COLLECTION LESBIENNES. Ma belle-sœur me dévoile ma bisexuelle (7/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LESBIENNES. Ma belle-sœur me dévoile ma bisexuelle (7/7)
Les vacances de Claudia ma belle-sœur se sont terminés hier.
Franck mon mari devait arriver ce matin, il vient de m’appeler, un client important pour son cabinet d’expert comptable souhaite le voir pour une histoire de TVA.
Il ne nous rejoindra que dimanche matin.
J’ai failli lui parler de mes piercings, mais il était pressé et a raccroché.
Je viens de passer une nuit horrible seule dans mon sous-sol et comme un fait expert, par la fenêtre de la cuisine, je vois la pluie tomber.
À la télé que j’ai allumée pour avoir les informations, la météo est donnée mauvaise sur une bande qui va traverser la France d’ouest en est.
Après manger, je sens que mon beau-père a bien envie de nous fausser compagnie pour rejoindre notre jolie voisine.
- Jacques, permettez-moi de vous proposer de me laisser seule avec les enfants.
Je vais leur faire faire leur cahier de vacances que nous avions acheté et que nous n’avons pas ouvert depuis le début des vacances.
- Pourquoi te laisserais-je seule ?
- Pour rejoindre Victoria votre voisine avec qui je pense vous entretenez des relations intimes.
- Comment le sais-tu ?
Je lui raconte mon retour et ce que j’avais vu quand il s’est rendu chez elle.
- Merci Josy, je te revaudrais ça, je serais redevable envers-toi.
L’âge avançant, je veux profiter des derniers moments que la vie m’offre même si j’adorais Lola ma femme.
- Allés, file.
C’est la première fois que je tutoie mon beau-père, il ne semble pas s’offusquer.
Les enfants ont du mal à rester en place, nous faisons une page de cahier de vacances et après je joue à un jeu que Lora a apporté qui consiste à retrouver des paires d’animaux.
À ce jeu, je suis nul, l’esprit vif de mes enfants ne me permet pas de rivaliser.
Quand mon beau-père est de retour, la mine réjouie de celui qui a passé un bon moment, nous dînons et les enfants couchés je rejoins mes pénates.
Une pensée lubrique me vient « il est bête que Charles et Ludovic soient eux aussi rentrés à Paris, j’aurais bien quitté discrètement la villa pour les rejoindre afin de passer le début de soirée avec leurs deux verges. »Je sais, je peux m’échapper et aller dans le bar à vins où ils nous avaient emmenés, il y aura certainement une queue qui voudra me baiser.
Cinq kilomètres allés, cinq retours si je prends un râteau, la journée passée à jouer avec mes enfants m’a exténué.
Je m’allonge hésitant entre le pour et le contre.
Mon portable sonne.
Mince 6 heures.
- Allo, Josy, mince je te réveille.
Je suis parti depuis quatre heures, j’approche d’Orléans.
- Franck as-tu acheté ton guide main libre ?
- Non, pas eut le temps.
- Alors du téléphone en roulant.
- Je dois le reconnaître, j’arrive et je suis heureux de te retrouver.
Tient un secteur de brouillard, il a plu hier et avec la chaleur il y a du brouillard qui se forme.
- Je raccroche et je t’attends fait attention.
Si je ne coupe pas, je le connais, il va parler avec moi pour éviter de s’ennuyer, il a horreur de la musique.
Quand nous roulons avec les enfants, ils ont leur tablette dans le dossier et regardent des dessins animés avec chacun un casque, bien sûr, ils veulent deux films différents.
- Je suis un peu anxieuse Jacques, il devrait être là depuis une heure.
- Il a dû s’arrêter, il est très prudent, c’est comme ça que je lui aie appris à conduire.
- Maman, je mets la télé, je veux voir un dessin animé.
Benoît sait que je vais dire non, pas pendant les vacances, il est rapide, la télé s’allume.
Jacques a dû regarder la chaîne d’info en continu, l’information qu’il donne ma glace le sang.
- Grave carambolage près d’Orléans ce matin vers si heures.
L’accident a concerné un camion et des voitures à cause d’une nappe de brouillard plus intense que les autres.
Voyez les images que nous avons prises avec notre drone, la voiture au centre à particulièrement et touché.
Les pompiers ont dû découper le toit pour sortir le conducteur.
Par chance il est en vie et a été conduit au C.H.U. ou il a été pris en main.
Nous nous renseignerons pour en savoir plus.
Merde, je suis effondrée, la voiture au toit découpé c’est la nôtre, apprendre l’accident par la télé c’est inhumain.
- Appelle l’hôpital d’Orléans, je cherche le numéro sur mon portable.
Soit rassurée, ils ont dit qu’il est vivant.
Vivant oui, ils refusent de me donner plus de nouvelles, il faut que je vienne, ils m’expliqueront.
- J’appelle un taxi, je prends la course en charge.
- J’appelle Victoria, elle va m’aider avec les enfants.
En quelques minutes, raisonnable tout de même à cause du taxi, je suis prête, je me fais un sang d’encre.
La route est longue, longue, longue, malgré l’autoroute.
- Bonjour madame, je suis le médecin qui s’est occupé de votre mari, il a eu beaucoup de chance, mais les gendarmes qui vous recherchaient, vous en diront plus.
Franck votre mari dans les jours prochains va être transféré à Garches, dans l’hôpital spécialiste des accidentés de la route.
C’est ainsi que j’apprends que Franck a perdu l’usage de ses jambes ayant été touché à la colonne vertébrale.
Ça fait quelques mois qu’ils lui apprennent à se servir d’un fauteuil roulant.
Il vient de rentrer chez nous à Paris.
Pendant son hospitalisation, Arthur le jeune Réunionnais fraîchement diplômé comme expert comptable a tenu le cabinet qui n’a pas souffert des suites de l’accident.
Moi, je n’ai pas eu besoin de faire voir mes piercings d’ailleurs Claudia m’a avoué qu’elle n’avait rien dit à son frère comme pour les bains à poils sur la plage naturiste.
Franck vit sa vie seulement portée sur les comptes de ses clients.
Françoise l’infirmière qui lui a été assignée payer par les assurances des deux chauffards qui faisaient la course ce matin-là.
L’un l’a percuté, le faisant pirouetter et taper dans le camion qu’il allait doubler.
L’autre voiture elle aussi l’a percuté de l’autre côté ce qui a eu pour effet d’achever sa colonne vertébrale.
Je ne les ai pas vus, mais l’accident s'est passé là où une caméra d’autoroute surveillait le trafic.
Ils ont toutes les images ce qui a contraint les assurances à lui octroyer une grosse pension jusqu’à la fin de leur vie.
J’ai perdu le sexe que j’avais épousé, mais je récupère un morceau d’homme blindé par cette pension et le cabinet qui fonctionne à plein.
Françoise vient le lever et le coucher à heures fixes.
Pendant qu’il était à Garches, je suis allée chez Claudia qui a repris ses passes avec ses clients.
Nous couchons ensemble tous les lundis.
Je vais vous faire une confidence.
Libre de ma vie, Franck m’ignorant depuis son accident, il m’est arrivé par trois fois d’aller la remplacer quand la cliente qui la demandait tombait à un moment où elle n’était pas libre.
J’ai adoré le moment où la femme m’a donné l’argent que ma belle-sœur a voulu à toute force que je les garde.
Je les ai mis sur le livret de caisse d’épargne des enfants.
Je suis libre, car nous avons engagé une jeune anglaise venue parfaire son Français et qui s’occupe des enfants.
Ayant le téléphone de Charles et Ludovic, je l’ai ais appelé.
Ils croyaient que je venais me prostituer comme Claudia leur avait fait croire.
Je vais chez eux tous les vendredis après-midi, gratuitement il va de soi.
J’adore c’est parti à deux queues en moi.
En ce moment nous sommes auprès de mon beau-père et de Victoria sa compagne, ils se sont pacsés.
Nous venons faire des plans que les assurances se sont engagées à faire chez lui afin que Franck puisse venir pour les vacances.
Il aura un logement pour lui accessible avec son fauteuil roulant.
Victoria couchant avec Jacques, elle les a mis chez elle et quand tout est calme, je sors de mon sous-sol pour les rejoindre.
Ils m’entraînent sur la plage où nous faisons l’amour divinement ce joli mois de mai nous promettant un été torride.
J’adore les sucer à tour de rôle.
De retour à Paris, ma belle-sœur à un nouveau jeu, les piercings du nombril, elle me l'a fait.
Mon clito, il a subi le même sort.
Elle me conduit chez un tatoueur, elle veut que mon corps soit une œuvre d’art.
J’ai mal quand l’aiguille me perce autour de la chatte mais je résiste, la douleur j’ai appris à aimer.
Que dire de plus, je suis une salope, bisexuelle, ça on le sait ?
À oui, Arthur est mon amant, ça s’est fait sur la table de la salle à manger pendant que Franck recevait un de nos gros clients.
Je l’ai surpris à sauter Abby un jour où il croyait que j’étais sortie, je m’en fiche, les bites et les chattes, j’en ai à revendre.
Mardi et jeudi je vais dans une salle de sport pour maintenir ma ligne.
Je rencontre fille ou gars avec qui je vais continuer à faire du sport en chambre.
Attention, si je me fais sauter par tout ce qui bouge et qui me plait comme la queue noire d’Arthur qui vient de me prendre dans les toilettes, lui interdisant ma chambre même si je couche seule.
Trois jours sont sacrés.
Mercredi après-midi où je sors avec Benoît et Lora, nous allons dans des brasseries manger des crêpes et dans divers musées.
Ils adorent que nous prenions un taxi pour aller au musée des colonies où il y a des poissons dans leur aquarium.
Les mercredis mais aussi les samedis et dimanches.
L’ascenseur qui permet à Franck de descendre a été changé aux frais des salopards qui ont gâché sa vie pour que son fauteuil tienne.
Promenades quand il fait beau, moi poussant le fauteuil.
Cinéma quand il pleut.
Restaurant haut de gamme tous les dimanches, souvent rejoints par sa sœur.
Vous voyez même si je suis devenue par la force des choses une suceuse de bites ou de chattes, je suis restée une femme aimant son mari.
Franck mon mari devait arriver ce matin, il vient de m’appeler, un client important pour son cabinet d’expert comptable souhaite le voir pour une histoire de TVA.
Il ne nous rejoindra que dimanche matin.
J’ai failli lui parler de mes piercings, mais il était pressé et a raccroché.
Je viens de passer une nuit horrible seule dans mon sous-sol et comme un fait expert, par la fenêtre de la cuisine, je vois la pluie tomber.
À la télé que j’ai allumée pour avoir les informations, la météo est donnée mauvaise sur une bande qui va traverser la France d’ouest en est.
Après manger, je sens que mon beau-père a bien envie de nous fausser compagnie pour rejoindre notre jolie voisine.
- Jacques, permettez-moi de vous proposer de me laisser seule avec les enfants.
Je vais leur faire faire leur cahier de vacances que nous avions acheté et que nous n’avons pas ouvert depuis le début des vacances.
- Pourquoi te laisserais-je seule ?
- Pour rejoindre Victoria votre voisine avec qui je pense vous entretenez des relations intimes.
- Comment le sais-tu ?
Je lui raconte mon retour et ce que j’avais vu quand il s’est rendu chez elle.
- Merci Josy, je te revaudrais ça, je serais redevable envers-toi.
L’âge avançant, je veux profiter des derniers moments que la vie m’offre même si j’adorais Lola ma femme.
- Allés, file.
C’est la première fois que je tutoie mon beau-père, il ne semble pas s’offusquer.
Les enfants ont du mal à rester en place, nous faisons une page de cahier de vacances et après je joue à un jeu que Lora a apporté qui consiste à retrouver des paires d’animaux.
À ce jeu, je suis nul, l’esprit vif de mes enfants ne me permet pas de rivaliser.
Quand mon beau-père est de retour, la mine réjouie de celui qui a passé un bon moment, nous dînons et les enfants couchés je rejoins mes pénates.
Une pensée lubrique me vient « il est bête que Charles et Ludovic soient eux aussi rentrés à Paris, j’aurais bien quitté discrètement la villa pour les rejoindre afin de passer le début de soirée avec leurs deux verges. »Je sais, je peux m’échapper et aller dans le bar à vins où ils nous avaient emmenés, il y aura certainement une queue qui voudra me baiser.
Cinq kilomètres allés, cinq retours si je prends un râteau, la journée passée à jouer avec mes enfants m’a exténué.
Je m’allonge hésitant entre le pour et le contre.
Mon portable sonne.
Mince 6 heures.
- Allo, Josy, mince je te réveille.
Je suis parti depuis quatre heures, j’approche d’Orléans.
- Franck as-tu acheté ton guide main libre ?
- Non, pas eut le temps.
- Alors du téléphone en roulant.
- Je dois le reconnaître, j’arrive et je suis heureux de te retrouver.
Tient un secteur de brouillard, il a plu hier et avec la chaleur il y a du brouillard qui se forme.
- Je raccroche et je t’attends fait attention.
Si je ne coupe pas, je le connais, il va parler avec moi pour éviter de s’ennuyer, il a horreur de la musique.
Quand nous roulons avec les enfants, ils ont leur tablette dans le dossier et regardent des dessins animés avec chacun un casque, bien sûr, ils veulent deux films différents.
- Je suis un peu anxieuse Jacques, il devrait être là depuis une heure.
- Il a dû s’arrêter, il est très prudent, c’est comme ça que je lui aie appris à conduire.
- Maman, je mets la télé, je veux voir un dessin animé.
Benoît sait que je vais dire non, pas pendant les vacances, il est rapide, la télé s’allume.
Jacques a dû regarder la chaîne d’info en continu, l’information qu’il donne ma glace le sang.
- Grave carambolage près d’Orléans ce matin vers si heures.
L’accident a concerné un camion et des voitures à cause d’une nappe de brouillard plus intense que les autres.
Voyez les images que nous avons prises avec notre drone, la voiture au centre à particulièrement et touché.
Les pompiers ont dû découper le toit pour sortir le conducteur.
Par chance il est en vie et a été conduit au C.H.U. ou il a été pris en main.
Nous nous renseignerons pour en savoir plus.
Merde, je suis effondrée, la voiture au toit découpé c’est la nôtre, apprendre l’accident par la télé c’est inhumain.
- Appelle l’hôpital d’Orléans, je cherche le numéro sur mon portable.
Soit rassurée, ils ont dit qu’il est vivant.
Vivant oui, ils refusent de me donner plus de nouvelles, il faut que je vienne, ils m’expliqueront.
- J’appelle un taxi, je prends la course en charge.
- J’appelle Victoria, elle va m’aider avec les enfants.
En quelques minutes, raisonnable tout de même à cause du taxi, je suis prête, je me fais un sang d’encre.
La route est longue, longue, longue, malgré l’autoroute.
- Bonjour madame, je suis le médecin qui s’est occupé de votre mari, il a eu beaucoup de chance, mais les gendarmes qui vous recherchaient, vous en diront plus.
Franck votre mari dans les jours prochains va être transféré à Garches, dans l’hôpital spécialiste des accidentés de la route.
C’est ainsi que j’apprends que Franck a perdu l’usage de ses jambes ayant été touché à la colonne vertébrale.
Ça fait quelques mois qu’ils lui apprennent à se servir d’un fauteuil roulant.
Il vient de rentrer chez nous à Paris.
Pendant son hospitalisation, Arthur le jeune Réunionnais fraîchement diplômé comme expert comptable a tenu le cabinet qui n’a pas souffert des suites de l’accident.
Moi, je n’ai pas eu besoin de faire voir mes piercings d’ailleurs Claudia m’a avoué qu’elle n’avait rien dit à son frère comme pour les bains à poils sur la plage naturiste.
Franck vit sa vie seulement portée sur les comptes de ses clients.
Françoise l’infirmière qui lui a été assignée payer par les assurances des deux chauffards qui faisaient la course ce matin-là.
L’un l’a percuté, le faisant pirouetter et taper dans le camion qu’il allait doubler.
L’autre voiture elle aussi l’a percuté de l’autre côté ce qui a eu pour effet d’achever sa colonne vertébrale.
Je ne les ai pas vus, mais l’accident s'est passé là où une caméra d’autoroute surveillait le trafic.
Ils ont toutes les images ce qui a contraint les assurances à lui octroyer une grosse pension jusqu’à la fin de leur vie.
J’ai perdu le sexe que j’avais épousé, mais je récupère un morceau d’homme blindé par cette pension et le cabinet qui fonctionne à plein.
Françoise vient le lever et le coucher à heures fixes.
Pendant qu’il était à Garches, je suis allée chez Claudia qui a repris ses passes avec ses clients.
Nous couchons ensemble tous les lundis.
Je vais vous faire une confidence.
Libre de ma vie, Franck m’ignorant depuis son accident, il m’est arrivé par trois fois d’aller la remplacer quand la cliente qui la demandait tombait à un moment où elle n’était pas libre.
J’ai adoré le moment où la femme m’a donné l’argent que ma belle-sœur a voulu à toute force que je les garde.
Je les ai mis sur le livret de caisse d’épargne des enfants.
Je suis libre, car nous avons engagé une jeune anglaise venue parfaire son Français et qui s’occupe des enfants.
Ayant le téléphone de Charles et Ludovic, je l’ai ais appelé.
Ils croyaient que je venais me prostituer comme Claudia leur avait fait croire.
Je vais chez eux tous les vendredis après-midi, gratuitement il va de soi.
J’adore c’est parti à deux queues en moi.
En ce moment nous sommes auprès de mon beau-père et de Victoria sa compagne, ils se sont pacsés.
Nous venons faire des plans que les assurances se sont engagées à faire chez lui afin que Franck puisse venir pour les vacances.
Il aura un logement pour lui accessible avec son fauteuil roulant.
Victoria couchant avec Jacques, elle les a mis chez elle et quand tout est calme, je sors de mon sous-sol pour les rejoindre.
Ils m’entraînent sur la plage où nous faisons l’amour divinement ce joli mois de mai nous promettant un été torride.
J’adore les sucer à tour de rôle.
De retour à Paris, ma belle-sœur à un nouveau jeu, les piercings du nombril, elle me l'a fait.
Mon clito, il a subi le même sort.
Elle me conduit chez un tatoueur, elle veut que mon corps soit une œuvre d’art.
J’ai mal quand l’aiguille me perce autour de la chatte mais je résiste, la douleur j’ai appris à aimer.
Que dire de plus, je suis une salope, bisexuelle, ça on le sait ?
À oui, Arthur est mon amant, ça s’est fait sur la table de la salle à manger pendant que Franck recevait un de nos gros clients.
Je l’ai surpris à sauter Abby un jour où il croyait que j’étais sortie, je m’en fiche, les bites et les chattes, j’en ai à revendre.
Mardi et jeudi je vais dans une salle de sport pour maintenir ma ligne.
Je rencontre fille ou gars avec qui je vais continuer à faire du sport en chambre.
Attention, si je me fais sauter par tout ce qui bouge et qui me plait comme la queue noire d’Arthur qui vient de me prendre dans les toilettes, lui interdisant ma chambre même si je couche seule.
Trois jours sont sacrés.
Mercredi après-midi où je sors avec Benoît et Lora, nous allons dans des brasseries manger des crêpes et dans divers musées.
Ils adorent que nous prenions un taxi pour aller au musée des colonies où il y a des poissons dans leur aquarium.
Les mercredis mais aussi les samedis et dimanches.
L’ascenseur qui permet à Franck de descendre a été changé aux frais des salopards qui ont gâché sa vie pour que son fauteuil tienne.
Promenades quand il fait beau, moi poussant le fauteuil.
Cinéma quand il pleut.
Restaurant haut de gamme tous les dimanches, souvent rejoints par sa sœur.
Vous voyez même si je suis devenue par la force des choses une suceuse de bites ou de chattes, je suis restée une femme aimant son mari.
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