COLLECTION LESBIENNE. Femme pour femme (5/8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION LESBIENNE. Femme pour femme (5/8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION LESBIENNE. Femme pour femme (5/8)
Ça fait bientôt six mois que je suis devenue une femme pour femme comme on dit dans le beau monde que je fréquente depuis la première passe que j’ai faite avec la femme de Marc F.
Mince, j’allais dire son nom alors que la discrétion est la première chose que j’ai apprise depuis mes premiers 2 000 € gagnés.
Si les voisins de mes parents, dans le camping où nous allions chaque année mon père aimant pêcher la truite à la mouche, savaient cela !
Mon père a durant toute sa vie de pécheur rêvé à la prose ultime, la prise de la méga truite qu’il fera empailler pour la mettre au-dessus de la cheminée dans notre pavillon à l’est de Paris.
J’y habite toujours, mais maintenant c’est une dame qui le quitte, moi, pour aller presque tous les jours, brouter des chattes, se servir des godes qui sont dans la valise que Marguerite, Comtesse, la femme qui m’a contactée à Salins-les bains en me montrant son intimité m' offerts.

Devenir Miss France, c’est loin d’être difficile quand toutes les semaines vous allez chez l’un des plus grands coiffeurs du XVIearrondissement ainsi que dans la boutique d’un grand couturier qui vous reçoit et vous confectionne une garde-robe digne de ces jeunes femmes qui défilent bêtement pour espérer gagner une couronne éphémère Bien sûr, j’avais des prédispositions étant une jeune fille aussi belle que ma maman l’était.

Depuis combien de jours vais-je voir papa tous les jours avant d’aller à mon rendez-vous du jour ?
Moyenne 2 000 €, le moment d’intimité avec mes clientes.
Mon compte en banque commence à se remplir malgré les frais engendrés, la beauté appréciée par ces dames qui aiment me baiser et que je les baise, coutent.
Je peux diviser ces dames du Tout-Paris lesbien qui se payent des femmes pour femme en trois catégories.

Les actives, elles vous sautent au paf comme le ferait un homme.
Enfin grâce aux godes que j’ai dans ma valise.

Les passives, c’est vous qui faites tout, elles attendent les cuisses écartées, se font placer en levrette pour qu’après avoir entouré votre bassin du gode dont maman se servait mais qui il a été impossible de vous faire sauter votre hymen.

La troisième catégorie, passive active, passive quand c’est moi qui m’occupe de leurs clitos et actives quand elles me mettent la main dans la chatte pour me fister pendant que j’en fais de même pour elles.
Sur la place de Paris, je suis la pute qui se fait fister, je remplis ma caisse, mais surtout j’ai le droit à un joli pourboire chaque fois que leurs mains sont au fond de mon vagin.

Ça me permet de choyer papa, bien qu’il soit dans l’incapacité de répondre depuis que je l’ai placé dans cet institut.
À oui, sans oublier les clitoris dont je parlais le paragraphe précédent.
Combien j’en ai caressé, sucé, cherché quelquefois avec la langue ou bien les doigts sans jamais les trouver !
Ces femmes sont vaginales et non clitoridiennes.
Pour elle, une seule solution, le gode, celui le plus gros, celui du Comte qui a réussi à me dépuceler.
Il faut bien leur remplir la chatte en levrette et les défoncer longuement, à coup sûr vous avez votre pourboire.
Bref, je suis la catin tendance de l’année chez ces femmes du monde.

J’ai fréquemment Marguerite au téléphone, elle a gardé des liens avec beaucoup de femmes de son carnet, vingt ans de prostitution ça crée des liens.
Elle commence toujours par me demander des nouvelles de papa, on voit qu’elle aussi a fait partie du beau monde parisien.
Elle est fière de moi, je suis son digne successeur, dès ma première passe chez Marc Fernau avec sa femme Clotilde.
Elle m’a donné un conseil.
Clotilde a globalement apprécié ma prestation, mais quand elle a joui, elle a ressenti un certain désintéressement.
Elle m’explique que ces femmes aiment croire qu’elles nous ont fait jouir nous aussi, il faut savoir simuler.

Nous sommes à quelques jours de Noël, je suis chez Charlotte après m'être faits faire mon brushing, le salon est voisin de son hôtel particulier.

• Viviane, que fais-tu le soir de Noël !
• Peu de chose, je verrai papa vers 16 heures, après il est aux soins avant qu’on le couche avec une soupe qu’il avale, donnée par son infirmière personnelle.
• 20 heures ici, c’est possible, nous serons quelques amies dont Marc et Clotilde ainsi que Yolande, mon amie. Confidence de femme à femme, Yolande est ma petite amie, elle a remplacé Marguerite quand elle a décidé de se retirer à Salins-les-bains.
Pour finir, Marie ma fille, elle vient d’être reçue à ses examens et vient d’entrer dans le cabinet Julliard, plus grand cabinet d’avocats fiscaliste de Paris.
• J’ignorais que tu avais une fille, je croyais qu’entre les hommes et toi, il y avait incompatibilité.
• Confidence pour confidence, la science a de l’avance sur nos lois et le sperme d’un ami académicien m’a permis de me faire une insémination artificielle interdite ici en France, mais bien sûr il faut savoir se taire. Marie, était surdouée tout au long de ses études, elle a reçu les gènes de Jean son père.
C’était un si bel homme aux yeux bleus.
Avec lui, j’aurais pu dépasser ma phobie des verges mais j’ai toujours reculé.
Vas-tu à la messe ?
• Jusqu’à ma communion, mais depuis juste pour l’enterrement d’une cousine.
• À 22 heures comme tous les ans, nous irons à l’église non loin d’ici tous ensemble.
Je sais 22 heures pour une messe de minuit, c'est bizarre, mais hélas toutes les traditions se perdent dans ce bas monde.
Après nous réveillonnerons.

C’est ainsi que j’arrive à l’heure.
Je suis devant la porte de l’immeuble prête à faire le code, une main me devance passant par-dessus mon épaule.

• Laisse, je vais le faire, inutile de déranger la bonne qui prépare notre repas de ce soir.

Es-tu Viviane, la description que m’a faite mère te correspond très bien ?

• Vous êtes Marie la fille de Charlotte, je suis bête, vous lui ressemblez tellement, on pourrait la prendre pour votre jumelle.

Je vois que je viens de dire une énormité, en un mot je viens de lui dire qu’elle est aussi vieille que sa mère.

• Je vois ce que tu penses, soit sans crainte, il est vrai que mère fait très jeune et moi, je me vieillis avec ces lunettes à monture noire.
Ça impressionne quand je suis à la barre et que je défends le dossier d’un client indéfendable.
• Si tu veux, enlève-les.
• Je préférerais ôter mon string que mes lunettes, à me recarder, je me trouverais plus que nue. Tu m’as tutoyé, c’est parfait, pour une fois qu’il y aura une jeune fille à ces repas de Noël ennuyeux.
• Sais-tu réellement qui je suis, tu es une très jolie femme, je pourrais avoir du sentiment pour toi et tu serais déçue ?


Elle éclate de rire, ouvre la porte et me fait entrer.

• Qui tu es, crois-tu que dans notre milieu Viviane soit une inconnue pour toutes les lesbiennes de notre castre.

Viviane, la femme pour femme spécialiste de se faire fister, tu vois tu n’as rien à craindre de moi.
Je sais tout, mère ne me cache rien depuis que je l’ai surprise avec son ancienne amante Marguerite à se sucer la chatte en 69.
Sans se méprendre sur le chiffre 69, c’était leur position quand je l’ai trouvée dans notre salon un soir où m’étant embrouillé avec une copine je suis rentrée plus tôt que prévu.
Avance, malgré ton manteau tu vas prendre froid BB.

J’adore la façon dont elle semble dévorer la vie.
Sous ses lunettes, je vois dans la lumière du hall ses beaux yeux bleus qui, si j’avais été une autre, auraient pu me faire craquer.
Depuis ma découverte de mon homosexualité, je n’ai eu dans mes bras que des femmes qui m’ont payée.
Je serais déçue que Marie, cette grande fille avec malgré ça des seins qui font ressortir le devant de son manteau rouge sang sur ses hauts talons cinq centimètres plus hauts que les miens, me propose de me payer.

Dans le salon lieu de la découverte de la sexualité de sa mère par Marie, tous sont là.
Marc et Clotilde, je remarque son regard vers moi, plutôt sur ma chatte à travers mon tailleur il va de soi.
Se dit-elle qu’elle a été ma première cliente à me fister entraînant par la suite la réputation que je semble avoir ?
Yolande est accrochée au bras de Charlotte, si je l’avais croisée dans la rue, je lui aurais dit « bonsoir monsieur » dans son costume masculin trois pièces et ses rouflaquettes sur ses tempes avec ses cheveux coupés court comme un mâle.
Dans ce couple, de suite, je sais qui est l’active et qui est la passive.
Dans la valise de Marguerite, j’ai trouvé des menottes et des martinets, nul doute que ce couple doit se servir de ce genre de matériel.
Pour ma part, je m’en suis servie pas plus tard qu’avant-hier, juste le jour où Charlotte m’a invitée pour le réveillon, une femme d’une quarantaine d'années m’a donné 3 000 € et 500 de pourboire pour que je l’attache en croix sur son lit et que je la fouette jusqu’au sang.
Elle s’appelle Annie, c’était mentionné dans le calepin avec une mention spéciale sur ce penchant.
Je me suis appliquée à la corriger, ayant mal pour elle quand je l’ai libérée, obligée de la porter dans son bain, tellement elle avait dérouillé.
J’en avais mal au bras, heureusement que ce genre de masochiste est rare parmi mes clientes, je finirais avec une tendinite du coude.

Il est 21 h 30 quand nous partons pour la messe à quelques centaines de mètres.
Marie me regarde et prend ma main.
Entrée dans l’église, rapidement je remarque outre Clotilde, Marthe avec ses trois enfants, Madeleine avec son mari, tient celui-là je le connais aussi c’est un présentateur télé.
J’en compte six grâce auquel mon bas de laine s’enrichit permettant surtout à Papa d’avoir une fin de vie heureuse, même s’il ne sait certainement pas qu’il vit encore.
« Aimez-vous, les uns, les autres, un sauveur nous est né », c’est ainsi qu’elles doivent mettre en pratique le sermon du curé quand elles me tendent l’enveloppe nous permettant de frotter nos chattes l’une contre l’autre…

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Texte coquin : COLLECTION LESBIENNE. Femme pour femme (5/8)
Histoire sexe : Une rose rouge
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