COLLECTION LES CHIENNES. Ma fille. Saison II (5/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LES CHIENNES. Ma fille. Saison II (5/6)
J’ai réussi à faire venir la petite Radia pour littéralement la fourrer dans les pattes du réseau de celui qui a fait basculer mon cœur.
On peut penser que je joue un jeu morbide espérant que je vais le trahir dès que j’en aurais l’occasion.
Que nenni.
Le coup de foudre ça arrive et j’en suis sa victime.
Belle victime car je suis venue vivre chez lui dans sa villa sur les hauteurs de Nice.
C’est villa de haut luxe, il m’arrivait d’en rêver quand par ennui je montais sur les hauteurs admirer la vue.
Là c’est du lit de celui que je vais épouser ayant réussi la première partie du contrat de lui ramener Radia la petite Marocaine que je me prélasse.
La journée est radieuse, Monsieur a quitté ma couche alors je sonne.
Le majordome ouvre rapidement la porte et me dépose sur mes genoux un plateau avec de quoi reprendre des forces après la nuit que j’ai passée.
J’ai encore des choses à découvrir, tient par exemple pourquoi Firmin, je vais l’appeler Firmin est muet.
C’est un garçon d’une carrure impressionnante, je le croiserais au coin d’un bois, je pense que je frissonnerais de peur.
Il semble attaché à Monsieur comme la prunelle de ses yeux.
Qui y a-t-il entre eux, c’est un mystère que je dois éclaircir de peur de louper quelque chose.
De mon lit alors que je m’apprête à me lever pour plonger une tête dans la piscine, je vois Monsieur déambuler avec à ses côtés Boris.
Je saute du lit et je passe un peignoir.
J’ouvre la baie plus grande afin de pouvoir passer, malgré la chaleur et la clim, elle est restée entrouverte.
- Bonjours Boris, tu es bien matinal.
- J’avais dit à Monsieur que je viendrais m’occuper du dressage de Radia.
Bonne idée Madame, d’avoir pensé à elle pour partir vers le Moyen-Orient.
Je vais avoir la chance d’être le premier à lui enlever son pucelage.
- Monsieur, dite à ce nabot que c’est moi qui vais m’occuper du dressage de cette fille.
Vous me l’avez promis comme pour notre mariage.
- Le mariage, je viens d’appeler mon avocat qui va voir mon notaire pour tout organiser.
Il est près de moi, il me prend la main, retourne ma paume et me dépose un léger baisé.
- Justement, j’allais dire à Boris que dans un premier temps, ce sera-toi qui se chargera de son éducation.
J’aimerais voire comment tu vas t’y prendre.
- Installons-nous sur nos transats, mais avant peux-tu me faire parvenir une seringue de coke et une bouteille de champagne.
- Boris va dans notre réserve et prend la seringue dont nous nous servons pour contraindre les filles avant de les faire voyager.
Va dire à Wolfgang qu’il nous amène une bouteille de ma réserve.
Boris revient avec la seringue qu’il me met dans les mains.
Je suis indifférente à ce qu’est devenue ma fille depuis que j’ai rencontré l’amour.
Malgré ça, ça me fait un peu quelque chose de tenir dans mes mains l’objet qui a certainement contraint ma fille à la prostitution.
Je me lève, je prends la seringue avant de la vider dans la piscine.
- Attention Jennifer, c’est de la pure que tu viens de mélanger dans des centaines de mètres cubes d’eau javellisée.
- Pardon, je la récupère.
Nous éclatons de rire quand je remplis entièrement la seringue.
- Donne-moi la bouteille, beau brun, dit quelque chose, c’est stressant d’avoir un muet devant soi.
- Wolfgang est vraiment muet Jennifer.
Je l’ai sorties des griffes de truands Allemands avec lesquels je traitais et qui avait des reproches à lui faire.
Il était pendu comme tu l’as été toi-même avant que tu me fasses craquer.
Il lui avait déjà coupé la langue et aussi sa verge, son bâton.
Quand je l’ai fait hospitaliser, on aurait pu lui regreffer l’un et l’autre.
Héla ses tortionnaires après les avoir coupés, les ont envoyés dans la gueule de leur Dog allemand qui les a croqués d’un seul coup.
Tu comprends le problème.
- Pauvre garçon.
Wolfgang, posez la bouteille sur cette margelle après l’avoir débouchée.
Il est muet mais entend très bien car il s’exécute.
Le géant allemand prend le bouchon entre pouce et index tire sans enlever le fil de fer.
Le champagne gicle.
J’ai l’impression que s’il avait fait la même chose avec la tête d’un homme, il l’aurait ouverte comme il le fait avec la bouteille.
- Allez nous chercher la petite salope, vous allez voir comment on contraint une femme sans violence et sans en faire un légume.
Ils partent et reviennent avec la petite qui bat des pieds et hurle à qui veut l’entendre.
Elle est nue.
- Jennifer, je suis l’amie de ta fille Lucie, pourquoi m’avoir enlevé ?
- Ici, c’est nous qui parlons, j’aime cet homme et il me le rend bien, nous allons nous marier.
Pourquoi toi ?
Je vais répondre à ta question.
Car tu as oublié de venir me dire les débauches de ma fille.
C’est simplement pour ça que tu vas vivre ce qu’elle a vécu.
Nous avons tout notre temps, nous devons te livrer à nos commissionnaires dans quelques semaines.
Je vais faire de toi une pute qui comme elle se mettait à quatre pattes devant tous les mâles pour avoir sa dose de mort.
- Que veux-tu dire ?
- Regarde cette seringue, si tu savais, c’est celle qui a servi à contraindre Lucie à devenir une chienne lubrique.
Tu vois cette bouteille de champagne que Wolfgang a ouverte avec deux de ses doigts.
- Je suis musulman, l’alcool m’est interdit.
- Ça je le sais mais pour devenir une pute, il faut perdre son pucelage et c’est cette bouteille qui va te prendre le tient.
Après ta chatte sera ouverte aux quatre vents et tu connaîtras le goût des sexes masculins.
Tu seras prête pour te retrouver dans un harem où tu finiras ta vie.
- Non, surtout pas ça, ce sera mon époux qui me déflorera.
- Dis-toi que ton époux c’est cette bouteille de champagne sinon, messieurs, amenez-moi son bras que je la pique.
Je brandis la seringue.
Elle craque et tombe en larmes mais elle se dirige vers la bouteille.
Elle est jeune et souple et c’est sans problème que je vois Radia écarter ses grandes lèvres et descendre petit à petit faisant entrer le goulot.
Je vois du sang glisser entre chaire et verre, son hymen a éclaté.
- C’est bien, reste comme ça sans bouger.
- Mais je fatigue, je vais m’empaler sur cette bouteille.
- Comme tu t’empaleras sur les verges des hommes qui voudront de ton cul.
Elle tient mais finit par céder et je vois la bouteille entrer de plus de 10 centimètres dans son vagin.
- Relevez là monsieur, vous voyez sans la piquer j’ai réussi à ce qu’elle fasse ce que je voulais.
Balancer là à l’eau son dressage est loin d’être terminé.
Wolfgang prend Radia d’une main la soulève.
La bouteille est bien fichée en elle et elle tient.
Boris à côté tire dessus nous entendons un bruit de succion quand l’air passe entre les muqueuses.
Libéré il la balance dans la piscine.
Une fraction de seconde je vois son sang se mélanger à l’eau et à la drogue.
Par chance les quantités sont telles que rapidement l’eau s’éclaircie.
- Radia sort de l’eau, tu auras tout le temps de prendre des bains après que tu as fait voir à Monsieur que tu as compris que ton cul nous appartient.
Ayant perdu ta virginité je sais que pour les hommes de ton pays tu es perdu, tu es une femme impure.
Aucun d’eux n’acceptera de te passer une bague au doigt.
Viens faire voir à Monsieur que tu sais être une petite chienne lubrique.
Tout ce que je lui dis étant la réalité, elle sort de l’eau et viens vers nous.
Elle s’agenouille à la hauteur de la bite de mon homme qui me regarde.
D’un mouvement de tête je lui donne mon approbation et sa bouche entre en action.
J’ignore à ce jour combien elle a accepté d'en sucer mais la technique est parfaite et si côté chatte elle était vierge sa bouche est loin de l’être.
Monsieur bandant, elle se relève et vient s’empaler dessus.
Je devrais être jalouse mais je me rends compte que du moment que mon homme est satisfait je le suis aussi bien que je sente que je mouille.
Un nouveau sentiment est né en moi, maîtresse de nos jeux.
- Wolfgang, encule là, ça va plaire à Monsieur.
Avant que nous ayons le temps de réagir, Wolfgang balance Boris à la flotte aussi facilement qu’il l’a fait avec Radia.
Je le vois prendre de l’huile solaire en mettre sur sa main et l’avancer vers Radia.
Un moment je me demande ce qu’il va lui faire…
On peut penser que je joue un jeu morbide espérant que je vais le trahir dès que j’en aurais l’occasion.
Que nenni.
Le coup de foudre ça arrive et j’en suis sa victime.
Belle victime car je suis venue vivre chez lui dans sa villa sur les hauteurs de Nice.
C’est villa de haut luxe, il m’arrivait d’en rêver quand par ennui je montais sur les hauteurs admirer la vue.
Là c’est du lit de celui que je vais épouser ayant réussi la première partie du contrat de lui ramener Radia la petite Marocaine que je me prélasse.
La journée est radieuse, Monsieur a quitté ma couche alors je sonne.
Le majordome ouvre rapidement la porte et me dépose sur mes genoux un plateau avec de quoi reprendre des forces après la nuit que j’ai passée.
J’ai encore des choses à découvrir, tient par exemple pourquoi Firmin, je vais l’appeler Firmin est muet.
C’est un garçon d’une carrure impressionnante, je le croiserais au coin d’un bois, je pense que je frissonnerais de peur.
Il semble attaché à Monsieur comme la prunelle de ses yeux.
Qui y a-t-il entre eux, c’est un mystère que je dois éclaircir de peur de louper quelque chose.
De mon lit alors que je m’apprête à me lever pour plonger une tête dans la piscine, je vois Monsieur déambuler avec à ses côtés Boris.
Je saute du lit et je passe un peignoir.
J’ouvre la baie plus grande afin de pouvoir passer, malgré la chaleur et la clim, elle est restée entrouverte.
- Bonjours Boris, tu es bien matinal.
- J’avais dit à Monsieur que je viendrais m’occuper du dressage de Radia.
Bonne idée Madame, d’avoir pensé à elle pour partir vers le Moyen-Orient.
Je vais avoir la chance d’être le premier à lui enlever son pucelage.
- Monsieur, dite à ce nabot que c’est moi qui vais m’occuper du dressage de cette fille.
Vous me l’avez promis comme pour notre mariage.
- Le mariage, je viens d’appeler mon avocat qui va voir mon notaire pour tout organiser.
Il est près de moi, il me prend la main, retourne ma paume et me dépose un léger baisé.
- Justement, j’allais dire à Boris que dans un premier temps, ce sera-toi qui se chargera de son éducation.
J’aimerais voire comment tu vas t’y prendre.
- Installons-nous sur nos transats, mais avant peux-tu me faire parvenir une seringue de coke et une bouteille de champagne.
- Boris va dans notre réserve et prend la seringue dont nous nous servons pour contraindre les filles avant de les faire voyager.
Va dire à Wolfgang qu’il nous amène une bouteille de ma réserve.
Boris revient avec la seringue qu’il me met dans les mains.
Je suis indifférente à ce qu’est devenue ma fille depuis que j’ai rencontré l’amour.
Malgré ça, ça me fait un peu quelque chose de tenir dans mes mains l’objet qui a certainement contraint ma fille à la prostitution.
Je me lève, je prends la seringue avant de la vider dans la piscine.
- Attention Jennifer, c’est de la pure que tu viens de mélanger dans des centaines de mètres cubes d’eau javellisée.
- Pardon, je la récupère.
Nous éclatons de rire quand je remplis entièrement la seringue.
- Donne-moi la bouteille, beau brun, dit quelque chose, c’est stressant d’avoir un muet devant soi.
- Wolfgang est vraiment muet Jennifer.
Je l’ai sorties des griffes de truands Allemands avec lesquels je traitais et qui avait des reproches à lui faire.
Il était pendu comme tu l’as été toi-même avant que tu me fasses craquer.
Il lui avait déjà coupé la langue et aussi sa verge, son bâton.
Quand je l’ai fait hospitaliser, on aurait pu lui regreffer l’un et l’autre.
Héla ses tortionnaires après les avoir coupés, les ont envoyés dans la gueule de leur Dog allemand qui les a croqués d’un seul coup.
Tu comprends le problème.
- Pauvre garçon.
Wolfgang, posez la bouteille sur cette margelle après l’avoir débouchée.
Il est muet mais entend très bien car il s’exécute.
Le géant allemand prend le bouchon entre pouce et index tire sans enlever le fil de fer.
Le champagne gicle.
J’ai l’impression que s’il avait fait la même chose avec la tête d’un homme, il l’aurait ouverte comme il le fait avec la bouteille.
- Allez nous chercher la petite salope, vous allez voir comment on contraint une femme sans violence et sans en faire un légume.
Ils partent et reviennent avec la petite qui bat des pieds et hurle à qui veut l’entendre.
Elle est nue.
- Jennifer, je suis l’amie de ta fille Lucie, pourquoi m’avoir enlevé ?
- Ici, c’est nous qui parlons, j’aime cet homme et il me le rend bien, nous allons nous marier.
Pourquoi toi ?
Je vais répondre à ta question.
Car tu as oublié de venir me dire les débauches de ma fille.
C’est simplement pour ça que tu vas vivre ce qu’elle a vécu.
Nous avons tout notre temps, nous devons te livrer à nos commissionnaires dans quelques semaines.
Je vais faire de toi une pute qui comme elle se mettait à quatre pattes devant tous les mâles pour avoir sa dose de mort.
- Que veux-tu dire ?
- Regarde cette seringue, si tu savais, c’est celle qui a servi à contraindre Lucie à devenir une chienne lubrique.
Tu vois cette bouteille de champagne que Wolfgang a ouverte avec deux de ses doigts.
- Je suis musulman, l’alcool m’est interdit.
- Ça je le sais mais pour devenir une pute, il faut perdre son pucelage et c’est cette bouteille qui va te prendre le tient.
Après ta chatte sera ouverte aux quatre vents et tu connaîtras le goût des sexes masculins.
Tu seras prête pour te retrouver dans un harem où tu finiras ta vie.
- Non, surtout pas ça, ce sera mon époux qui me déflorera.
- Dis-toi que ton époux c’est cette bouteille de champagne sinon, messieurs, amenez-moi son bras que je la pique.
Je brandis la seringue.
Elle craque et tombe en larmes mais elle se dirige vers la bouteille.
Elle est jeune et souple et c’est sans problème que je vois Radia écarter ses grandes lèvres et descendre petit à petit faisant entrer le goulot.
Je vois du sang glisser entre chaire et verre, son hymen a éclaté.
- C’est bien, reste comme ça sans bouger.
- Mais je fatigue, je vais m’empaler sur cette bouteille.
- Comme tu t’empaleras sur les verges des hommes qui voudront de ton cul.
Elle tient mais finit par céder et je vois la bouteille entrer de plus de 10 centimètres dans son vagin.
- Relevez là monsieur, vous voyez sans la piquer j’ai réussi à ce qu’elle fasse ce que je voulais.
Balancer là à l’eau son dressage est loin d’être terminé.
Wolfgang prend Radia d’une main la soulève.
La bouteille est bien fichée en elle et elle tient.
Boris à côté tire dessus nous entendons un bruit de succion quand l’air passe entre les muqueuses.
Libéré il la balance dans la piscine.
Une fraction de seconde je vois son sang se mélanger à l’eau et à la drogue.
Par chance les quantités sont telles que rapidement l’eau s’éclaircie.
- Radia sort de l’eau, tu auras tout le temps de prendre des bains après que tu as fait voir à Monsieur que tu as compris que ton cul nous appartient.
Ayant perdu ta virginité je sais que pour les hommes de ton pays tu es perdu, tu es une femme impure.
Aucun d’eux n’acceptera de te passer une bague au doigt.
Viens faire voir à Monsieur que tu sais être une petite chienne lubrique.
Tout ce que je lui dis étant la réalité, elle sort de l’eau et viens vers nous.
Elle s’agenouille à la hauteur de la bite de mon homme qui me regarde.
D’un mouvement de tête je lui donne mon approbation et sa bouche entre en action.
J’ignore à ce jour combien elle a accepté d'en sucer mais la technique est parfaite et si côté chatte elle était vierge sa bouche est loin de l’être.
Monsieur bandant, elle se relève et vient s’empaler dessus.
Je devrais être jalouse mais je me rends compte que du moment que mon homme est satisfait je le suis aussi bien que je sente que je mouille.
Un nouveau sentiment est né en moi, maîtresse de nos jeux.
- Wolfgang, encule là, ça va plaire à Monsieur.
Avant que nous ayons le temps de réagir, Wolfgang balance Boris à la flotte aussi facilement qu’il l’a fait avec Radia.
Je le vois prendre de l’huile solaire en mettre sur sa main et l’avancer vers Radia.
Un moment je me demande ce qu’il va lui faire…
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