COLLECTION LESBIENNES. Femme pour femme (2/8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION LESBIENNES. Femme pour femme (2/8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION LESBIENNES. Femme pour femme (2/8)
Je viens de suivre la Comtesse de la Tour chez elle alors qu’elle s’était exhibée devant moi dans un café près du casino de Salins-les-Bains dans le Jura.
Ainsi j’ai la confirmation de ce que je savais inconsciemment déjà, la chatte des femmes m’attire plus que les verges des mecs, même si de nombreux copains aimaient me l’enfoncer à l’endroit où Marguerite place sa langue.
J’arrête de dire « première fois » puisque tout ce qu’elle me fait est nouveau.
Après m’avoir fait jouir, elle se relève et retourne vers son salon.

- Va te doucher, c’est fini pour aujourd’hui, il faut que je fasse dîner Joujou.

Je me douche, dans la salle de bains qu’elle me montre attenante à sa chambre, frustrée qu’elle me laisse seule alors que j’aurais voulu qu’elle me savonne et m’essuie.
Revenant dans le salon, elle me prend dans ses bras.

- Tiens, c’est pour toi, c’est pour te remercier.

Dans ma main, elle me place quelques billets.

- Je viens de voir que tu es pucelle, demain, si tu reviens, pour me le donner, j’ai mille euros pour toi.

Elle me tire par la main pour me faire sortir, j’ouvre, je regarde et je compte cinq cents euros.
En retournant vers le camping retrouver mon père, le long du chemin, je regarde ces billets qui devaient sceller mon avenir.
Je n’ai pas eu conscience qu’en acceptant ces billets, je venais de me prostituer.
Percevoir une rétribution pour un acte sexuel, ce n’est rien d’autre.
C’est la nuit, sous ma tente, en me caressant que je me rends compte de cela, surtout avec les 1 000 € promis pour m’enlever mon pucelage et ceux dans mon autre main avec lesquels je me frotte les seins.
Les doigts de Marguerite étaient là pour constater ce qu’elle devait avoir supputé, elle avait compris mon attirance pour elle et que j’étais bien vierge.
Le lendemain, je refuse de suivre mon père quand il sort sa gaule, ayant mis son équipement de pêcheur à la truite, remontant le courant en fouettant l’eau avec sa mouche qu’il fabriquait lui-même tous les hivers dans la région Est de Paris.

- J’ai mal à la tête.
- Tu vas avoir tes règles, les bonnes femmes, vous avez toujours vos machins au moment où ça emmerde les hommes.
C’était pareil pour ma mère.

J’ai horreur de mentir, mais je me réserve le droit d’aller chez Marguerite, bien que ce matin me faire dépuceler et avoir mal à la chatte après ne soit pas pour me plaire.
Il est 14 heures quand je me lève, que je passe mon short en jean que je mets les jours de vacances même s’il est un peu usé et je remonte du camping vers le centre où ma maîtresse habite.
J’ai tout le temps de repenser à la veille et c’est pourquoi mon cerveau imprime que je me suis vendue pour 500 €.
J’aurais dû laisser l’argent sur le guéridon qui lui valait certainement un paquet de fric à l’entrée.
Je sonne, j’entends des pas, la grosse porte pivote, mon destin est devant moi.

- Entre, tu connais le chemin.

J’entre dans la pièce au fauteuil où tout a commencé.
Elle me prend dans ses bras, me met sa langue dans la bouche et descend directement sa main dans mon short.
C’est dur à passer car il est serré, mais elle trouve ma grotte trempée.
Certes, pas au point de m’envoyer des petits jets sur ses doigts, je ne suis pas fontaine, mais assez pour qu’elle sente mon hymen.

- C’est bien, tu es toujours vierge, à ton âge tu aurais pu sortir danser hier au soir et te faire défleurer sous les arbres près du camping où tu es pendant les vacances.
- Comment sais-tu que je suis au camping, je ne te l’ai pas dit.
- Je vais promener Joujou vers le camping, il chie dans l’herbe, ça m’évite de ramasser.
Je t’ai vue un jour parler avec une brune, toi la blonde, j’adore les blondes et à la façon dont tu la regardais, j’ai tout de suite su que les femmes t’intéressaient.
Quand je t’ai vu rentrer dimanche au café où je vais boire du champagne, bien que la cave ici en regorge, je t’ai fait mon numéro et il a marché puisque tu es là.

Elle a raison, j’étais ni plus ni moins en train de proposer à la fille attenante à la mienne de venir me rejoindre la nuit suivante.
Elle a dû hésiter à franchir le pas car malgré la fermeture éclair de ma tente restée ouverte, elle n’est pas venue.
Le lendemain, sa tente était close quand nous sommes partis pêcher avec papa, au retour plus de tente et plus de possibilités de découvrir si les femmes étaient mon seul centre d’intérêt.

- Viens dans ma chambre, j’ai les godes qu’il faut pour t’enlever cette membrane qui nous a été mise là pour que nous enfantions dans la douleur.

Je ne connais rien à la virginité, le lien avec la religion, je sais que Marie s’appelle la Sainte Vierge, alors je prends ses dires pour argent comptant.
Argent comptant car sur la table de nuit, je vois dans le dos de Marguerite 5 billets de 200 €, elle a préparé mon dépucelage.
Elle me déshabille, ôte son peignoir qui semble être son principal vêtement quand elle est chez elle et m’entraine vers une commode dont elle ouvre le tiroir du bas.

- Voyons voir avec lequel je vais prendre cette petite chatte, mieux, viens choisir celui qui va te faire femme.

Devant mes yeux des godes, dans mes films j’en ai vu beaucoup, après la trahison de la fille au camping, j’avais pensé comment m’en procurer un, la peur que papa découvre ce sexe de substitution m’avait fait reculer.

- Prend celui-là.
- Bien choisi, c’est celui dont je me servais le plus quand je travaillais.
- Quand tu travaillais, tu te servais d’un gode ceinture ?
- Laisse tomber, je te dirais tout après, savoir que je suis la première me remplit de joie.
- Dis, celui-là, il faudrait être folle pour le choisir, qui peut se faire enfiler un tel engin dans le vagin ?
- Pas dans le vagin, l’anus, c’était le Comte que j’enculais avec, il était homosexuel.
Je l’enculais avec ce gode, il ne m’a jamais touché.
Nous faisions chambre à part.
Le soir à son regard, je savais qu’il en avait mare d’aller se faire tringler dans les bars pour garçons de Paris où nous habitions encore à cette époque.
Mais tu m’égares, viens sur le lit, je te dirais tout après et pourquoi je t’ai choisi.

Prestement le gode a été sur ses hanches, je savais les positions qu’il fallait prendre et la vue des billets valait bien un peu d’initiative de ma part.
Quand je me suis installée en levrette sur le lit, je sens que la Comtesse allait monter elle aussi et que l’olisbos allait rapidement me délivrer de ma membrane bien qu’elle ne me gêne en aucun cas, même avec Marguerite hier.

Elle rentre, même pas mal, elle donne des coups je commence à jouir, dès la première fois, le sexe factice me fait jouir.
Ma maîtresse doit avoir des doutes, le gode sort et ses doigts le remplacent.

- Mince, c’est la première fois que ça m’arrive, je suis bien entrée, mais ton hymen est élastique.
Ça arrive, il n’a pas cédé, mets-toi sur le dos, je reviens.

Elle retourne au tiroir en enlevant le gode qui vient de me pilonner sans succès pour m’enlever mon pucelage sauf de me faire jouir.
Impossible, elle sort le gode du Comte, elle devait le défoncer, elle va me défoncer.
1 500 € pour mes vacances, si elle décide qu’elle n’a pas eu ce qu’elle voulait, à part les 500 qui sont déjà cachés dans mon sac dans ma tente, vais-je avoir les 1 000 alors je passe sur le dos écartant mes cuisses.

Elle le place ayant enlevé l’autre et s’approche.
Je ferme mes yeux, je ne veux pas voir quand le sang va gicler, il ne peut que gicler.

- Écarte ton vagin, tu vas voir, le corps de la femme est fait pour enfanter, ne craint rien, si tu es enceinte un jour, il faudra bien qu’il sorte.

Je fais ce qu’elle me demande.

- Aie.

C’est le seul mot que je prononce, Marguerite se couche sur moi en même temps qu’elle pousse et prend mes lèvres.
Je sens son bas-ventre sur mon corps, j’avais peur d’avoir un homme se couchant dans cette position pour me mettre son sexe.
Là je sais à la douleur que je suis une vraie pute qui vient de gagner un paquet de pognon.
Je libère ma bouche.

- Marguerite, tu m’as faite femme, je te serais toujours redevable.

Elle sort de moi et se couche sur le côté, je viens me blottir dans ses bras.

- Merci, j’ai eu un peu mal, mais très vite c’était supportable, caresse-moi.

Elle descend sa main, entre en moi, un, deux trois doigts, sa main.
Le gode qui pointe vers le plafond très légèrement couvert de mon sang, il m’a tellement ouverte, qu’elle me fiste une fois de plus comme je l’ai vu dans des films.
Que va-t-il encore m’arriver, ma vie a pris une accélération et une tournure nouvelle ?
J’ai plein de questions qui me viennent, mais je veux profiter du moment présent, nous aurons le temps d’en reparler…


Anne à fait les corrections.

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