COLLECTION LES CHIENNES. À bicyclette (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-06-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LES CHIENNES. À bicyclette (1/2)
« Quand on s’en va de bon matin, à bicyclette.
Y avait Ferdinand et puis Suzette. »
C’est ce que nous chantons avec Suzette sur nos bicyclettes depuis que, nous avons quitté la ferme ou ses parents préparent avec mes parents notre mariage.
Oui, demain nous nous marions après onze mois à nous fréquenter.
Suzette jolie blonde, poitrine C quelque chose.
Je rigole en disant ça, les sous-tifs des gonzesses, je serais vulgaire, je dirais que je m’en bas la queue.
Dans le même ordre d’idée on pourrait dire qu’elle en a une belle paire que j’aime avoir bien en main.
Je parais grivois comme cela, mais dans ma tête seulement alors que je suis plutôt du genre timide.
Si toutes les filles que j’ai croisées, sans oser leur adresser le moindre mot le savaient, dans mon cerveau j’en fais des chiennes lubriques.
Depuis que j’ai rencontré Suzette au bal de fin d’année à la fac, je lui ai fait l’amour dans ma chambre d’étudiant, même si c’est toujours elle qui mène le bal.
Au réel, car dans ma tête, j’arrive même à l’attacher à la barre serrer dans la porte de la salle de bains et qui me permet d’avoir une musculature à la Schwarzenegger.
Il va sans dire, que si je fais cent tractions tous les matins, c’est de façon très naturelle et sans beaucoup de fioritures que nous faisons l’amour avec Suzette.
La seule chose qu’elle me fait et que j’ignorais qu’il est possible qu’une femme vous fasse, c’est de magnifique fellation en gorge profonde.
Gorge profonde, c’est même elle qui m’a dit que cela s’appelait ainsi quand je rentre jusqu’au fond de sa gorge.
J’ai bien vu que lorsque je suis venu en elle, que quelqu’un était déjà passé par là, mais étant puceau, je me suis bien gardé de faire la moindre remarque de peur de rester en plan avec ma verge tendue au maxi.
Jusqu’à cette soirée où je l’ai couché sur mon lit.
Voilà, je recommence, où elle s’est couchée sur mon lit, la seule chose que je savais faire avec ma bite, s’était de m’astiquer et de faire sortir mon sperme en geysers jouant à aller de plus en plus loin.
Ce soir-là, j’ai bien aimé ce que m’a dit Suzette.
• Dis donc, tes draps ont dû voir de nombreuses salopes au nombre de traces de sperme que je vois dessus.
On change les draps quand on invite une jeune femme à venir boire un dernier verre.
C’est vrai, c’est moi qui ai un peu insisté pour venir boire ce dernier verre.
J’ai beaucoup aimé qu’elle m’offre un dernier verre chez moi et quand il y a un mois, elle m’a demandé de l’épouser, comment aurais-je fait pour lui dire non, j’en étais bien incapable.
Alors quand je vois ses fesses se tortiller sur sa selle, je l’ai suivi quand elle m’a dit de prendre nos serviettes de bain et de la suivre avec des vélos pris dans la remise.
Je la vois se retourner et me dire.
• Attention à droite, prenons ce chemin de terre.
Tu vas voir, il y a un petit lac avec une petite plage peu connue où nous serons tranquilles, nous allons nous baigner.
En sous-entendu dans ma tête connaissant bien la coquine, nous baigner nus étant venue sans le moindre maillot, seulement avec des serviettes de bain.
C’est bien ça, 300, 400 mètres et nous longeons un petit lac où des grues pèchent et s’envole à notre approche.
Un terrain en pente douce avec de l’herbe et un passage entre deux espaces de nénuphars.
Des grenouilles sautent à l’eau en croassant.
Nous descendons de vélos et nous les garons en les appuyant sur un arbre de la petite forêt que nous traversions.
Comme je le pensais Suzette étale sa serviette et sans s’inquiéter plus que cela, elle se dénude.
• Fais pareil, viens, on va se baigner.
Elle court vers l’eau magnifique dans sa nudité blonde.
J’en fais de même, mais je rentre sans courir, depuis que je suis en âge de nager, maman m’a appris à faire attention à l’hydrocution lorsqu’il fait chaud comme aujourd’hui.
Elle vient vers moi et m’asperge avec son pied, m’offrant la vision de sa chatte à chaque mouvement de sa jambe.
L’eau est froide, m’empêchant de bander.
C’est à ce moment que nous entendons un bruit de voiture.
Débouchant du virage permettant de découvrir le lac, un pick-up rouge débouche.
Nous voyant ou voyant nos vélos et nos affaires, il s’arrête.
Une fille et deux mecs en descendent, ce sont bien nos vélos qui les intéressent.
Ils ont un type gitan, il y en a beaucoup dans ces régions, ils remontent des Sainte-Marie de la mer et essayent de faire des travaux dans nos maisons pour mieux nous détrousser.
• Que faite vous, laisser nos vélos, nous devrons faire 10 kilomètres à pied pour rentrer chez nous.
Pas nos affaires, 10 kilomètres à poils.
Suzette est sortie et s’approche du trio.
• Soyez sympa, on peut s’arranger, mademoiselle, ces garçons sont vos amis, on pourrait partager.
• Les gars, vous entendez, cette jeune pute, m’appellent, mademoiselle, prenez-en de la graine.
• Arrête de nous casser les couilles Mado, que nous donnez-vous en échange de nos vélos que nous allons monter à l’arrière de notre pick-up.
• Si cette mademoiselle est d’accord, je pourrais vous faire une petite fellation.
• Mado, c’est notre sœur, qu’en penses-tu Léo, tu aimerais qu’elle nous suce pour que nous lui offrions nos vélos !
C’est incroyable, Suzette s’approche alors que je suis dans l’eau jusqu’aux genoux grelottant de froid.
• Allez y, faite vous sucer, je vais m’occuper de son copain.
Eh ! toi, viens là.
Je sors de l’eau, Mado aussi brune que Suzette est blonde, porte une jupe de gitane avec un débardeur bien rempli.
Je la rejoins.
Suzette a déjà sorti les deux verges de leur pantalon de travail et s’est agenouillée.
Incroyable, celle que je vais épouser demain, commence à les sucer à tour de rôle en les masturbant sans s’inquiéter de ma présence.
• Alors beau gosse, qu’est-ce que cela te fait de voir ta salope de copine sucer les bites de mes frères.
Elle avance sa main vers mon sexe.
Je l’en empêche.
• Non, nous allons nous marier demain.
• Les gars, vous entendez ça la salope qui vous suce va se marier demain.
Faites voir à son fiancé la salope qu’il va épouser demain.
Elle me quitte, pour s’approcher de ses frères et de Suzette.
Elle lui passe la main sur ses seins.
La salope, comme elle l’a dit, la salope tourne sa tête et offre sa bouche à la jeune gitane qui lui rend son baiser.
Je m’écroule sur ma serviette, fascinée par ce que je vois quand l’un des frères baisse son pantalon et s’allonge à trois mètres de moi.
Je devrais me lever et les défier, mais malgré ma carrure, je suis pétrifié.
Je suis un tigre de papier, j’ai entendu dire que ces garçons savent jouer du coureau aussi je décide de rester sans bouger.
• Eh ! toi comment tu t’appelles ?
• Miguel !
• Viens m’enculer, prenez-moi tous les deux.
J’ai bien entendu, la future mariée veut se faire enculer et pendant que je vois son sexe pointer l’anus de ma promise, je saisis mon short et mes baskets.
Rapidement je me lève et bravant toute peur, je franchis la courte distance qui me sépare de mon vélo.
Je cours à son côté voulant m’écarter du trio qui s’occupe de ma fiancée.
• Merde, il se barre, il va aller prévenir les flics.
• Continuez les gars, je vais jouir, laissez-le, il va courir pleurer dans les bras de maman et se plaindre que je suis une mauvaise fille.
Demain, je le connais, je vais me laisser mettre un coup avant la cérémonie et...
Je suis trop loin pour entendre la fin, mais en moi, tel les héros qui fendent l’armure, une transformation s’opère.
Je me retourne, personne derrière moi.
Je pose mon vélo, j’enfile mon short et mes baskets et je pars pédalant le plus vite possible.
Le tenant du record de l’heure à qu’à bien se tenir, je suis à la ferme essoufflée et crevée.
Mes parents et mes beaux-parents sont dans la grange, mettant le couvert.
Une quarantaine d’invités pour eux, seulement papa, maman et moi de notre côté pour mon mariage.
• Papa, maman, aller faire vos valises on rentre à Paris...
Y avait Ferdinand et puis Suzette. »
C’est ce que nous chantons avec Suzette sur nos bicyclettes depuis que, nous avons quitté la ferme ou ses parents préparent avec mes parents notre mariage.
Oui, demain nous nous marions après onze mois à nous fréquenter.
Suzette jolie blonde, poitrine C quelque chose.
Je rigole en disant ça, les sous-tifs des gonzesses, je serais vulgaire, je dirais que je m’en bas la queue.
Dans le même ordre d’idée on pourrait dire qu’elle en a une belle paire que j’aime avoir bien en main.
Je parais grivois comme cela, mais dans ma tête seulement alors que je suis plutôt du genre timide.
Si toutes les filles que j’ai croisées, sans oser leur adresser le moindre mot le savaient, dans mon cerveau j’en fais des chiennes lubriques.
Depuis que j’ai rencontré Suzette au bal de fin d’année à la fac, je lui ai fait l’amour dans ma chambre d’étudiant, même si c’est toujours elle qui mène le bal.
Au réel, car dans ma tête, j’arrive même à l’attacher à la barre serrer dans la porte de la salle de bains et qui me permet d’avoir une musculature à la Schwarzenegger.
Il va sans dire, que si je fais cent tractions tous les matins, c’est de façon très naturelle et sans beaucoup de fioritures que nous faisons l’amour avec Suzette.
La seule chose qu’elle me fait et que j’ignorais qu’il est possible qu’une femme vous fasse, c’est de magnifique fellation en gorge profonde.
Gorge profonde, c’est même elle qui m’a dit que cela s’appelait ainsi quand je rentre jusqu’au fond de sa gorge.
J’ai bien vu que lorsque je suis venu en elle, que quelqu’un était déjà passé par là, mais étant puceau, je me suis bien gardé de faire la moindre remarque de peur de rester en plan avec ma verge tendue au maxi.
Jusqu’à cette soirée où je l’ai couché sur mon lit.
Voilà, je recommence, où elle s’est couchée sur mon lit, la seule chose que je savais faire avec ma bite, s’était de m’astiquer et de faire sortir mon sperme en geysers jouant à aller de plus en plus loin.
Ce soir-là, j’ai bien aimé ce que m’a dit Suzette.
• Dis donc, tes draps ont dû voir de nombreuses salopes au nombre de traces de sperme que je vois dessus.
On change les draps quand on invite une jeune femme à venir boire un dernier verre.
C’est vrai, c’est moi qui ai un peu insisté pour venir boire ce dernier verre.
J’ai beaucoup aimé qu’elle m’offre un dernier verre chez moi et quand il y a un mois, elle m’a demandé de l’épouser, comment aurais-je fait pour lui dire non, j’en étais bien incapable.
Alors quand je vois ses fesses se tortiller sur sa selle, je l’ai suivi quand elle m’a dit de prendre nos serviettes de bain et de la suivre avec des vélos pris dans la remise.
Je la vois se retourner et me dire.
• Attention à droite, prenons ce chemin de terre.
Tu vas voir, il y a un petit lac avec une petite plage peu connue où nous serons tranquilles, nous allons nous baigner.
En sous-entendu dans ma tête connaissant bien la coquine, nous baigner nus étant venue sans le moindre maillot, seulement avec des serviettes de bain.
C’est bien ça, 300, 400 mètres et nous longeons un petit lac où des grues pèchent et s’envole à notre approche.
Un terrain en pente douce avec de l’herbe et un passage entre deux espaces de nénuphars.
Des grenouilles sautent à l’eau en croassant.
Nous descendons de vélos et nous les garons en les appuyant sur un arbre de la petite forêt que nous traversions.
Comme je le pensais Suzette étale sa serviette et sans s’inquiéter plus que cela, elle se dénude.
• Fais pareil, viens, on va se baigner.
Elle court vers l’eau magnifique dans sa nudité blonde.
J’en fais de même, mais je rentre sans courir, depuis que je suis en âge de nager, maman m’a appris à faire attention à l’hydrocution lorsqu’il fait chaud comme aujourd’hui.
Elle vient vers moi et m’asperge avec son pied, m’offrant la vision de sa chatte à chaque mouvement de sa jambe.
L’eau est froide, m’empêchant de bander.
C’est à ce moment que nous entendons un bruit de voiture.
Débouchant du virage permettant de découvrir le lac, un pick-up rouge débouche.
Nous voyant ou voyant nos vélos et nos affaires, il s’arrête.
Une fille et deux mecs en descendent, ce sont bien nos vélos qui les intéressent.
Ils ont un type gitan, il y en a beaucoup dans ces régions, ils remontent des Sainte-Marie de la mer et essayent de faire des travaux dans nos maisons pour mieux nous détrousser.
• Que faite vous, laisser nos vélos, nous devrons faire 10 kilomètres à pied pour rentrer chez nous.
Pas nos affaires, 10 kilomètres à poils.
Suzette est sortie et s’approche du trio.
• Soyez sympa, on peut s’arranger, mademoiselle, ces garçons sont vos amis, on pourrait partager.
• Les gars, vous entendez, cette jeune pute, m’appellent, mademoiselle, prenez-en de la graine.
• Arrête de nous casser les couilles Mado, que nous donnez-vous en échange de nos vélos que nous allons monter à l’arrière de notre pick-up.
• Si cette mademoiselle est d’accord, je pourrais vous faire une petite fellation.
• Mado, c’est notre sœur, qu’en penses-tu Léo, tu aimerais qu’elle nous suce pour que nous lui offrions nos vélos !
C’est incroyable, Suzette s’approche alors que je suis dans l’eau jusqu’aux genoux grelottant de froid.
• Allez y, faite vous sucer, je vais m’occuper de son copain.
Eh ! toi, viens là.
Je sors de l’eau, Mado aussi brune que Suzette est blonde, porte une jupe de gitane avec un débardeur bien rempli.
Je la rejoins.
Suzette a déjà sorti les deux verges de leur pantalon de travail et s’est agenouillée.
Incroyable, celle que je vais épouser demain, commence à les sucer à tour de rôle en les masturbant sans s’inquiéter de ma présence.
• Alors beau gosse, qu’est-ce que cela te fait de voir ta salope de copine sucer les bites de mes frères.
Elle avance sa main vers mon sexe.
Je l’en empêche.
• Non, nous allons nous marier demain.
• Les gars, vous entendez ça la salope qui vous suce va se marier demain.
Faites voir à son fiancé la salope qu’il va épouser demain.
Elle me quitte, pour s’approcher de ses frères et de Suzette.
Elle lui passe la main sur ses seins.
La salope, comme elle l’a dit, la salope tourne sa tête et offre sa bouche à la jeune gitane qui lui rend son baiser.
Je m’écroule sur ma serviette, fascinée par ce que je vois quand l’un des frères baisse son pantalon et s’allonge à trois mètres de moi.
Je devrais me lever et les défier, mais malgré ma carrure, je suis pétrifié.
Je suis un tigre de papier, j’ai entendu dire que ces garçons savent jouer du coureau aussi je décide de rester sans bouger.
• Eh ! toi comment tu t’appelles ?
• Miguel !
• Viens m’enculer, prenez-moi tous les deux.
J’ai bien entendu, la future mariée veut se faire enculer et pendant que je vois son sexe pointer l’anus de ma promise, je saisis mon short et mes baskets.
Rapidement je me lève et bravant toute peur, je franchis la courte distance qui me sépare de mon vélo.
Je cours à son côté voulant m’écarter du trio qui s’occupe de ma fiancée.
• Merde, il se barre, il va aller prévenir les flics.
• Continuez les gars, je vais jouir, laissez-le, il va courir pleurer dans les bras de maman et se plaindre que je suis une mauvaise fille.
Demain, je le connais, je vais me laisser mettre un coup avant la cérémonie et...
Je suis trop loin pour entendre la fin, mais en moi, tel les héros qui fendent l’armure, une transformation s’opère.
Je me retourne, personne derrière moi.
Je pose mon vélo, j’enfile mon short et mes baskets et je pars pédalant le plus vite possible.
Le tenant du record de l’heure à qu’à bien se tenir, je suis à la ferme essoufflée et crevée.
Mes parents et mes beaux-parents sont dans la grange, mettant le couvert.
Une quarantaine d’invités pour eux, seulement papa, maman et moi de notre côté pour mon mariage.
• Papa, maman, aller faire vos valises on rentre à Paris...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellent, vivement la suite.
J'espère que ça va être chaud.
J'espère que ça va être chaud.
Il pédale vite. LOL