COLLECTION LES CHIENNES. Ma fille. Saison I (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LES CHIENNES. Ma fille. Saison I (2/3)
Ma fille a disparu depuis plusieurs jours.
J’arrive à joindre Radia jeune fille issue d’un milieu marocain son amie.
Elle m’apprend que Lucie a dans mon dos vécu des expériences de drogue et de sexe.
La commissaire Nouzha ne veut rien faire car ma fille est majeure et si elle a décidé de changer de vie ce n’est pas leur problème.
C’est chez deux frères Luc et Boris fils d’un médecin Niçois que je me rends espérant trouver des renseignements.
Je comprends que le frère pouvant me donner le plus de renseignement c’est Boris le plus grand.
Pour arriver à mes fins et retrouver la fugueuse, je donne de ma personne en faisant une fellation au plus jeune.
Je reprends ma voiture Allemande de location pour paraître une dame de la côte cherchant à s’encanailler.
C’est dans un bar du vieux Nice que je vais le rencontrer.
- Bonjour, connaissez vous Boris, je le cherche pour une affaire.
- C’est le garçon là bas avec une barbe et deux de ses copains.
- Merci, servez-moi un Perrier citron à la table voisine.
Je vais m’installer.
Boris capte mon regard.
Je passe ma langue sur mes lèves.
- Merci.
C’est le patron qui m’apporte mon Perrier.
- C’est vous qui me chercher ?
Mon frère vient de me téléphoner que vous alliez passer me voir.
C’est Radia l’amie de votre fils qui vous a aiguillé vers nous.
Je connais Radia mais pas votre fils.
- Il m’a dit que dans les fêtes que vous organisez il y a de nombreuses filles et de nombreux garçons.
Il est blond comme moi.
- Il m’a dit ce que vous cherchiez !
Ça peut être possible mais ce n’est pas donné.
- Surtout que ce n’est pas la chose principal que je cherche.
Mes amis et moi sommes des libertins et si vous aviez quelques filles n’ayant pas froid aux yeux, je serais très intéressée.
Radia m’a dit qu’elle avait participé à quelques une de vos fêtes et qu’elle n’avait pas été déçu des moments passés.
- Ça peut se faire, mais les filles ce n’est pas mon domaine.
Il est vrai que j’en fais des salopes avant de les confier à mon ami qui s’occupe d’elle.
Mais qui me dit que vous n’êtes pas un flic.
- Votre frère a eu le même doute, je l’ai sucé pour lui prouver que j’en n’étais pas un.
Voulez-vous qu’on s’isole ?
- Attendez, je vais téléphoner.
Boris quitte le bar, je le vois téléphoner dans la rue en regardant dans ma direction avant de revenir.
- Venez, on va chez moi, j’ai un appartement à deux pas.
Je suis Boris, c’est le même que son frère en plus vieux, je comprends que les filles craquent pour lui.
Il me fait entrer, je frôle ses pectoraux, il doit faire du sport car ses muscles débordent de son tee-shirt.
- Tu m’as dit que tu étais libertine cherchant des filles.
Prouve-le-moi.
Si tu te fais prendre dans des soirées par le premier venu, tu dois pouvoir t’occuper de ma bite ?
Attention, je suis plus vieux que mon frère et une petite fellation ne sera pas suffisante.
Je m’approche de lui, je sens que si je veux savoir où est ma fille il va falloir recommencer à donner de ma personne.
- Ici, par terre sur ta moquette, tu sais jouer à la tigresse en chaleur ?
Où vais-je chercher ça, j’ignore tout du libertinage et de leurs pratiques mais comme je l’ai dit je veux retrouvez Lucie.
Alors pourquoi ne pas faire la tigresse.
Je me mets à quatre pattes et je marche devant lui en roulant de la croupe.
- Grrrr Viens me sauter sinon c’est moi qui te bouffe la verge.
Grrrr.
- J’aime les tigresse de ton genre, tes invités ne doivent pas s’ennuyer avec toi.
- Grrrr.
Je lui montre mes dents en tournant ma tête.
Je le vois sortir sa bite et venir derrière moi s’agenouiller soulever ma jupe sans ménagement au risque de la déchirer.
Il écarte ma culotte et me plante directement.
Pendant combien de temps me laboure-t-il, je ne saurais le dire.
Je suis à deux doigt de devenir moi-même une salope mais il décharge en moi me libérant.
Je me relève et m’affaisse dans le canapé.
Boris sort son téléphone tout en nous servant du whisky.
- Allô patron, elle est claire.
D’accord patron.
Il raccroche, me tend un verre et s’assoie à mes côtés.
- Mon patron va arriver.
Je crois qu’en me faisant baiser à deux doigts d’éclater de plaisir, je viens de marquer un point.
Je vais rencontrer l’échelon supérieur de ceux qui m’ont certainement pris ma fille.
Grrrr…
- Ça y est tu te réveille salope, tu crois que l’on peut chercher Monsieur comme ça et le baiser comme un débutant.
Où je suis, je sens une petite brise sur mon corps qui est nue.
Je dois être dans une cave pendue par mes poignets mais mes jambes touchent le sol.
Vous croyez au coup de foudre, jusqu’à maintenant moi non, surtout depuis que je me suis fait engrosser par le père de Lucie me propulsant dans une vie de merde.
L’homme devant moi est grand, cheveux grisonnant, torse nu avec seulement un pantalon blanc les pieds nues.
- Qui es-tu, les flics emplois des putes pour essayer de nous piéger.
Il paraît que tu tortilles bien du cul.
Il y a un problème, je connais toutes les salopes de Menton à Marseille, je ne t’ai jamais vu dans la moindre soirée.
Tes copains sont sympas, j’en ai mare des petites pucelles surtout celle qui vendent leur cul pour quelques grammes de coke.
Il tourne autour de moi, me caresse les seins.
Je réagis, mes pointes bandes.
- Caresse-moi, laisse tes mains sur mon corps.
- Ils savent bien les choisir leurs putes, regarde celle là je suis sur qu’elle mouille.
Il me met ses doigts dans la chatte.
Il a raison, je ruisselle sur ses doigts.
- Dis-moi qui tu es.
- Avant baise moi, tu me fais tellement envie.
- Je sais je fais toujours cet effet aux filles la première fois.
À partir de ce moment j’en veux plus, je veux cette verge qu’il frotte sur mes fesses n’importe où en moi.
Je suis prête à lui offrir mon cul que personne n’a jamais eu.
Je tourne la tête nos bouches se trouvent.
Le baiser est profond.
- Détache-moi, je veux que tu me fasses l’amour sauvagement.
Je suis folle, pourquoi en faire tant, je suis là pour ma fille bien qu’en se moment seule la bite de cet homme m’intéresse.
- Détache-moi, je te dirais tout, mais je veux que tu me baise sans t’arrêter.
Il me détache, me prend dans ses bras et me monte à l’étage comme si j’étais un fétu de paille.
Je m’accroche à son cou et c’est dans une chambre toute blanche qu’il me pose sur le lit.
Je m’accroche à lui comme à une bouée.
Il détache son pantalon sa verge est en moi m’apportant mon premier orgasme.
Suis-je devenue une folle du cul.
Ma fille passe au second plan…
J’arrive à joindre Radia jeune fille issue d’un milieu marocain son amie.
Elle m’apprend que Lucie a dans mon dos vécu des expériences de drogue et de sexe.
La commissaire Nouzha ne veut rien faire car ma fille est majeure et si elle a décidé de changer de vie ce n’est pas leur problème.
C’est chez deux frères Luc et Boris fils d’un médecin Niçois que je me rends espérant trouver des renseignements.
Je comprends que le frère pouvant me donner le plus de renseignement c’est Boris le plus grand.
Pour arriver à mes fins et retrouver la fugueuse, je donne de ma personne en faisant une fellation au plus jeune.
Je reprends ma voiture Allemande de location pour paraître une dame de la côte cherchant à s’encanailler.
C’est dans un bar du vieux Nice que je vais le rencontrer.
- Bonjour, connaissez vous Boris, je le cherche pour une affaire.
- C’est le garçon là bas avec une barbe et deux de ses copains.
- Merci, servez-moi un Perrier citron à la table voisine.
Je vais m’installer.
Boris capte mon regard.
Je passe ma langue sur mes lèves.
- Merci.
C’est le patron qui m’apporte mon Perrier.
- C’est vous qui me chercher ?
Mon frère vient de me téléphoner que vous alliez passer me voir.
C’est Radia l’amie de votre fils qui vous a aiguillé vers nous.
Je connais Radia mais pas votre fils.
- Il m’a dit que dans les fêtes que vous organisez il y a de nombreuses filles et de nombreux garçons.
Il est blond comme moi.
- Il m’a dit ce que vous cherchiez !
Ça peut être possible mais ce n’est pas donné.
- Surtout que ce n’est pas la chose principal que je cherche.
Mes amis et moi sommes des libertins et si vous aviez quelques filles n’ayant pas froid aux yeux, je serais très intéressée.
Radia m’a dit qu’elle avait participé à quelques une de vos fêtes et qu’elle n’avait pas été déçu des moments passés.
- Ça peut se faire, mais les filles ce n’est pas mon domaine.
Il est vrai que j’en fais des salopes avant de les confier à mon ami qui s’occupe d’elle.
Mais qui me dit que vous n’êtes pas un flic.
- Votre frère a eu le même doute, je l’ai sucé pour lui prouver que j’en n’étais pas un.
Voulez-vous qu’on s’isole ?
- Attendez, je vais téléphoner.
Boris quitte le bar, je le vois téléphoner dans la rue en regardant dans ma direction avant de revenir.
- Venez, on va chez moi, j’ai un appartement à deux pas.
Je suis Boris, c’est le même que son frère en plus vieux, je comprends que les filles craquent pour lui.
Il me fait entrer, je frôle ses pectoraux, il doit faire du sport car ses muscles débordent de son tee-shirt.
- Tu m’as dit que tu étais libertine cherchant des filles.
Prouve-le-moi.
Si tu te fais prendre dans des soirées par le premier venu, tu dois pouvoir t’occuper de ma bite ?
Attention, je suis plus vieux que mon frère et une petite fellation ne sera pas suffisante.
Je m’approche de lui, je sens que si je veux savoir où est ma fille il va falloir recommencer à donner de ma personne.
- Ici, par terre sur ta moquette, tu sais jouer à la tigresse en chaleur ?
Où vais-je chercher ça, j’ignore tout du libertinage et de leurs pratiques mais comme je l’ai dit je veux retrouvez Lucie.
Alors pourquoi ne pas faire la tigresse.
Je me mets à quatre pattes et je marche devant lui en roulant de la croupe.
- Grrrr Viens me sauter sinon c’est moi qui te bouffe la verge.
Grrrr.
- J’aime les tigresse de ton genre, tes invités ne doivent pas s’ennuyer avec toi.
- Grrrr.
Je lui montre mes dents en tournant ma tête.
Je le vois sortir sa bite et venir derrière moi s’agenouiller soulever ma jupe sans ménagement au risque de la déchirer.
Il écarte ma culotte et me plante directement.
Pendant combien de temps me laboure-t-il, je ne saurais le dire.
Je suis à deux doigt de devenir moi-même une salope mais il décharge en moi me libérant.
Je me relève et m’affaisse dans le canapé.
Boris sort son téléphone tout en nous servant du whisky.
- Allô patron, elle est claire.
D’accord patron.
Il raccroche, me tend un verre et s’assoie à mes côtés.
- Mon patron va arriver.
Je crois qu’en me faisant baiser à deux doigts d’éclater de plaisir, je viens de marquer un point.
Je vais rencontrer l’échelon supérieur de ceux qui m’ont certainement pris ma fille.
Grrrr…
- Ça y est tu te réveille salope, tu crois que l’on peut chercher Monsieur comme ça et le baiser comme un débutant.
Où je suis, je sens une petite brise sur mon corps qui est nue.
Je dois être dans une cave pendue par mes poignets mais mes jambes touchent le sol.
Vous croyez au coup de foudre, jusqu’à maintenant moi non, surtout depuis que je me suis fait engrosser par le père de Lucie me propulsant dans une vie de merde.
L’homme devant moi est grand, cheveux grisonnant, torse nu avec seulement un pantalon blanc les pieds nues.
- Qui es-tu, les flics emplois des putes pour essayer de nous piéger.
Il paraît que tu tortilles bien du cul.
Il y a un problème, je connais toutes les salopes de Menton à Marseille, je ne t’ai jamais vu dans la moindre soirée.
Tes copains sont sympas, j’en ai mare des petites pucelles surtout celle qui vendent leur cul pour quelques grammes de coke.
Il tourne autour de moi, me caresse les seins.
Je réagis, mes pointes bandes.
- Caresse-moi, laisse tes mains sur mon corps.
- Ils savent bien les choisir leurs putes, regarde celle là je suis sur qu’elle mouille.
Il me met ses doigts dans la chatte.
Il a raison, je ruisselle sur ses doigts.
- Dis-moi qui tu es.
- Avant baise moi, tu me fais tellement envie.
- Je sais je fais toujours cet effet aux filles la première fois.
À partir de ce moment j’en veux plus, je veux cette verge qu’il frotte sur mes fesses n’importe où en moi.
Je suis prête à lui offrir mon cul que personne n’a jamais eu.
Je tourne la tête nos bouches se trouvent.
Le baiser est profond.
- Détache-moi, je veux que tu me fasses l’amour sauvagement.
Je suis folle, pourquoi en faire tant, je suis là pour ma fille bien qu’en se moment seule la bite de cet homme m’intéresse.
- Détache-moi, je te dirais tout, mais je veux que tu me baise sans t’arrêter.
Il me détache, me prend dans ses bras et me monte à l’étage comme si j’étais un fétu de paille.
Je m’accroche à son cou et c’est dans une chambre toute blanche qu’il me pose sur le lit.
Je m’accroche à lui comme à une bouée.
Il détache son pantalon sa verge est en moi m’apportant mon premier orgasme.
Suis-je devenue une folle du cul.
Ma fille passe au second plan…
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