COLLECTION LES CHIENNES. Chienne, oui, mais comment ? (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2023 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION LES CHIENNES. Chienne, oui, mais comment ? (1/2)
Lorsque j’ai joint Chris71 pour lui raconter mon histoire, nous avons eu un doute dans quelle collection la placer.
Au début, nous pensions, « fantasmes », mais très rapidement nous nous sommes aperçus que j’ai dépassé mon fantasme.
La collection, « les chiennes » nous aient apparu plus logique, après que j’ai fantasmé.
Pour commencer, comme je l’ai fait avec lui, je vais me présenter.
July, la rousse, « la rousse » vous donnant la couleur de mes cheveux naturels et la couleur de ma chatte.
« Chatte », mot fort pour une mère de famille ayant trois enfants et un mari qui nous adore toute autant les unes que les autres.
À ces mots, nous comprenons qu’il est le seul homme à la maison entouré de quatre femmes.
« Femmes », nous dirons plutôt une, moi et trois jeunes pucelles de douze et dix ans.
Douze ans, Corinne, notre fille aînée et Jade et Adeline, j’allais dire, nos deux jumelles.
« Deux jumelles », pour certains, c’est un pléonasme, car si elles sont jumelles, c’est qu’elles sont deux, j’ai fait souvent l’erreur.
Trois enfants donc, mais aussi un mari de plus en plus distant dans nos rapports à l’approche de notre quarantaine.
Je lis beaucoup et depuis que j’ai découvert Internet, surtout du cul, les romans à l’eau de rose de ma jeunesse étant devenu trop fades.
C’est ainsi que je suis tombée sur Chris71 qui écrivait plein de chapitres identiques aux fantasmes qui me traversaient.
La petite Rose, lorsqu’elle a rencontré Christophe à son entrée en fac, était vierge bien que je sois Verseau.
Maintenant que j’ai lu beaucoup de culs, il m’est facile de parler de chattes, de bites, voire de masturbation et même de sodomies.
Au moment où je rencontre Christophe, je suis à deux doigts malgré mes dix-huit ans de croire que les filles naissent dans des roses et les garçons dans des choux.
Ces bébés étant amené aux parents par des cigognes, vues sur le toit des maisons lors de vacances en Alsace.
Lorsque mon mari a voulu me faire l’amour, j’ai découvert sa bite et j’ai été à deux doigts d’avoir la peur de ma vie.
Heureusement, maman avait essayé maladroitement de me mettre au parfum, mais ce que j’ai découvert la nuit de mes noces était loin de ce qu’elle m’avait dit.
Elle m’avait expliqué que là ou je faisais pipi, c’était un fourreau qui devait recevoir la lance de mon mari que je découvrirai le soir de mes noces.
Elle m’avait dit qu’il me suffirait de le laisser entrer pour que notre famille soit satisfaite de la progéniture qui viendrait au monde neuf mois plus tard.
Vous voyez le topo, mais ce qu’elle avait oublié c’est que je devais sentir une grande douleur me faisant hurler suite à cette pénétration.
Bref, rapidement ayant découvert la pornographie, j’ai pris conscience de ce que l’on m’avait fait manquer.
J’ai eu mes filles, mais de façon très classique, dans ces pornos, ils appellent ça, la position du missionnaire.
J’ai encore souffert lors de mon premier accouchement, mais que dire de la deuxième fois où elles ont été deux à se succéder me faisant hurler de douleur.
Voilà les seules expériences que j’avais de mon sexe alors que dans chaque film, les femmes hurlaient, mais de plaisir.
Je voulais découvrir cette sensation de sentir mon corps appartenant à l’autre alors qu’un orgasme me traverserait.
Ce mot orgasme, à lui seul, il remplit mes fantasmes, car j’en suis certaine, jamais au grand jamais, le grand embrasement a toujours été éloigné de moi.
J’ai mis du temps à céder à mon envie de ce qui est pour le moment un fantasme.
Appartenir une soirée à un homme autre que Christophe mon mari.
Mais il y a toujours un, « mais » dans une histoire, j’aurais droit à trois coups dans trois soirées différentes pendant l’absence de Christophe et de mes filles partis en vacances à la mer, endroit que mes filles découvriront.
Nous avons loué un mois, Christophe emmenant les filles la première quinzaine, moi le relayant les quinze derniers jours.
C’est trois tromperies, fantasme un peu con, car si la première est décevante, pourquoi en faire une deuxième, voire une troisième.
Trois, comme mon chiffre porte bonheur.
Trois filles après un mariage le trois mars.
Trois parties de jambes en l’air avec Christophe avant que j’apprenne que cette fois était la bonne, à un détail près, belle maman et Christophe, son fils, attendaient un garçon.
Je leur ai donné trois filles.
Au dernier moment, j’hésite malgré la tenue que j’ai achetée avec mes économies principalement sur le pain.
Depuis mon mariage, je suis vêtu bon chic bon genre, là, chemisier transparent sur un soutien-gorge pigeonnant laissant voir la moitié de mes aréoles plus foncées que mes seins.
Ceux-ci sont en forme de poire, j’ai pu voir leur évolution au fil du temps et de mes grossesses.
Petite jupe fourreau en cuir noir mettant mon séant en valeur et s’arrêtant haut, plus que de raison, pour une femme comme moi.
Je veux être aguicheuse afin d’être sûr de séduire un homme là où j’ai décidé de me rendre.
Lorsque les filles étaient à l’école, j’ai fait un essai devant ma psyché dans notre salle de bains.
Je me suis penchée sur l’avant faisant semblant de relasser une de mes chaussures, elle est remontée montant le petit bout de tissu en voile léger rose constitué par un string avec sa ficelle passante dans mon fessier.
Ça a dégagé mes bas, eux aussi noir et auto-fixant terminée par des chaussures noires à hauts talons de quinze centimètres.
Une vraie bombe, pour certains, une vraie pute diront d’autres, faite pour aguicher les hommes.
Je veux être certaine de séduire l’un de ces mâles que j’ai observé pendant des jours afin de constater la qualité des hommes la fréquentant.
Mari et filles sont partis lorsque ainsi fringuée, je descends dans le parking de l’immeuble cossu où nous habitons afin de prendre ma voiture et rejoindre le lieu de débauche que je convoite.
C’est un jour allant voir une amie, elle aussi de bonne famille que j’ai vu ce « club privé » ou j’ai vu un homme bon chic bon genre entrer.
Le genre de club ou un portier est là pour vous accueillir ou vous refouler lorsque vous êtes mal fringué.
Moi je suis en mode aguicheuse, mais avec mon sac à main parfaitement conforme aux critères exigés pour entrer.
• Bonjours madame, je suis heureux que vous ayez choisi notre club pour passer un moment agréable.
Ouf, j’ai passé le cerbère de l’entrée, bien que je me serais bien vu dans ses pattes pour lever mon premier homme afin qu’il me baise.
Dès le rideau tenu par le portier franchi, lumière tamisée avec un bar ou une serveuse officie.
Grande black avec un chemisier en cuir renfermant ses seins Xxl.
Au bar, deux hommes d’un côté, de l’autre un homme seul, élégamment vêtu, le genre de proie que je convoite.
Entre eux coup de chance un tabouret est libre.
Je m’installe les deux de gauche continuant leur conversation, celui de droite, jetant un œil sur ma jupe remontant montrant la grande couture de mes bas.
Je croise mes jambes et je pose mon petit baise-en-ville sur le comptoir.
Tout en essuyant un verre, la barmaid me demande ce que je désire boire.
• Un whisky avec glace s’il vous plait !
Heureusement, le whisky glace, c’est une boisson que j’ai découverte grâce à Christophe.
S’il me laisse sur ma faim au lit, à d’autres moments il est capable d’être utile.
Le whisky glace en fait partie, nous en buvons un chaque soir pendant que les filles font leur devoir.
Avant une pizza Marguerita ou des tranches de jambon, salade, nous attendant dans la cuisine.
• Permettez que je vous l’offre !
Certaines femmes rembarreraient le malotru, je l’aurais fait si ça avait été les deux autres mecs qui me l’avaient proposé.
Deux, c’est un chiffre porte-malheur pour moi bien que je les adore,
Deux c’est le nombre de mes jumelles qui sont arrivées dans notre foyer alors que j’étais plutôt adepte de l’enfant unique.
• Vous a-t-on déjà dit que vous êtes une femme magnifique et que j’ai de la chance de vous avoir rencontré.
Je m’appelle Matias, puis-je me permettre de vous demander comment vous vous prénommez !
• Aucun problème rose.
• Je vois que vous êtes mariée, soyez sans crainte moi aussi.
Dans ma préparation, j’ai remarqué ce détail, je l’ai enlevé, mais la marque blanche m’a obligé à la remettre, étant là depuis des années de mariage.
À la façon dont il tourne la sienne, il a dû être dans l’impossibilité de l’enlever.
Il regarde sa montre et me fait une proposition insolite.
• Êtes-vous seule, je vous proposerais bien de venir diner avec moi, j’ai rendez-vous avec deux amis, des jumeaux et étant en avance, je suis rentré dans ce club boire un verre !
Attendez, je vais vous aider à descendre.
Je sais, j’ai foiré mon coup, mais me voyant mal attendre pendant une plombe un autre mâle susceptible de m’intéresser.
Autant aller manger un morceau avant de rentrer mettre mon pilou-pilou et de me coucher en me caressant la chatte.
Je sais, ils sont trois, chiffre porte-bonheur, vous déconnez, un ça va, trois bonjours les dégâts.
Une salope, oui, une chienne lubrique non.
• Je te présente Alim et Alexandre, mes potes jumeaux.
Alim, Alexandre, Rose, fraiche comme un bouton de la même fleur.
Les jumeaux sont deux blacks aussi costaud l’un que l’autre.
• Rose, nous sommes heureux de vous connaitre, installez-vous à côté de moi, mon frère et notre copain s’installeront en face.
Luc, peux-tu nous mettre un couvert supplémentaire, s’il te plait.
• Tout de suite monsieur Alim, le temps de porter cette carafe d’eau à des clients sur la terrasse.
Je m’installe, ma jupe remonte, je vois le coup d’œil d’Alim, je suis sûr qu’il voit ma petite culotte.
Instinctivement, je cherche la serviette pour les cacher, hélas, c’est moi qui vais recevoir son couvert.
Hélas, deux blacks et Matias, un par un, j’aurais bien réalisé mon fantasme pendant les trois jours de débauche que j’ai prévu.
Trois d’un coup, impensable au plus loin de ces fantasmes dans ma tête...
Au début, nous pensions, « fantasmes », mais très rapidement nous nous sommes aperçus que j’ai dépassé mon fantasme.
La collection, « les chiennes » nous aient apparu plus logique, après que j’ai fantasmé.
Pour commencer, comme je l’ai fait avec lui, je vais me présenter.
July, la rousse, « la rousse » vous donnant la couleur de mes cheveux naturels et la couleur de ma chatte.
« Chatte », mot fort pour une mère de famille ayant trois enfants et un mari qui nous adore toute autant les unes que les autres.
À ces mots, nous comprenons qu’il est le seul homme à la maison entouré de quatre femmes.
« Femmes », nous dirons plutôt une, moi et trois jeunes pucelles de douze et dix ans.
Douze ans, Corinne, notre fille aînée et Jade et Adeline, j’allais dire, nos deux jumelles.
« Deux jumelles », pour certains, c’est un pléonasme, car si elles sont jumelles, c’est qu’elles sont deux, j’ai fait souvent l’erreur.
Trois enfants donc, mais aussi un mari de plus en plus distant dans nos rapports à l’approche de notre quarantaine.
Je lis beaucoup et depuis que j’ai découvert Internet, surtout du cul, les romans à l’eau de rose de ma jeunesse étant devenu trop fades.
C’est ainsi que je suis tombée sur Chris71 qui écrivait plein de chapitres identiques aux fantasmes qui me traversaient.
La petite Rose, lorsqu’elle a rencontré Christophe à son entrée en fac, était vierge bien que je sois Verseau.
Maintenant que j’ai lu beaucoup de culs, il m’est facile de parler de chattes, de bites, voire de masturbation et même de sodomies.
Au moment où je rencontre Christophe, je suis à deux doigts malgré mes dix-huit ans de croire que les filles naissent dans des roses et les garçons dans des choux.
Ces bébés étant amené aux parents par des cigognes, vues sur le toit des maisons lors de vacances en Alsace.
Lorsque mon mari a voulu me faire l’amour, j’ai découvert sa bite et j’ai été à deux doigts d’avoir la peur de ma vie.
Heureusement, maman avait essayé maladroitement de me mettre au parfum, mais ce que j’ai découvert la nuit de mes noces était loin de ce qu’elle m’avait dit.
Elle m’avait expliqué que là ou je faisais pipi, c’était un fourreau qui devait recevoir la lance de mon mari que je découvrirai le soir de mes noces.
Elle m’avait dit qu’il me suffirait de le laisser entrer pour que notre famille soit satisfaite de la progéniture qui viendrait au monde neuf mois plus tard.
Vous voyez le topo, mais ce qu’elle avait oublié c’est que je devais sentir une grande douleur me faisant hurler suite à cette pénétration.
Bref, rapidement ayant découvert la pornographie, j’ai pris conscience de ce que l’on m’avait fait manquer.
J’ai eu mes filles, mais de façon très classique, dans ces pornos, ils appellent ça, la position du missionnaire.
J’ai encore souffert lors de mon premier accouchement, mais que dire de la deuxième fois où elles ont été deux à se succéder me faisant hurler de douleur.
Voilà les seules expériences que j’avais de mon sexe alors que dans chaque film, les femmes hurlaient, mais de plaisir.
Je voulais découvrir cette sensation de sentir mon corps appartenant à l’autre alors qu’un orgasme me traverserait.
Ce mot orgasme, à lui seul, il remplit mes fantasmes, car j’en suis certaine, jamais au grand jamais, le grand embrasement a toujours été éloigné de moi.
J’ai mis du temps à céder à mon envie de ce qui est pour le moment un fantasme.
Appartenir une soirée à un homme autre que Christophe mon mari.
Mais il y a toujours un, « mais » dans une histoire, j’aurais droit à trois coups dans trois soirées différentes pendant l’absence de Christophe et de mes filles partis en vacances à la mer, endroit que mes filles découvriront.
Nous avons loué un mois, Christophe emmenant les filles la première quinzaine, moi le relayant les quinze derniers jours.
C’est trois tromperies, fantasme un peu con, car si la première est décevante, pourquoi en faire une deuxième, voire une troisième.
Trois, comme mon chiffre porte bonheur.
Trois filles après un mariage le trois mars.
Trois parties de jambes en l’air avec Christophe avant que j’apprenne que cette fois était la bonne, à un détail près, belle maman et Christophe, son fils, attendaient un garçon.
Je leur ai donné trois filles.
Au dernier moment, j’hésite malgré la tenue que j’ai achetée avec mes économies principalement sur le pain.
Depuis mon mariage, je suis vêtu bon chic bon genre, là, chemisier transparent sur un soutien-gorge pigeonnant laissant voir la moitié de mes aréoles plus foncées que mes seins.
Ceux-ci sont en forme de poire, j’ai pu voir leur évolution au fil du temps et de mes grossesses.
Petite jupe fourreau en cuir noir mettant mon séant en valeur et s’arrêtant haut, plus que de raison, pour une femme comme moi.
Je veux être aguicheuse afin d’être sûr de séduire un homme là où j’ai décidé de me rendre.
Lorsque les filles étaient à l’école, j’ai fait un essai devant ma psyché dans notre salle de bains.
Je me suis penchée sur l’avant faisant semblant de relasser une de mes chaussures, elle est remontée montant le petit bout de tissu en voile léger rose constitué par un string avec sa ficelle passante dans mon fessier.
Ça a dégagé mes bas, eux aussi noir et auto-fixant terminée par des chaussures noires à hauts talons de quinze centimètres.
Une vraie bombe, pour certains, une vraie pute diront d’autres, faite pour aguicher les hommes.
Je veux être certaine de séduire l’un de ces mâles que j’ai observé pendant des jours afin de constater la qualité des hommes la fréquentant.
Mari et filles sont partis lorsque ainsi fringuée, je descends dans le parking de l’immeuble cossu où nous habitons afin de prendre ma voiture et rejoindre le lieu de débauche que je convoite.
C’est un jour allant voir une amie, elle aussi de bonne famille que j’ai vu ce « club privé » ou j’ai vu un homme bon chic bon genre entrer.
Le genre de club ou un portier est là pour vous accueillir ou vous refouler lorsque vous êtes mal fringué.
Moi je suis en mode aguicheuse, mais avec mon sac à main parfaitement conforme aux critères exigés pour entrer.
• Bonjours madame, je suis heureux que vous ayez choisi notre club pour passer un moment agréable.
Ouf, j’ai passé le cerbère de l’entrée, bien que je me serais bien vu dans ses pattes pour lever mon premier homme afin qu’il me baise.
Dès le rideau tenu par le portier franchi, lumière tamisée avec un bar ou une serveuse officie.
Grande black avec un chemisier en cuir renfermant ses seins Xxl.
Au bar, deux hommes d’un côté, de l’autre un homme seul, élégamment vêtu, le genre de proie que je convoite.
Entre eux coup de chance un tabouret est libre.
Je m’installe les deux de gauche continuant leur conversation, celui de droite, jetant un œil sur ma jupe remontant montrant la grande couture de mes bas.
Je croise mes jambes et je pose mon petit baise-en-ville sur le comptoir.
Tout en essuyant un verre, la barmaid me demande ce que je désire boire.
• Un whisky avec glace s’il vous plait !
Heureusement, le whisky glace, c’est une boisson que j’ai découverte grâce à Christophe.
S’il me laisse sur ma faim au lit, à d’autres moments il est capable d’être utile.
Le whisky glace en fait partie, nous en buvons un chaque soir pendant que les filles font leur devoir.
Avant une pizza Marguerita ou des tranches de jambon, salade, nous attendant dans la cuisine.
• Permettez que je vous l’offre !
Certaines femmes rembarreraient le malotru, je l’aurais fait si ça avait été les deux autres mecs qui me l’avaient proposé.
Deux, c’est un chiffre porte-malheur pour moi bien que je les adore,
Deux c’est le nombre de mes jumelles qui sont arrivées dans notre foyer alors que j’étais plutôt adepte de l’enfant unique.
• Vous a-t-on déjà dit que vous êtes une femme magnifique et que j’ai de la chance de vous avoir rencontré.
Je m’appelle Matias, puis-je me permettre de vous demander comment vous vous prénommez !
• Aucun problème rose.
• Je vois que vous êtes mariée, soyez sans crainte moi aussi.
Dans ma préparation, j’ai remarqué ce détail, je l’ai enlevé, mais la marque blanche m’a obligé à la remettre, étant là depuis des années de mariage.
À la façon dont il tourne la sienne, il a dû être dans l’impossibilité de l’enlever.
Il regarde sa montre et me fait une proposition insolite.
• Êtes-vous seule, je vous proposerais bien de venir diner avec moi, j’ai rendez-vous avec deux amis, des jumeaux et étant en avance, je suis rentré dans ce club boire un verre !
Attendez, je vais vous aider à descendre.
Je sais, j’ai foiré mon coup, mais me voyant mal attendre pendant une plombe un autre mâle susceptible de m’intéresser.
Autant aller manger un morceau avant de rentrer mettre mon pilou-pilou et de me coucher en me caressant la chatte.
Je sais, ils sont trois, chiffre porte-bonheur, vous déconnez, un ça va, trois bonjours les dégâts.
Une salope, oui, une chienne lubrique non.
• Je te présente Alim et Alexandre, mes potes jumeaux.
Alim, Alexandre, Rose, fraiche comme un bouton de la même fleur.
Les jumeaux sont deux blacks aussi costaud l’un que l’autre.
• Rose, nous sommes heureux de vous connaitre, installez-vous à côté de moi, mon frère et notre copain s’installeront en face.
Luc, peux-tu nous mettre un couvert supplémentaire, s’il te plait.
• Tout de suite monsieur Alim, le temps de porter cette carafe d’eau à des clients sur la terrasse.
Je m’installe, ma jupe remonte, je vois le coup d’œil d’Alim, je suis sûr qu’il voit ma petite culotte.
Instinctivement, je cherche la serviette pour les cacher, hélas, c’est moi qui vais recevoir son couvert.
Hélas, deux blacks et Matias, un par un, j’aurais bien réalisé mon fantasme pendant les trois jours de débauche que j’ai prévu.
Trois d’un coup, impensable au plus loin de ces fantasmes dans ma tête...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C’est long à attendre le 28. :(
Le 28
Merci d'avoir aimé
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Pourquoi laisser la situation partir en couille sans communiquer avec le mari ?
bientôt la suite ???