COLLECTION LES CHIENNES. Ma fille. Début de la Saison V (13/15)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LES CHIENNES. Ma fille. Début de la Saison V (13/15)
Voilà, je suis prête à continuer mes aventures de salopes ayant sacrifié sa fille au luxe que me procure mon mariage avec Jean Dupond dont je porte maintenant le nom Jennifer Dupond dans la saison IV.
- Pan.
C’est avec ma bouche que je fais croire à Wolfgang que je peux le descendre et en soufflant sur le bout du canon comme le fond les vieux mafieux dans les films après avoir tué leur adversaire.
Je prends conscience de mon geste, provoquer cet homme est loin d’être malin.
Il fait beau, je me rends à la piscine pour que l’on m’apporte mon café et mon journal.
J’attends quelque chose qui enfin ce produit.
« Intervention de la police dans les quartiers.
Démantèlement d’un nouveau réseau de trafic de drogue dès 6 heures.
La police a fait une descente et Zinedine, le nouveau chef du réseau a rejoint le commissariat.
Dans sa chambre, la police a trouvé les restes d’un paquet de drogue ainsi qu’une masse d’argent montrant l’ampleur du trafic.
Il sera présenté à un juge, car il a reconnu tous les faits.
Par une source bien informée, un renseignement anonyme aurait donné des indications sur le trafic du jeune homme à la police.
La commissaire Nouzha déjà à la tête d’un premier démantèlement de réseau de traite des blanches et de drogue dirigée par Jean Dupond et un dénommé Wolfgang ressortissant allemand ayant réussi à s’échapper est à la tête de l’enquête.
Là encore par une autre source très bien informée, cet homme recherché par toutes les polices serait retourné dans son pays où un mandat est posé.
Nous vous tiendrons plus amplement informés des suites de cette affaire.
Lucien H. »
Ça me met du baume au cœur, Wolfgang, pas Zinedine qui se retrouve à la prison de Nice suite à la drogue que je lui ai donnée.
Il semble que le jeune garçon ait su cacher le lingot, le journaliste en aurait parlé.
Je sonne Wolfgang qui comme à son habitude arrive.
Je lui fais voir l’article en traduisant les grandes lignes sur mon téléphone.
Il rit à l’évocation de son départ pour l’Allemagne pour la première fois depuis que je le connais.
Le rire d’un muet est étrange, mais ça me fait plaisir de voir qu’il a de l’humour.
- Prévenez Tonio de préparer ma voiture, je me rends à la prison de Nice voire mon mari.
Il me fait signe qu’il a compris et se rend vers l’entrée pour donner des ordres au chauffeur.
- Tonio, j’espère que vous avez laissé votre arme, inutile de prendre des risques d’être fouillé aux alentours de la prison.
- Bien madame.
Je sais ça fait quelques jours que nous nous sommes mariés et c’est maintenant que je vais le rencontrer, il m’en fait la remarque.
- Excuse d’avoir eu peur de sortir mon amour.
J’avais une grande envie de te tenir la main même dans ce parloir.
- J’ai eu des nouvelles du Prof, méfie-toi de lui, il est dangereux.
Je me demande s’il est étranger à mon arrestation.
Je me garde bien de lui dire ce que j’ai vu et que la commissaire Nouzha semble être sa maîtresse comme il est devenu le mien.
- On peut parler sans risque ici !
- Oui, parle doucement.
- Wolfgang est réfugié dans sa chambre chez nous après son évasion.
Dans le journal, il est rapporté qu’il serait retourné en Allemagne.
- C’est très bien, il te protégera et au moins avec cet eunuque, tu me seras fidèle.
- Jean pour qui me prends-tu, une pute.
J’ai tout abandonné pour toi-même ma fille.
- Elle, oui, une pute droguée, oublie là.
Je devrais me sauver, l’abandonné, mais j’ai un autre plan mûrement réfléchi.
- Sais-tu ce qu’il m’a manqué le plus ?
- Non, dis-moi !
- Ma nuit de noce, j’en voudrais toujours à cette salope de commissaire de m’en avoir privé.
Un jour je lui ferais payer.
Veux-tu que je te dise ce que nous aurions fait mon cœur ?
- Dis !
- Je me serais approché de toi alors que tu aurais été en train de regarder la lune par la baie de notre chambre.
Je me serais coulée dans ton dos et ma main serais venue sur ton pénis.
- Oui, tu sens comme je bande.
- Oui, tu banderais comme chaque fois que je t’ai caressé.
Je t’aurais embrassé dans le cou.
- Oui, le cou, je suis si sensible quand tu m’embrasses dans le cou.
Putain, même dans ce parloir tu arrives à me faire bander.
Après.
- J’aurais réussi sans voir à faire sauter un à un les boutons de ta braguette.
Tu sens ma main.
- Oui, continue, tu es une diablesse, il va falloir que tu essayes de me faire échapper, mais continue.
Excuse d’avoir interrompu notre nuit de noces.
- Tu sais que tu es un coquin !
- Pourquoi ?
- Où est ton boxer, ta queue est nue dans ton pantalon ?
- C’était la surprise de nos noces mon amour avoir ma queue à ta disposition.
- C’est bien, je la sors.
Quel morceau.
- Tu en as déjà vu dès aussi grosses.
J’ai eu envie de lui dire que depuis son arrestation hormis Wolfgang, j’avais pu comparer avec celles de mes amants successifs.
- C’est la plus belle qu’un homme m’ait offerte, bien que je sois très limité en comparatif des queues des hommes.
- Et après, dis, je sens que je vais éjaculer dans mon pantalon sans que l’on se touche sauf notre main.
- Je t’aurais contourné et je me serais agenouillée et je t’aurais pris dans ma bouche.
Tu sais comme chaque fois que je t’ai pompé.
- Ah, ah, ah.
Putain j’ai joui.
Tu vas être déçu, j’en ai plein mon pantalon.
Ouf, j’ai atteint mon but, afin qu’il ait du mal à me refuser le service que je suis venue lui demander.
Je le laisse reprendre son souffle.
- Jennifer, j’ai déchargé sans t’avoir donné de plaisir.
- Laisse tomber, ce soir masturbe-toi à 23 heures.
Mieux, tous les soirs je te promets de me masturber en pensant que toi aussi tu le fais de ton côté et ensemble, nous jouirons comme si nous étions réunis.
Dis-moi Jean, j’ai un service à te demander.
Après ce que tu viens de me donner comme bonheur, tout t’est déjà acquis.
- Tu sais Zinedine, le jeune garçon qui nous a permis de faire tomber Radia dans nos filets.
- Oui, il est en garde à vue avant son transfert ici !
- J’ai vu dans le journal qu’ils l’avaient arrêté.
Peux-tu le prendre sous ton aile, tu sais comment c’est ici.
Toi je sais que tu es très respecté, on lui doit bien ça.
- Compte sur moi, Jennifer, dès qu’il arrive, je le protégerais, j’ai quelques amis ici.
- Dans cinq minutes, fin des parloirs, dites-vous au revoir.
- Dis, peux-tu me faire parvenir des colis, la bouffe est dégueulasse ici, demande à Wolfgang, il te montrera où est caché mon fric dans la cave, j’ai de quoi améliorer mon ordinaire.
- Ok, pense à Zinedine, je reviendrais te voir bientôt.
J’ai quitté mon mari, satisfait de ma visite, mon plan se déroule à merveille.
- Madame, vous avez vu, Monsieur, c’est un grand malheur qu’il soit derrière les barreaux.
- Oui, mais pas pour longtemps !
- Vous allez le faire évader, je vous aiderais, Madame.
Compte sur moi, pauvre con…
- Pan.
C’est avec ma bouche que je fais croire à Wolfgang que je peux le descendre et en soufflant sur le bout du canon comme le fond les vieux mafieux dans les films après avoir tué leur adversaire.
Je prends conscience de mon geste, provoquer cet homme est loin d’être malin.
Il fait beau, je me rends à la piscine pour que l’on m’apporte mon café et mon journal.
J’attends quelque chose qui enfin ce produit.
« Intervention de la police dans les quartiers.
Démantèlement d’un nouveau réseau de trafic de drogue dès 6 heures.
La police a fait une descente et Zinedine, le nouveau chef du réseau a rejoint le commissariat.
Dans sa chambre, la police a trouvé les restes d’un paquet de drogue ainsi qu’une masse d’argent montrant l’ampleur du trafic.
Il sera présenté à un juge, car il a reconnu tous les faits.
Par une source bien informée, un renseignement anonyme aurait donné des indications sur le trafic du jeune homme à la police.
La commissaire Nouzha déjà à la tête d’un premier démantèlement de réseau de traite des blanches et de drogue dirigée par Jean Dupond et un dénommé Wolfgang ressortissant allemand ayant réussi à s’échapper est à la tête de l’enquête.
Là encore par une autre source très bien informée, cet homme recherché par toutes les polices serait retourné dans son pays où un mandat est posé.
Nous vous tiendrons plus amplement informés des suites de cette affaire.
Lucien H. »
Ça me met du baume au cœur, Wolfgang, pas Zinedine qui se retrouve à la prison de Nice suite à la drogue que je lui ai donnée.
Il semble que le jeune garçon ait su cacher le lingot, le journaliste en aurait parlé.
Je sonne Wolfgang qui comme à son habitude arrive.
Je lui fais voir l’article en traduisant les grandes lignes sur mon téléphone.
Il rit à l’évocation de son départ pour l’Allemagne pour la première fois depuis que je le connais.
Le rire d’un muet est étrange, mais ça me fait plaisir de voir qu’il a de l’humour.
- Prévenez Tonio de préparer ma voiture, je me rends à la prison de Nice voire mon mari.
Il me fait signe qu’il a compris et se rend vers l’entrée pour donner des ordres au chauffeur.
- Tonio, j’espère que vous avez laissé votre arme, inutile de prendre des risques d’être fouillé aux alentours de la prison.
- Bien madame.
Je sais ça fait quelques jours que nous nous sommes mariés et c’est maintenant que je vais le rencontrer, il m’en fait la remarque.
- Excuse d’avoir eu peur de sortir mon amour.
J’avais une grande envie de te tenir la main même dans ce parloir.
- J’ai eu des nouvelles du Prof, méfie-toi de lui, il est dangereux.
Je me demande s’il est étranger à mon arrestation.
Je me garde bien de lui dire ce que j’ai vu et que la commissaire Nouzha semble être sa maîtresse comme il est devenu le mien.
- On peut parler sans risque ici !
- Oui, parle doucement.
- Wolfgang est réfugié dans sa chambre chez nous après son évasion.
Dans le journal, il est rapporté qu’il serait retourné en Allemagne.
- C’est très bien, il te protégera et au moins avec cet eunuque, tu me seras fidèle.
- Jean pour qui me prends-tu, une pute.
J’ai tout abandonné pour toi-même ma fille.
- Elle, oui, une pute droguée, oublie là.
Je devrais me sauver, l’abandonné, mais j’ai un autre plan mûrement réfléchi.
- Sais-tu ce qu’il m’a manqué le plus ?
- Non, dis-moi !
- Ma nuit de noce, j’en voudrais toujours à cette salope de commissaire de m’en avoir privé.
Un jour je lui ferais payer.
Veux-tu que je te dise ce que nous aurions fait mon cœur ?
- Dis !
- Je me serais approché de toi alors que tu aurais été en train de regarder la lune par la baie de notre chambre.
Je me serais coulée dans ton dos et ma main serais venue sur ton pénis.
- Oui, tu sens comme je bande.
- Oui, tu banderais comme chaque fois que je t’ai caressé.
Je t’aurais embrassé dans le cou.
- Oui, le cou, je suis si sensible quand tu m’embrasses dans le cou.
Putain, même dans ce parloir tu arrives à me faire bander.
Après.
- J’aurais réussi sans voir à faire sauter un à un les boutons de ta braguette.
Tu sens ma main.
- Oui, continue, tu es une diablesse, il va falloir que tu essayes de me faire échapper, mais continue.
Excuse d’avoir interrompu notre nuit de noces.
- Tu sais que tu es un coquin !
- Pourquoi ?
- Où est ton boxer, ta queue est nue dans ton pantalon ?
- C’était la surprise de nos noces mon amour avoir ma queue à ta disposition.
- C’est bien, je la sors.
Quel morceau.
- Tu en as déjà vu dès aussi grosses.
J’ai eu envie de lui dire que depuis son arrestation hormis Wolfgang, j’avais pu comparer avec celles de mes amants successifs.
- C’est la plus belle qu’un homme m’ait offerte, bien que je sois très limité en comparatif des queues des hommes.
- Et après, dis, je sens que je vais éjaculer dans mon pantalon sans que l’on se touche sauf notre main.
- Je t’aurais contourné et je me serais agenouillée et je t’aurais pris dans ma bouche.
Tu sais comme chaque fois que je t’ai pompé.
- Ah, ah, ah.
Putain j’ai joui.
Tu vas être déçu, j’en ai plein mon pantalon.
Ouf, j’ai atteint mon but, afin qu’il ait du mal à me refuser le service que je suis venue lui demander.
Je le laisse reprendre son souffle.
- Jennifer, j’ai déchargé sans t’avoir donné de plaisir.
- Laisse tomber, ce soir masturbe-toi à 23 heures.
Mieux, tous les soirs je te promets de me masturber en pensant que toi aussi tu le fais de ton côté et ensemble, nous jouirons comme si nous étions réunis.
Dis-moi Jean, j’ai un service à te demander.
Après ce que tu viens de me donner comme bonheur, tout t’est déjà acquis.
- Tu sais Zinedine, le jeune garçon qui nous a permis de faire tomber Radia dans nos filets.
- Oui, il est en garde à vue avant son transfert ici !
- J’ai vu dans le journal qu’ils l’avaient arrêté.
Peux-tu le prendre sous ton aile, tu sais comment c’est ici.
Toi je sais que tu es très respecté, on lui doit bien ça.
- Compte sur moi, Jennifer, dès qu’il arrive, je le protégerais, j’ai quelques amis ici.
- Dans cinq minutes, fin des parloirs, dites-vous au revoir.
- Dis, peux-tu me faire parvenir des colis, la bouffe est dégueulasse ici, demande à Wolfgang, il te montrera où est caché mon fric dans la cave, j’ai de quoi améliorer mon ordinaire.
- Ok, pense à Zinedine, je reviendrais te voir bientôt.
J’ai quitté mon mari, satisfait de ma visite, mon plan se déroule à merveille.
- Madame, vous avez vu, Monsieur, c’est un grand malheur qu’il soit derrière les barreaux.
- Oui, mais pas pour longtemps !
- Vous allez le faire évader, je vous aiderais, Madame.
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