COLLECTION LESBIENNES. La servante (2/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2019 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION LESBIENNES. La servante (2/5)
Mademoiselle Véronique, c’est la jeune fille de bonne famille que je découvre dès que je prends mes fonctions de servante chez madame Olive et monsieur Serge.
Mademoiselle Véronique est une enfant gâtée qui se croit tout permis car ses parents sont argentés.
Mère comme elle dit possède une boutique de vêtements dans le quartier des ministères et semble bien gagner sa vie car dans ses tailleurs hors de prix vu la qualité des tissus, chaque matin un taxi vient la chercher et la raccompagne le soir.
Père là aussi comme elle dit est avocat d’affaires et a son chauffeur personnel qui lui aussi vient le chercher.
Mes patrons font chambre à part malgré leurs 40 ans, ils semblent ne plus avoir de rapports sexuels car aucun des deux lits que je fais le matin dès qu’ils sont partis ne montrent des traces de sperme.
Mademoiselle Véronique est une petite pimbêche, du moins c’est ce qu’elle veut faire croire car rapidement moi qui viens du nord de Paris, je détecte la jeune fille en fleur prête à s’épanouir.
C’est son cul et sa poitrine qu’elle m’a montré dès mon premier jour afin d'essayer de me déstabiliser.
Ce qu’elle ignore quand elle me demande de me coucher à ses côtés avec ma robe noire et mon petit tablier blanc c’est que je n’ai à ce jour eu que des rapports saphiques avec ma prof de français l’année de mon bac.
Nous sommes en train de travailler sur la Princesse de Montpensier quand nous endormant je me réveille et que sans l’avoir prémédité, sauf ma tête se baissant légèrement nos bouches se rejoignent.
Un baiser langoureux mais encore juvénile, sa langue tournant trop vite dans ma bouche.
J’étais comme elle, un peu chien fou quand j’ai commencé avec Alexia et elle a su calmer mes ardeurs pour que nos rapports deviennent harmonieux.
- Corrine que faisons-nous c’est mal.
- Non, c’est très bien, ta mère t'a punie de sortie donc de contact avec d’autres personnes, tu prends ton plaisir là où il t’est apporté, ici dans ta chambre.
- Mais tu es une femme et moi aussi.
- Cela ne semble pas t’avoir déplu de m’embrasser ?
- Au contraire, nous venons de faire ce que j’ai refusé à Françoise une amie qui voulait que je l’embrasse comme nous venons de le faire.
Peut-on recommencer ?
- Oui, tu as bien travaillé et tu mérites un petit moment de plaisir.
Une chose tout de même tes parents ne rentrent que dans deux heures, j’ai déjà fait le ménage et préparé le dîner de ce soir, il me reste le couvert à mettre.
Nous avons une heure pour prendre et nous donner du plaisir.
Ta langue fait là tourner moins vite.
Reste calme je vais t’apprendre quel est ta vraie nature.
Je sens que tu es vierge à ton âge c’est parce que tu n’as pas encore jusqu’à maintenant rencontré la fille te faisant découvrir que tu es lesbienne.
Nos bouches se reprennent, si dans le travail de lecture elle a encore du chemin à faire, côté sexe, je pense que lorsque je la noterais je pourrais dire « Sujet très doué, née pour aimer et être aimée des femmes ».
Véronique est toujours recouverte de son déshabillé passé ce matin, je l’écarte et ma main vient en contact avec son téton qui se met à bander.
J’ai été initié et j’initie.
Alexia m’a appris les gestes qui plaisent aux femmes entre elles au point que certains jours dans la chambre où son mari lui avait fait des enfants c’est une femme fontaine que j’avais dans mes bras.
Nous en rigolions car chaque fois avant que son mâle dominant n’arrive, elle devait laver les draps.
Si son mari l’avait vu il en aurait pris ombrage, car avec lui ce phénomène ne se déclenchait pas.
Je savais comment démarrer le déferlement de cyprine sortie de son corps en suçant son clitoris hypersensible et développé que son mari ignorait.
Je suis pressée de découvrir celui de Véronique car entre femmes c’est la principale source de nos plaisirs.
- Attends, tu es en avance sur moi, je me déshabille.
Veux-tu me voir nue ?
- Oui Corinne montre-moi ton corps comme je te fais voir le mien.
Nue toutes les deux à genoux sur son lit légèrement étroit car pour une seule personne nous nous regardons dans les yeux.
Et dire que cette jolie jeune fille était une peste il y a si peu de temps.
Et dire que je me destinais à faire des études supérieures quand la maladie de maman m’a rattrapé.
Nos bouches, nos mains, ses doigts, mes doigts entrent en scène dans nos sexes réciproques alors que notre baiser est de plus en plus profond.
Pour moi, coup de foudre, il est plus qu’un baiser de rencontre passagère.
- Tu mouilles mon petit bébé, ta chatte dégouline sur mes doigts.
- La tienne aussi bébé, tu es divine.
Qui d’elle ou moi prononçons ces phrases qui d’elle ou de moi caressent l’autre le plus doucement possible afin de déclencher le plaisir de l’autre ?
Nous sommes si fusionnelles que comme nous nous le sommes dit bouche contre bouche, bébé c’est l’une ou l’autre.
Bébé c’est l'une et l’autre.
- Tu vois mon cœur, jouir entre filles c’est facile pourtant j’ai respecté ton hymen, un jour tu épouseras un garçon qui te fera de beaux enfants et tu retrouveras ton monde et ta raison sociale.
Moi, je continuerais à faire le ménage chez les uns ou les autres pour vivre et faire vivre maman.
- Mon hymen, ça me fait une belle jambe, je veux te le donner.
- Tu dis ça maintenant mais si dans ton milieu tu es prise pour une Marie couche-toi là, tu ne le supporterais pas dans le milieu que tu fréquentes depuis ta naissance.
L’après-midi a une fin comme les vacances en ont une.
Lafayette, Victor Hugo, premier semestre de redoublement et pas un nuage entre Véronique et moi.
Un seul problème, non pas ses études, elle sera mentionnée, ça c’est sûr cette année si elle ne décroche pas.
Nos amours, non.
Elle sait ce qui me plait, mes seins, j’adore qu’elle s’occupe de mes seins.
Elle, c’est son clitoris, elle adore que je le mordille, elle est à la limite d’être fontaine.
Nos moments d’intimité, non, le soir après avoir fini de travailler son bac, elle me rejoint dans ma mansarde toujours en l’état depuis mon arrivée car entre mon travail, son travail et mes études que je poursuis, l’amour physique se pratique dès que nous le pouvons.
Une chose que j’oublie, avec Alexia j’avais appris à la fister et Véronique m’en faire autant.
C’est sans aucun problème que sa main entre en moi comme la mienne en elle.
Je sais son pucelage, il n’a pas résisté plus de deux jours à nos jeux de plus en plus hard.
Non, le problème, c’est Philibert, le fils de la baronne et du baron de Montblanc.
Les deux familles semblent vouloir un rapprochement entre elles.
Ce fils, Philibert, est ce que j’appellerais un benêt.
Certainement puceau à la porte de ses 30 ans.
Tête d'intellectuel arriéré, d’autres diraient résidu de capote dans une famille ayant forniqué entre cousins et cousines pour garder leurs fortunes.
- Corinne, à quel jeu joue ma mère, ne me dit pas qu’ils veulent que j’épouse ce garçon qui ne ressemble à rien ?
- Détrompe-toi Véronique, il ressemble à ces plusieurs millions d’euros dont il héritera à la mort de ses parents.
Son arrière-grand-père a fondé leur dynastie reposant sur leur banque privée.
- Comment sais-tu tout ça ?
- Une bonne, ça sait être discrète, ton père et son père se sont entretenus dans le petit salon.
Ils ont été fort explicite, Philibert t’a rencontré lors d’un pince-fesse où tu étais et est tombé amoureux de toi.
Bien sûr, ils ignorent tes penchants lesbiens comme tes parents d’ailleurs, nous avons su rester discrètes.
- Tu en as assez de moi, mon cœur que tu veuilles me marier à ce garçon ne ressemblant à rien.
- Pourquoi crois-tu que tes parents vivent dans des chambres séparées ?
- Car père ronfle et mère ne le supporte pas.
- C’est ce qu’ils t’ont raconté, une belle histoire pour endormir ton attention.
Je n’ai jamais vu les traces de deux corps dans le lit de l’un ou de l’autre.
Encore moins des traces de sperme ou de cyprine.
- Mes parents n’aiment pas le sexe Corinne.
- Détrompe-toi, ils sont aussi dévergondés que toi de ce côté-là.
- Ton père baise avec son associé il est homo et ta mère avec le patron de la boutique à côté de la sienne.
- Comment sais-tu tous ça mon cœur, je suis sur le cul ?
- Ça serait trop long à te l’expliquer, mais je le sais.
Revenons à ce mariage, si tu refuses, ce sont des millions qui t’échappent.
Nous nous aimons et nous aspirons à vivre le plus longtemps ensemble.
Où tu avoues notre amour à tes parents et tu seras envoyée au bout du monde pour te faire passer tes penchants lesbiens.
Où tu acceptes mais à tes conditions.
Voilà ce que tu vas faire quand ta mère t’appellera pour te dire que ce garçon t’aime.
Tu refuseras ce serait suspect de dire oui avec empressement.
Tu verras elle reviendra à la charge, elle sera très fière que sa fille soit baronne.
Chez les roturiers, malgré la révolution la particule « de » a beaucoup d’importance et Philibert la possèdent.
Madame la baronne Véronique de Montblanc, ta mère en aura plein la bouche auprès de ses amies.
Voilà donc ce que tu vas leur imposer…
Mademoiselle Véronique est une enfant gâtée qui se croit tout permis car ses parents sont argentés.
Mère comme elle dit possède une boutique de vêtements dans le quartier des ministères et semble bien gagner sa vie car dans ses tailleurs hors de prix vu la qualité des tissus, chaque matin un taxi vient la chercher et la raccompagne le soir.
Père là aussi comme elle dit est avocat d’affaires et a son chauffeur personnel qui lui aussi vient le chercher.
Mes patrons font chambre à part malgré leurs 40 ans, ils semblent ne plus avoir de rapports sexuels car aucun des deux lits que je fais le matin dès qu’ils sont partis ne montrent des traces de sperme.
Mademoiselle Véronique est une petite pimbêche, du moins c’est ce qu’elle veut faire croire car rapidement moi qui viens du nord de Paris, je détecte la jeune fille en fleur prête à s’épanouir.
C’est son cul et sa poitrine qu’elle m’a montré dès mon premier jour afin d'essayer de me déstabiliser.
Ce qu’elle ignore quand elle me demande de me coucher à ses côtés avec ma robe noire et mon petit tablier blanc c’est que je n’ai à ce jour eu que des rapports saphiques avec ma prof de français l’année de mon bac.
Nous sommes en train de travailler sur la Princesse de Montpensier quand nous endormant je me réveille et que sans l’avoir prémédité, sauf ma tête se baissant légèrement nos bouches se rejoignent.
Un baiser langoureux mais encore juvénile, sa langue tournant trop vite dans ma bouche.
J’étais comme elle, un peu chien fou quand j’ai commencé avec Alexia et elle a su calmer mes ardeurs pour que nos rapports deviennent harmonieux.
- Corrine que faisons-nous c’est mal.
- Non, c’est très bien, ta mère t'a punie de sortie donc de contact avec d’autres personnes, tu prends ton plaisir là où il t’est apporté, ici dans ta chambre.
- Mais tu es une femme et moi aussi.
- Cela ne semble pas t’avoir déplu de m’embrasser ?
- Au contraire, nous venons de faire ce que j’ai refusé à Françoise une amie qui voulait que je l’embrasse comme nous venons de le faire.
Peut-on recommencer ?
- Oui, tu as bien travaillé et tu mérites un petit moment de plaisir.
Une chose tout de même tes parents ne rentrent que dans deux heures, j’ai déjà fait le ménage et préparé le dîner de ce soir, il me reste le couvert à mettre.
Nous avons une heure pour prendre et nous donner du plaisir.
Ta langue fait là tourner moins vite.
Reste calme je vais t’apprendre quel est ta vraie nature.
Je sens que tu es vierge à ton âge c’est parce que tu n’as pas encore jusqu’à maintenant rencontré la fille te faisant découvrir que tu es lesbienne.
Nos bouches se reprennent, si dans le travail de lecture elle a encore du chemin à faire, côté sexe, je pense que lorsque je la noterais je pourrais dire « Sujet très doué, née pour aimer et être aimée des femmes ».
Véronique est toujours recouverte de son déshabillé passé ce matin, je l’écarte et ma main vient en contact avec son téton qui se met à bander.
J’ai été initié et j’initie.
Alexia m’a appris les gestes qui plaisent aux femmes entre elles au point que certains jours dans la chambre où son mari lui avait fait des enfants c’est une femme fontaine que j’avais dans mes bras.
Nous en rigolions car chaque fois avant que son mâle dominant n’arrive, elle devait laver les draps.
Si son mari l’avait vu il en aurait pris ombrage, car avec lui ce phénomène ne se déclenchait pas.
Je savais comment démarrer le déferlement de cyprine sortie de son corps en suçant son clitoris hypersensible et développé que son mari ignorait.
Je suis pressée de découvrir celui de Véronique car entre femmes c’est la principale source de nos plaisirs.
- Attends, tu es en avance sur moi, je me déshabille.
Veux-tu me voir nue ?
- Oui Corinne montre-moi ton corps comme je te fais voir le mien.
Nue toutes les deux à genoux sur son lit légèrement étroit car pour une seule personne nous nous regardons dans les yeux.
Et dire que cette jolie jeune fille était une peste il y a si peu de temps.
Et dire que je me destinais à faire des études supérieures quand la maladie de maman m’a rattrapé.
Nos bouches, nos mains, ses doigts, mes doigts entrent en scène dans nos sexes réciproques alors que notre baiser est de plus en plus profond.
Pour moi, coup de foudre, il est plus qu’un baiser de rencontre passagère.
- Tu mouilles mon petit bébé, ta chatte dégouline sur mes doigts.
- La tienne aussi bébé, tu es divine.
Qui d’elle ou moi prononçons ces phrases qui d’elle ou de moi caressent l’autre le plus doucement possible afin de déclencher le plaisir de l’autre ?
Nous sommes si fusionnelles que comme nous nous le sommes dit bouche contre bouche, bébé c’est l’une ou l’autre.
Bébé c’est l'une et l’autre.
- Tu vois mon cœur, jouir entre filles c’est facile pourtant j’ai respecté ton hymen, un jour tu épouseras un garçon qui te fera de beaux enfants et tu retrouveras ton monde et ta raison sociale.
Moi, je continuerais à faire le ménage chez les uns ou les autres pour vivre et faire vivre maman.
- Mon hymen, ça me fait une belle jambe, je veux te le donner.
- Tu dis ça maintenant mais si dans ton milieu tu es prise pour une Marie couche-toi là, tu ne le supporterais pas dans le milieu que tu fréquentes depuis ta naissance.
L’après-midi a une fin comme les vacances en ont une.
Lafayette, Victor Hugo, premier semestre de redoublement et pas un nuage entre Véronique et moi.
Un seul problème, non pas ses études, elle sera mentionnée, ça c’est sûr cette année si elle ne décroche pas.
Nos amours, non.
Elle sait ce qui me plait, mes seins, j’adore qu’elle s’occupe de mes seins.
Elle, c’est son clitoris, elle adore que je le mordille, elle est à la limite d’être fontaine.
Nos moments d’intimité, non, le soir après avoir fini de travailler son bac, elle me rejoint dans ma mansarde toujours en l’état depuis mon arrivée car entre mon travail, son travail et mes études que je poursuis, l’amour physique se pratique dès que nous le pouvons.
Une chose que j’oublie, avec Alexia j’avais appris à la fister et Véronique m’en faire autant.
C’est sans aucun problème que sa main entre en moi comme la mienne en elle.
Je sais son pucelage, il n’a pas résisté plus de deux jours à nos jeux de plus en plus hard.
Non, le problème, c’est Philibert, le fils de la baronne et du baron de Montblanc.
Les deux familles semblent vouloir un rapprochement entre elles.
Ce fils, Philibert, est ce que j’appellerais un benêt.
Certainement puceau à la porte de ses 30 ans.
Tête d'intellectuel arriéré, d’autres diraient résidu de capote dans une famille ayant forniqué entre cousins et cousines pour garder leurs fortunes.
- Corinne, à quel jeu joue ma mère, ne me dit pas qu’ils veulent que j’épouse ce garçon qui ne ressemble à rien ?
- Détrompe-toi Véronique, il ressemble à ces plusieurs millions d’euros dont il héritera à la mort de ses parents.
Son arrière-grand-père a fondé leur dynastie reposant sur leur banque privée.
- Comment sais-tu tout ça ?
- Une bonne, ça sait être discrète, ton père et son père se sont entretenus dans le petit salon.
Ils ont été fort explicite, Philibert t’a rencontré lors d’un pince-fesse où tu étais et est tombé amoureux de toi.
Bien sûr, ils ignorent tes penchants lesbiens comme tes parents d’ailleurs, nous avons su rester discrètes.
- Tu en as assez de moi, mon cœur que tu veuilles me marier à ce garçon ne ressemblant à rien.
- Pourquoi crois-tu que tes parents vivent dans des chambres séparées ?
- Car père ronfle et mère ne le supporte pas.
- C’est ce qu’ils t’ont raconté, une belle histoire pour endormir ton attention.
Je n’ai jamais vu les traces de deux corps dans le lit de l’un ou de l’autre.
Encore moins des traces de sperme ou de cyprine.
- Mes parents n’aiment pas le sexe Corinne.
- Détrompe-toi, ils sont aussi dévergondés que toi de ce côté-là.
- Ton père baise avec son associé il est homo et ta mère avec le patron de la boutique à côté de la sienne.
- Comment sais-tu tous ça mon cœur, je suis sur le cul ?
- Ça serait trop long à te l’expliquer, mais je le sais.
Revenons à ce mariage, si tu refuses, ce sont des millions qui t’échappent.
Nous nous aimons et nous aspirons à vivre le plus longtemps ensemble.
Où tu avoues notre amour à tes parents et tu seras envoyée au bout du monde pour te faire passer tes penchants lesbiens.
Où tu acceptes mais à tes conditions.
Voilà ce que tu vas faire quand ta mère t’appellera pour te dire que ce garçon t’aime.
Tu refuseras ce serait suspect de dire oui avec empressement.
Tu verras elle reviendra à la charge, elle sera très fière que sa fille soit baronne.
Chez les roturiers, malgré la révolution la particule « de » a beaucoup d’importance et Philibert la possèdent.
Madame la baronne Véronique de Montblanc, ta mère en aura plein la bouche auprès de ses amies.
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