COLLECTION LES CHIENNES. Ma fille. Saison I (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2399 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 003 413 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 6 649 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION LES CHIENNES. Ma fille. Saison I (3/3)
C’est dans les bras de celui qui m’a certainement enlevé ma fille que je me blottis.
Il vient de me prendre et le corps et mon âme.
Je me réveille ayant certainement perdue conscience quand il a joui en moi.
Je m’accroche à lui comme à une bouée de secours.
- Comment t’appelles-tu ?
- Jennifer et toi ?
- Appelle-moi comme tous ici, Monsieur.
- Tu m’as promis de tous me dire si je te détachais.
Faire l’amour à une vraie femme, j’en rêvai.
- Je suis à la recherche de ma fille qui a 20 ans, elle s’appelle Lucie.
- Lucie, comment était-elle ?
Je lui décris ma fille entrecoupée de baisers profonds.
- Jennifer, ta fille je me souviens, laisse tomber, même si c’est ta fille, elle est foutue.
Elle est camée au dernier stade.
Tu vois ma piscine devant notre chambre, elle rampait devant nous tous les soirs pour avoir sa dose.
Boris et Luc la prenaient tous les deux en double pénétration.
À aucun moment elle ne jouissait.
Tu la piquais et là tu avais une chienne.
Dans une soirée, je l’ai vu se faire plus de dix de mes invités, j’ai cru que son corps allait se déchirer chaque fois que l’un d’eux la sautait.
- Où est-elle ?
- Je suis dans l’impossibilité de te le dire ma belle.
Dans un bordel d’Amérique du sud ou d’Afrique a tapiné pour sa coke.
Les filles avec les frères nous les ferons dans des soirées pour les jeunes.
Boris les travaille au corps avec son frère et quand elles sont à point, nous les expédions dans des conteneurs vers leur destination finale.
Comme je te l’ai dit peu importe, c’est de la chaire à bordel et mon rôle c’est de les approvisionner.
Il m’embrasse profondément.
Il me baise tout autant avec toute la tendresse d’un vieux couple.
Qui pourrait dire que cet homme très bien bronzé pratique la traite des blanches.
Va-t-il se lasser de moi dans quelque temps et moi aussi me mettre dans un conteneur pour m’envoyer aux quatre coins du monde vendre mon corps ?
Quand je me mets en levrette pour qu’il me pénètre, je suis la femme la plus heureuse du monde.
Dans les jours suivants, j’ai complètement oublié Lucie.
Seul mon homme « Monsieur » comme tous l’appel trouve grâce devant moi.
La plupart de la journée je suis couchée à attendre qu’il ait envie de moi.
Hier, j’ai goutté à la piscine.
L’eau était divine, pour rien au monde je voudrais quitter cet endroit paradisiaque.
De la terrasse où nous mangeons à l’ombre d’une immense tenture, nous voyons la baie de Nice.
Aujourd’hui, il m’emmène au port de Monaco où Monsieur possède un yacht de vingt mètres de long.
Dans la villa nous avons plusieurs personnes de services et un majordome présent vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Il va sans dire que rapidement j’oublie ma fille ne voulant pas perdre ce que je viens de découvrir sur ce que le fric apporte même si c’est sur le dos de jeunes filles.
Sans oublier le trafic de drogue et de cannabis.
- Chéri que fais-tu, qu’aspires-tu sur cette plaque de verre ?
- Un fortifiant Jennifer essaye, tu verras, ta jouissance tout à l’heure sera décuplée comme la mienne.
- Tu vas me tuer mais je suis prête à tout pour rester près de toi.
- Pourquoi le bateau ralenti ?
- Nous devons charger un colis et en donner un autre.
Je regarde par-dessus bord, un Zodiac vient le long et s’accroche à la passerelle descendue.
Un paquet est remonté, je pense que l’on va repartir.
J’entends crier.
- Attrapez là, elle se sauve.
Une jeune femme cherche à échapper à deux gros bras.
Je devrais intervenir, je l’aurais fait en temps normal.
- C’est une fille que vous livrez ?
- Oui, elle part pour le fond de l’Afrique, nous livrons souvent dans ce pays-là.
Elle est rattrapée et mise sur le dos d’un homme baraqué.
Nous sommes bien protégés.
Nous faisons demi-tour et rentrons au port.
Je viens d’assister à ce qui fait le fric que je peux dépenser dès que le bateau accoste dans les meilleures boutiques de la principauté.
Tout sur mesure, plusieurs mannequins nous présentent les modèles, je n’ai qu’à choisir.
Pour remercier mon homme de la confiance qu’il me fait me laissant découvrir tous son business illicite.
C’est dans la piscine que je le laisse m’enculer.
C’est la première fois que je me donne à sa verge.
Sur la margelle, le majordome a mis la plaque et chacun des deux, sans sortir de l’eau nous sniffons.
Je plane le restant de la soirée.
Il me prend plusieurs fois, ces fortifiants sont super, j’en prendrais bien dix fois par jour.
La confiance que Monsieur me donne, c’est deux jours plus tard qu’il me demande un service que je suis contente de lui rendre.
- Jennifer, Boris vient de me dire que nous devons trouver une petite beurette pour un enturbanné.
J’ignore ce qu’est un enturbanné, mais rapidement je comprends.
- Ta fille avait une amie qui s’appelait Radia, Boris l’a enculé, elle voulait garder son pucelage.
Tu sais comment la joindre ?
- Oui, j’ai son numéro de portable.
- Tu vois ce qu’il te reste à faire.
Je comprends c’est Radia que nous allons livrer à cet enturbanné.
- Allo Radia ?
- Bonjour Jennifer, vous avez retrouvé Julie ?
- Oui, mais j’ai besoin de toi.
Je suis dans la grande villa sur les hauteurs de la ville.
- Je vois, nous avons participé à une soirée avant la disparition de Julie.
J’arrive.
Comme le titre le dis c'est la fin de la saison 1.
Dans quelques jours la suite saison 2.
Cette mère indigne se reprendra-t-elle...
Il vient de me prendre et le corps et mon âme.
Je me réveille ayant certainement perdue conscience quand il a joui en moi.
Je m’accroche à lui comme à une bouée de secours.
- Comment t’appelles-tu ?
- Jennifer et toi ?
- Appelle-moi comme tous ici, Monsieur.
- Tu m’as promis de tous me dire si je te détachais.
Faire l’amour à une vraie femme, j’en rêvai.
- Je suis à la recherche de ma fille qui a 20 ans, elle s’appelle Lucie.
- Lucie, comment était-elle ?
Je lui décris ma fille entrecoupée de baisers profonds.
- Jennifer, ta fille je me souviens, laisse tomber, même si c’est ta fille, elle est foutue.
Elle est camée au dernier stade.
Tu vois ma piscine devant notre chambre, elle rampait devant nous tous les soirs pour avoir sa dose.
Boris et Luc la prenaient tous les deux en double pénétration.
À aucun moment elle ne jouissait.
Tu la piquais et là tu avais une chienne.
Dans une soirée, je l’ai vu se faire plus de dix de mes invités, j’ai cru que son corps allait se déchirer chaque fois que l’un d’eux la sautait.
- Où est-elle ?
- Je suis dans l’impossibilité de te le dire ma belle.
Dans un bordel d’Amérique du sud ou d’Afrique a tapiné pour sa coke.
Les filles avec les frères nous les ferons dans des soirées pour les jeunes.
Boris les travaille au corps avec son frère et quand elles sont à point, nous les expédions dans des conteneurs vers leur destination finale.
Comme je te l’ai dit peu importe, c’est de la chaire à bordel et mon rôle c’est de les approvisionner.
Il m’embrasse profondément.
Il me baise tout autant avec toute la tendresse d’un vieux couple.
Qui pourrait dire que cet homme très bien bronzé pratique la traite des blanches.
Va-t-il se lasser de moi dans quelque temps et moi aussi me mettre dans un conteneur pour m’envoyer aux quatre coins du monde vendre mon corps ?
Quand je me mets en levrette pour qu’il me pénètre, je suis la femme la plus heureuse du monde.
Dans les jours suivants, j’ai complètement oublié Lucie.
Seul mon homme « Monsieur » comme tous l’appel trouve grâce devant moi.
La plupart de la journée je suis couchée à attendre qu’il ait envie de moi.
Hier, j’ai goutté à la piscine.
L’eau était divine, pour rien au monde je voudrais quitter cet endroit paradisiaque.
De la terrasse où nous mangeons à l’ombre d’une immense tenture, nous voyons la baie de Nice.
Aujourd’hui, il m’emmène au port de Monaco où Monsieur possède un yacht de vingt mètres de long.
Dans la villa nous avons plusieurs personnes de services et un majordome présent vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Il va sans dire que rapidement j’oublie ma fille ne voulant pas perdre ce que je viens de découvrir sur ce que le fric apporte même si c’est sur le dos de jeunes filles.
Sans oublier le trafic de drogue et de cannabis.
- Chéri que fais-tu, qu’aspires-tu sur cette plaque de verre ?
- Un fortifiant Jennifer essaye, tu verras, ta jouissance tout à l’heure sera décuplée comme la mienne.
- Tu vas me tuer mais je suis prête à tout pour rester près de toi.
- Pourquoi le bateau ralenti ?
- Nous devons charger un colis et en donner un autre.
Je regarde par-dessus bord, un Zodiac vient le long et s’accroche à la passerelle descendue.
Un paquet est remonté, je pense que l’on va repartir.
J’entends crier.
- Attrapez là, elle se sauve.
Une jeune femme cherche à échapper à deux gros bras.
Je devrais intervenir, je l’aurais fait en temps normal.
- C’est une fille que vous livrez ?
- Oui, elle part pour le fond de l’Afrique, nous livrons souvent dans ce pays-là.
Elle est rattrapée et mise sur le dos d’un homme baraqué.
Nous sommes bien protégés.
Nous faisons demi-tour et rentrons au port.
Je viens d’assister à ce qui fait le fric que je peux dépenser dès que le bateau accoste dans les meilleures boutiques de la principauté.
Tout sur mesure, plusieurs mannequins nous présentent les modèles, je n’ai qu’à choisir.
Pour remercier mon homme de la confiance qu’il me fait me laissant découvrir tous son business illicite.
C’est dans la piscine que je le laisse m’enculer.
C’est la première fois que je me donne à sa verge.
Sur la margelle, le majordome a mis la plaque et chacun des deux, sans sortir de l’eau nous sniffons.
Je plane le restant de la soirée.
Il me prend plusieurs fois, ces fortifiants sont super, j’en prendrais bien dix fois par jour.
La confiance que Monsieur me donne, c’est deux jours plus tard qu’il me demande un service que je suis contente de lui rendre.
- Jennifer, Boris vient de me dire que nous devons trouver une petite beurette pour un enturbanné.
J’ignore ce qu’est un enturbanné, mais rapidement je comprends.
- Ta fille avait une amie qui s’appelait Radia, Boris l’a enculé, elle voulait garder son pucelage.
Tu sais comment la joindre ?
- Oui, j’ai son numéro de portable.
- Tu vois ce qu’il te reste à faire.
Je comprends c’est Radia que nous allons livrer à cet enturbanné.
- Allo Radia ?
- Bonjour Jennifer, vous avez retrouvé Julie ?
- Oui, mais j’ai besoin de toi.
Je suis dans la grande villa sur les hauteurs de la ville.
- Je vois, nous avons participé à une soirée avant la disparition de Julie.
J’arrive.
Comme le titre le dis c'est la fin de la saison 1.
Dans quelques jours la suite saison 2.
Cette mère indigne se reprendra-t-elle...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...