COLLECTION LES CHIENNES. Ma fille. Saison I (1/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION LES CHIENNES. Ma fille. Saison I (1/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LES CHIENNES. Ma fille. Saison I (1/3)
- Radia, dit moi, quand as-tu vu ma fille pour la dernière fois lors de cette soirée ?
- Madame Jennifer, il était un peu plus de minuit.
Elle était avec Luc, le fils de la maison où se tenait la soirée et elle fumait un joint avec lui.
- Un joint, ma fille ne se droguait pas, c’était une fille propre.
- Elle ne vous disait pas tout madame, elle avait bien changé en préparant son bac.
Vous lui aviez mis une pression tel qu’elle sentait le besoin de trouver du réconfort.
- Radia, ne me dit pas que c’était dans la drogue qu’elle l’avait trouvé ?
- Madame, pourquoi vous mentirais-je.
J’ai moi-même failli plonger mais moi ça a été le sexe qui m’a empêché de ne pas plonger.
Lucie, ça a été la drogue et le sexe qui lui a permis d’obtenir son diplôme.
- Tu me fais peur, la drogue et le sexe, qu’elle fume des joints passe encore mais le sexe, elle est vierge.
- Madame, il y a plus de six mois pour les fêtes de fin d’année que Boris, le beau gosse la dépucelé.
J’étais avec elle, moi aussi il ma pris le mien mais comme il est impensable que je ne sois pas vierge, Boris m’a enculé.
- Attend, tu me dis que ma fille était devenue une salope qui baisait pour quelques grammes de cannabis ?
- Cannabis, madame, vous n’avez pas tout compris Lucie adorait sniffer de la cocaïne.
Comme ce n’était pas toujours possible d’en trouver à Nice, elle fumait faute de mieux.
- Je rêve et tu n’es pas venue me le dire.
- Elle m’avait fait juré de ne rien dire madame sinon elle me menaçait d’en parler à mon père.
- Droguée, pute et maître chanteur et je n’ai rien vu.
Tous les soirs elle planchait et refusait que j’entre dans sa chambre pour ne pas la déranger.
- C’est là où elle vous a piégé, je l’ai interrogé comment elle faisait pour être dans toutes les fêtes qui se déroulait en ville.
Elle m’a dit qu’un jour vous étiez rentrée dans sa chambre et qu’elle se masturbait.
À partir de ce jour, vous trouviez naturelle qu’elle ferme sa porte à clef.
- Je me souviens.
Quand elle m’a dit qu’elle s’isolerait, j’ai bien compris pourquoi et j’ai trouvé ça normal.
- Où donne sa fenêtre de chambre ?
- Sur le jardin.
- Avec une petite porte donnant sur une petite place.
Alors que vous pensiez qu’elle travaillait ou se masturbait, c’est par là qu’elle rejoignait Boris dans de petites orgies auquel elle participait.
- Ce garçon où peut-on le trouver ?
- Chez Luc, c’est son frère, ce sont les fils du docteur André.
- Celui qui a un cabinet sur la place du champ de foire ?
- Oui madame et sa villa dans le quartier du nouveau stade.
- Merci Radia, je t’appellerais si j’ai besoin d’autres renseignements.
Donne-moi ton numéro de portable.

Il y a presque quinze jours que Lucie a disparu après la fête où je l’ai autorisé à se rendre après avoir réussit son bac après rattrapage.
Bons nombres de mes amies me disent que le bac il le donne, mais le principal c’est qu’elle l’a eu.
Elle doit rentrer à la rentrée dans un DUT force de vente, vu la jolie petite blonde qu’elle est il y a des déboucher dans cette formation soit dans les hôtels soit dans les boutiques de luxe de la ville.
Je rêve que ma fille réussisse là où j’ai un peu échoué et par mon mariage et par mon travail.
Mon mariage, quand son père a su que j’étais en cloque, il s’est barré en Italie m’abandonnant avec ma fille que j’ai élevé seule.
Mon travail, j’ai dû récurer les chiottes d’une école pendant vingt ans pour lui donner une parfaite éducation.
Et c’est comme ça que je suis récompensée ?
Elle disparaît, la police pense que c’est une fugue et par l’intermédiaire de sa copine marocaine j’apprends qu’elle a mal tourné.
Et si Radia m’avait dit des saloperies pour cacher ses propres turpitudes ?
Est-ce possible que ce soit elle qui se drogue à la cocaïne ?
Je rentre chez moi, dans le jardin, la fenêtre de la chambre de Lucie donne sur un petit carré de verdure que je bêche chaque année pour qu’il soit propre.
Il y a une planche placé là certainement pour éviter les traces de pas.
Je vais au portillon que j’ouvre.
Bizarre les gonds ont été graissé comme si on avait voulu qu’ils ne grincent pas.
Et si quelque chose ou quelqu’un avait empêché ma fille de rentrer je me souviens êtes passé là, la planche n’était pas là.
La remise est à deux pas.
Je m’y rends.
Le long du mur il y a des planches que j’ai toujours laissé là.
Les mêmes que celle sous la fenêtre mais il y a de la terre.
Elle devait la ranger et de la terre serait tombée.
Je décide d’enquêter moi-même après avoir revu la commissaire Nouzha au commissariat qui m’a dit ne pas avoir assez d’effectif pour enquêter.

- Luc, je peux vous parler ?
- Oui madame qui êtes vous ?
- Une fêtarde qui cherche un peu de matière pour pouvoir faire plaisir à mes invités lors d’une soirée que j’organise.
- Qui vous a orienté vers moi ?
- Radia, la petite marocaine amis de mon fils.
- Qui est votre fils ?
- Inutile de le mêler à ça, sinon je pars et je vais chercher ailleurs le produit que je cherche.

Je me retourne et je pars vers ma voiture.
C’est une grosse berline allemande louée pour influencer le garçon.
J’ai mis un tailleur faisant de moi une femme du monde cherchant à s’encanailler.
Pour cela, j’ai cassé mon livret d’épargne logement que j’avais ouvert pour les besoins de ma fille quand elle ferait des études que j’espérais supérieures et qui me permet de disposer d’une somme conséquente.

- Madame revenez, je peux peut-être vous dépanner pour votre fêtes.
Quelle quantité voulez-vous ?
- C’est vous qui aller me le dire, nous serons trente fêtards et combien cela me coûtera.

Il me donne un poids et une somme.
Je tente plus loin.

- C’est très bien, vous devez comprendre que je n’ai pas une telle somme sur moi.
Convenons d’un jour et d’un endroit neutre.
Mais attendez, j’ai cru comprendre que la fête serait plus belle si je fournissais à mes invités un peu de Cocaïne.
Vous pouvez fournir ?
- Ça, c’est un autre niveau, ce n’est pas moi qui me charge de ce produit plus dur à fournir.
Dîtes, vous n’êtes pas flic ?
- Vous êtes seul chez vous ?
- Oui, mon frère est en ville et mon père reçoit ses clients dans son cabinet.

J’entre passant près de lui, je lui prends la main.

- On t’a déjà sucé Luc, c’est le nom que Radia m’a donné.
- Oui madame.
- Tu aimerais que je te suce, est-ce qu’un flic te sucerait pour que tu puisses avoir confiance.
Tu connais Radia, elle m’a dit que dernièrement elle a fait l’amour avec toi lors de fêtes que vous organisez avec de jeunes salopes.

Il faut que je donne de ma personne si je veux retrouver ma fille.
De plus le jeune homme est beau gosse et je suis en manque de sexe.
J’ai eu quelques coups rapide depuis le départ de celui m’ayant dépucelé me laissant en cadeau ma fille.
Il sort sa queue, je m’agenouille et je le suce.

- Votre bouche est douce, vous permettez que je décharge à l’intérieur ?

Je ne veux pas le lâcher, je veux éviter de tacher mon tailleur.
J’ai gardé les étiquettes et si je peux le rendre disant que la couleur ne plait pas à mon mari, je ne vais pas m’en priver.
La boutique où je l’ai acheté n’a que ce modèle dans cette couleur afin qu’elle ne me propose pas un échange.

- C’est bon, une femme comme vous qui me pompe, je ne peux pas le croire.

Je me redresse et me servant du moment de flottement que j’ai créé en le faisant décharger, j’avale.

- Où puis-je trouver Boris, Luc ?
- En ville au bar chez Léo, rue des champs fleuris.
- Je vais aller le voir pour la cocaïne, on se revoit pour la livraison du cannabis.
- Bien madame…

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