COLLECTION LES CHIENNES. Le monastère des frères de la rédemption (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LES CHIENNES. Le monastère des frères de la rédemption (1/2)
- À cause du mauvais temps, Radia, je t’emmène visiter le monastère des frères de la rédemption.
Avoir une semaine de vacances et une semaine de pluie, c’est bien nous.
Redouane m’a épousé malgré notre différence de culture.
Il y a dix ans que je suis en France étant née à Meknès au Maroc, il y a vingt-deux ans.
Une Arabe dans sa famille catho à la limite de la bigoterie pour sa mère, il fallait que je l’aime pour accepter de l’épouser.
De là à visiter le monastère voisin de notre hôtel, il faut vraiment que le temps soit mauvais pour que j’accepte.
« Visite du monastère 14 heures tous les jours sauf les week-ends. »
Nous sommes à l’heure, plusieurs couples dont un avec leur jeune fille.
Un groupe de Japonais et diverses autres personnes.
- Bonjour à tous.
Je me présente frère Christian, je vous donnerais, les explications en Français et frère Donatien les traduira en Anglais.
Nous allons commencer la visite par la salle des repentances où nous sommes actuellement.
Ce monastère construit au XIIème siècle et terminé au XIIIème abrite notre communauté.
Depuis, notre ordre l’a toujours occupé.
Voyez les boiseries d’époque alors que d’autres parties sont reconstruites suite à un incendie, en 1987.
Rien à voir avec la révolution, un cierge mal éteint dans les cuisines en étant la cause.
Ça nous permet d’avoir des repas de meilleure qualité.
La rénovation faite à l’identique, mais avec du matériel plus moderne.
Nous continuerons la visite par le cloître.
D’entrée je vois que frère Christian très grand, au moins vingt centimètres de plus que Red.
Red à la place de Redouane, entre nous c’est en raccourcissant son nom que je lui dis l’aimer, semble s’intéresser à moi.
Je suis flattée que ce garçon en robe de bure me regarde et semble ignorer la jeune fille avec ses parents.
Frère Christian porte sa robe avec un capuchon replié sur sa nuque, une croix, une ceinture en corde blanche et des sandalettes aux pieds.
Le parfait moine vivant une vie de contemplations et de prières.
- Voyez, au centre le père Jean-baptiste qui taille les rosiers.
C’est le doyen de notre monastère, il est chargé de l’entretien des massifs de fleurs.
Ici chacun d’entre nous a une fonction bien définie.
Nous passons devant le vergé en nous rendant à la chapelle.
Nous tirons nos revenus de ces légumes que je vais vendre au marché tous les mardis.
Je suis personnellement, gérant, vendeur, acheteur étant l’un des seuls à quitter notre maison.
Une envie de faire pipi me prend.
À midi, Red m’a dit de prendre un café, car il était très bon.
Un café et les chutes du Niagara, je le sais mais comment résister à des arômes d’arabica.
Frère Christian est à deux doigts de me coller devant mon mari.
Serait-il possible qu’en plus d’un frère derrière cette robe de tissu épais se cache un homme plein d’intérêt ?
- Avez-vous des toilettes ?
- Oui, je vais vous expliquer.
- Accompagne plutôt madame, elle risque de se perdre comme celle de la semaine dernière.
Je vais faire les traductions en attendant je les emmène vers la chapelle.
Nous prenons un couloir à droite, Red suit vers la gauche me faisant un petit signe de la main.
Nous arrivons près d’une porte.
- C’est ici, attention, ce sont des toilettes à la turque.
- J’ai trop envie, ça ira bien.
J’entre, je relève ma jupe et je baisse ma culotte.
Mes pieds sur les emplacements, ma culotte m’entravant.
L’ôter pour pouvoir m’accroupir, c'est la solution.
C’est avec délice que j’urine dans ce trou spécificité des toilettes turque.
Je me redresse satisfaite de m’être soulagée, mais quand j’essaye de remettre ma culotte, je manque de m’écrouler.
Le rouleau de papier est vide.
Je passe ma culotte sur ma chatte et je la mets dans la poche de ma veste.
Je sors.
- J’ai entendu du bruit, vous avez eu des soucis.
- Oui, des problèmes pour remettre ma culotte, vu l’exiguïté de l’endroit.
- Si je comprends bien, votre culotte est dans votre poche et nous allons finir la visite alors que je saurais que vous êtes nue sous votre jupe.
Me disant ces mots il se permet de poser sa main à hauteur de ma chatte.
- Avez-vous remarqué que depuis le début de la visite, je m’intéresse à vous ?
Nous nous sommes déjà vus et j’ai fantasmé sur vous.
- Vous m’avez déjà vu !
C’est la première fois que je viens visiter votre monastère.
- Oui, mais c’était au village, vous résidez à l’hôtel voisin et vous vous êtes rendue à la boulangerie.
Vous vous appelez Radia.
- Il pleut, il faut se nourrir pour combattre le froid.
Quant à mon nom Radia, c’est exact, c’est vrai la boulangère me l’a demandé, car j’y suis allée plusieurs fois.
- Vous avez demandé un croissant.
J'étais derrière vous à regarder votre joli petit cul.
- Vous êtes un prêtre, quels sont ces propos !
- Prête non, seulement frère.
J’aimerais vous emmener dans ma cellule, mais votre mari et les autres se demanderaient ce que nous faisons.
À minuit, ce soir, frappez à la porte du monastère, je vous ouvrirais et je vous ferais visiter la chapelle, car je pense que nous allons retrouver le groupe vers les nouvelles cuisines.
- Je vous rappelle que je suis mariée !
Vers minuit que dire à mon mari ?
« Excuse, je vais me faire sauter. »
Frère Christian met sa main à sa poche.
Une fraction de seconde, je me demande s’il va sortir sa verge pour me la faire sucer.
Mais il me tend une petite fiole.
- Ce soir pendant le repas trouve un motif pour l’éloigner et vide cette petite bouteille dans son verre, même si c’est de l’alcool.
Il voudra rapidement aller se coucher et toi tu seras libre comme l’air jusqu’au matin.
Il dormira longtemps et je te promets que tu seras rentrée.
Au réveil il ignorera que tu m’as rejoint.
Pourquoi je prends la fiole qui rejoint ma petite culotte ?
- Chéri, j’ai oublié mon portable dans la chambre, maman doit m’appeler et elle risque de paniquer.
Nous avons fini la visite, deux fois, frère Christian m'a passé la main au cul sans que je me rebiffe.
Dès que Red s’en retourne vers la chambre, prestement je vide la fiole dans son verre d’eau.
Mon mari est allergique à l’alcool.
Comme Christian me l’a dit, il dort comme un bébé.
Je quitte la chambre, j’ai envie de voir ce qui se cache sous cette robe de bure.
- Entre Radia, suis-moi dans la chapelle, nous l’avons préparée pour toi !
Préparé, comment peut-on préparer une chapelle.
Nous remontons le couloir le long du cloître et arrivons à un endroit non visité à cause de mon envie de pipi.
Des chants m’arrivent aux oreilles.
Il ouvre une porte et ce que je vois m’interpelle.
Un autel, des cierges partout de toutes grosseurs et surtout de chaque côté assis nus et chantant des cantiques religieux une douzaine de moines.
- Avance jusqu’à l’autel, tu peux avoir confiance, nous savons recevoir nos hôtes.
Déshabillons-nous !
Il passe sa robe par-dessus tête et quand il me présente une verge bien plus fière que celle de Red, je l’aide à enlever le peu de chose que j’ai sur moi.
Il me prend par les hanches et me pose les fesses sur l’autel.
Seul Christian s’occupe de moi, les chants continuant.
On dirait que tous ces hommes nus ignorent ma présence et la bouche qui vient titiller mon clitoris.
Je m’allonge sur le marbre froid.
J’ai conscience que cet autel est un objet de culte chrétien.
Je m’en fiche un peu, je suis une musulmane sans vouloir blesser qui que ce soit.
La langue de Christian démarre ma jouissance quand tous les frères se lèvent les mains jointes et commence à tourner autour de nous et de l’autel en chantant…
Avoir une semaine de vacances et une semaine de pluie, c’est bien nous.
Redouane m’a épousé malgré notre différence de culture.
Il y a dix ans que je suis en France étant née à Meknès au Maroc, il y a vingt-deux ans.
Une Arabe dans sa famille catho à la limite de la bigoterie pour sa mère, il fallait que je l’aime pour accepter de l’épouser.
De là à visiter le monastère voisin de notre hôtel, il faut vraiment que le temps soit mauvais pour que j’accepte.
« Visite du monastère 14 heures tous les jours sauf les week-ends. »
Nous sommes à l’heure, plusieurs couples dont un avec leur jeune fille.
Un groupe de Japonais et diverses autres personnes.
- Bonjour à tous.
Je me présente frère Christian, je vous donnerais, les explications en Français et frère Donatien les traduira en Anglais.
Nous allons commencer la visite par la salle des repentances où nous sommes actuellement.
Ce monastère construit au XIIème siècle et terminé au XIIIème abrite notre communauté.
Depuis, notre ordre l’a toujours occupé.
Voyez les boiseries d’époque alors que d’autres parties sont reconstruites suite à un incendie, en 1987.
Rien à voir avec la révolution, un cierge mal éteint dans les cuisines en étant la cause.
Ça nous permet d’avoir des repas de meilleure qualité.
La rénovation faite à l’identique, mais avec du matériel plus moderne.
Nous continuerons la visite par le cloître.
D’entrée je vois que frère Christian très grand, au moins vingt centimètres de plus que Red.
Red à la place de Redouane, entre nous c’est en raccourcissant son nom que je lui dis l’aimer, semble s’intéresser à moi.
Je suis flattée que ce garçon en robe de bure me regarde et semble ignorer la jeune fille avec ses parents.
Frère Christian porte sa robe avec un capuchon replié sur sa nuque, une croix, une ceinture en corde blanche et des sandalettes aux pieds.
Le parfait moine vivant une vie de contemplations et de prières.
- Voyez, au centre le père Jean-baptiste qui taille les rosiers.
C’est le doyen de notre monastère, il est chargé de l’entretien des massifs de fleurs.
Ici chacun d’entre nous a une fonction bien définie.
Nous passons devant le vergé en nous rendant à la chapelle.
Nous tirons nos revenus de ces légumes que je vais vendre au marché tous les mardis.
Je suis personnellement, gérant, vendeur, acheteur étant l’un des seuls à quitter notre maison.
Une envie de faire pipi me prend.
À midi, Red m’a dit de prendre un café, car il était très bon.
Un café et les chutes du Niagara, je le sais mais comment résister à des arômes d’arabica.
Frère Christian est à deux doigts de me coller devant mon mari.
Serait-il possible qu’en plus d’un frère derrière cette robe de tissu épais se cache un homme plein d’intérêt ?
- Avez-vous des toilettes ?
- Oui, je vais vous expliquer.
- Accompagne plutôt madame, elle risque de se perdre comme celle de la semaine dernière.
Je vais faire les traductions en attendant je les emmène vers la chapelle.
Nous prenons un couloir à droite, Red suit vers la gauche me faisant un petit signe de la main.
Nous arrivons près d’une porte.
- C’est ici, attention, ce sont des toilettes à la turque.
- J’ai trop envie, ça ira bien.
J’entre, je relève ma jupe et je baisse ma culotte.
Mes pieds sur les emplacements, ma culotte m’entravant.
L’ôter pour pouvoir m’accroupir, c'est la solution.
C’est avec délice que j’urine dans ce trou spécificité des toilettes turque.
Je me redresse satisfaite de m’être soulagée, mais quand j’essaye de remettre ma culotte, je manque de m’écrouler.
Le rouleau de papier est vide.
Je passe ma culotte sur ma chatte et je la mets dans la poche de ma veste.
Je sors.
- J’ai entendu du bruit, vous avez eu des soucis.
- Oui, des problèmes pour remettre ma culotte, vu l’exiguïté de l’endroit.
- Si je comprends bien, votre culotte est dans votre poche et nous allons finir la visite alors que je saurais que vous êtes nue sous votre jupe.
Me disant ces mots il se permet de poser sa main à hauteur de ma chatte.
- Avez-vous remarqué que depuis le début de la visite, je m’intéresse à vous ?
Nous nous sommes déjà vus et j’ai fantasmé sur vous.
- Vous m’avez déjà vu !
C’est la première fois que je viens visiter votre monastère.
- Oui, mais c’était au village, vous résidez à l’hôtel voisin et vous vous êtes rendue à la boulangerie.
Vous vous appelez Radia.
- Il pleut, il faut se nourrir pour combattre le froid.
Quant à mon nom Radia, c’est exact, c’est vrai la boulangère me l’a demandé, car j’y suis allée plusieurs fois.
- Vous avez demandé un croissant.
J'étais derrière vous à regarder votre joli petit cul.
- Vous êtes un prêtre, quels sont ces propos !
- Prête non, seulement frère.
J’aimerais vous emmener dans ma cellule, mais votre mari et les autres se demanderaient ce que nous faisons.
À minuit, ce soir, frappez à la porte du monastère, je vous ouvrirais et je vous ferais visiter la chapelle, car je pense que nous allons retrouver le groupe vers les nouvelles cuisines.
- Je vous rappelle que je suis mariée !
Vers minuit que dire à mon mari ?
« Excuse, je vais me faire sauter. »
Frère Christian met sa main à sa poche.
Une fraction de seconde, je me demande s’il va sortir sa verge pour me la faire sucer.
Mais il me tend une petite fiole.
- Ce soir pendant le repas trouve un motif pour l’éloigner et vide cette petite bouteille dans son verre, même si c’est de l’alcool.
Il voudra rapidement aller se coucher et toi tu seras libre comme l’air jusqu’au matin.
Il dormira longtemps et je te promets que tu seras rentrée.
Au réveil il ignorera que tu m’as rejoint.
Pourquoi je prends la fiole qui rejoint ma petite culotte ?
- Chéri, j’ai oublié mon portable dans la chambre, maman doit m’appeler et elle risque de paniquer.
Nous avons fini la visite, deux fois, frère Christian m'a passé la main au cul sans que je me rebiffe.
Dès que Red s’en retourne vers la chambre, prestement je vide la fiole dans son verre d’eau.
Mon mari est allergique à l’alcool.
Comme Christian me l’a dit, il dort comme un bébé.
Je quitte la chambre, j’ai envie de voir ce qui se cache sous cette robe de bure.
- Entre Radia, suis-moi dans la chapelle, nous l’avons préparée pour toi !
Préparé, comment peut-on préparer une chapelle.
Nous remontons le couloir le long du cloître et arrivons à un endroit non visité à cause de mon envie de pipi.
Des chants m’arrivent aux oreilles.
Il ouvre une porte et ce que je vois m’interpelle.
Un autel, des cierges partout de toutes grosseurs et surtout de chaque côté assis nus et chantant des cantiques religieux une douzaine de moines.
- Avance jusqu’à l’autel, tu peux avoir confiance, nous savons recevoir nos hôtes.
Déshabillons-nous !
Il passe sa robe par-dessus tête et quand il me présente une verge bien plus fière que celle de Red, je l’aide à enlever le peu de chose que j’ai sur moi.
Il me prend par les hanches et me pose les fesses sur l’autel.
Seul Christian s’occupe de moi, les chants continuant.
On dirait que tous ces hommes nus ignorent ma présence et la bouche qui vient titiller mon clitoris.
Je m’allonge sur le marbre froid.
J’ai conscience que cet autel est un objet de culte chrétien.
Je m’en fiche un peu, je suis une musulmane sans vouloir blesser qui que ce soit.
La langue de Christian démarre ma jouissance quand tous les frères se lèvent les mains jointes et commence à tourner autour de nous et de l’autel en chantant…
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