COLLECTION LESBIENNES. Ma belle-sœur me dévoile ma bisexuelle (5/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LESBIENNES. Ma belle-sœur me dévoile ma bisexuelle (5/7)
- Claudia arrête ce jeu morbide, je veux rester fidèle à ton frère.
- Trop tard Josy, tu as accepté leur pognon tu dois assumer.
- C’est toi qui as l’argent dans ton sac.
- Ne crains rien, je serais là, ils ne me toucheront pas mais je saurais te soutenir, ma langue sera là pour toi.
C’est ainsi que je vois la voiture passer la barrière du camping et s’arrêter devant un bungalow.
Ma belle-sœur continue à me faire faire ce qu’elle veut.
C’est à son oreille que je parle, le bruit du moteur malgré la qualité de la voiture de Charles et Ludovic couvre mes paroles.
- Entrez, mettez-vous à l’aise, whisky ou champagne !
- Josy adore le champagne, si vous saviez la salope qu’elle devient quand elle a un verre dans le nez.
- Nous avons payé pour avoir une femme active, pas une poivrote qui se laissera sauter sans réaction.
Notre travail est si prenant que lorsque Ludovic recevait sa copine, il n’est pas rare que je me paye une pute.
D’ailleurs, j’ai toujours été porté sur les prostitués, c’est l’une d’elles qui m’a dépucelé dans le bois de Vincennes.
Fais-nous voir comme tu es faite.
- J’ai une idée Charles, c’est Claudia qui va la désaper.
Voir deux femmes se gouiner entre elles, j’en rêve depuis que je suis tout petit.
Elles nous feront voir des jeux entre filles sans toucher la première mais en baisant à la fin la deuxième.
- Très bon scénario, Josy approche que nous nous déshabillons devant tes clients.
Je regrette de ne pas avoir ma valise, nous aurions pimenté la chose.
Le rouge me monte aux joues, va-t-elle dire à ces hommes que j’ai appris à aimer me faire martyriser surtout avec ses colliers et ses aiguilles.
- Savez-vous ce que fister veut dire ?
- Bien sûr, ma copine avant de me quitter adorait que je la fiste, vous voir le faire va me faire bander comme un turc.
- Deux Turcs, vieux frère.
Claudia détache ma robe, rapidement je suis nue, vu la chaleur sauf un slip en dentelle, je n’ai rien mis de plus.
Ne sommes-nous pas en vacances à la mer et ne m’a-t-elle pas appris à être naturiste même devant mes enfants !
À partir de ce moment, je joue le jeu.
Le jeu que je connais en dévêtant Claudia à son tour.
Les deux garçons assis dans leur fauteuil ont ouvert leur braguette, aucun des deux ne porte de sous-vêtement sous leurs costumes en Tergals légers.
- Embrasse-moi, je rêve de ta bouche depuis que nous sommes entrées dans la voiture.
Décontracte-toi, ça va bien se passer, tu verras au début tu auras l’air de tromper mon frère mais rapidement le plaisir d’avoir deux hommes à ton service pour ton seul plaisir te submergera.
- Comment peux-tu dire ça toi qui n’as jamais connu d’homme ?
- Homme peut être mes femmes oui, j’ai parmi mes clientes deux vieilles sœurs jumelles qui aiment s’occuper de moi.
- Elles sont deux, j’ai deux fois plus de plaisir.
Tout en me parlant bouche-à-bouche, elle descend sa main droite dans ma fourche.
J’écarte légèrement les cuisses, je suis mouillée, mieux trempée.
Une pensée me vient, Claudia me fist régulièrement mais chaque fois sa main est enduite du liquide sorti de sa bouteille.
Elle est dans sa valise dont elle vient de dire qu’elle ne l’avait pas.
Elle m’aide à tomber sur le canapé deux places.
Comme les gars l’on dit leur bungalow est spacieux et nous pouvons nous ébattre facilement.
La bouche de ma maîtresse vient remplacer ses doigts, j’adore de plus en plus qu’elle me suce le clitoris qui répond immédiatement à sa sollicitation.
Sa main approche, je la vois ramper vers ma grotte.
J’ai raison, elle est sèche.
En temps normal, elle brille du liquide qui la recouvre, mais j’aime Claudia autant que son frère et je ne sais rien lui refuser.
Elle entre, entre, entre, jusqu’à ce que son poignet ne disparaisse.
Elle me fist comme jamais car son passage a décuplé ma douleur pour mon plus grand plaisir.
Alors qu’elle navigue dans mon vagin, je prends mes seins dans la main et je les triture à vouloir me les arracher.
Je suis à deux doigts de tourner de l’œil mais je m’accroche.
Un bref moment, j’ai l’impression de résister pour mieux voir la déchéance où Claudia m’entraîne, mais c’est si bon.
Une ombre au-dessus de moi venue par l’arrière du canapé et une queue se présente à ma bouche pour que je la suce.
Je résiste, mais ma tortionnaire préférée me met deux doigts de sa main libre me faisant écarter mes lèvres.
Pour la première fois de ma vie je suce une verge, je ne l’ai jamais fait avec Franck.
Une tape de l’autre côté de mon visage.
La deuxième est là et à partir de ce moment, je passe de l’une à l’autre.
La main me fait partir surtout quand ma belle-sœur me suce le clitoris de sa langue tellement experte.
Combien de fois je jouis, avant d’entendre l’ordre suivant ?
- Emmener là dans votre chambre elle est à vous.
Je sens la main sortir de moi me créant comme un manque.
Je suis empoignée ne pouvant pas tenir sur mes jambes et je sens que j’atterris sur un matelas moelleux.
Les bites ont quitté ma cavité buccale pour mieux y revenir.
Les deux verges qui ont payé fort chère pour m’avoir bande à mort.
Bien plus grosses et surtout plus longues et dures que la seule qui m’ait prise à ce jour.
Dans l’état où l’on m’a mise, j’ai l’impression d’être leur poupée gonflable, mais je dois reconnaître aimer.
J’aime les colliers, les aiguilles, les mains à l'intérieur de mon vagin alors quand on me fait pivoter pour m’empaler par la chatte sur la verge de Charles je me laisse faire.
- Allez-y les garçons, prenez là tous les deux, je suis sûr qu’elle n’a jamais connu deux bites en elle.
Ludovic encule là ou veux-tu que je vienne présenter ta verge à l’anus de cette vierge.
Qu’est-ce qu’il dise, la verge qui me taraude me fait perdre de nouveau mes sens où elle me les décuple ?
Un instant de panique vitre refréné, Claudia souhaite que je me fasse enculer, je sens une fraction de seconde le gland toucher mon anus et commencer à y entrer.
- C’est bien les garçons, défoncez-moi cette salope, c’est une mal baisée, mon frère n’est pas à la hauteur avec les femmes.
Qu’est-ce que dit Claudia, certes mon mari n’est pas trop porté sur la chose ?
Certes, souvent quand il me prend, il éjacule avant que j’aie eu le temps de prendre mon plaisir, mais il m’a fait deux beaux enfants, ça c’est incomparable, ça vaut tout l’or du monde.
- Je vois que tu t’interroges de ce que je viens de te dire, si tu savais ce que j’ai été obligé de faire pour que tu aies un mari qui sache baiser un minimum.
C’est à ce moment que mes oreilles se sont arrêtées de l’entendre, les deux verges en moi arrivant à leur apogée.
Je sens qu’en même temps qu’une boule, jamais ressentie monte en moi, elles allaient remplir ma chatte et mon anus.
Ma belle-sœur est une salope, qui sait ce à quoi j’aspirais sans jamais aller jusqu’au bout de mes fantasmes.
- Très bien les filles, surtout toi Josy, tu as assumé, il y a longtemps qu’avec Ludovic nous souhaitions prendre une femme en double pénétration.
- Merci d’avoir assouvi notre fantasme.
Au bar, tu nous as dit que vous habitiez Paris, Josy si tu le désires, voici notre carte, appelle-nous te ferons gagner quelques billets.
- Elle saura faire appel à vous, vous verrez elle a encore plein de ressources cachées.
- Nous vous raccompagnons jusqu’en ville récupérer votre voiture.
- Inutiles, nous allons rentrer à pied, nous habitons à moins d’un kilomètre.
J’irai récupérer ma voiture demain.
Robe remise, nous les saluons en leur souhaitant bonne route, ils partent dans quelques heures.
Je mets la carte dans mon sac, persuadé de ne jamais retourner me prostituer avec ces deux hommes, même si j’ai joui comme jamais je n’y suis arrivé avec Franck.
Chemin faisant, nous passons près de la plage.
- Josy, tu es sortie de chez ces hommes sans te laver la chatte et le trou du cul.
Il est deux heures du matin si nous prenions un bain de minuit, ça te laverait avant de prendre ta douche chez Jacques.
- Dis-moi, pourquoi dis-tu Jacques en parlant de ton père ?
- Car ce n’est pas mon père, ma mère me l’a dit un jour, elle l’a trompé et je suis née, d’où certainement mes nullités en math.
J’aime cette confidence, elle me montre la confiance qu’elle a en moi.
Nous nous baignons en jouant dans l’eau à la lumière de la pleine lune.
Tout en rigolant, nous rejoignons nos robes sur lesquelles nous nous assaillons.
- Dit moi Claudia, qu’as-tu voulu dire quand tu m’as dit « c’est une mal baisée, ton frère n’est pas à la hauteur avec les femmes. »…
- Trop tard Josy, tu as accepté leur pognon tu dois assumer.
- C’est toi qui as l’argent dans ton sac.
- Ne crains rien, je serais là, ils ne me toucheront pas mais je saurais te soutenir, ma langue sera là pour toi.
C’est ainsi que je vois la voiture passer la barrière du camping et s’arrêter devant un bungalow.
Ma belle-sœur continue à me faire faire ce qu’elle veut.
C’est à son oreille que je parle, le bruit du moteur malgré la qualité de la voiture de Charles et Ludovic couvre mes paroles.
- Entrez, mettez-vous à l’aise, whisky ou champagne !
- Josy adore le champagne, si vous saviez la salope qu’elle devient quand elle a un verre dans le nez.
- Nous avons payé pour avoir une femme active, pas une poivrote qui se laissera sauter sans réaction.
Notre travail est si prenant que lorsque Ludovic recevait sa copine, il n’est pas rare que je me paye une pute.
D’ailleurs, j’ai toujours été porté sur les prostitués, c’est l’une d’elles qui m’a dépucelé dans le bois de Vincennes.
Fais-nous voir comme tu es faite.
- J’ai une idée Charles, c’est Claudia qui va la désaper.
Voir deux femmes se gouiner entre elles, j’en rêve depuis que je suis tout petit.
Elles nous feront voir des jeux entre filles sans toucher la première mais en baisant à la fin la deuxième.
- Très bon scénario, Josy approche que nous nous déshabillons devant tes clients.
Je regrette de ne pas avoir ma valise, nous aurions pimenté la chose.
Le rouge me monte aux joues, va-t-elle dire à ces hommes que j’ai appris à aimer me faire martyriser surtout avec ses colliers et ses aiguilles.
- Savez-vous ce que fister veut dire ?
- Bien sûr, ma copine avant de me quitter adorait que je la fiste, vous voir le faire va me faire bander comme un turc.
- Deux Turcs, vieux frère.
Claudia détache ma robe, rapidement je suis nue, vu la chaleur sauf un slip en dentelle, je n’ai rien mis de plus.
Ne sommes-nous pas en vacances à la mer et ne m’a-t-elle pas appris à être naturiste même devant mes enfants !
À partir de ce moment, je joue le jeu.
Le jeu que je connais en dévêtant Claudia à son tour.
Les deux garçons assis dans leur fauteuil ont ouvert leur braguette, aucun des deux ne porte de sous-vêtement sous leurs costumes en Tergals légers.
- Embrasse-moi, je rêve de ta bouche depuis que nous sommes entrées dans la voiture.
Décontracte-toi, ça va bien se passer, tu verras au début tu auras l’air de tromper mon frère mais rapidement le plaisir d’avoir deux hommes à ton service pour ton seul plaisir te submergera.
- Comment peux-tu dire ça toi qui n’as jamais connu d’homme ?
- Homme peut être mes femmes oui, j’ai parmi mes clientes deux vieilles sœurs jumelles qui aiment s’occuper de moi.
- Elles sont deux, j’ai deux fois plus de plaisir.
Tout en me parlant bouche-à-bouche, elle descend sa main droite dans ma fourche.
J’écarte légèrement les cuisses, je suis mouillée, mieux trempée.
Une pensée me vient, Claudia me fist régulièrement mais chaque fois sa main est enduite du liquide sorti de sa bouteille.
Elle est dans sa valise dont elle vient de dire qu’elle ne l’avait pas.
Elle m’aide à tomber sur le canapé deux places.
Comme les gars l’on dit leur bungalow est spacieux et nous pouvons nous ébattre facilement.
La bouche de ma maîtresse vient remplacer ses doigts, j’adore de plus en plus qu’elle me suce le clitoris qui répond immédiatement à sa sollicitation.
Sa main approche, je la vois ramper vers ma grotte.
J’ai raison, elle est sèche.
En temps normal, elle brille du liquide qui la recouvre, mais j’aime Claudia autant que son frère et je ne sais rien lui refuser.
Elle entre, entre, entre, jusqu’à ce que son poignet ne disparaisse.
Elle me fist comme jamais car son passage a décuplé ma douleur pour mon plus grand plaisir.
Alors qu’elle navigue dans mon vagin, je prends mes seins dans la main et je les triture à vouloir me les arracher.
Je suis à deux doigts de tourner de l’œil mais je m’accroche.
Un bref moment, j’ai l’impression de résister pour mieux voir la déchéance où Claudia m’entraîne, mais c’est si bon.
Une ombre au-dessus de moi venue par l’arrière du canapé et une queue se présente à ma bouche pour que je la suce.
Je résiste, mais ma tortionnaire préférée me met deux doigts de sa main libre me faisant écarter mes lèvres.
Pour la première fois de ma vie je suce une verge, je ne l’ai jamais fait avec Franck.
Une tape de l’autre côté de mon visage.
La deuxième est là et à partir de ce moment, je passe de l’une à l’autre.
La main me fait partir surtout quand ma belle-sœur me suce le clitoris de sa langue tellement experte.
Combien de fois je jouis, avant d’entendre l’ordre suivant ?
- Emmener là dans votre chambre elle est à vous.
Je sens la main sortir de moi me créant comme un manque.
Je suis empoignée ne pouvant pas tenir sur mes jambes et je sens que j’atterris sur un matelas moelleux.
Les bites ont quitté ma cavité buccale pour mieux y revenir.
Les deux verges qui ont payé fort chère pour m’avoir bande à mort.
Bien plus grosses et surtout plus longues et dures que la seule qui m’ait prise à ce jour.
Dans l’état où l’on m’a mise, j’ai l’impression d’être leur poupée gonflable, mais je dois reconnaître aimer.
J’aime les colliers, les aiguilles, les mains à l'intérieur de mon vagin alors quand on me fait pivoter pour m’empaler par la chatte sur la verge de Charles je me laisse faire.
- Allez-y les garçons, prenez là tous les deux, je suis sûr qu’elle n’a jamais connu deux bites en elle.
Ludovic encule là ou veux-tu que je vienne présenter ta verge à l’anus de cette vierge.
Qu’est-ce qu’il dise, la verge qui me taraude me fait perdre de nouveau mes sens où elle me les décuple ?
Un instant de panique vitre refréné, Claudia souhaite que je me fasse enculer, je sens une fraction de seconde le gland toucher mon anus et commencer à y entrer.
- C’est bien les garçons, défoncez-moi cette salope, c’est une mal baisée, mon frère n’est pas à la hauteur avec les femmes.
Qu’est-ce que dit Claudia, certes mon mari n’est pas trop porté sur la chose ?
Certes, souvent quand il me prend, il éjacule avant que j’aie eu le temps de prendre mon plaisir, mais il m’a fait deux beaux enfants, ça c’est incomparable, ça vaut tout l’or du monde.
- Je vois que tu t’interroges de ce que je viens de te dire, si tu savais ce que j’ai été obligé de faire pour que tu aies un mari qui sache baiser un minimum.
C’est à ce moment que mes oreilles se sont arrêtées de l’entendre, les deux verges en moi arrivant à leur apogée.
Je sens qu’en même temps qu’une boule, jamais ressentie monte en moi, elles allaient remplir ma chatte et mon anus.
Ma belle-sœur est une salope, qui sait ce à quoi j’aspirais sans jamais aller jusqu’au bout de mes fantasmes.
- Très bien les filles, surtout toi Josy, tu as assumé, il y a longtemps qu’avec Ludovic nous souhaitions prendre une femme en double pénétration.
- Merci d’avoir assouvi notre fantasme.
Au bar, tu nous as dit que vous habitiez Paris, Josy si tu le désires, voici notre carte, appelle-nous te ferons gagner quelques billets.
- Elle saura faire appel à vous, vous verrez elle a encore plein de ressources cachées.
- Nous vous raccompagnons jusqu’en ville récupérer votre voiture.
- Inutiles, nous allons rentrer à pied, nous habitons à moins d’un kilomètre.
J’irai récupérer ma voiture demain.
Robe remise, nous les saluons en leur souhaitant bonne route, ils partent dans quelques heures.
Je mets la carte dans mon sac, persuadé de ne jamais retourner me prostituer avec ces deux hommes, même si j’ai joui comme jamais je n’y suis arrivé avec Franck.
Chemin faisant, nous passons près de la plage.
- Josy, tu es sortie de chez ces hommes sans te laver la chatte et le trou du cul.
Il est deux heures du matin si nous prenions un bain de minuit, ça te laverait avant de prendre ta douche chez Jacques.
- Dis-moi, pourquoi dis-tu Jacques en parlant de ton père ?
- Car ce n’est pas mon père, ma mère me l’a dit un jour, elle l’a trompé et je suis née, d’où certainement mes nullités en math.
J’aime cette confidence, elle me montre la confiance qu’elle a en moi.
Nous nous baignons en jouant dans l’eau à la lumière de la pleine lune.
Tout en rigolant, nous rejoignons nos robes sur lesquelles nous nous assaillons.
- Dit moi Claudia, qu’as-tu voulu dire quand tu m’as dit « c’est une mal baisée, ton frère n’est pas à la hauteur avec les femmes. »…
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