COLLECTION LES CHIENNES. Radia et son jardinier (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LES CHIENNES. Radia et son jardinier (1/1)
Histoire proposée par Radia, la jolie chienne marocaine, Romainro la mit en forme, je me suis contenté de finir de la mettre en phase.
Aujourd’hui je suis d’humeur très chaude.
Hier soir mon mari a trop mangé et s’est endormi dès qu’il s’est allongé dans le lit.
De ce fait, je n’ai pas une ma dose de sexe.
Même si je me suis caressée au rythme de ses ronflements, je suis loin d’être rassasiée.
Le matin, mon mari parti en m’abandonnant, je me baigne dans ma piscine toute nue comme à mon habitude.
Après quelques longueurs de bassin, je sors exposant ma nudité.
Je m’allonge sur un des transats.
Je fais d’abord colorer mon dos et mes fesses bien rebondies.
J’écarte suffisamment mes cuisses pour sentir la chaleur du soleil sur mes lèvres intimes.
J’aime tellement cette sensation de chaleur que je coule et pas seulement de transpiration.
Au bout d’un moment je me retourne pour que les rayons irradient totalement mon entrejambe.
Même si je ne suis pas trop sensible de la poitrine, j’aime bien sentir mes obus dorés lentement.
Je commence à avoir sacrément chaud.
N’ayant pas prévu de quoi boire, par flegme je me laisse glisser pour me rafraîchir dans la piscine.
C’est à ce moment que je remarque la présence d’Abdel mon jardinier me matant derrière un arbre.
Je me demande depuis combien de temps il m’observe.
Ce vieux salop à 52 ans et doit avoir envie de la jeune femme que je suis.
Hier au soir, n’ayant pas eu ma dose, même si je peux être flattée de lui plaire, ça me ferait bizarre d’avoir des pensées salaces pour un homme qui est presque aussi vieux que mon grand-père.
Il a vu que je le voyais, je le vois disparaître alors que mon corps entre dans l’eau.
Je recommence des longueurs quand j’entends la tondeuse à gazon démarrer.
En retournant sur mon transat, je mets ma large paire de lunettes de soleil, pour l’espionner plus discrètement.
Je m’amuse des regards déplacés de ce vieux cochon.
Il doit penser que je ne le vois pas.
Une fois que j’ai trouvé la position qui me permet de bien exhiber mes gros seins ainsi que ma chatte toute lisse, je fais mine de m’endormir.
Quelques minutes passent, je n’entends plus le bruit de la tondeuse et Abdel semble en avoir assez vu.
Je me retourne non seulement pour exposer toutes mes formes sous différents angles, mais aussi pour chercher ou ai pu passer mon jardinier.
Au bout d’un moment de silence, je le repère enfin, de nouveau caché derrière un arbre.
Je replie mes jambes et sans en avoir l’air, je les écarte lentement pour une nouvelle fois lui dévoiler ma jolie petite chatte.
Même si je n’arrive pas à bien le voir physiquement, les mouvements de son ombre ne laissent aucun doute sur l’activité de sa main.
J’essaye de me décaler doucement pour voir comment est sa queue.
Je ne vois que les mouvements venant de son bras me prouvant qu’il se masturbe.
Cela doit faire un quart d’heure que je l’imagine s’astiquer devant moi.
Je sens ma moule dégouliner de plaisir.
Tout d’un coup ses mouvements s’accélèrent et s’arrêtent d’un coup sec.
Abdel s’agite dans tous les sens, il doit ranger son costume trois-pièces et à mon grand regret disparaît.
J’aimais m’amuser à exciter ce vieux débris du haut de mes 21 ans.
Ayant été à l’extrême de ma perversion avec celui qui semble avoir fui, je me lève et court dans ma chambre.
Je m’allonge sur le lit et juste au moment où j’allais me caresser, je me rappelle que c’est le ramadan.
Je m’arrête juste à temps mais je commence à culpabiliser d’avoir fait casser le jeûne à mon vieux jardinier.
Du coup je prends la résolution de me calmer en sa présence du moins jusqu’à la fin de cette période de carême.
Heureusement le ramadan arrive rapidement à sa fin.
Je vais enfin pouvoir rattraper cette longue période d’abstinence forcée surtout que ce matin mon mari est parti en voyage d’affaires à l’étranger.
Je vais enfin retourner me baigner complètement nue sans avoir à culpabiliser de faire faire un pêcher à mon jardinier.
Après quelques longueurs ayant plaisir à sentir l’eau glisser sur ma peau.
Ajouté à cela, sa caresse le long de ma vulve et de ma raie, je sors de la piscine. Prenant de l’huile solaire, je me badigeonne tout le corps en cherchant mon jardinier et son regard concupiscent.
Hélas, je ne le vois nulle part.
Pourtant je sais qu’il est là depuis 10 heures ce matin.
Je m’allonge sur le transat et à peine quelques instants plus tard j’entends le bruit du tuyau d’arrosage s’approcher de moi.
Abdel se rapproche en arrosant les plantes.
Il est dans mon dos alors je ne le vois pas venir mais je fais encore plus ressortir mes fesses en espérant le mettre dans le même état que la dernière fois.
Mieux cette fois, j’espère voir son sexe.
Sans rien vous gâcher de la suite, je peux vous dire que je ne vais pas être déçue. Rien que de le sentir à seulement quelques dizaines de centimètres de moi, ça m’émoustille énormément.
Quand, à peine quelques instants plus tard je sens ses doigts rugueux se poser sur mon cul, j’en ai immédiatement la chair de poule.
Je n’en reviens pas de son audace.
Évidemment je le laisse faire et ses grosses mains calleuses commencent à malaxer mes globes fessiers.
Il me fait beaucoup d’effet.
Je ne pensais pas qu’un homme de son âge m’exciterait à ce point.
Il est vrai que me connaissant, je suis toujours prête quand je sens une bite non loin de moi surtout quand mon mari a oublié d’honorer sa petite femme.
J’ouvre légèrement mes cuisses pour le laisser attaquer mon mont de Vénus.
J’ignore si ce sont ses doigts ridés par le travail manuel ou juste le manque, mais je suis tellement ouverte et mouillée qu’il a aucun mal à me pénétrer avec son index et son majeur.
Son pouce rugueux se pose sur mon petit bouton et se met à le malaxer.
En moins d’une minute de ce traitement il me fait atteindre le nirvana.
Une fois que les spasmes de mon corps se calment, mon vieux jardinier retire ses doigts gluant de ma moule.
Je n’ai ni le temps de réagir, ni le temps de parler qu’il me retourne avec ses bras puissants.
Je l’ai souvent vu magnier sa hache quand il débite du bois.
Alors qu’il examine ma grotte bien ouverte d’un regard concupiscent, Abdel défait sa ceinture laissant tomber son pantalon.
Aucun sous-vêtement me dévoilant la plus large et longue bite que j’ai jamais vue de ma jeune vie.
Sans me demander mon avis, il vient me planter d’un coup sec.
Je pousse un petit cri de plaisir ainsi que d’étonnement alors mon employé pose sa main sur ma bouche pour m’empêcher d’hurler.
Immédiatement il me ramone à un rythme bien soutenu.
Malgré la taille de son chibre il a aucun mal à glisser en moi bien que je sois toute mouillée.
Il alterne le rythme de ses va et vient, il passe d'un limage très bestial à des allers-retours lents et délicats.
Il sait tellement ce qu’il fait que j’atteints rapidement, l’orgasme.
Je fais travailler mes parois internes.
Elles se contractent autour de ce membre qui écartèle ma chatte comme jamais.
Moi qui aime qu’on me parle bruyamment pendant qu’on me baise avec des mots crus, même s’il a libéré ma bouche, je n’échange pas un mot avec lui.
Les seuls bruits accompagnant notre coït ce sont nos gémissements et le bruit de ses couilles tapant sur mon cul.
La façon dont il m’a prise pourrait me faire penser qu’il est en train de me violenter, mais cette situation m’excite au plus haut point.
Surtout que c’est la première fois que je couche avec un homme aussi âgé.
Déjà, la taille de son sexe m’a impressionné et donné envie mais je n’en reviens pas de son endurance.
Cela doit bientôt faire une demi-heure qu’il me tringle et je sens mon énième orgasme poindre le bout de son nez.
Abdel se met à grogner de plus en plus fort.
La cadence de ses entrées et sorties de ma chatte ne cesse de s’accélérer.
Ses couilles cachées dans sa forêt de poils me fessent de plus en plus énergiquement.
Mon employé se penche sur moi et léchant mes seins, me donnant des coups de reins de plus en plus secs.
Je sens sa tige augmenter de volume en moiLa pulsion de son sang dans ses veines se met à palpiter contre les parois internes et déclenche une nouvelle jouissance.
Mon vagin se contracte tellement que je le sens se vider dans ma grotte qui se remplit rapidement.
J’adore sentir les giclées chaudes me tapisser, j’ai l’impression qu’il éjacule en continu une quantité très importante.
Avec se va et vient, il me donne l’impression de déborder en moi.
Je sens le mélange de nos sécrétions dégouliner comme jamais le long de ma raie.
Une fois ses couilles complètement vidées, il s’affale sur moi.
Je sens sa transpiration passer de mon corps à son corps accompagné d’une forte odeur pas des plus agréables.
J’aurais aimé le faire sortir de ma moule pour le prendre en bouche et mieux me rendre compte de son calibre mais son hygiène m’inquiète un peu.
Il était temps de m’en apercevoir.
Il reste planté en moi alors qu’il reprend sa respiration et d’un coup se retire, se relevant.
Je me redresse pour mieux voir sa queue, elle est encore bandée, pas complètement flasque.
Nos jus dégoulinent, j’étais prête à surmonter mon dégoût.
J’ai encore envie de lui mais il remonte son pantalon, ferme sa ceinture et ramasse le tuyau pour continuer l’arrosage comme si de rien était.
Je me lève et vais me rincer sous la douche extérieure.
Impossible de retourner dans ma piscine dans l’état où cette véritable sailli m’a mis.
Alors que je place mes doigts dans mon vagin, une énorme quantité de liquide visqueux et opaque coule de mon entrejambe finissant sur la margelle et dans le tout-à-l'égout.
Une fois que toutes les traces de nos ébats ont disparu, je rejoins l’eau de ma piscine.
Je me prélasse un long moment.
Régulièrement je jette des regards sur Abdel qui a repris son travail comme si de rien n’était et que nous ne venions pas de prendre, tous les deux, notre pied. Alors qu’il taille les haies pour qu’elles restent droites et impeccables, je retourne vers mon transat.
De nouveau, j’enduis mon corps de crème solaire, je n’ai pas l’impression qu’il me lorgne plus qu’avant.
Pour m’amuser je passe l’huile sur mes fesses et dans ma raie.
Pas de préférence non plus quand ma main se perd au niveau de ma vulve.
Un peu déçue, je m’allonge sur le ventre pour faire bronzer l’arrière de mon corps mais aussi espérer l’exciter avec mon fessier.
Je ne pensais pas sentir ses mains revenir se poser sur mes fesses aussi rapidement mais attention, je ne me plains pas.
Non seulement il est beaucoup plus chaud que je ne l’imaginais mais en plus je sens sa bite, de nouveau raide, contre ma jambe.
Je ne pensais pas qu’à son âge il réussirait à recharger aussi vite.
Alors que ses mains me malaxent, commençant même à descendre vers ma chatte, je me cambre de plus en plus.
Il me soulève comme un fétu de paille par la taille me plaçant à quatre pattes et m’enfile directement en levrette toujours sans échanger le moindre mot.
Il me ramone vigoureusement et me fait rapidement monter et atteindre un nouvel orgasme.
Je suis jeune, mon mari et mes amants savent me faire jouir, mais Abdel est le champion à ce jour pour moi.
Je n’en reviens pas quel homme !
Je n’avais jamais imaginé jusqu’à présent ce qu’il est capable de faire sexuellement.
Non seulement il est bien monté, surement la plus grosse queue que j’ai touchée de ma vie et qui m’ait enfilé, mais surtout, je loue son endurant car il ne faiblit pas.
Alors que je m’amuse à le serrer et desserrer dans ma grotte, à chaque fois que ma chatte se contracte, j’ai l’impression de l’aspirer et qu’il s’enfonce encore plus profondément en moi.
Je mouille tellement que je sens mon élixir glisser le long de mes cuisses avant de se mélanger à ma transpiration.
J’adore sentir son corps cogner contre le mien avec toute la puissance de ses coups de bite.
Même si je suis épuisé et que j’ai de plus en plus de mal à tenir sur mes jambes, je ne peux céder au plaisir de mon ultime orgasme de la journée, certainement le sixième, mais je ne suis pas sûr d’en avoir oublié.
Ça amène mon vieux jardinier à me remplir le con tout aussi abonnement qu’il y a moins d’une heure.
Même s’il m’a fait beaucoup de bien, je regrette que ça soit déjà fini.
J’étais prête à continuer pendant des heures encore.
Alors que sa queue ressort de mon trou béant et qui aura certainement du mal à se refermer, je regrette déjà de ne pas lui avoir proposé de visiter mon cul.
N’ayez crainte ça sera sûrement pour une prochaine fois...
Aujourd’hui je suis d’humeur très chaude.
Hier soir mon mari a trop mangé et s’est endormi dès qu’il s’est allongé dans le lit.
De ce fait, je n’ai pas une ma dose de sexe.
Même si je me suis caressée au rythme de ses ronflements, je suis loin d’être rassasiée.
Le matin, mon mari parti en m’abandonnant, je me baigne dans ma piscine toute nue comme à mon habitude.
Après quelques longueurs de bassin, je sors exposant ma nudité.
Je m’allonge sur un des transats.
Je fais d’abord colorer mon dos et mes fesses bien rebondies.
J’écarte suffisamment mes cuisses pour sentir la chaleur du soleil sur mes lèvres intimes.
J’aime tellement cette sensation de chaleur que je coule et pas seulement de transpiration.
Au bout d’un moment je me retourne pour que les rayons irradient totalement mon entrejambe.
Même si je ne suis pas trop sensible de la poitrine, j’aime bien sentir mes obus dorés lentement.
Je commence à avoir sacrément chaud.
N’ayant pas prévu de quoi boire, par flegme je me laisse glisser pour me rafraîchir dans la piscine.
C’est à ce moment que je remarque la présence d’Abdel mon jardinier me matant derrière un arbre.
Je me demande depuis combien de temps il m’observe.
Ce vieux salop à 52 ans et doit avoir envie de la jeune femme que je suis.
Hier au soir, n’ayant pas eu ma dose, même si je peux être flattée de lui plaire, ça me ferait bizarre d’avoir des pensées salaces pour un homme qui est presque aussi vieux que mon grand-père.
Il a vu que je le voyais, je le vois disparaître alors que mon corps entre dans l’eau.
Je recommence des longueurs quand j’entends la tondeuse à gazon démarrer.
En retournant sur mon transat, je mets ma large paire de lunettes de soleil, pour l’espionner plus discrètement.
Je m’amuse des regards déplacés de ce vieux cochon.
Il doit penser que je ne le vois pas.
Une fois que j’ai trouvé la position qui me permet de bien exhiber mes gros seins ainsi que ma chatte toute lisse, je fais mine de m’endormir.
Quelques minutes passent, je n’entends plus le bruit de la tondeuse et Abdel semble en avoir assez vu.
Je me retourne non seulement pour exposer toutes mes formes sous différents angles, mais aussi pour chercher ou ai pu passer mon jardinier.
Au bout d’un moment de silence, je le repère enfin, de nouveau caché derrière un arbre.
Je replie mes jambes et sans en avoir l’air, je les écarte lentement pour une nouvelle fois lui dévoiler ma jolie petite chatte.
Même si je n’arrive pas à bien le voir physiquement, les mouvements de son ombre ne laissent aucun doute sur l’activité de sa main.
J’essaye de me décaler doucement pour voir comment est sa queue.
Je ne vois que les mouvements venant de son bras me prouvant qu’il se masturbe.
Cela doit faire un quart d’heure que je l’imagine s’astiquer devant moi.
Je sens ma moule dégouliner de plaisir.
Tout d’un coup ses mouvements s’accélèrent et s’arrêtent d’un coup sec.
Abdel s’agite dans tous les sens, il doit ranger son costume trois-pièces et à mon grand regret disparaît.
J’aimais m’amuser à exciter ce vieux débris du haut de mes 21 ans.
Ayant été à l’extrême de ma perversion avec celui qui semble avoir fui, je me lève et court dans ma chambre.
Je m’allonge sur le lit et juste au moment où j’allais me caresser, je me rappelle que c’est le ramadan.
Je m’arrête juste à temps mais je commence à culpabiliser d’avoir fait casser le jeûne à mon vieux jardinier.
Du coup je prends la résolution de me calmer en sa présence du moins jusqu’à la fin de cette période de carême.
Heureusement le ramadan arrive rapidement à sa fin.
Je vais enfin pouvoir rattraper cette longue période d’abstinence forcée surtout que ce matin mon mari est parti en voyage d’affaires à l’étranger.
Je vais enfin retourner me baigner complètement nue sans avoir à culpabiliser de faire faire un pêcher à mon jardinier.
Après quelques longueurs ayant plaisir à sentir l’eau glisser sur ma peau.
Ajouté à cela, sa caresse le long de ma vulve et de ma raie, je sors de la piscine. Prenant de l’huile solaire, je me badigeonne tout le corps en cherchant mon jardinier et son regard concupiscent.
Hélas, je ne le vois nulle part.
Pourtant je sais qu’il est là depuis 10 heures ce matin.
Je m’allonge sur le transat et à peine quelques instants plus tard j’entends le bruit du tuyau d’arrosage s’approcher de moi.
Abdel se rapproche en arrosant les plantes.
Il est dans mon dos alors je ne le vois pas venir mais je fais encore plus ressortir mes fesses en espérant le mettre dans le même état que la dernière fois.
Mieux cette fois, j’espère voir son sexe.
Sans rien vous gâcher de la suite, je peux vous dire que je ne vais pas être déçue. Rien que de le sentir à seulement quelques dizaines de centimètres de moi, ça m’émoustille énormément.
Quand, à peine quelques instants plus tard je sens ses doigts rugueux se poser sur mon cul, j’en ai immédiatement la chair de poule.
Je n’en reviens pas de son audace.
Évidemment je le laisse faire et ses grosses mains calleuses commencent à malaxer mes globes fessiers.
Il me fait beaucoup d’effet.
Je ne pensais pas qu’un homme de son âge m’exciterait à ce point.
Il est vrai que me connaissant, je suis toujours prête quand je sens une bite non loin de moi surtout quand mon mari a oublié d’honorer sa petite femme.
J’ouvre légèrement mes cuisses pour le laisser attaquer mon mont de Vénus.
J’ignore si ce sont ses doigts ridés par le travail manuel ou juste le manque, mais je suis tellement ouverte et mouillée qu’il a aucun mal à me pénétrer avec son index et son majeur.
Son pouce rugueux se pose sur mon petit bouton et se met à le malaxer.
En moins d’une minute de ce traitement il me fait atteindre le nirvana.
Une fois que les spasmes de mon corps se calment, mon vieux jardinier retire ses doigts gluant de ma moule.
Je n’ai ni le temps de réagir, ni le temps de parler qu’il me retourne avec ses bras puissants.
Je l’ai souvent vu magnier sa hache quand il débite du bois.
Alors qu’il examine ma grotte bien ouverte d’un regard concupiscent, Abdel défait sa ceinture laissant tomber son pantalon.
Aucun sous-vêtement me dévoilant la plus large et longue bite que j’ai jamais vue de ma jeune vie.
Sans me demander mon avis, il vient me planter d’un coup sec.
Je pousse un petit cri de plaisir ainsi que d’étonnement alors mon employé pose sa main sur ma bouche pour m’empêcher d’hurler.
Immédiatement il me ramone à un rythme bien soutenu.
Malgré la taille de son chibre il a aucun mal à glisser en moi bien que je sois toute mouillée.
Il alterne le rythme de ses va et vient, il passe d'un limage très bestial à des allers-retours lents et délicats.
Il sait tellement ce qu’il fait que j’atteints rapidement, l’orgasme.
Je fais travailler mes parois internes.
Elles se contractent autour de ce membre qui écartèle ma chatte comme jamais.
Moi qui aime qu’on me parle bruyamment pendant qu’on me baise avec des mots crus, même s’il a libéré ma bouche, je n’échange pas un mot avec lui.
Les seuls bruits accompagnant notre coït ce sont nos gémissements et le bruit de ses couilles tapant sur mon cul.
La façon dont il m’a prise pourrait me faire penser qu’il est en train de me violenter, mais cette situation m’excite au plus haut point.
Surtout que c’est la première fois que je couche avec un homme aussi âgé.
Déjà, la taille de son sexe m’a impressionné et donné envie mais je n’en reviens pas de son endurance.
Cela doit bientôt faire une demi-heure qu’il me tringle et je sens mon énième orgasme poindre le bout de son nez.
Abdel se met à grogner de plus en plus fort.
La cadence de ses entrées et sorties de ma chatte ne cesse de s’accélérer.
Ses couilles cachées dans sa forêt de poils me fessent de plus en plus énergiquement.
Mon employé se penche sur moi et léchant mes seins, me donnant des coups de reins de plus en plus secs.
Je sens sa tige augmenter de volume en moiLa pulsion de son sang dans ses veines se met à palpiter contre les parois internes et déclenche une nouvelle jouissance.
Mon vagin se contracte tellement que je le sens se vider dans ma grotte qui se remplit rapidement.
J’adore sentir les giclées chaudes me tapisser, j’ai l’impression qu’il éjacule en continu une quantité très importante.
Avec se va et vient, il me donne l’impression de déborder en moi.
Je sens le mélange de nos sécrétions dégouliner comme jamais le long de ma raie.
Une fois ses couilles complètement vidées, il s’affale sur moi.
Je sens sa transpiration passer de mon corps à son corps accompagné d’une forte odeur pas des plus agréables.
J’aurais aimé le faire sortir de ma moule pour le prendre en bouche et mieux me rendre compte de son calibre mais son hygiène m’inquiète un peu.
Il était temps de m’en apercevoir.
Il reste planté en moi alors qu’il reprend sa respiration et d’un coup se retire, se relevant.
Je me redresse pour mieux voir sa queue, elle est encore bandée, pas complètement flasque.
Nos jus dégoulinent, j’étais prête à surmonter mon dégoût.
J’ai encore envie de lui mais il remonte son pantalon, ferme sa ceinture et ramasse le tuyau pour continuer l’arrosage comme si de rien était.
Je me lève et vais me rincer sous la douche extérieure.
Impossible de retourner dans ma piscine dans l’état où cette véritable sailli m’a mis.
Alors que je place mes doigts dans mon vagin, une énorme quantité de liquide visqueux et opaque coule de mon entrejambe finissant sur la margelle et dans le tout-à-l'égout.
Une fois que toutes les traces de nos ébats ont disparu, je rejoins l’eau de ma piscine.
Je me prélasse un long moment.
Régulièrement je jette des regards sur Abdel qui a repris son travail comme si de rien n’était et que nous ne venions pas de prendre, tous les deux, notre pied. Alors qu’il taille les haies pour qu’elles restent droites et impeccables, je retourne vers mon transat.
De nouveau, j’enduis mon corps de crème solaire, je n’ai pas l’impression qu’il me lorgne plus qu’avant.
Pour m’amuser je passe l’huile sur mes fesses et dans ma raie.
Pas de préférence non plus quand ma main se perd au niveau de ma vulve.
Un peu déçue, je m’allonge sur le ventre pour faire bronzer l’arrière de mon corps mais aussi espérer l’exciter avec mon fessier.
Je ne pensais pas sentir ses mains revenir se poser sur mes fesses aussi rapidement mais attention, je ne me plains pas.
Non seulement il est beaucoup plus chaud que je ne l’imaginais mais en plus je sens sa bite, de nouveau raide, contre ma jambe.
Je ne pensais pas qu’à son âge il réussirait à recharger aussi vite.
Alors que ses mains me malaxent, commençant même à descendre vers ma chatte, je me cambre de plus en plus.
Il me soulève comme un fétu de paille par la taille me plaçant à quatre pattes et m’enfile directement en levrette toujours sans échanger le moindre mot.
Il me ramone vigoureusement et me fait rapidement monter et atteindre un nouvel orgasme.
Je suis jeune, mon mari et mes amants savent me faire jouir, mais Abdel est le champion à ce jour pour moi.
Je n’en reviens pas quel homme !
Je n’avais jamais imaginé jusqu’à présent ce qu’il est capable de faire sexuellement.
Non seulement il est bien monté, surement la plus grosse queue que j’ai touchée de ma vie et qui m’ait enfilé, mais surtout, je loue son endurant car il ne faiblit pas.
Alors que je m’amuse à le serrer et desserrer dans ma grotte, à chaque fois que ma chatte se contracte, j’ai l’impression de l’aspirer et qu’il s’enfonce encore plus profondément en moi.
Je mouille tellement que je sens mon élixir glisser le long de mes cuisses avant de se mélanger à ma transpiration.
J’adore sentir son corps cogner contre le mien avec toute la puissance de ses coups de bite.
Même si je suis épuisé et que j’ai de plus en plus de mal à tenir sur mes jambes, je ne peux céder au plaisir de mon ultime orgasme de la journée, certainement le sixième, mais je ne suis pas sûr d’en avoir oublié.
Ça amène mon vieux jardinier à me remplir le con tout aussi abonnement qu’il y a moins d’une heure.
Même s’il m’a fait beaucoup de bien, je regrette que ça soit déjà fini.
J’étais prête à continuer pendant des heures encore.
Alors que sa queue ressort de mon trou béant et qui aura certainement du mal à se refermer, je regrette déjà de ne pas lui avoir proposé de visiter mon cul.
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