COLLECTION LE MARIN. Sa femme dépasse mes fantasmes (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION LE MARIN. Sa femme dépasse mes fantasmes (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. Sa femme dépasse mes fantasmes (2/2)
« Fantasme » de la femme touchant mon pompon, ça aurait pu être dans cette collection « Fantasme » que mon histoire se serait retrouvée, mais « Le marin » reste « Le marin » et c’est dans celle-là que j’ai choisi de la classer.

Même si au début de notre rencontre, la magnifique femme rousse sentant le fric avec Jean son mari me parait inaccessible, lorsque Olivia demande à son mari de me faire venir voyager dans leur compartiment, ma côte remonte.
Hélas, il est sûr que si elle ôte son vison, elle gardera sa robe la protégeant de mes fantasmes, même si elle a mis mon bachi sur sa tête.

• Pardon, monsieur le contrôleur, y a-t-il un wagon bar dans ce train, nous allons monter à bord de ce wagon couchette de première classe ou nous avons notre compartiment ?
• Oui, monsieur, il est devant le vôtre, vous passerez le tambour et vous y serez, il sera ouvert jusqu’à Lyon et fermera jusqu’à Marseille ou un autre serveur viendra s’en occuper pour les cafés du matin.

En 2025, plus rien de tout ça, les trains filent comme le vent alors que dans les années qui nous intéresse, départ 21 heures et arrivées à Toulon à presque 7 heures.
Galand, j’aide Olivia à monter les trois marches pendant que Jean apostrophe le contrôleur présent sur le quai et vérifiant que l’embarquement se passe bien.
Lorsque je compare les trains du temps passé à ceux d’aujourd’hui, il y a une nette amélioration, ceux de maintenant sont de plain-pied pour arriver à monter à bord.
Quoique, les anciens aient du bon, je revois le manteau d’Olivia glisser et un bout de bas et de jarretelle apparaitre.
Comme je l’ai dit, j’ai sauté ma cousine, la tenant par ses petits seins alors que je la pilonnais en levrette.
Tout ceci après qu’elle m’ait fait connaitre une nouveauté pour moi, ce que je devais apprendre à être une fellation.
Ça va paraitre bête, mais j’ignorais que les filles suçaient nos bites pour nous aider à bander.
Je suis comme un jeune chien en chaleur, sentant pour la première fois, une femelle disposée à se laisser faire.
Surtout lorsque Olivia se retourne et de ses yeux à nul autre paraitre, me regarde d’une manière plus que tendre.
Olivia et Jean sont sans bagage sauf une petite mallette qui s’avérera pour le couple être quelques affaires pour le voyage.
Ça n’empêche qu’avant qu’elle monte je lui prends des mains en galant homme.
Même si cette belle rousse fera partie des exceptions des femmes ayant caressé mon pompon et en en restant là et sans plus en tirer de bénéfice que la vision de ces portes jarretelles noires.
Nous trouvons notre compartiment, quatre banquettes comme prévu, je pose ma petite valise noire marine sur le lit du haut.
Il serait incongru de demander à la dame de grimper la petite échelle et s’exposer à nos regards concupiscents.
Ce dont j’ignorais c’est la demande de Jean au contrôleur, il nous a suivis et prestement remonte la banquette en face de celle où j’ai placé ma valise et occasionnellement celle de Jean et Olivia se trouve aussi.
Dès qu’il est parti, Olivia enlève sa toque, ébouriffe ses cheveux dans un geste plein de grâce.

• Je vais boire un café en attendant le départ, installez-vous tranquillement, réservez-moi la couchette du haut ma mie.

Jean quitte le compartiment nous isole en refermant la porte, Olivia tend la main et ferme le verrou, je suis seule avec elle.
Comme-ci s’était naturelle, elle ouvre son manteau alors que je me suis assis sur la banquette ayant de l’espace la banquette du haut relevée.
La vision qui s’ouvre à moi me coupe le souffle.
Elle est bien en cuissardes noires montant jusqu’au-dessus du genou, mais point de robe.
Juste une pièce de lingerie noire que dans le temps j’apprendrais que cela s’appelle « une guêpière » avec à sa partie basse les fameuses jarretelles déjà évoquées dans ces lignes.
Comme je suis assis, j’ai presque à hauteur des yeux sa chatte très fournie rousse comme sa chevelure et dont ou je suis des effluves poivrés m’arrive jusqu’à mon nez.

• Christian, vous allez me faire faire le voyage jusqu’à Toulon avec ce gros manteau sur mes épaules, regardez, je vais me mettre à l’aise, faite en autant.

L’invite est trop directe, j’ôte mon caban et aussi ma vareuse, me demandant si c’est du lard ou du cochon, surtout que son mari reste même hors du compartiment à quelques mètres de nous.
Trafalgar, apparait bien caché par ma vareuse.

• Qu’est-ce que cela, mon dieu, ne me dites pas que vous allez m’attacher les mains ?
Vous voulez me violer, si je m’attendais à ça lorsque j’ai demandé à Jean de vous faire venir dans notre compartiment !
• N’est crainte Olivia, nous cachons Trafalgar de honte que la rouste que les Anglais nous ont mis Nelson avec la flotte anglaise.
• Trafalgar, je suis d’origine anglaise, mon arrière-grand-père commandait l’un des navires de Nelson, vengeons nous de la déculottée que les Français ont pris, attachez moi les mains.

Le jeu commence à m’intéresser, les fantasmes du pompon seraient-ils réels, cette magnifique rousse en l’absence de son mari me propose-t-elle des jeux bien plus érotiques, ça tenue et ses mains qu’elle me tend en attestant.
Qu’est-ce que je risque, le courroux du mari, elle a cadenassé la porte, alors que nous nous mettons à rouler, la déséquilibrant un instant, je me jette à l’eau, Trafalgar s’enroule autour de ses poignets ?
Olivia se pose sur la banquette où je suis assis, pivotent les mains attachées, j’ai appris à faire des nœuds et écarte ses cuisses me montrant l’antre de l’amour que je croyais inaccessible.

• Oui, violez moi, beau marin, je suis à vous, je suis votre chose, profitez de ce que mon mari m’a abandonné à votre concupiscence, bouffez moi la chatte mon beau marin.

Je suis loin de comprendre tout ce qu’elle dit, exemple le mot « concupiscence » fait partie de ceux dont j’ignore la signification.
Mais une chatte rousse de surcroit puant l’envie, même à moins d’un mètre me montrant que dans cette forêt, des perles d’amour sont visibles.
Je me penche et ma langue commence un travail que je n’espérais pas ou plus.
Ce qui coule de la chatte d’Olivia est bien plus épicé que ce que j’ai léché de celle de ma cousine Danielle.
D’un coup, sous l’effet d’une jouissance qui l’atteint, elle serre ses jambes de chaque côté de mes oreilles.
Mes tympans enregistrent les battements du cœur de ma belle, il s’accélère plus la jouissance se propage en elle, j’entends même l’orgasme qui la traverse, avant de redresser ma tête, ses jambes se détendent.

• Bien jouée, Christian, elle a pris son pied, tu as entendu comme elle a gueulé sous ta langue.

Des voix tombées du ciel, non, une seule voix au-dessus de ma tête.
Je tourne la mienne, Jean est là assis sur la deuxième couchette supérieure.

• Sois sans crainte jeune marin, j’aime regarder ma femme se faire prendre par d’autres hommes, je suis candaulisme.
C’est le contrôleur qui m’a ouvert avec sa clef, je me suis installé sans vous déranger.
À la gare de Lyon, chaque fois que nous prenons le train, nous cherchons celui qui me plaira, mais surtout celui qui lui plaira.
Nous t’avons vu, tu nous as plu et par chance la terrasse était pleine avec deux places à ta table.
Tu comprends pourquoi tu es là, sachant qu’un marin avec sa petite valise va surement dans le sud.
En plus, lorsqu’elle a placé ton bachi sur sa tête, connaissant la légende qui veut qu’une femme le portant, appartiendra à celui qui le porte, je savais que tu étais le garçon de la situation.
Lorsque tu as parlé de dormir dans un couloir, je savais que je prendrais mon plaisir à te voir la baiser.

• Chéri, j’adore que vous donniez des explications à notre ami, mais vous nous coupes dans nos élans, Christian, je suis votre prisonnière, sautez moi !

Beaucoup de choses m’interpellent, principalement « candaulisme. »
Il me faudra plein de lecture de livres de sexe pour apprendre que ce mot est lié à ces hommes ou plus rarement ces femmes, qui prennent leur pied en voyant leur compagne se faire défoncer par un autre.
La chatte d’Olivia, qu’elle tend vers moi m’empêche de me poser plus de questions.
Je baisse mon pont, sortant ma queue tendue à mort et qui est sans plus de protection que la chatte de cette salope en bas de sa guêpière qu’elle a conservée.
Ses seins reposant sur la demi-lune formée par le soutien-gorge, je les prends dans ma bouche l’un après l’autre, la faisant trembler d’attente.

• Christian, détache là et plonge ton sexe en elle !

Je suis dans la marine, j’aime recevoir des ordres, mais en petite dose.
J’attrape Olivia, je la retourner ses mains toujours emprisonnées par Trafalgar et je la place en levrette, là encore nom que j’ai appris avec Danielle, c’est aussi sa position préférée.
Son cul se trouvant à bonne hauteur, mon sexe comme une torpille tirée par un patrouilleur, va droit au but dans le fond de cette belle pouliche que je viens de maitriser.
Elle veut de la marine en elle lorsque je la prends par les hanches lui donnant de vigoureux coups de pines au fond de son vagin, Trafalgar est vite vengé.
Son ancêtre doit se retourner dans sa tombe lorsqu’à plusieurs reprises, elle hurle de plaisir dans ce train et la nuit étant complètement venue.
Dans le noir presque complet, seule la liseuse près de Jean étant allumée par le cocu consentant, nous permet de voir le visage décomposé de la belle dame ayant perdu complètement la notion du temps sous ma bite.
Je me recule sans avoir déchargé, au loin je vois un autre navire de la royale Britannique que je vais me faire un plaisir de le couler ayant repris quelques forces avant le bout de ce voyage.
Trois fois, je l’honore, jusqu’à ce que je sois sûr que toute la flotte de la perfide Albion soit entièrement décimée.
Trois fois, avant qu’elle monte le pavillon blanc et que sur le dernier navire pris de main de maître, j’abord le pavillon noir de la flibuste.

« Toulon, Toulon, attention à la fermeture des portes, attention au départ. »

Voilà comment après mettre remis en tenue réglementaire, on laisse nos deux amis dormir.
Elle sur la banquette et lui allongée sur celle du dessus, restée ouverte.
L’on descend à Saint-Raphaël, mes amis endormis que je n’ose réveiller pour les remercier de cet excellent voyage qui restera dans ma mémoire.
Attente d’un train pour retourner à Toulon puis à bord ou mon retard me vaut un passage par la case prison pour quinze jours et huit tours de corvées.
J’ai le temps de me masturber en repensant au cul de cette rousse seul secteur ou mes torpilles sont restées hors de porter de mes tires.
J’ai vérifié avec succès, le dicton sur le bachi et le pompon rouge qu’une femme porte contre son pompon roux pour celui d’Olivia et le candaulisme de Jean.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Parfait très belle suite attendue certes mais légèrement surprenante. Daniel

Histoire Libertine
Vous boudez toujours Christian !!!!



Texte coquin : COLLECTION LE MARIN. Sa femme dépasse mes fantasmes (2/2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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