COLLECTION LES CHIENNES. Ça va faire mal (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION LES CHIENNES. Ça va faire mal (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-08-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LES CHIENNES. Ça va faire mal (2/2)
Bonjour à tous, je m’appelle Christian, je suis avocat à Nice.
Des yeux derrière un nikab, 196 chèvres et 4 brebis et je viens de tirer le gros lot.
C’est à Meknès au Maroc que je convole moi le célibataire endurci.
Cérémonie dans la pure tradition de ma belle-famille.
200 chèvres pour qu’elle devienne ma femme et environ autant d’invités à croire que toute la ville était là.
Un moment difficile, la séparation des deux sœurs.

- Nouzha nous te promettons, si tu as le moindre souci nous viendrons t’aider si tu décides de quitter cet affreux bonhomme.

C’est ainsi que nous prenons la route pour prendre l’avion qui doit nous mener à Nice.
J’ai une bague au doigt mais pour autant c’est toujours une vierge que j’ai à mon côté dans l’avion.
Dans son pays, j’ai vite compris qu’il valait mieux être sage que de jouer les Casanova pendant le temps de nos fiançailles.
Le temps que je passe en France pendant que tout s’est préparé là-bas m’y a aidé.
J’ai fait les demandes pour qu’une arrivée légale ait lieu, elle a une autorisation de séjour.

Le vol est court et je retrouve ma voiture de sport garé à Nice Côte d’Azur.
Dans ma villa tout est près même ses bagages partit la veille de nos noces.

- Christian ta villa est magnifique, tu vas voir comme je vais l’entretenir, tu n’auras qu’a te louer de m’avoir épousé.
Mais chéri, je suis frustrée.
- Moi aussi.

C’est après ces mots que je la prends dans mes bras, sa bouche est douce et suave, ma main rejoint son sein qu’elle caresse.
Comme je l’avais pressenti, ils sont petits mais très fermes, presque juvéniles.
Pour la cérémonie et depuis que je la connais et pour notre mariage elle a toujours eu un voile sur la tête.
Je vois le droit du mari, je le détache, ses cheveux noirs descendent jusqu’à ses épaules.

- Radia, ici en France, tu as le droit de sortir la tête découverte, avec moi tu n’as aucune contrainte.
- Christian, je veux faire mes prières as-tu une petite pièce où je pourrais prier ?
- On va te trouver ça mais avant je pense que j’ai envie d’autres choses que de prières.

Pour la noce elle était en tenue traditionnelle du Maroc.
Pour notre voyage elle est en jean et basket blanche avec un chemisier que je détache après avoir libéré ses cheveux.

C’est drôle, des femmes, combien ais-je pu en dénuder ?
Parmi elles, il y a eu des pucelles.
Des centaines certainement depuis que j’ai été dépucelé comme souvent par les jeunes garçons par une voisine.
Mais qui, une autre pucelle voire la tante d’un de mes parents.
Oui, Luc mon copain ayant une clinique de chirurgie esthétique non loin de chez moi l’a fait avec une pute lever derrière le vieux port dans notre ville de naissance Marseille.
Moi, je suis dans l’incapacité de dire le genre de fille ou j’ai planté mon bâton comme un drapeau en haut de l’Everest pour ceux qui y arrivent.
Pas de méprise, je ne suis pas alpiniste donc l’Everest on oublie.
Ça s’est fait le soir de mon bac reçu avec mention bourrée mais capable de bander dans le con d’une femme peut être la mère de mon pote qui montait du sous-sol pour voir si tout allait bien.
Si c’est elle, le mari regardait la télé dans la pièce leur servant de cuisine d’été.

Revenons à ma femme, vous allez rire, je suis intimidé, je prends soin à ce que chaque moment que vit Radia soit gravé au plus profond d’elle alors que les autres pucelles je les ais sabré à la hussard.
Bref, je la pénètre et quand ma bite sort, le sang qui la couve me montre que mes 196 chèvres et 4 brebis ont été investis pour mon plus grand plaisir.

Nous allions partir pour les Seychelles en voyage de noces quand je reçois un coup de fil de mon beau-père.

- Pouvez-vous venir me voir.

Je prends le premier avion avec Radia.
Revoir son père c’est émouvant pour une jeune femme qui a quitté ses racines pour suivre celui à qui elle a été mariée sans lui demander son avis.
Je suis sollicité pour gérer dans les meilleures conditions le divorce de Nouzha son barbu de mari l’ayant frappé.
Des constatations ayant été faites à l’hôpital il m’est facile de gagner cette affaire, même si je suis avocat en droit des affaires et non pas des divorces.

- Christian, Nouzha a peur de représailles par les amis de son mari, pouvons-nous l’emmener à Nice vivre avec nous ?
- Comment refuser ta demande, quelle prépare ses valises ?
Mais il est trop tard pour notre voyage de noces.
- Ta maison et la France, c’est déjà un voyage de noces mon chéri.

C’est ainsi que venus à deux c’est à trois que nous repartons.
Nous installons Nouzha dans la chambre d’amis.
C’est un vendredi que tout a basculé.
Je préparais une plaidoirie dans le transat de ma piscine recouvert d’un maillot de bain.
Je le fais souvent en été même si mes bureaux sont climatisés, je possède une piscine autant en profiter.
Ça me permet de rester bien bronzer une partie de l’année.
Du temps où j’étais cavaleur, ma belle gueule bien bronzée les attirait comme le papillon est attiré par la lumière.
Radia ma femme a pris elle aussi ses habitudes avant que sa sœur n’arrive.

Nouzha arrive en monokini.
Elle s’approche de moi.
Radia est partie aux cours privés de Français où je l’ai inscrite ?
Elle veut perfectionner notre langue.

- Christian, je suis sûr que ma sœur ne sait pas satisfaire un homme comme toi, elle est trop innocente.

Radia se perfectionne en Français, Nouzha a tous à apprendre, elle parle en arabe.
Joignant le geste à la parole avant que je n’aie le temps de réagir, elle sort ma queue pour directement la faire disparaître dans sa bouche.
Me masturbant elle me fait bander et devient ma maîtresse sans que je n’aie le temps de réagir.

Il y a quinze jours que je trahis mon serment de mariage qui plus est avec la sœur de celle à qui j’avais promis fidélité.
Chaque fois que Radia s’absente, soit pour ses cours de français ou ses cours d’auto-école, souhaitant qu’elle soit autonome, vivant à quelques kilomètres de la ville, Nouzha vient se faire sauter me donnant énormément de plaisir.
C’est vrai que ma femme n’est pas très experte à jouer à la bête à deux dos alors que sa sœur a été bien formée même si son mari était un salopard.
Aujourd’hui elle est allée à son cours d’auto-école.
La voiture est passée la chercher et dès que nous ne l’entendons plus Nouzha me rejoint à la piscine entièrement dénudée.

- Répudie ma sœur, je vais te donner aujourd’hui le meilleur de moi-même et le meilleur qu’une femme puisse donner à un homme.
Mon cul, sodomise-moi.
Celui que j’ai quitté était un salopard qui ignorait jusqu’à ou il pouvait aller dans la brutalité.
Laisse-moi faire.

Ma queue a disparu la première fois dans sa bouche.
Là elle m’enjambe dégage mon sexe qui bande déjà et me guidant en elle, elle s’empale.
Son anus resserré au début me montre que contrairement à sa sœur que j’ai jusqu’alors respectée est fait pour être perforé.

- Nouzha que fais-tu avec mon mari, et il t’encule par-dessus le marché.

Avant que je n’aie le temps de faire quoi que ce soit, ma femme prend sa sœur par les cheveux à la faire tomber par terre du transat.
J’entends un cri, cheveux ou cheville que je vois mal tomber au sol.
Malgré cela Nouzha reprend du poil de la bête, elle attrape sa sœur par la jambe et lui plante ses crocs dans la cuisse, la labourant avec ses ongles.
Elle aussi se met à hurler.
J’assiste impuissant à se pugilat entre femmes qui plus est des sœurs.
Quand j’étais jeune, pour mon brevet mes parents m’avaient offert une jolie petite chienne labrador.
Un jour de nouveau voisin sont venu s’installer, eux aussi avaient la même chienne labrador sable.
Les deux femelles ne pouvaient pas se voir.
Un jour j’ai entendu crier, c’était la voisine ma chienne avait arraché le grillage et s’est ruée sur son ennemi.
Deux chiennes voulant dominer l’autre.
C’est ce que j’ai devant moi, Radia et Nouzha se battant comme les chiennes ce jour-là.
C’est moi qui ai mis ma main entre les deux bêtes me prenant un coup de croc au passage.
Dans ces années-là, on m’avait dit que les séparer c’était une erreur, l’une d’elles aurait gagné l’autre devenant soumise.
Là, j’ai affaire à deux femmes des êtres humains même si elles se comportent comme des chiennes en chaleur.
Je me lève, elles sont déjà dans un état lamentable.
Je mets ma main entre les deux, par chance elles ne me mordent pas.
J’en tiens une par le cou et l’autre par l’oreille, elles me donnent des coups de pied que j’esquive.
J’en enferme une dans la cabine de réglage de ma piscine, l’autre dans l’abri de jardin où on range la tondeuse.
J’appelle Luc qu’il m’envoie une ambulance.

- Luc, rends-moi service, garde mes furies pendant trois à quatre jours, je vais régler le problème.

Les filles enfermées dans des chambres séparées, l’une souffre d'une cheville foulée avec contusions multiples.
L’autre luxation de l’épaule et morsure demandant des points sans compter les cheveux trouvés au bord de ma piscine.
Je rejoins Nice Côte d’Azur et je prends le premier avion pour le Maroc et Meknès.

Je vais chez le chevrier.

- Entrez, venez prendre un thé, je vous attendais.
- Vous êtes visionnaire, déjà la première fois, vous m’avez fait comprendre que vous saviez déjà je voulais des chèvres.
- Ça c’est le téléphone arabe.
Le jeune garçon que vous aviez rencontré près de chez celle qui vous avait fait chavirer l’a dit à cinq copains qui eux-mêmes l’ont dit à d'autres copains.
Avant que vous arriviez, tous Meknès était au courant, moi aussi.
- Mais aujourd’hui, je n’ai dit à personne que je venais vous voir.
- C’est vrai, mais là c’est un proverbe marocain qui m’a prévenu de votre visite.
Quand vous avez épousé votre femme et que vous avez permis le divorce de sa sœur, le proverbe dit que vous allez devant une situation inextricable sauf faire ce que vous êtes venu faire.
La première fois, je n’avais que 196 chèvres, j’en ai 200 à votre disposition légèrement plus chère, il faut bien vivre.
- Et vous savez qu’elles ne sont que deux.
- Je comprends pourquoi vous gagnez vos procès.

Je vois mon beau-père qui accepte mes chèvres et qui me promet de faire le nécessaire pour que ma bigamie soit reconnue malgré le changement de loi de 2004.
Il y arrive et comme la première fois je repars en France avec mes deux épouses.

Il y a deux jours que nous sommes rentrés, j’ai fait livrer un transat plusieurs places.
Nous sommes allongées nues, Radia veut prendre ma queue.

- Radia, papa a eu 196 chèvres pour toi, moi il en a reçu 200 je suis donc la première favorite de Christian.

Je sens Radia se raidir, je veux éviter qu’il y ait du sang sur le bord de ma piscine.

- Mes chéries, vous voyez la pelouse derrière nous, si vous recommencez à vous chamailler pour ma bite, je fais installer un bac de boue.
Chaque fois que vous m’emmerderez vous ferez un combat dans la boue, je vous regarderais lutter.
Radia, je bande pour vous deux.
Viens t’empaler sur ma queue, je vais te sodomiser et toi Nouzha amènes ta chatte sur ma bouche que je te fasse jouir par un cunnilingus.

Je prononce ces mots en pleine colère, mes femmes se calment et suivent mes injonctions.

196 ou 200 chèvres rapidement elles vont apprendre qui est le mâle dominant dans notre trio.

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