COLLECTION LES CHIENNES. Tout ça pour ça (4/8)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LES CHIENNES. Tout ça pour ça (4/8)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
- Police, dernière sommation, il est six heures, nous allons enfoncer la porte, ouvrez.
C’est par ces mots que j’ai entendu pour la première fois la voix de l’inspecteur Jean-Pierre de la police nationale.
Inspecteur qui semble vouloir prendre soin d’une petite Marocaine perdue en France et qu’il aurait pu faire enfermer, avant expulsion, étant entrée en France illégalement.
Il est parti depuis des heures.
Je suis enfermée dans cette maison isolée où se trouve un coffre dans lequel il a mis l’argent que j’avais soutiré à Jules.
Cet homme, vieux salopard, que nous étions venus dévaliser avec Christian le garçon qui m’avait fait traverser la Méditerranée et qui m'a dépucelée à Marbella.
Je fuyais un mari trop vieux pour moi à mon goût que mon père dans la plus pure tradition marocaine m’avait choisi comme époux.
La perte de mon pucelage me rendant impure, mon avenir de femme mariée est perdue.
Impossible de montrer aux mamas mon hymen et surtout les traces de mon sang sur les draps.
Je fais le tour des pièces, certaines sont fermées, d’autres comme la chambre est ouverte.
J’ouvre la fenêtre, les volets bloqués par des barres de fer soudé.
Pire que la prison où il aurait dû me faire enfermer et où Christian doit croupir.
Nul doute, je suis sa prisonnière, condamnée à suivre cet homme que j’entends revenir et à qui j’ai déjà sucé la queue.
- Je vois que tu as pris un bain et que tu m’attends sagement, j’ai de nombreuses nouvelles.
Que vais-je apprendre de nouveau, pourtant il a de nombreuses choses à m’apprendre ?
Pour commencer qu’est-ce qu’il attend de moi.
- Christian, le garçon qui t’a fait passer la frontière espagnole et française s’appelle en réalité Pedro.
Il est en réalité espagnol et avait un avis de recherche sur sa tête par la police de son pays.
J’ai passé son cas à la police en charge de son dossier.
Il va être expulsé pour être jugé à Madrid.
Quand je disais que je le voyais pour la dernière fois, j’avais raison.
La surprise vient du fait que mon dépuceleur, dans ma tête jusqu’au bout de ma vie, devait s’appeler Christian et qu’il devient Pedro.
- Quant à Jules, le propriétaire de la maison que vous avez cambriolé, avec ses trois complices, tu nous as permis de régler plusieurs affaires.
Sa femme, le facteur son amant et trois autres affaires de disparition de jeunes de notre région, deux filles et un jeune garçon.
Hélas, ils étaient enterrés sous une dalle de béton que ces quatre salopards fabriquaient à mesure qu’ils séquestraient et tuaient dans leur pièce des tortures d’où je t’ai sortie.
- Merci, de m’avoir sauvé.
- Quant à toi, j’ai réussi qu’aucune Radia n’apparaisse dans le dossier, certains copains m’ont aidé.
Tu vas rester ici quelque temps, afin que je sois sûr que tout soit bien cadré.
S’il le faut je trouverai un moyen de dire que c’était une erreur.
Nous t’avons fait devenir transparente, un miracle te fera réapparaître.
Enlève tes affaires et allonge-toi.
J’ai envie de tirer un coup, j’ai aimé la pipe que tu m’as taillée avec que je m’absente.
C’est comme ça que ma vie m’échappe de nouveau.
Christian, pardon Pedro, avait une certaine compassion pour moi, là j’ai nettement l’impression que je suis un puits à bite.
Une fois allongé, il vient en moi directement sans la moindre trace de respect pour la femme que je suis.
Certes l’argent dont il a su tout de suite qui l’avait volé m’a montré le peu d’intérêt qu’il porte à ma personne.
Coup de chance, il avait énormément envie, il décharge rapidement.
Ses affaires terminées, il m’emmène dans sa cuisine et me fait préparer ses repas.
Une fois la vaisselle faite, nous retournons dans sa chambre.
- Dit moi ton copain Pedro, t’a-t-il déjà sodomisé ?
Quand je disais que mon destin était tracé.
Radia est déjà une fille de rien, baisant avec des hommes hors mariage, mais rapidement je sens la verge de ce salaud de flic ripou se positionner pour m’emmancher.
Je crois définitivement que je vais abandonner Pedro, impossible de me mettre en tête que mon dépuceleur s’appelait ainsi.
Alors, un nom où un autre peu m’importe, j’ai le temps de réfléchir à ce que va être mon avenir.
Il décharge, et se retourne me montrant toujours autant de sentiment.
Pendant plusieurs jours, il va il vient, je m’habitue à être baisée, sodomisée, lui faire des gorges profondes.
Gorges profondes, c’est lui qui m’apprend ce terme, il semble finir mon éducation sexuelle mais dans quel but ?
A-t-il lui aussi une dalle où sont enfouies des femmes telles celle qui avait laissé sa petite culotte le jour où il m’a amené ici ?
Je perds la notion du temps, du moins du jour où nous sommes.
Un jour il arrive avec un collier, une laisse et des menottes qu’il s’empresse de me passer.
- Bon, ton affaire s’est tassée.
Pedro est en Espagne en attente de son jugement pour passeur de drogue, cambriolage et plusieurs autres affaires.
Les collègues espagnoles ont posé des questions pour savoir si en France il était avec une jeune femme brune de peau.
Nous leur avons soutenu que non, ils se sont contentés de cette réponse.
Jules et ses complices ont fait de longs aveux.
Ils seront incarcérés certainement à vie après leur procès qui se tiendra d’ici deux ans.
Et toi, petite Radia ma petite salope, ou es-tu, nulle part, évaporée, pas une fois son nom n’apparaît, on va pouvoir partir en voyage.
Il me passe le collier et me tient en laisse comme une chienne qu’il semble vouloir faire de moi.
- Je te les ai choisis blanc, ton collier va ressortir sur ta peau mate.
- Pourquoi me mettre un collier, suis-je une chienne ?
Depuis le premier jour où il m’a enfermé en sortant de chez Jules, j’avais l’impression que ma situation avait évolué.
La baffe qu’il me donne aurait pu me faire faire trois tours dans mon slip si j’en avais porté un.
Je vois trente-six chandelles manquant de mourir étouffée car il venait de me mettre la laisse qui se tend quand je tombe sur mes fesses.
- Suis-moi, là où je te t’emmène, Magda saura te faire travailler.
Ça sent mauvais pour moi, j’ai à peine le temps de me relever qu’il me tire vers le garage.
Dans le garage, la porte arrière d’une camionnette marquée « Police Nationale » borgne est ouverte.
Il me fait monter.
Il prend des menottes à sa ceinture et m’attache une main à une barre m’obligeant à m’asseoir le cul sur la ferraille.
Sans un mot, il ferme la porte arrière.
J’entends la porte automatique du garage s’ouvrir, nous démarrons.
Pendant combien de temps roulons-nous avant que je n'entende une autre porte coulisser et que ma prison s’ouvre.
J’ai mal aux fesses, même un chien on en prend plus soin que l’on en a pris pour moi.
Je suis de nouveau tirée hors de cette voiture, une femme est là, assez quelconque.
Elle a dû être belle, mais l’abus de bien des choses dans la vie a fait d’elle cette femme au regard noir.
Elle est en peignoir, elle doit avoir une poitrine de jument.
Une pensée me vient, chez nous au Maroc, une chaudasse nous l’appelons une « jument ».
- C’est bon Jean-Pierre, je prends le relais passe-moi sa laisse.
Une beurette, ça va plaire, les Français aiment baiser les femmes venant de l’autre côté de la Méditerranée.
- Détrompe-toi, Radia nous vient tout droit du Maroc avec une étape en Espagne.
Tu verras, elle est docile, avec toi je suis sûr qu’elle sera se tenir sage, avec moi, elle a appris à faire tout ce que je lui demandais.
- J’espère, allons la coucher, je viens de fermer et les filles dorment.
Comme prévu tu emmènes Dalia aux chantiers, tu la déposes auprès de Jacky en passant, il l’attend.
Ici madame fait sa grande dame, quand elle aura fait deux ou trois jours là-bas, nous aurons un vrai mouton.
Je l’espère car avec ses cheveux blonds, elle plait.
- Je l’amène à Jacky sans problème, avec la camionnette de police rachetée une bouchée de pain, c’est impeccable.
J’ai passé un contrôle sans être inquiété, les collègues m’ont même ouvert la route me saluant quand nous sommes passés.
Nous longeons un couloir, c'est bien ce que je pensais, je viens d’entrer dans un autre monde.
Magda ouvre une porte fermée par de gros verrous, elle m’enlève ma laisse et les menottes me laissant mon collier.
- Prends ce lit à droite et dors, mes filles sont crevées, nous avons fait le plein ce soir.
Je m’allonge, la cave où nous sommes est chaude, les quatre filles présentes dorment nues sur leur lit avec simplement un drap au-dessous, ma voisine dormant en ronflant à même un oreiller.
Magda va vers le lit du fond, secoue la fille qui est allongée et lui attache ma laisse à son mousqueton.
- Viens Dalia, depuis le temps que tu me défies, tu vas faire de la bite noire, ça va te radoucir le cuir.
La fille tente de se réfugier au bout de son lit.
- Non, pas les chantiers, j’ai mis trois jours à m’en remettre la dernière fois.
Les autres filles se réveillent, voient qu’elles échappent au destin de leur copine, se retournent et se rendorment.
La porte se referme, l’inspecteur emmenant Dalia vers ses chantiers, de la bite noire, Magda a bien dit de la bite noire sur des chantiers, ça semble explicite, je suis dans un bordel.
Toutes ces filles qui dorment ont tapiné une partie de la journée et de la nuit.
J’ai du mal à dormir, j’ai la tête à plat, je dors toujours la tête sur un oreiller, sur le lit que l’on m’a assigné, il manque.
La veilleuse me permet de voir qu’il y en a un sur le lit laissé vide par Dalia.
Je me lève discrètement et m’approchant du lit, je me saisis de l’objet convoité.
On me prend le bras, serrant fortement.
- Alors on arrive et on est déjà voleuse.
La fille du lit d’à côté me tire à elle, elle me prend par mon collier et approche sa bouche de ma bouche.
- Ici le peu que nous avons, c’est sacré.
- T’as vu Olga c’est une beurette, tu les adores, elle va pouvoir remplacer Dalia le temps qu’elle est partie.
- T’as raison, broute-moi la chatte, j’ai ramassé ce soir, j’en ai fait treize, je savais que ça allait me porter bonheur.
La veilleuse allumée me montre cette fille bien plus forte que moi.
C’est vers sa chatte entièrement épilée qu’elle me conduit d’une poigne de fer.
Pour la première fois, après des bites, c’est un vagin que je commence à lécher.
Je sais que les femmes ont un clitoris, dans le temps dans mon pays nous étions excisées lors d’une opération.
Heureusement, c’est interdit, je suis entière comme Olga qui commence à jouir sous ma langue.
Je viens de découvrir un nouveau monde.
Que va-t-il encore m’arriver ?…
Merci Anne des corrections.
- Police, dernière sommation, il est six heures, nous allons enfoncer la porte, ouvrez.
C’est par ces mots que j’ai entendu pour la première fois la voix de l’inspecteur Jean-Pierre de la police nationale.
Inspecteur qui semble vouloir prendre soin d’une petite Marocaine perdue en France et qu’il aurait pu faire enfermer, avant expulsion, étant entrée en France illégalement.
Il est parti depuis des heures.
Je suis enfermée dans cette maison isolée où se trouve un coffre dans lequel il a mis l’argent que j’avais soutiré à Jules.
Cet homme, vieux salopard, que nous étions venus dévaliser avec Christian le garçon qui m’avait fait traverser la Méditerranée et qui m'a dépucelée à Marbella.
Je fuyais un mari trop vieux pour moi à mon goût que mon père dans la plus pure tradition marocaine m’avait choisi comme époux.
La perte de mon pucelage me rendant impure, mon avenir de femme mariée est perdue.
Impossible de montrer aux mamas mon hymen et surtout les traces de mon sang sur les draps.
Je fais le tour des pièces, certaines sont fermées, d’autres comme la chambre est ouverte.
J’ouvre la fenêtre, les volets bloqués par des barres de fer soudé.
Pire que la prison où il aurait dû me faire enfermer et où Christian doit croupir.
Nul doute, je suis sa prisonnière, condamnée à suivre cet homme que j’entends revenir et à qui j’ai déjà sucé la queue.
- Je vois que tu as pris un bain et que tu m’attends sagement, j’ai de nombreuses nouvelles.
Que vais-je apprendre de nouveau, pourtant il a de nombreuses choses à m’apprendre ?
Pour commencer qu’est-ce qu’il attend de moi.
- Christian, le garçon qui t’a fait passer la frontière espagnole et française s’appelle en réalité Pedro.
Il est en réalité espagnol et avait un avis de recherche sur sa tête par la police de son pays.
J’ai passé son cas à la police en charge de son dossier.
Il va être expulsé pour être jugé à Madrid.
Quand je disais que je le voyais pour la dernière fois, j’avais raison.
La surprise vient du fait que mon dépuceleur, dans ma tête jusqu’au bout de ma vie, devait s’appeler Christian et qu’il devient Pedro.
- Quant à Jules, le propriétaire de la maison que vous avez cambriolé, avec ses trois complices, tu nous as permis de régler plusieurs affaires.
Sa femme, le facteur son amant et trois autres affaires de disparition de jeunes de notre région, deux filles et un jeune garçon.
Hélas, ils étaient enterrés sous une dalle de béton que ces quatre salopards fabriquaient à mesure qu’ils séquestraient et tuaient dans leur pièce des tortures d’où je t’ai sortie.
- Merci, de m’avoir sauvé.
- Quant à toi, j’ai réussi qu’aucune Radia n’apparaisse dans le dossier, certains copains m’ont aidé.
Tu vas rester ici quelque temps, afin que je sois sûr que tout soit bien cadré.
S’il le faut je trouverai un moyen de dire que c’était une erreur.
Nous t’avons fait devenir transparente, un miracle te fera réapparaître.
Enlève tes affaires et allonge-toi.
J’ai envie de tirer un coup, j’ai aimé la pipe que tu m’as taillée avec que je m’absente.
C’est comme ça que ma vie m’échappe de nouveau.
Christian, pardon Pedro, avait une certaine compassion pour moi, là j’ai nettement l’impression que je suis un puits à bite.
Une fois allongé, il vient en moi directement sans la moindre trace de respect pour la femme que je suis.
Certes l’argent dont il a su tout de suite qui l’avait volé m’a montré le peu d’intérêt qu’il porte à ma personne.
Coup de chance, il avait énormément envie, il décharge rapidement.
Ses affaires terminées, il m’emmène dans sa cuisine et me fait préparer ses repas.
Une fois la vaisselle faite, nous retournons dans sa chambre.
- Dit moi ton copain Pedro, t’a-t-il déjà sodomisé ?
Quand je disais que mon destin était tracé.
Radia est déjà une fille de rien, baisant avec des hommes hors mariage, mais rapidement je sens la verge de ce salaud de flic ripou se positionner pour m’emmancher.
Je crois définitivement que je vais abandonner Pedro, impossible de me mettre en tête que mon dépuceleur s’appelait ainsi.
Alors, un nom où un autre peu m’importe, j’ai le temps de réfléchir à ce que va être mon avenir.
Il décharge, et se retourne me montrant toujours autant de sentiment.
Pendant plusieurs jours, il va il vient, je m’habitue à être baisée, sodomisée, lui faire des gorges profondes.
Gorges profondes, c’est lui qui m’apprend ce terme, il semble finir mon éducation sexuelle mais dans quel but ?
A-t-il lui aussi une dalle où sont enfouies des femmes telles celle qui avait laissé sa petite culotte le jour où il m’a amené ici ?
Je perds la notion du temps, du moins du jour où nous sommes.
Un jour il arrive avec un collier, une laisse et des menottes qu’il s’empresse de me passer.
- Bon, ton affaire s’est tassée.
Pedro est en Espagne en attente de son jugement pour passeur de drogue, cambriolage et plusieurs autres affaires.
Les collègues espagnoles ont posé des questions pour savoir si en France il était avec une jeune femme brune de peau.
Nous leur avons soutenu que non, ils se sont contentés de cette réponse.
Jules et ses complices ont fait de longs aveux.
Ils seront incarcérés certainement à vie après leur procès qui se tiendra d’ici deux ans.
Et toi, petite Radia ma petite salope, ou es-tu, nulle part, évaporée, pas une fois son nom n’apparaît, on va pouvoir partir en voyage.
Il me passe le collier et me tient en laisse comme une chienne qu’il semble vouloir faire de moi.
- Je te les ai choisis blanc, ton collier va ressortir sur ta peau mate.
- Pourquoi me mettre un collier, suis-je une chienne ?
Depuis le premier jour où il m’a enfermé en sortant de chez Jules, j’avais l’impression que ma situation avait évolué.
La baffe qu’il me donne aurait pu me faire faire trois tours dans mon slip si j’en avais porté un.
Je vois trente-six chandelles manquant de mourir étouffée car il venait de me mettre la laisse qui se tend quand je tombe sur mes fesses.
- Suis-moi, là où je te t’emmène, Magda saura te faire travailler.
Ça sent mauvais pour moi, j’ai à peine le temps de me relever qu’il me tire vers le garage.
Dans le garage, la porte arrière d’une camionnette marquée « Police Nationale » borgne est ouverte.
Il me fait monter.
Il prend des menottes à sa ceinture et m’attache une main à une barre m’obligeant à m’asseoir le cul sur la ferraille.
Sans un mot, il ferme la porte arrière.
J’entends la porte automatique du garage s’ouvrir, nous démarrons.
Pendant combien de temps roulons-nous avant que je n'entende une autre porte coulisser et que ma prison s’ouvre.
J’ai mal aux fesses, même un chien on en prend plus soin que l’on en a pris pour moi.
Je suis de nouveau tirée hors de cette voiture, une femme est là, assez quelconque.
Elle a dû être belle, mais l’abus de bien des choses dans la vie a fait d’elle cette femme au regard noir.
Elle est en peignoir, elle doit avoir une poitrine de jument.
Une pensée me vient, chez nous au Maroc, une chaudasse nous l’appelons une « jument ».
- C’est bon Jean-Pierre, je prends le relais passe-moi sa laisse.
Une beurette, ça va plaire, les Français aiment baiser les femmes venant de l’autre côté de la Méditerranée.
- Détrompe-toi, Radia nous vient tout droit du Maroc avec une étape en Espagne.
Tu verras, elle est docile, avec toi je suis sûr qu’elle sera se tenir sage, avec moi, elle a appris à faire tout ce que je lui demandais.
- J’espère, allons la coucher, je viens de fermer et les filles dorment.
Comme prévu tu emmènes Dalia aux chantiers, tu la déposes auprès de Jacky en passant, il l’attend.
Ici madame fait sa grande dame, quand elle aura fait deux ou trois jours là-bas, nous aurons un vrai mouton.
Je l’espère car avec ses cheveux blonds, elle plait.
- Je l’amène à Jacky sans problème, avec la camionnette de police rachetée une bouchée de pain, c’est impeccable.
J’ai passé un contrôle sans être inquiété, les collègues m’ont même ouvert la route me saluant quand nous sommes passés.
Nous longeons un couloir, c'est bien ce que je pensais, je viens d’entrer dans un autre monde.
Magda ouvre une porte fermée par de gros verrous, elle m’enlève ma laisse et les menottes me laissant mon collier.
- Prends ce lit à droite et dors, mes filles sont crevées, nous avons fait le plein ce soir.
Je m’allonge, la cave où nous sommes est chaude, les quatre filles présentes dorment nues sur leur lit avec simplement un drap au-dessous, ma voisine dormant en ronflant à même un oreiller.
Magda va vers le lit du fond, secoue la fille qui est allongée et lui attache ma laisse à son mousqueton.
- Viens Dalia, depuis le temps que tu me défies, tu vas faire de la bite noire, ça va te radoucir le cuir.
La fille tente de se réfugier au bout de son lit.
- Non, pas les chantiers, j’ai mis trois jours à m’en remettre la dernière fois.
Les autres filles se réveillent, voient qu’elles échappent au destin de leur copine, se retournent et se rendorment.
La porte se referme, l’inspecteur emmenant Dalia vers ses chantiers, de la bite noire, Magda a bien dit de la bite noire sur des chantiers, ça semble explicite, je suis dans un bordel.
Toutes ces filles qui dorment ont tapiné une partie de la journée et de la nuit.
J’ai du mal à dormir, j’ai la tête à plat, je dors toujours la tête sur un oreiller, sur le lit que l’on m’a assigné, il manque.
La veilleuse me permet de voir qu’il y en a un sur le lit laissé vide par Dalia.
Je me lève discrètement et m’approchant du lit, je me saisis de l’objet convoité.
On me prend le bras, serrant fortement.
- Alors on arrive et on est déjà voleuse.
La fille du lit d’à côté me tire à elle, elle me prend par mon collier et approche sa bouche de ma bouche.
- Ici le peu que nous avons, c’est sacré.
- T’as vu Olga c’est une beurette, tu les adores, elle va pouvoir remplacer Dalia le temps qu’elle est partie.
- T’as raison, broute-moi la chatte, j’ai ramassé ce soir, j’en ai fait treize, je savais que ça allait me porter bonheur.
La veilleuse allumée me montre cette fille bien plus forte que moi.
C’est vers sa chatte entièrement épilée qu’elle me conduit d’une poigne de fer.
Pour la première fois, après des bites, c’est un vagin que je commence à lécher.
Je sais que les femmes ont un clitoris, dans le temps dans mon pays nous étions excisées lors d’une opération.
Heureusement, c’est interdit, je suis entière comme Olga qui commence à jouir sous ma langue.
Je viens de découvrir un nouveau monde.
Que va-t-il encore m’arriver ?…
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