COLLECTION LESBIENNE. Découverte de notre sexualité (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION LESBIENNE. Découverte de notre sexualité (1/2)
• Céline, je peux te demander quelque chose !
• Pourquoi prends-tu, ce ton solennel ?
• Car ce que je vais te demander va peut-être te déplaire.
• Si tu continues à être énigmatique c’est là que tu vas me déplaire !
• Alors, je me lance, je, je, je...
• Accouche, je peux tout entendre.
• Est-ce que tu, tu, tu ?...
• Au revoir, tu me diras ça demain au lycée.
• Reste, je me lance, est-ce que tu te masturbes ?
• Ben, ben, ben...
• Tu vois, toi aussi tu en perds ton langage, pourtant ma question est simple.
• Bien sûr, quelle question, c’est de notre âge, parce que toi !
• Oui, je me masturbe et quand tu le fais tu prends du plaisir ?
• Bien sûr, je me branle le clito et après quelques secondes, je sens des frissons dans tout mon corps et même sais-tu ce qu’est une femme fontaine !
• Non, je l’ignore, dis-moi ?
• Lorsque j’atteins mon plaisir, mon corps expulse de grands jets de liquide, certaines disent que c’est de la cyprine.
• Mon dieu, tu es bien en avance sur moi, de grands jets de liquide, c’est incroyable.
• Incroyable, mais chiant, je dois mettre une serviette sous moi, car sinon j’en mets pleins, les draps.
• Si tu me poses cette question, c’est que tu as un problème !
• Oui, et j’ai honte.
• Tu me dis que tu te masturbes, depuis longtemps !
• Quelques semaines, j’ai lu un livre ou une jeune femme se passait un doigt et y prenait du plaisir, depuis j’essaye sans aucun plaisir.
Et toi, quand as-tu commencé ?
• Comment te dire, je me masturbe si souvent, douze treize ans ?
Je parie que ta mère est pour beaucoup dans ce retard que tu as pris dans ta sexualité de jeune fille.
• Tu connais ma mère, je dors avec interdiction de fermer ma porte à clef, il lui arrive de venir la nuit sous couvert de voir si la lumière est bien éteinte.
• Lorsque je suis dans la salle de bains, il est fréquent qu’elle ait quelque chose à venir déposer dans la panière à linge salle.
Mais pourquoi la salle de bains, je me lave et puis c’est tout ?
• La jouissance sur ton clito par le jet de la douchette, tu connais !
• Non, je me rince entre les jambes et puis s’est tout !
• Le mal est profond, les jets sur ma chatte et mon clito me permettent d’avoir du plaisir, mais bien moins qu’avec mes doigts.
Enlève ton short et met toi sur ton lit en écartant les jambes, fais-moi voir, comment tu fais, tu dois mal t’y prendre.
Laure, mon amie se défait le bas, mais garde sa petite culotte.
• Lorsque tu te couches, gardes-tu ta petite culotte ?
• Oui, mais j’en mets une propre.
• Enlève-moi ça, il y a bien longtemps que je me suis regardé ma chatte, dans une glace.
• Quelle horreur, dans une glace ?
• Oui, depuis que j’ai commencé à compter mes poils qui poussaient, mais depuis c’est impossible.
• Ils sont trop nombreux !
• Non, je me rase la chatte sauf mon mont de Vénus, je garde une petite touffe noire.
• Tu te rases la chatte, je voudrais bien voir ça !
• Commence par me faire voir, comment tu te caresses, laisse ta culotte, fais là glisser sur le côté.
Merde, une vraie forêt vierge, ton père se rase avec quoi !
• Mousse à raser et coupe-choux en nacre.
• Veux-tu que je te débarrasse de tous ces poils, va me chercher la mousse et le rasoir ?
Cécile se lève file vers la salle de bain et revient avec tout ce qu’il me faut.
Avant de se remettre sur son lit, elle se met nue, c’est la première fois que je vois sa chatte aussi noir que la mienne, mais aussi ses seins bien plus développés que les miens.
• Fais attention, évite de me couper.
• Depuis que j’ai l’âge de me regarder la chatte, c’est moi qui rase mon père avec son rasoir, même s’il est simplement avec un manche en bois.
Je me sers du même pour moi lorsqu’il est parti au travail les mercredis après-midi, comme nous le faisons ce mercredi.
Je fais de la mousse, à la maison j’ai de la mousse en bombe, chacun ces pratiques.
Rapidement, je fais partir une masse de poils jusqu’à ce que ça soit nickel, une vraie poupée sans sexualité, mais une jolie fente apparente.
• Va te regarder, je pense que tu vas te plaire, nettoie bien le coupe-choux, un jour mon père a retrouvé un poli entre les branches et la lame et il a incriminé ma mère de s’en être servi.
Pour lui je suis toujours sa petite fille, il a été incapable de penser que c’était moi qui ayant grandi s’en servais.
Elle ramasse la serviette plein de poils, qu’elle avait amené et j’entends l’eau couler.
Elle voulait voir mon clito, lorsqu’elle revient je me suis dénudée.
• Tu vois, tu es comme moi, de vraies petites poupées.
Remets-toi sur le lit et recommence à te caresser, ici personne pour te découvrir.
Elle s’exécute, mais je vois rapidement qu’elle est vraiment maladroite et je comprends pourquoi elle a du mal à se faire jouir.
• Regarde, ton clito est bien au chaud caché par un petit capuchon, dégage-le, puis passe le bout de ton doigt délicatement dessus.
Non, tu es maladroite, laisse-moi faire.
J’écarte ses lèvres vaginales, je dégage son clito et j’y passe le bout de mon index.
• Uf...
• Tu vois, tu réagis, tu as vu, continue, moi je vais faire pareille, je suis sûr que tu vas te faire jouir avant moi.
Je me place face à elle et j’écarte les jambes, espérant sa réaction, ce qui immanquablement arrive.
• Met tu es un garçon, tu as une petite bite, je suis innocente de bien des choses, mais nous avons eu des cours d’éducation sexuelle.
• Justement, c’est un clito surdéveloppé, lorsque je suis née, à la maternité, ils ont dit à mes parents que j’étais un garçon, avant de revenir leur dire leur erreur.
Je me caresse, elle se caresse, j’ai horreur de perdre et je vois à ses yeux que Cécile va se faire jouir.
Je me redresse, j’écarte ses mains et c’est ma langue qui s’empare de sa chatte et lorsqu’elle me met ses mains sur mes cheveux et appuie, ma langue finit par la faire jouir.
Je me redresse.
• Merci Cécile, tu viens de me faire découvrir le plaisir, je t’en serais toujours reconnaissante.
• Tu vois, tu arrives à jouir, il te fallait simplement savoir que tu comprends comment ça marche.
• Je vois ton clito, je comprends qu’il ait pu se tromper à ta naissance.
Viens dans mes bras, tu m’as ouvert la vue sur ce que je suis, je suis faite pour aimer les femmes.
Mince, il me manquait plus que ça, j’ai voulu aider Laure dans sa sexualité un peu retardée pour une jeune fille de dix-huit ans et je me retrouve avec une amoureuse se prenant pour une gouine.
• Tout doux ma belle, je suis ton amie, je t’aime bien, mais dire de telles choses après un cunnilingus, c’est aller un peu vite en besogne.
Samedi après-midi, es-tu libre ?
• Oui, pourquoi ?
• Viens chez moi, je le suis aussi ma mère et mon beau-père sont au ski, nous continuerons ton éducation sexuelle.
• Mon éducation sexuelle, mais c’est toi Céline, j’aimerais que nous restions ensemble au mépris des préjugés de mes parents.
• Viens samedi, nous en reparlerons.
Laure se rhabille et me quitte, il faut que samedi je fasse évoluer les choses, pour ma part, je me serais bien passé de cette charge qui m’échoie.
J’ai bien assez de mes problèmes sexuels, physiquement tout est normal, mais mon dépucelage par mon beau-père en est un.
Un matin, j’étais dans notre cuisine, maman venait de partie au travail à son hôpital, elle assumait le poste du matin.
Paul, c’est son nom est venu derrière moi, ça faisait trois ans qu’il était avec maman et comme il avait toujours été correct, j’avais un peu relâché mon vestimentaire comme le ferait une fille envers son père.
Attention, pas nue dans ma cuisine, mais en peignoir, nue sous le dessous et parfaitement fermée.
Il est arrivé derrière moi et a collé son corps au mien.
Je l’ai repoussé, mais j’ai senti un instant sa verge se plaquant à mes fesses.
Il bandait ce salaud et mes fréquentes masturbations commençaient à me peser.
Je pourrais prétendre que je suis une faible femme, pardon jeune femme et porter toute la responsabilité de ce que j’ai fait après sur mon beau-père.
Cette verge, qui en aurait agressé plus d’une, je voulais la voir de plus près alors je me suis retournée à sa nouvelle sollicitation.
Ma main s’est glissée dans son caleçon, lui aussi avait relâché sa façon de s’habiller le temps ayant fait son oeuvre.
Sa main s’est glissée dans mon peignoir et m’a empaumé un sein.
Je me suis mise à frissonner...
• Pourquoi prends-tu, ce ton solennel ?
• Car ce que je vais te demander va peut-être te déplaire.
• Si tu continues à être énigmatique c’est là que tu vas me déplaire !
• Alors, je me lance, je, je, je...
• Accouche, je peux tout entendre.
• Est-ce que tu, tu, tu ?...
• Au revoir, tu me diras ça demain au lycée.
• Reste, je me lance, est-ce que tu te masturbes ?
• Ben, ben, ben...
• Tu vois, toi aussi tu en perds ton langage, pourtant ma question est simple.
• Bien sûr, quelle question, c’est de notre âge, parce que toi !
• Oui, je me masturbe et quand tu le fais tu prends du plaisir ?
• Bien sûr, je me branle le clito et après quelques secondes, je sens des frissons dans tout mon corps et même sais-tu ce qu’est une femme fontaine !
• Non, je l’ignore, dis-moi ?
• Lorsque j’atteins mon plaisir, mon corps expulse de grands jets de liquide, certaines disent que c’est de la cyprine.
• Mon dieu, tu es bien en avance sur moi, de grands jets de liquide, c’est incroyable.
• Incroyable, mais chiant, je dois mettre une serviette sous moi, car sinon j’en mets pleins, les draps.
• Si tu me poses cette question, c’est que tu as un problème !
• Oui, et j’ai honte.
• Tu me dis que tu te masturbes, depuis longtemps !
• Quelques semaines, j’ai lu un livre ou une jeune femme se passait un doigt et y prenait du plaisir, depuis j’essaye sans aucun plaisir.
Et toi, quand as-tu commencé ?
• Comment te dire, je me masturbe si souvent, douze treize ans ?
Je parie que ta mère est pour beaucoup dans ce retard que tu as pris dans ta sexualité de jeune fille.
• Tu connais ma mère, je dors avec interdiction de fermer ma porte à clef, il lui arrive de venir la nuit sous couvert de voir si la lumière est bien éteinte.
• Lorsque je suis dans la salle de bains, il est fréquent qu’elle ait quelque chose à venir déposer dans la panière à linge salle.
Mais pourquoi la salle de bains, je me lave et puis c’est tout ?
• La jouissance sur ton clito par le jet de la douchette, tu connais !
• Non, je me rince entre les jambes et puis s’est tout !
• Le mal est profond, les jets sur ma chatte et mon clito me permettent d’avoir du plaisir, mais bien moins qu’avec mes doigts.
Enlève ton short et met toi sur ton lit en écartant les jambes, fais-moi voir, comment tu fais, tu dois mal t’y prendre.
Laure, mon amie se défait le bas, mais garde sa petite culotte.
• Lorsque tu te couches, gardes-tu ta petite culotte ?
• Oui, mais j’en mets une propre.
• Enlève-moi ça, il y a bien longtemps que je me suis regardé ma chatte, dans une glace.
• Quelle horreur, dans une glace ?
• Oui, depuis que j’ai commencé à compter mes poils qui poussaient, mais depuis c’est impossible.
• Ils sont trop nombreux !
• Non, je me rase la chatte sauf mon mont de Vénus, je garde une petite touffe noire.
• Tu te rases la chatte, je voudrais bien voir ça !
• Commence par me faire voir, comment tu te caresses, laisse ta culotte, fais là glisser sur le côté.
Merde, une vraie forêt vierge, ton père se rase avec quoi !
• Mousse à raser et coupe-choux en nacre.
• Veux-tu que je te débarrasse de tous ces poils, va me chercher la mousse et le rasoir ?
Cécile se lève file vers la salle de bain et revient avec tout ce qu’il me faut.
Avant de se remettre sur son lit, elle se met nue, c’est la première fois que je vois sa chatte aussi noir que la mienne, mais aussi ses seins bien plus développés que les miens.
• Fais attention, évite de me couper.
• Depuis que j’ai l’âge de me regarder la chatte, c’est moi qui rase mon père avec son rasoir, même s’il est simplement avec un manche en bois.
Je me sers du même pour moi lorsqu’il est parti au travail les mercredis après-midi, comme nous le faisons ce mercredi.
Je fais de la mousse, à la maison j’ai de la mousse en bombe, chacun ces pratiques.
Rapidement, je fais partir une masse de poils jusqu’à ce que ça soit nickel, une vraie poupée sans sexualité, mais une jolie fente apparente.
• Va te regarder, je pense que tu vas te plaire, nettoie bien le coupe-choux, un jour mon père a retrouvé un poli entre les branches et la lame et il a incriminé ma mère de s’en être servi.
Pour lui je suis toujours sa petite fille, il a été incapable de penser que c’était moi qui ayant grandi s’en servais.
Elle ramasse la serviette plein de poils, qu’elle avait amené et j’entends l’eau couler.
Elle voulait voir mon clito, lorsqu’elle revient je me suis dénudée.
• Tu vois, tu es comme moi, de vraies petites poupées.
Remets-toi sur le lit et recommence à te caresser, ici personne pour te découvrir.
Elle s’exécute, mais je vois rapidement qu’elle est vraiment maladroite et je comprends pourquoi elle a du mal à se faire jouir.
• Regarde, ton clito est bien au chaud caché par un petit capuchon, dégage-le, puis passe le bout de ton doigt délicatement dessus.
Non, tu es maladroite, laisse-moi faire.
J’écarte ses lèvres vaginales, je dégage son clito et j’y passe le bout de mon index.
• Uf...
• Tu vois, tu réagis, tu as vu, continue, moi je vais faire pareille, je suis sûr que tu vas te faire jouir avant moi.
Je me place face à elle et j’écarte les jambes, espérant sa réaction, ce qui immanquablement arrive.
• Met tu es un garçon, tu as une petite bite, je suis innocente de bien des choses, mais nous avons eu des cours d’éducation sexuelle.
• Justement, c’est un clito surdéveloppé, lorsque je suis née, à la maternité, ils ont dit à mes parents que j’étais un garçon, avant de revenir leur dire leur erreur.
Je me caresse, elle se caresse, j’ai horreur de perdre et je vois à ses yeux que Cécile va se faire jouir.
Je me redresse, j’écarte ses mains et c’est ma langue qui s’empare de sa chatte et lorsqu’elle me met ses mains sur mes cheveux et appuie, ma langue finit par la faire jouir.
Je me redresse.
• Merci Cécile, tu viens de me faire découvrir le plaisir, je t’en serais toujours reconnaissante.
• Tu vois, tu arrives à jouir, il te fallait simplement savoir que tu comprends comment ça marche.
• Je vois ton clito, je comprends qu’il ait pu se tromper à ta naissance.
Viens dans mes bras, tu m’as ouvert la vue sur ce que je suis, je suis faite pour aimer les femmes.
Mince, il me manquait plus que ça, j’ai voulu aider Laure dans sa sexualité un peu retardée pour une jeune fille de dix-huit ans et je me retrouve avec une amoureuse se prenant pour une gouine.
• Tout doux ma belle, je suis ton amie, je t’aime bien, mais dire de telles choses après un cunnilingus, c’est aller un peu vite en besogne.
Samedi après-midi, es-tu libre ?
• Oui, pourquoi ?
• Viens chez moi, je le suis aussi ma mère et mon beau-père sont au ski, nous continuerons ton éducation sexuelle.
• Mon éducation sexuelle, mais c’est toi Céline, j’aimerais que nous restions ensemble au mépris des préjugés de mes parents.
• Viens samedi, nous en reparlerons.
Laure se rhabille et me quitte, il faut que samedi je fasse évoluer les choses, pour ma part, je me serais bien passé de cette charge qui m’échoie.
J’ai bien assez de mes problèmes sexuels, physiquement tout est normal, mais mon dépucelage par mon beau-père en est un.
Un matin, j’étais dans notre cuisine, maman venait de partie au travail à son hôpital, elle assumait le poste du matin.
Paul, c’est son nom est venu derrière moi, ça faisait trois ans qu’il était avec maman et comme il avait toujours été correct, j’avais un peu relâché mon vestimentaire comme le ferait une fille envers son père.
Attention, pas nue dans ma cuisine, mais en peignoir, nue sous le dessous et parfaitement fermée.
Il est arrivé derrière moi et a collé son corps au mien.
Je l’ai repoussé, mais j’ai senti un instant sa verge se plaquant à mes fesses.
Il bandait ce salaud et mes fréquentes masturbations commençaient à me peser.
Je pourrais prétendre que je suis une faible femme, pardon jeune femme et porter toute la responsabilité de ce que j’ai fait après sur mon beau-père.
Cette verge, qui en aurait agressé plus d’une, je voulais la voir de plus près alors je me suis retournée à sa nouvelle sollicitation.
Ma main s’est glissée dans son caleçon, lui aussi avait relâché sa façon de s’habiller le temps ayant fait son oeuvre.
Sa main s’est glissée dans mon peignoir et m’a empaumé un sein.
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