COLLECTION LES CHIENNES. Attaché au radiateur (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION LES CHIENNES. Attaché au radiateur (1/1)
Avec Radia, nous avons fait le tour du sexe en couple.
Radia est d’origine marocaine, il a fallu que je rame pour l’avoir mais ça y est c’est fait.
Elle a beaucoup d’imagination, demain c’est mon anniversaire, elle me promet une surprise.
À l’heure dite, par chance c’est un samedi, alors que je regarde un match du tournoi des 6 nations de rugby, mais les puristes le savent, elle prépare la table avec les chandeliers et la vaisselle de fête avant de se mettre aux fourneaux.
C’est un cordon bleu, ça fait partie de ses qualités, j’ai hâte de voir sa surprise.
Elle se prépare se pomponnant, mettant un soutien gorges à balconnet sur son chemisier translucide me laissant voir ses pointes de seins.
String sur jupe fendue le tout avec des bas noir et des chaussures à talons avec lesquelles je m’interroge comment elle peut tenir debout.
Je bande juste à la regarder.
- Christian, je te veux nu pour la soirée, je veux admirer tes plaquettes d’athlète.
Là, elle se fiche un peu de moi, sans être avec un corps de jeune premier pour un homme de quarante ans, je me porte plutôt bien.
À vingt heures moins le quart, nous sommes dans la salle, le fait d’être nu devant elle étant habillée m’intimide.
Près d’elle sur la table basse où nous déposons nos livres du moment, il y a une boîte en carton.
Est-ce la surprise, est-ce mon cadeau ?
Je l’ignore mais quand je vois qu’elle l’ouvre en sortant un loup noir qui lui sert quand elle va sur la plage et qu’elle veut faire une sieste, je suis intrigué.
Je joue le jeu, par expérience je sais que je ne serais pas déçu.
Elle me le place sur les yeux.
J’entends un bruit de métal étant à partir de ce moment je suis dans le noir complet.
Elle me guide jusqu’à un endroit où je sens sous mes pieds que nous avons quitté le tapis et que je suis sur la moquette.
Ou veut-elle m’amener, le jeu commence à m’amuser.
Clic-clac, je sens que mes mains se trouvent attachées.
Je les bouge, je sens le radiateur en fonte, dans le même moment dès que je suis immobilisé.
C’est dans ma bouche qu’elle fait entrer à ce qui ressemble à une balle de mousse.
Elle tire sur les côtés et je sens qu’elle se trouve attachée, la bouche comme mes mains sont immobilisées.
Elle m’enlève le loup, j’ai bien senti, je suis assis par terre les mains menottées et une boule à bouche mise aussi en place.
Je suis son prisonnier, mais alors pourquoi ce repas aux chandelles.
Cinq minutes après on sonne à la porte, j’essaye de parler, sans grand succès.
Elle va ouvrir, voix féminine, j’entends les pas dans le couloir, et Judy sa copine entre devant elle dans une tenue aussi provocante de la sienne.
- Tu m’avais parlé de ton nouveau toutou dont tu as fait l’acquisition, pourquoi l’as-tu muselée ?
- Il est agressif, je veux lui apprendre qui commande ici.
- Je peux lui caresser la tête.
- Essaye, attaché comme il l’est, tu ne risques pas grand-chose.
Ravalé au rang de clébard devant ces deux femmes, vous parlez d’un cadeau d’anniversaire.
Radia s’approche de la chaîne stéréo et démarre un CD de danse lascive.
- Dansez-vous mademoiselle.
- Bien sûr la musique calmera votre toutou.
La suite est étonnante, je bande comme jamais je n’ai bandé.
Judy roule un méga palot à ma femme qui lui rend bien.
Radia est la plus active, sa main passe sous la jupe de Judy.
Je vois carrément sa main aller dans sa fourche.
Judy s’occupe des seins de Radia et les sort de son chemisier, pas de soutien elle non plus.
Ils tiennent largement seuls, dommage que j’aie une boule dans la bouche, je me serais bien vu les sucer.
Je comprends rapidement que je vais être cantonné au rang de voyeur dans les rapports saphiques que les deux femmes vont avoir.
Radia guide Judy vers le canapé où elle l’aide à s’allonger.
Elle glisse vers le bas de son corps et j’entends plus que je vois qu’elle lui suce la chatte.
Judy rapidement se met à jouir, elle appuie carrément sur la tête de son amante certainement pour que sa langue entre plus profondément en elle.
- À moi, je veux te faire jouir !
- Non, nous avons le temps, passons à table, je t’ai préparé le menu que tu aimes bien.
Déshabillons-nous complètement, regarde ça fait de l’effet à toutou, il nous fait voir sa queue bandée.
Regarde, j’ai de la chance, elle est belle la bite de mon Médor.
Je pensais que nous allions faire un dîner aux chandelles, ce sont ces deux gouines qui en profitent.
La boule plus la vue du foie gras qu’elle déguste me font saliver, des gouttes tombent sur ma poitrine.
- Regarde, il bave d’envie, on le détache.
- Hors de question, il me salit la moquette, il restera là jusqu’à ton départ.
Manger, se lécher les seins.
Manger, se sucer les chattes, la première fois Judy restée assise sur sa chaise Radia passant sous la table me cachant l’abricot qu’elle suce.
Une nouvelle fois, elle a un orgasme mais Radia n’est pas en reste et éclate de plaisir elle aussi.
Je n’en peux plus, mon sexe va exploser, sans me caresser ou me faire caresser, je vois du liquide sortir de mon méat.
Comme lorsque j’étais jeune la vue de ces deux femmes se caressant, se suçant, se pénétrant avec leurs doigts m’amène à la limite de l’éjaculation.
Je crie à travers ma boule sans pour autant me faire comprendre.
Jusqu’au dessert où elle se retrouve à quelques mètres de moi en 69 et ensemble se procurant un nouvel orgasme.
Tenue correcte pour sortir après une douche prise ensemble sans que je les voie, et porte palière claquante après que Judy vienne me caresser le crâne.
En moi, je me dis détache-moi que je te défonce la chatte salope, elles m’ont fait subir le supplice de Tantale sans jamais éteindre le feu qui se consume en moi.
J’entends que les amantes parlent sur le palier.
Vais-je encore subir leur bon désir dans les jours prochains ?
C’est drôle je baisse la tête espérant me sucer moi-même mais je finis par me faire mal aux mains.
- Alors mon chéri as-tu apprécié ton cadeau d’anniversaire, j'ai beaucoup aimé ?
Je te détache, je t’enlève ta boule à bouche.
Elle me libère m’autant les menottes.
- Salope.
- C’est un joli compliment mon chéri, que t’arrive-t-il, tu bandes toujours, attention tu vas rester bloqué.
Je me relève avec le temps ou j’ai été assis sur mon cul, je suis un peu ankylosé.
Elle veut m’échapper, je l’attrape au dernier moment par un bras.
Ma main la chope comme peu le faire une buse ou un aigle sur une souris ou sur un renard.
Je la tire jusqu’au canapé.
De ma main libre je lui arrache sa jupe la trouvant comme je l’espérais libre de toute entrave.
Elle se retrouve à quatre pattes, sans lui laissant le temps de respirer, ma verge trouve sa chatte, jamais je ne l’ai pilonnée ainsi, mais surtout aussi forte.
La charge est totale, deux coups et je lâche la purée.
Purée car mon sperme a tellement mijoté dans mes couilles qu’il doit s’être transformé en fromage blanc.
Elle hurle de plaisir, je hurle comme elle.
Nous nous affaissons sur notre canapé avant de reprendre notre souffle.
- Mon chéri, tu dois avoir faim, je t’ai fait une surprise, je vais en cuisine.
Radia revient avec deux coupes à champagne et une bouteille.
Je fais sauter le bouchon et sers les coupes.
- Joyeux anniversaire, joyeux anniversaire Christian, joyeux anniversaire.
Je dois reconnaître que Radia chante un peu faux, mais juste un peu, mais faux tout de même.
Elle dépose le gâteau devant moi, elle a mis toutes les bougies concordant à mon âge.
Par pudeur j’oublierais de vous dire combien il y en a, j’ai parlé de 40, comptons quelqu'une de plus.
Une nouvelle fois, je la prends par le bras la faire asseoir sur mes genoux.
La première charge que je lui ai portée m’a un peu décompressé, mais ses fesses sur ma queue la réveillent.
Elle a un grand couteau, j’ai un peu peur pour mes roustons, mais je sens qu’elle s’est énormément donnée pour trouver un cadeau à la hauteur de notre amour.
Il y a de la crème, j’en prends sur mon doigt et je lui en mets sur son joli bout du nez.
Nous trinquons et quand la bouteille est terminée, nous rejoignions notre chambre et à la pépère je lui fais l’amour pendant de longues minutes.
Dans les jours qui suivent, la discussion entre nous est de savoir si son expérience lesbienne lui a plu et si elle souhaitait recommencer.
Nous tombons d’accord, mais une nouvelle fois cette coquine veut maîtriser le jeu.
- Chéri donne-moi tes mains que je t’attache au radiateur, je t’ai mis un cousin, il faut savoir être attentionné quand on s’occupe d’un bon gros toutou.
Il va sans le dire qu’elle ose cette phrase alors que les menottes viennent de se refermer sinon, je lui aurais sauté dessus.
La boule suit, étant un peu plus confortablement installé il est vrai.
Ce soir aucun repas de près quand on sonne et que ma maîtresse en tenue encore plus sexy que la première fois va ouvrir.
On discute, on rit, c’est une voix et un rire d’homme, je suis une nouvelle fois piégé Radia ma petite femme chérie va certainement recevoir l’un de ses amants et me faire cocu.
- Tous doux ma belle chienne arrête de tirer sur ta laisse, tu vas t’étrangler.
Radia vient de me rejoindre elle tient elle-même Judy par une laisse attachée à un collier de chien.
Elle est nue, ses seins pendent sous elle, elle est tellement bandante que je dois dire, je bande en quelques secondes.
- Servez-vous de sa laisse pour lui immobiliser les mains et le cou au radiateur.
Le vouvoiement me fait comprendre que ce beau jeune homme tout de lanière de cuir vêtu, mais ses couilles libres, Radia ne le connaît pas.
Je dois me sentir mieux considéré que l’autre chienne car il lui est impossible de bouger à partir de sa tête.
- Vous aimez le champagne.
- Tutoyons-nous, Radia, tu aspires à entrer dans notre club canin !
Lucy ma propre chienne m'a dit que tu avais su maîtriser ce gros doberman attaché à côté de ma jolie épagneule.
Je veux bien du champagne.
Radia se lève, rejoint la cuisine et revient nu la bouteille à la main.
- À la nôtre chère amie, je vois que vous aussi vous aimez la bite, allez-y sucez-moi.
Dans notre club, les maîtres baisent ensemble et quand nous avons pris notre plaisir, nos gentils toutous ont le droit de se saillir.
As-tu prévenu ton chien, que maintenant c’était les hommes de notre club qui te baiseront alors qu’eux le feront entre eux et jamais avec nous, nous ne sommes pas amorales ?
Radia tous le reste de la soirée a sucés, caressé, masturbé et c’est fait prendre dans diverses positions.
Elle a bu le sperme de Clément le mari de Lucy.
Quand ils ont été repus, il a détaché sa chienne qui s’est ruée sur moi.
Impossible de bouger, elle m’a littéralement avalé le sexe et j’ai déchargé dans la fraction de seconde.
Je l’aurais bien baisé mais je l’ai vu partir à quatre pattes au bout de sa laisse.
Radia les as raccompagnés quand elle est revenue, elle avait en main une laisse en cuir bleue et mon collier qu’elle m’a attaché.
- Chéri, tu as compris, ton vrai cadeau d’anniversaire c’est aujourd’hui que je te l’offre, quand tu seras chez nous, tu seras mon toutou docile.
Samedi, tu verras, j’ai vu le manoir de Clément et sa chienne Lucy.
Ils annoncent du beau temps, pendant que tous le club canin dînera sur la terrasse, vous aurez toute la pelouse pour vous ébattre.
Je suis sûr que tu me feras honneur et que tu sailliras le maximum de femelles pour que vous vous reproduisiez.
Un jour tu seras père sans que ton sperme ne m’ait fécondé, tu as dû comprendre que dans ce club les maîtres ne se mélangeaient pas avec les toutous.
Voilà, elle me détache et va se coucher non sans m’avoir donné mon pâté avec quelques croquettes.
Elle me couche à ses pieds sur la peau de bête.
Notre lit, c’est fini pour moi.
Une dernière chose, j’ai hâte d’être à samedi au club canin.
Lucy devra bien se tenir car j’aurais les bourses pleines, archi pleine et si elle est en période de fécondation, Clément pourra élever mon fils ou ma fille comme Radia élèvera le sien.
Radia est d’origine marocaine, il a fallu que je rame pour l’avoir mais ça y est c’est fait.
Elle a beaucoup d’imagination, demain c’est mon anniversaire, elle me promet une surprise.
À l’heure dite, par chance c’est un samedi, alors que je regarde un match du tournoi des 6 nations de rugby, mais les puristes le savent, elle prépare la table avec les chandeliers et la vaisselle de fête avant de se mettre aux fourneaux.
C’est un cordon bleu, ça fait partie de ses qualités, j’ai hâte de voir sa surprise.
Elle se prépare se pomponnant, mettant un soutien gorges à balconnet sur son chemisier translucide me laissant voir ses pointes de seins.
String sur jupe fendue le tout avec des bas noir et des chaussures à talons avec lesquelles je m’interroge comment elle peut tenir debout.
Je bande juste à la regarder.
- Christian, je te veux nu pour la soirée, je veux admirer tes plaquettes d’athlète.
Là, elle se fiche un peu de moi, sans être avec un corps de jeune premier pour un homme de quarante ans, je me porte plutôt bien.
À vingt heures moins le quart, nous sommes dans la salle, le fait d’être nu devant elle étant habillée m’intimide.
Près d’elle sur la table basse où nous déposons nos livres du moment, il y a une boîte en carton.
Est-ce la surprise, est-ce mon cadeau ?
Je l’ignore mais quand je vois qu’elle l’ouvre en sortant un loup noir qui lui sert quand elle va sur la plage et qu’elle veut faire une sieste, je suis intrigué.
Je joue le jeu, par expérience je sais que je ne serais pas déçu.
Elle me le place sur les yeux.
J’entends un bruit de métal étant à partir de ce moment je suis dans le noir complet.
Elle me guide jusqu’à un endroit où je sens sous mes pieds que nous avons quitté le tapis et que je suis sur la moquette.
Ou veut-elle m’amener, le jeu commence à m’amuser.
Clic-clac, je sens que mes mains se trouvent attachées.
Je les bouge, je sens le radiateur en fonte, dans le même moment dès que je suis immobilisé.
C’est dans ma bouche qu’elle fait entrer à ce qui ressemble à une balle de mousse.
Elle tire sur les côtés et je sens qu’elle se trouve attachée, la bouche comme mes mains sont immobilisées.
Elle m’enlève le loup, j’ai bien senti, je suis assis par terre les mains menottées et une boule à bouche mise aussi en place.
Je suis son prisonnier, mais alors pourquoi ce repas aux chandelles.
Cinq minutes après on sonne à la porte, j’essaye de parler, sans grand succès.
Elle va ouvrir, voix féminine, j’entends les pas dans le couloir, et Judy sa copine entre devant elle dans une tenue aussi provocante de la sienne.
- Tu m’avais parlé de ton nouveau toutou dont tu as fait l’acquisition, pourquoi l’as-tu muselée ?
- Il est agressif, je veux lui apprendre qui commande ici.
- Je peux lui caresser la tête.
- Essaye, attaché comme il l’est, tu ne risques pas grand-chose.
Ravalé au rang de clébard devant ces deux femmes, vous parlez d’un cadeau d’anniversaire.
Radia s’approche de la chaîne stéréo et démarre un CD de danse lascive.
- Dansez-vous mademoiselle.
- Bien sûr la musique calmera votre toutou.
La suite est étonnante, je bande comme jamais je n’ai bandé.
Judy roule un méga palot à ma femme qui lui rend bien.
Radia est la plus active, sa main passe sous la jupe de Judy.
Je vois carrément sa main aller dans sa fourche.
Judy s’occupe des seins de Radia et les sort de son chemisier, pas de soutien elle non plus.
Ils tiennent largement seuls, dommage que j’aie une boule dans la bouche, je me serais bien vu les sucer.
Je comprends rapidement que je vais être cantonné au rang de voyeur dans les rapports saphiques que les deux femmes vont avoir.
Radia guide Judy vers le canapé où elle l’aide à s’allonger.
Elle glisse vers le bas de son corps et j’entends plus que je vois qu’elle lui suce la chatte.
Judy rapidement se met à jouir, elle appuie carrément sur la tête de son amante certainement pour que sa langue entre plus profondément en elle.
- À moi, je veux te faire jouir !
- Non, nous avons le temps, passons à table, je t’ai préparé le menu que tu aimes bien.
Déshabillons-nous complètement, regarde ça fait de l’effet à toutou, il nous fait voir sa queue bandée.
Regarde, j’ai de la chance, elle est belle la bite de mon Médor.
Je pensais que nous allions faire un dîner aux chandelles, ce sont ces deux gouines qui en profitent.
La boule plus la vue du foie gras qu’elle déguste me font saliver, des gouttes tombent sur ma poitrine.
- Regarde, il bave d’envie, on le détache.
- Hors de question, il me salit la moquette, il restera là jusqu’à ton départ.
Manger, se lécher les seins.
Manger, se sucer les chattes, la première fois Judy restée assise sur sa chaise Radia passant sous la table me cachant l’abricot qu’elle suce.
Une nouvelle fois, elle a un orgasme mais Radia n’est pas en reste et éclate de plaisir elle aussi.
Je n’en peux plus, mon sexe va exploser, sans me caresser ou me faire caresser, je vois du liquide sortir de mon méat.
Comme lorsque j’étais jeune la vue de ces deux femmes se caressant, se suçant, se pénétrant avec leurs doigts m’amène à la limite de l’éjaculation.
Je crie à travers ma boule sans pour autant me faire comprendre.
Jusqu’au dessert où elle se retrouve à quelques mètres de moi en 69 et ensemble se procurant un nouvel orgasme.
Tenue correcte pour sortir après une douche prise ensemble sans que je les voie, et porte palière claquante après que Judy vienne me caresser le crâne.
En moi, je me dis détache-moi que je te défonce la chatte salope, elles m’ont fait subir le supplice de Tantale sans jamais éteindre le feu qui se consume en moi.
J’entends que les amantes parlent sur le palier.
Vais-je encore subir leur bon désir dans les jours prochains ?
C’est drôle je baisse la tête espérant me sucer moi-même mais je finis par me faire mal aux mains.
- Alors mon chéri as-tu apprécié ton cadeau d’anniversaire, j'ai beaucoup aimé ?
Je te détache, je t’enlève ta boule à bouche.
Elle me libère m’autant les menottes.
- Salope.
- C’est un joli compliment mon chéri, que t’arrive-t-il, tu bandes toujours, attention tu vas rester bloqué.
Je me relève avec le temps ou j’ai été assis sur mon cul, je suis un peu ankylosé.
Elle veut m’échapper, je l’attrape au dernier moment par un bras.
Ma main la chope comme peu le faire une buse ou un aigle sur une souris ou sur un renard.
Je la tire jusqu’au canapé.
De ma main libre je lui arrache sa jupe la trouvant comme je l’espérais libre de toute entrave.
Elle se retrouve à quatre pattes, sans lui laissant le temps de respirer, ma verge trouve sa chatte, jamais je ne l’ai pilonnée ainsi, mais surtout aussi forte.
La charge est totale, deux coups et je lâche la purée.
Purée car mon sperme a tellement mijoté dans mes couilles qu’il doit s’être transformé en fromage blanc.
Elle hurle de plaisir, je hurle comme elle.
Nous nous affaissons sur notre canapé avant de reprendre notre souffle.
- Mon chéri, tu dois avoir faim, je t’ai fait une surprise, je vais en cuisine.
Radia revient avec deux coupes à champagne et une bouteille.
Je fais sauter le bouchon et sers les coupes.
- Joyeux anniversaire, joyeux anniversaire Christian, joyeux anniversaire.
Je dois reconnaître que Radia chante un peu faux, mais juste un peu, mais faux tout de même.
Elle dépose le gâteau devant moi, elle a mis toutes les bougies concordant à mon âge.
Par pudeur j’oublierais de vous dire combien il y en a, j’ai parlé de 40, comptons quelqu'une de plus.
Une nouvelle fois, je la prends par le bras la faire asseoir sur mes genoux.
La première charge que je lui ai portée m’a un peu décompressé, mais ses fesses sur ma queue la réveillent.
Elle a un grand couteau, j’ai un peu peur pour mes roustons, mais je sens qu’elle s’est énormément donnée pour trouver un cadeau à la hauteur de notre amour.
Il y a de la crème, j’en prends sur mon doigt et je lui en mets sur son joli bout du nez.
Nous trinquons et quand la bouteille est terminée, nous rejoignions notre chambre et à la pépère je lui fais l’amour pendant de longues minutes.
Dans les jours qui suivent, la discussion entre nous est de savoir si son expérience lesbienne lui a plu et si elle souhaitait recommencer.
Nous tombons d’accord, mais une nouvelle fois cette coquine veut maîtriser le jeu.
- Chéri donne-moi tes mains que je t’attache au radiateur, je t’ai mis un cousin, il faut savoir être attentionné quand on s’occupe d’un bon gros toutou.
Il va sans le dire qu’elle ose cette phrase alors que les menottes viennent de se refermer sinon, je lui aurais sauté dessus.
La boule suit, étant un peu plus confortablement installé il est vrai.
Ce soir aucun repas de près quand on sonne et que ma maîtresse en tenue encore plus sexy que la première fois va ouvrir.
On discute, on rit, c’est une voix et un rire d’homme, je suis une nouvelle fois piégé Radia ma petite femme chérie va certainement recevoir l’un de ses amants et me faire cocu.
- Tous doux ma belle chienne arrête de tirer sur ta laisse, tu vas t’étrangler.
Radia vient de me rejoindre elle tient elle-même Judy par une laisse attachée à un collier de chien.
Elle est nue, ses seins pendent sous elle, elle est tellement bandante que je dois dire, je bande en quelques secondes.
- Servez-vous de sa laisse pour lui immobiliser les mains et le cou au radiateur.
Le vouvoiement me fait comprendre que ce beau jeune homme tout de lanière de cuir vêtu, mais ses couilles libres, Radia ne le connaît pas.
Je dois me sentir mieux considéré que l’autre chienne car il lui est impossible de bouger à partir de sa tête.
- Vous aimez le champagne.
- Tutoyons-nous, Radia, tu aspires à entrer dans notre club canin !
Lucy ma propre chienne m'a dit que tu avais su maîtriser ce gros doberman attaché à côté de ma jolie épagneule.
Je veux bien du champagne.
Radia se lève, rejoint la cuisine et revient nu la bouteille à la main.
- À la nôtre chère amie, je vois que vous aussi vous aimez la bite, allez-y sucez-moi.
Dans notre club, les maîtres baisent ensemble et quand nous avons pris notre plaisir, nos gentils toutous ont le droit de se saillir.
As-tu prévenu ton chien, que maintenant c’était les hommes de notre club qui te baiseront alors qu’eux le feront entre eux et jamais avec nous, nous ne sommes pas amorales ?
Radia tous le reste de la soirée a sucés, caressé, masturbé et c’est fait prendre dans diverses positions.
Elle a bu le sperme de Clément le mari de Lucy.
Quand ils ont été repus, il a détaché sa chienne qui s’est ruée sur moi.
Impossible de bouger, elle m’a littéralement avalé le sexe et j’ai déchargé dans la fraction de seconde.
Je l’aurais bien baisé mais je l’ai vu partir à quatre pattes au bout de sa laisse.
Radia les as raccompagnés quand elle est revenue, elle avait en main une laisse en cuir bleue et mon collier qu’elle m’a attaché.
- Chéri, tu as compris, ton vrai cadeau d’anniversaire c’est aujourd’hui que je te l’offre, quand tu seras chez nous, tu seras mon toutou docile.
Samedi, tu verras, j’ai vu le manoir de Clément et sa chienne Lucy.
Ils annoncent du beau temps, pendant que tous le club canin dînera sur la terrasse, vous aurez toute la pelouse pour vous ébattre.
Je suis sûr que tu me feras honneur et que tu sailliras le maximum de femelles pour que vous vous reproduisiez.
Un jour tu seras père sans que ton sperme ne m’ait fécondé, tu as dû comprendre que dans ce club les maîtres ne se mélangeaient pas avec les toutous.
Voilà, elle me détache et va se coucher non sans m’avoir donné mon pâté avec quelques croquettes.
Elle me couche à ses pieds sur la peau de bête.
Notre lit, c’est fini pour moi.
Une dernière chose, j’ai hâte d’être à samedi au club canin.
Lucy devra bien se tenir car j’aurais les bourses pleines, archi pleine et si elle est en période de fécondation, Clément pourra élever mon fils ou ma fille comme Radia élèvera le sien.
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