COLLECTION LESBIENNES. Femme pour femme (4/8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION LESBIENNES. Femme pour femme (4/8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION LESBIENNES. Femme pour femme (4/8)
Je viens de perdre mon pucelage grâce à la Comtesse de la Tour.
C’est le lendemain de son exhibition devant moi dans un café près du casino de Salins-les-Bains dans le Jura qu’elle se sert d’un gode pour me le prendre moyennant la somme de 1 000 €.

Je finis la journée dans ses bras, elle m'apprend pleines de chose sur ma maman.
Elle était lesbienne et a même pratiqué la chose en trio avec une femme parisienne à qui Marguerite la Comtesse souhaite me recommander.
Maman voulait quitter papa, mais est restée pour moi, pour m’éviter le traumatisme qu’une séparation aurait engendré pour une jeune fille.
Une seule décision, deux chemins, un à prendre, lequel ?
Quitter papa, ça c’est sûr, mais pour quoi faire ?

« Caissière en CDD à 1 000 € par mois ? »Au risque de me retrouver le bec dans l’eau dans six mois avec un contrat non renouvelé et avec un destin incertain.

« Pute féminine dans les beaux quartiers. »Avec quand je regarde les sommes demandées par Marguerite et ce qu’elle faisait à ses clientes, elle les gagnait en une après-midi.
1 000 € dans mon autre main, gagné grâce à la perte de mon pucelage dans le même temps.

J’arrive dans le camping, c’est l’effervescence, Véronique la voisine de notre tente à côté où se trouvait la jeune fille avec laquelle j’espérais avoir ma première expérience sexuelle féminine me voit et me rejoint.
Elle me prend dans ses bras, nos poitrines viennent en contact.
Je sens bien qu’il se passe quelque chose d’anormal, mais mes pointes s’éveillent.
Je la connais depuis 10 ans, elle est là avec son mari qui pèche avec papa.
Je sais depuis deux jours que je suis lesbienne, mais ce qu’elle m’apprend me glace le sang.

- Viviane, ton papa a eu un accident de pêche.
Il est tombé dans la rivière et sa tête a tapé un gros caillou, il est à l’hôpital dans le coma.
Nous ne savions pas où tu étais, toi qui vas d’habitude toujours avec lui.

Comment lui dire que je viens de perdre mon pucelage, moyennant rétribution avec un gode impressionnant par son calibre !

- Viens-je t’emmène, il a été conduit au Centre Hospitalier de la ville.

Une fois sur place, j’apprends que sa tête a porté et qu’un traumatisme s'est formé.
Jean le mari de Véronique l’a secouru appelant immédiatement les secours.
Je comprends ce qui est arrivé.
La fameuse prise impossible, papa venait de la prendre, la truite se débattait comme jamais il n’avait vu une truite se débattre.
Il a vu papa prendre son épuisette qu’il portait dans son dos.
La truite l’a vu et a essayé de se détacher sans succès mais au moment où papa s'est baissé, il a glissé et sa tête a porté sur un caillou.
La truite est partie tirant la canne et il a fait le nécessaire pour secourir mon père.
Je le remercie et on m’autorise à voir papa.
Je le veille pendant trois jours.
Son état est stable et il est transportable, je décide de le ramener dans l’hôpital à l’Est de Paris près de chez moi.
Je voyage avec lui et une infirmière de la société d’ambulance qui le transporte.

J’oublie complètement Marguerite, les chattes des filles, seul papa a de l’importance pour moi, il est ma seule famille.
C’est un matin prenant le temps de ranger mes affaires rapatriées par l’assurance, voiture comprise, que je trouve le carnet d’adresses.
Le numéro 03 est bien celui de Marguerite qui décroche, étant contente que je l’appelle bien qu’elle sache déjà ce qui nous est arrivé, les langues vont vite dans ces gros bourgs.

Bref, quelques jours encore et il me faut prendre des décisions difficiles pour la jeune adulte que je suis, même si je n’y ai pas pensé un seul instant le jour où j’ai eu 18 ans.
Papa est sorti du coma profond où sa chute l’avait plongé.
Mais c’est un légume, il faut tout faire pour lui.
Son assurance couvrait le transport et les soins, mais pas plus.
Qui pense quand il les signe à ce qu’il représente, j’étais là le jour ou papa a signé, seule la somme à débourcer lui importait.
Bref, j’ai le choix, soit m’en occupant 100 % du temps, sans pouvoir travailler et vivre d’emprunts sans savoir la suite de ma vie.
Soit le placer dans un centre lui aussi près de chez nous où il recevra tous les soins nécessaires.

Dans la vie, le destin prend des décisions pour vous.
Je veux placer papa dans cet établissement où il vivra des jours heureux, du moins la directrice de l’établissement me présente très bien la chose.

Je sors le carnet et j’appelle Charlotte de V.
Je respecte ce que m’a demandé Marguerite quant à la confidentialité du nom.
Ce que je peux dire, c’est que je sais que Charlotte est l’héritière d’une grosse famille possédant une grosse société.
Quand j’appelle et qu’elle décroche, je sais que je serai pute féminine pour chattes de bonne famille.
Elle me reçoit à son adresse.

- Entre, Viviane, je te tutoie, tu as presque l’âge de ma fille, je sais ce qui t'est arrivé, Marguerite m’a appelé, elle m’a dit pour son carnet d’adresses, veux-tu que je t’aide ?
- Oui, j’ai placé papa et ça va me coûter fort chère, pouvez-vous m’aider ?

Je me place dans les mains de cette femme, aussi bien mise que Marguerite.
Et dire que maman a baisé avec cette dame !
Je comprends que maman avait les mêmes penchants que moi, une chienne ne fait pas des chattes.
Et qu'elle y a cédé quand je vois dans mes pensées le corps de Marguerite et ce que je vois de Charlotte même habillée.
Elle porte un tailleur certainement sorti de chez Dior ou tout autre couturier de la place parisienne.
Marguerite voulait que je m’émancipe de la tutelle de papa, comme ma mère n’avait pas eu le courage de le faire.
Ce n’est plus nécessaire, une truite, fusse-t-elle monstrueuse, a choisi pour nous, impossible de revenir en arrière.

- Tu as pris ta décision, quand veux-tu rencontrer ta première cliente ?
- Il faut battre le fer quand il est chaud, j’ai besoin d’argent, beaucoup d’argent.
- Tu vas en avoir, dès cet après-midi si tu es libre.
- Où et combien ?
- Regarde dans ton carnet à la lettre C, Clotilde de F.
- F, l’homme politique ?
- Oui, elle est lesbienne et le couple ne veut pas de liaison qui le mettrait en porte-à-faux alors il lui paye des femmes pour femmes.
- Viviane, dit carrément le mot, j’ai bien compris qu’en acceptant de la rencontrer, je deviens une pute féminine.
- Tu as raison, mais dans notre milieu, nous parlons de femme pour femme, même si cela revient au même.
Cependant ton look est à revoir, je connais très bien Clotilde, je vais l’appeler et lui expliquer.
As-tu ton permis ?
- Oui, je l’ai passé il y a trois mois en conduite accompagnée avec papa et depuis une semaine, j’ai le droit de conduire seule ayant eu mes 18 ans.
- Alors vas-y et soit performante, vu ton joli petit cul, tu vas faire un malheur.
Reviens demain, nous irons faire les boutiques.
Quand Marguerite m’a téléphoné pour me dire qu’elle avait réussi à rencontrer la fille de notre amie trop tôt disparue, elle m’a donné carte blanche financièrement pour que tu sois la plus appétissante des femmes pour femmes.
Elle espérait que tu répondrais à son appel, j’ai reçu cette valise pour toi. Le code est 6969, facile à retenir.

Je rejoins mon domicile, par un taxi qu'elle appelle et qu’elle paye quand il arrive je suis sur le trottoir à l’attendre.
Je sens que les transports en commun à Paris ne seront que taxis ou vélib’.

Rendue chez moi, j’ouvre ma valise, divers objets, c’est normal quand j’ai lu qu’une dénommé Maryse S. se fait fouetter pour 2 000 la séance.
Je retrouve le gode de maman qui a essayé de me déflorer et le gode du Comte qui lui a réussi à faire de moi la femme que je suis en train de devenir.
GPS calé sur l’adresse de Clotilde de F.
Je démarre la voiture de Papa.

C’est comme ça simplement que je me retrouve dans une ville aux antipodes de ma ville, que je gare ma voiture dans l’allée d’une propriété ou un serviteur m’ouvre ma portière.
Incroyable, sur le perron un homme m’attend, je le reconnaîtrais entre mille, on le voit souvent à la télé.

- Viviane, votre prénom vous va à ravir.
Ma femme Clotilde va être enchantée de vous recevoir.

Ce couple semble avoir des serviteurs.
Mais dans l’aile de leur résidence où il me conduit, ouvrant une porte avec une clef et la refermant consciencieusement, et qui donne sur un escalier montant dans la tour que j’ai vue de l’extérieur, je vois que peu de personnes n’ont accès à l’appartement où il me fait monter.

La pièce carrée où nous débouchons en haut de l’escalier est en tout point un baisodrome pour femme de luxe.
Une cheminée, certainement pour l’hiver, de nombreuses peaux de bêtes entassées en son centre, un bar et un fauteuil.
Sur la peau de bête une femme nue et longiligne.
Quand je vois Charlotte ma chaperonne et cette femme déjà vue au bras de son mari, je vois qu’il leur est impossible d’avoir le moindre gramme de trop.
Pourtant ses seins en forme de poire et assez développés, sont différents de ceux de Charlotte que j’ai aperçus dans l’entrebâillement de son corsage.

- Viens me rejoindre, Marc paye là, déshabille-là et prend ta place dans ton fauteuil.

Le mari sort une enveloppe de sa poche que je mets dans ma valise, j’aurais besoin du gode de maman.
Le mari s’exécute, je me retrouve nue.
Il me prend par la main et m’approche de sa femme comme s’il lui offrait mon corps.
C’est devant lui qu’à un moment de ma prestation je sors Popaul, j’ai décidé de l’appeler ainsi et que je lui bourre la chatte, alors qu’elle est à quatre pattes, leur en donnant pour 2 000 €.
Elle hurle de plaisir, son mari dans l’axe où nous nous trouvons nous regarde sans faire me moindre mouvement.
Je viens de devenir pleinement une femme pour femmes ou une pute pour femme comme vous le voulez…

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Histoire sexe : Une rose rouge
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