COLLECTION LESBIENNES. Découverte (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION LESBIENNES. Découverte (1/2)
- Bien les gars, bonne soirée, évitez de vous battre si l’un ou l’autre prend un but.
PSG, Marseille, pour nous c’est du pareil au même.
- Barrez-vous, l’arbitre donne le coup d’envoi.
Nous nous dirigeons vers la porte d’entrée quand j’entends Luis, mon mari parfait macho d’origine portugaise interpeller son copain Boris.
- Ou vont-elles ?
- Resto et ciné, du moins c’est ce que me dit Marie-Ange, chaque fois qu’elle sort avec une copine les jours de matchs.
C’est tout ce que j’entends, la porte du palier claquant derrière nous.
- Tu as entendu Boris, ton mari !
A-t-il raison, tu m’as promis une surprise, au téléphone, quand tu nous as invités ?
- Oui et non, mais si je te dis où nous allons aller, la surprise tombe, laisse-toi guider.
Boris avait raison sur un point, le resto.
Avant de partir, nous avons reçu margaritas et calzone d’un livreur qu’ils vont se partager avec les pacs de bière dont ils ont tapissé le frigo.
Les tournées de bière, seul effort qu’ils consentiront à faire.
Même après le match, se remémorant les meilleures actions et surtout les erreurs faites par ce putain d’arbitre.
Pardon, cet enculé d’arbitre.
Oh ! hisse, enculé !
À chaque dégagement d’une équipe ou de l’autre.
À quoi ça sert d’insulter ce pauvre gars, seul contre vingt-deux sans compter les bancs de touche et les entraineurs.
Ajoutez le public et vous avez une belle brochette de sous-développés qui, hélas, touche la plupart des pays du monde.
J’ai même une amie Radia, marocaine de Casablanca supportrice du Barca, Rod son mec du Real de Madrid.
Bonjours leur soirée quand c’est le derby des deux clubs comme ce soir le match PSG, Marseille que nous fuyons.
- Ou veux-tu manger ou plutôt que désires-tu manger Claire ?
Nous sommes dans la rue piétonne où se trouvent tous les restaurants.
Thaï ?
Chinois ?
Français, un vrai bon gros steak avec des frites ?
Où Italiens comme nos hommes ?
C’est Marie-Ange qui conduit, je vais pouvoir dîner en buvant un verre de vin.
J’adore le chianti depuis notre voyage de noces à Venise.
Luis voulait m’emmener dans sa famille près de Lisbonne.
Lisbonne, ça faisait deux ans que nous y allions à chaque vacance sachant que dans dix ans nous viendrons avec nos enfants sous couvert qu’ils voient leurs grands-parents.
J’ai donc tenu bon et il a accepté de nous faire visiter Venise.
- Dis-moi, ton mari, c’est facile de vivre avec lui, il me semble être un parfait phallocrate !
Moi je, moi je.
Il y a longtemps que je l’aurais envoyé promener surtout avant d’avoir charge d’âme.
- J’y ai pensé, je le reconnais, mais la vie va si vite qu’il y a toujours quelque chose pour que je repousse.
Et toi ?
- À part les soirs de matchs, Boris est une perle.
Petit déjeuner au lit avec croissants chauds, été comme hiver.
C’est un amour, mais il y a un petit point noir, nous avons beau essayer, nous voudrions un enfant et ça nous est impossible.
Nous sommes en train de consulter, mais parlons d’autre chose, tu as choisi !
- Italien, pas comme nos maris des pizzas, mais des escalopes milanaises.
- Chez Gaetano, tu verras ce sont les meilleurs à des kilomètres à la ronde.
Avec du Chianti je suppose.
- Tu supposes bien, mais toi fais attention, tu conduis.
Marie-Ange a raison, même à Milan où nous avons passé deux jours avant de rejoindre Venise, les escalopes étaient moins savoureuses que celles que nous mangeons dans ce resto.
- Le repas parfait, la surprise, c’est quel film nous allons voir comme l’a dit ton mari !
- Suis-moi, le film que nous allons voir est bien vivant, il se trouve au bout de cette petite impasse.
Seule les initiées connaissent son existence.
- Tu m’intrigues.
Au bout de l’impasse une enseigne lumineuse, « Club privé ».
Mon amie sonne, un petit Juda s’ouvre puis la porte.
- Marie-Ange, bien venue, il y a bien longtemps que ta présence nous manque.
- Sabine, tu sais que je suis mariée et que les occasions de rejoindre ton club sont rares et difficiles pour moi.
- Je sais, j’aurais dû me douter de ta visite, ce soir c’est jour de match.
Mais, dis-moi, qu’est cette beauté brune que tu nous amènes ?
- Claire, mais attention elle est mariée et son mari est italien !
- Entrez, tu sais très bien que les femmes mariées ou pas, quand j’aime je suis prête à tout.
Surprise, je m’attendais à tous sauf que Marie-Ange m’amène dans un club lesbien.
Dans la salle et au bar, de nombreux couples de femmes toute plus étrange les unes que les autres.
Gotique, femme du monde, des couples toutes femmes dans des alcôves à s’embrasser sans aucune pudeur.
- Viviane, j’espérais te voir, tu es seule.
- Non, je suis avec Claire une amie.
- Dommage, je t’aurais bien offert un verre.
- Marie-Ange, bois un verre avec Viviane, je m’occupe de Claire, j’adore ses yeux verts, aussi verts que les miens.
Prononçant ces mots, la patronne du club me prend la main et me dépose ses lèvres dessus.
Un frisson me parcourt le dos.
Certes, cette salle est climatisée, mais que je réagisse à ces lèvres effleurant l’intérieur de mon poignet, c’est tout autre chose.
L’intérieur de mon poignet car au moment du baisemain, au lieu d’effleurer le dos, elle le fait tourner pour attaquer mon poignet.
- Patricia, sers-nous deux coupes, mon amie a soif.
- Où va Marie-ange ?
- Soit zen, les matchs sont cour et ses visites le sont tout autant.
Viviane est une voisine et célibataire, je pense que tu es assez intelligente pour comprendre à quel jeu, elles vont s’adonner.
- Marie-Ange est lesbienne.
- Si l’on veut, je dirais qu’elle est bisexuelle.
Mais dis-moi et toi, je vois une alliance à ton annulaire, tu es marié ?
- Oui, avec Luis.
- Et c’est toujours l’amour fou !
- Pourquoi me parlez-vous de mes amours ?
- Car tu me plait beaucoup.
Les nouvelles clientes qui me plaisent sont si rares que dès que je t’ai vu, j’ai eu envie de te serrer sur mon corps.
As-tu déjà fait l’amour avec une femme, par exemple Marie-Ange ?
Je suis à deux doigts de lui dire quelle horreur, mais dans ce club si près du fourreau blanc qui recouvre cette magnifique rousse aux yeux verts elle aussi, aurais été indécente.
- Oh non jamais !
- Quel cri du cœur…
PSG, Marseille, pour nous c’est du pareil au même.
- Barrez-vous, l’arbitre donne le coup d’envoi.
Nous nous dirigeons vers la porte d’entrée quand j’entends Luis, mon mari parfait macho d’origine portugaise interpeller son copain Boris.
- Ou vont-elles ?
- Resto et ciné, du moins c’est ce que me dit Marie-Ange, chaque fois qu’elle sort avec une copine les jours de matchs.
C’est tout ce que j’entends, la porte du palier claquant derrière nous.
- Tu as entendu Boris, ton mari !
A-t-il raison, tu m’as promis une surprise, au téléphone, quand tu nous as invités ?
- Oui et non, mais si je te dis où nous allons aller, la surprise tombe, laisse-toi guider.
Boris avait raison sur un point, le resto.
Avant de partir, nous avons reçu margaritas et calzone d’un livreur qu’ils vont se partager avec les pacs de bière dont ils ont tapissé le frigo.
Les tournées de bière, seul effort qu’ils consentiront à faire.
Même après le match, se remémorant les meilleures actions et surtout les erreurs faites par ce putain d’arbitre.
Pardon, cet enculé d’arbitre.
Oh ! hisse, enculé !
À chaque dégagement d’une équipe ou de l’autre.
À quoi ça sert d’insulter ce pauvre gars, seul contre vingt-deux sans compter les bancs de touche et les entraineurs.
Ajoutez le public et vous avez une belle brochette de sous-développés qui, hélas, touche la plupart des pays du monde.
J’ai même une amie Radia, marocaine de Casablanca supportrice du Barca, Rod son mec du Real de Madrid.
Bonjours leur soirée quand c’est le derby des deux clubs comme ce soir le match PSG, Marseille que nous fuyons.
- Ou veux-tu manger ou plutôt que désires-tu manger Claire ?
Nous sommes dans la rue piétonne où se trouvent tous les restaurants.
Thaï ?
Chinois ?
Français, un vrai bon gros steak avec des frites ?
Où Italiens comme nos hommes ?
C’est Marie-Ange qui conduit, je vais pouvoir dîner en buvant un verre de vin.
J’adore le chianti depuis notre voyage de noces à Venise.
Luis voulait m’emmener dans sa famille près de Lisbonne.
Lisbonne, ça faisait deux ans que nous y allions à chaque vacance sachant que dans dix ans nous viendrons avec nos enfants sous couvert qu’ils voient leurs grands-parents.
J’ai donc tenu bon et il a accepté de nous faire visiter Venise.
- Dis-moi, ton mari, c’est facile de vivre avec lui, il me semble être un parfait phallocrate !
Moi je, moi je.
Il y a longtemps que je l’aurais envoyé promener surtout avant d’avoir charge d’âme.
- J’y ai pensé, je le reconnais, mais la vie va si vite qu’il y a toujours quelque chose pour que je repousse.
Et toi ?
- À part les soirs de matchs, Boris est une perle.
Petit déjeuner au lit avec croissants chauds, été comme hiver.
C’est un amour, mais il y a un petit point noir, nous avons beau essayer, nous voudrions un enfant et ça nous est impossible.
Nous sommes en train de consulter, mais parlons d’autre chose, tu as choisi !
- Italien, pas comme nos maris des pizzas, mais des escalopes milanaises.
- Chez Gaetano, tu verras ce sont les meilleurs à des kilomètres à la ronde.
Avec du Chianti je suppose.
- Tu supposes bien, mais toi fais attention, tu conduis.
Marie-Ange a raison, même à Milan où nous avons passé deux jours avant de rejoindre Venise, les escalopes étaient moins savoureuses que celles que nous mangeons dans ce resto.
- Le repas parfait, la surprise, c’est quel film nous allons voir comme l’a dit ton mari !
- Suis-moi, le film que nous allons voir est bien vivant, il se trouve au bout de cette petite impasse.
Seule les initiées connaissent son existence.
- Tu m’intrigues.
Au bout de l’impasse une enseigne lumineuse, « Club privé ».
Mon amie sonne, un petit Juda s’ouvre puis la porte.
- Marie-Ange, bien venue, il y a bien longtemps que ta présence nous manque.
- Sabine, tu sais que je suis mariée et que les occasions de rejoindre ton club sont rares et difficiles pour moi.
- Je sais, j’aurais dû me douter de ta visite, ce soir c’est jour de match.
Mais, dis-moi, qu’est cette beauté brune que tu nous amènes ?
- Claire, mais attention elle est mariée et son mari est italien !
- Entrez, tu sais très bien que les femmes mariées ou pas, quand j’aime je suis prête à tout.
Surprise, je m’attendais à tous sauf que Marie-Ange m’amène dans un club lesbien.
Dans la salle et au bar, de nombreux couples de femmes toute plus étrange les unes que les autres.
Gotique, femme du monde, des couples toutes femmes dans des alcôves à s’embrasser sans aucune pudeur.
- Viviane, j’espérais te voir, tu es seule.
- Non, je suis avec Claire une amie.
- Dommage, je t’aurais bien offert un verre.
- Marie-Ange, bois un verre avec Viviane, je m’occupe de Claire, j’adore ses yeux verts, aussi verts que les miens.
Prononçant ces mots, la patronne du club me prend la main et me dépose ses lèvres dessus.
Un frisson me parcourt le dos.
Certes, cette salle est climatisée, mais que je réagisse à ces lèvres effleurant l’intérieur de mon poignet, c’est tout autre chose.
L’intérieur de mon poignet car au moment du baisemain, au lieu d’effleurer le dos, elle le fait tourner pour attaquer mon poignet.
- Patricia, sers-nous deux coupes, mon amie a soif.
- Où va Marie-ange ?
- Soit zen, les matchs sont cour et ses visites le sont tout autant.
Viviane est une voisine et célibataire, je pense que tu es assez intelligente pour comprendre à quel jeu, elles vont s’adonner.
- Marie-Ange est lesbienne.
- Si l’on veut, je dirais qu’elle est bisexuelle.
Mais dis-moi et toi, je vois une alliance à ton annulaire, tu es marié ?
- Oui, avec Luis.
- Et c’est toujours l’amour fou !
- Pourquoi me parlez-vous de mes amours ?
- Car tu me plait beaucoup.
Les nouvelles clientes qui me plaisent sont si rares que dès que je t’ai vu, j’ai eu envie de te serrer sur mon corps.
As-tu déjà fait l’amour avec une femme, par exemple Marie-Ange ?
Je suis à deux doigts de lui dire quelle horreur, mais dans ce club si près du fourreau blanc qui recouvre cette magnifique rousse aux yeux verts elle aussi, aurais été indécente.
- Oh non jamais !
- Quel cri du cœur…
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