tendance à relever la tête.

• Non, messieurs dames, installez-vous, je suis seul et vous pourrez boire votre café tranquillement, monsieur.
• Vous êtes bien aimable, mon mari est indécrottable, il est sans gêne lorsqu’il sent l’odeur d’un café.
Pourtant notre docteur lui répète que c’est très mauvais pour son cœur.

Je repousse la chaise libre à mes côtés.
La femme s’assied une jambe sortant de son manteau seulement recouvert d’une partie nue entre le haut de son corps et ses cuissardes dont elle est comme je le pensais pourvu.
Lorsque je dis nu, elle a des bas dont je vois une lisière qui doit être tenue par des jarretelles très portées par les femmes d’une certaine classe comme l’est cette dernière.

• Jean, soyez assez aimable pour offrir à ce jeune marin un autre café, c’est charmant de nous permettre de nous assoir à sa table, serveur !

Je suis fasciné par tant de beauté, qui appelle le serveur qui appelle un serveur passant non loin de nous.
Qui sont-ils, des acteurs, une actrice et son producteur, un mannequin à la mode ou tout autre personne de qualité.
Ayant apostrophé ce serveur avec ses jolies lèvres recouvert d’un rouge vif, nous sommes servis.
J’ai accepté le café surtout qu’elle croise sa jambe bien parallèle à son autre jambe, ce qui me donne le temps de voir que j’avais raison ses bas sont retenus par des jarretelles noires.

• Jeune homme, je ne vous ai pas présenté ma femme, Olivia !
Je pense que vous l’avez entendue m’appeler Jean, je suis chef d’entreprise à Nice et nous rejoignons notre villa après les fêtes de fin d’année passé chez mes beaux-parents.
• Merci pour le café, je m’appelle Christian et je viens moi aussi de finir ma perm pour les fêtes de fin d’année, je retourne à Toulon ou mon bateau est basé.
• Je vois, sur votre casquette, que vous êtes sur le Clemenceau, c’est un gros ou un petit bateau !
• Olivia, le Clemenceau est un des deux fleurons de la marine française !
C’est l’un des porte-avions avec son frère le Foch que la France possède.
• En êtes-vous le commandant ?
• Chérie, cette casquette s’appelle un bachi et le nom du bâtiment ou notre nouvel ami sert, nous montre que Christian est matelot à bord de ce très gros bâtiment de ce que l’on appelle la Royale.
• Je vois que vous connaissez bien la marine nationale, avez-vous vous-même été sur l’un de nos navires basés à Toulon ou dans tout autre port militaire français ?
• Non, j’ai été réformé, grâce je dois le dire à certains appuis, mais je gère une entreprise qui fabrique des cordages pour les bateaux en tout genre dont quelques pièces pour la marine nationale.

Un autre monde pour moi, celui des gens riches, certainement voyageant dans ces wagons de premières classes.
Quatre, ils seront quatre, que j’aimerais faire partie de ces deux autres personnes en plus de son mari, lorsqu’elle enlèvera son manteau et m’apparaitra dans une robe de grands couturiers.
Je vois Olivia se pencher vers Jean et lui parler à l’oreille, il éclate de rire et m’apostrophe.

• Ma femme souhaiterait quelle chose sans oser vous le demandez directement !
Voulez-vous lui prêter votre bachi pour qu’elle touche le pompon, elle a entendu dire que ça porte bonheur !

Je m’exécute, c’est mon bachi de sortie, assez propre pour une fois en main, elle enlève sa toque de fourrure pour après en avoir touché le pompon le mettre sur sa tête.
Si ça avait été celui qui est resté à bord, crade et ressemblant plus à une crêpe qu’un couvre tête, d’elle-même elle aurait reculé à le mettre sur sa tête.

• Jean, vous auriez votre reflex, hélas, dans nos valises envoyées chez nous, vous auriez pu faire une photo.
Je l’aurais fait tirer et je l’aurais montré à mes amis, elles seraient jalouses de colère de me voir avec un bachi et son pompon sur ma tête.

Au fond de moi, je pense à la légende qui se propage à bord des navires ou de l’école de mécanique que j’ai fréquentée à Saint Mandrier avant de rejoindre, le « Clem » comme l’on dit.
Très mal classé à la sortie, bon en pratique, mais nul en théorie, je fais partie de ceux qui lorsqu’ils apprennent trois lignes, en perde une en chemin
Bref cette légende qui veut que si une femme met sur sa tête votre couvre-chef et qu’elle touche le pompon, je touche le pompon de sa chatte dans les meilleurs délais.
Légende, hélas, certes pendant cette perm, pour le réveillon avant-hier, Danielle ma cousine m’a touché le pompon et je l’ai baisé dans sa chambre de jeune fille.
Je pensais qu’elle était vierge, mais un an plus vieille que moi, je suis rentré comme dans du beurre, me montrant qu’elle avait déjà largement connu le loup comme l’on dit.
J’aurais pu lui demander comment ça s’était fait, mais sa première année de Sorbonne devait y être pour beaucoup.
Comme c’était ma cousine et que je me voyais mal lui passer une bague au doigt, je l’ai niqué sans plus de questions.
Ce qui a marché pour ma cousine, fille du petit peuple comme l’on dit, mais une utopie lorsqu’il s’agit d’une femme de la classe d’Olivia.
Je vois mal cette femme inaccessible pour moi écarter sa chatte pour que ma verge se satisfasse en elle.
Je fais le fière lorsque je dis que j’ai sauté ma cousine, mais c’était la deuxième femme seulement dans laquelle ma bite pénétrait.
Avant elle, j’avais sauté très rapidement notre petite voisine aussi délurée que ma cousine.
Dans le quartier Germaine est considéré comme une vraie salope et une vide couille depuis qu’à 17 ans, Georges son mari et l’un de mes copains d’enfance lui a fait un gros ventre.
Ça défile chez eux lorsqu’il est absent parti en Allemagne avec son gros cul, étant chauffeur poids lourd international.
J’ai baisé ma cousine, pensant que pour cette perm, à part la veuve poignée que j’ai largement appris à pratiquer dans les chiottes de notre fleuron des mers du sud !
La chatte de Germaine était inaccessible car Georges avec ses gros bras de déménageur m’aurait enlevé la tête et mon bachi, s’il avait su que sa salope je me l’étais faite comme bien des autres dans notre quartier.
Il était lui aussi en vacances et pavoisait dans nos rues en poussant le landau, sa pute accrochée à son bras et en jouant les femmes amoureuses.
Ce n’est pas grave, je me suis vidé les couilles dans celle de Danielle.
Nul doute que si dans de prochaines perms, la chatte de cette folle du cul est disponible, monsieur tenant fermement son volant.
Je tiendrais les hanches de cette rapide sur ses manches pour la sauter en levrette.
Dans « ce temps-là » comme le disait Pierre Bachelet, hélas, trop vide disparu.
En ce temps-là nul besoin de capote pour tirer un coup, mais encore moins de cassette vidéo ou d’Internet pour apprendre la façon de baiser, il fallait le faire sur le tas.
Danielle m’a appris à me sucer, ce qui va paraitre marrant pour les jeunes mâles d’aujourd’hui ayant vu des films pornographiques vers dix ou onze ans sur leur portable.
Lorsque je parle de tas, Germaine en fait partie, elle a un cul comme une mappemonde et lorsque vous la baisez, vous pouvez dire que vous en avez dans les mains.
Je suis tiré de mes pensées, lorsque Olivia me remet mon bachi sur la tête.

• Merde, mon train pour Toulon a été formé et je vois plein de militaire se ruer vers les compartiments, je vais devoir une nouvelle fois me retrouver à dormir dans le couloir.
• Jean, après avoir payé les consommations, invitez notre jeune marin à venir avec nous dans notre wagon lit.
Serge et Alexandra nous ont appelés pour nous dire qu’ils restaient à Paris, car Serge est alité avec la grippe et c’est toi qui as leur réservation.
Nous avons deux couchettes de libre payées à notre disposition…

Les avis des lecteurs

Toujours aussi perspicace mon cher Daniel.
La c'était facile à comprendre...

Histoire Erotique
Et bien la mise en place est faite et j’ai l’impression que la formule toucher le pompon permet au marin de prendre la chatte va s’appliquer dans les couchettes 1ere classe.On attend la suite bien sur. Daniel



Texte coquin : COLLECTION LE MARIN. Sa femme dépasse mes fantasmes (1/2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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