COLLECTION LESBIENNES. Sex-shop exclusivement féminin (1/2)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LESBIENNES. Sex-shop exclusivement féminin (1/2)
« Interdit aux hommes. »
C’est l’affiche lumineuse que nous avons mise avec Gigi, ma femme, lorsque nous avons acheté ce sex-shop près de la place Pigalle.
Interdit aux hommes, il a fallu se battre pour avoir les autorisations d’ouvrir car on nous mettait des bâtons dans les roues pour liberté de circulation.
C’est monté jusqu’au « Conseil d’État » par chance, ils ont tranché en notre faveur.
Des sex-shops, il y en a des dizaines dans le quartier avec possibilité d’achat ou de visionnage de films ou la femme est bien souvent dominée par les hommes, alors que dans notre boutique ce genre de film était banni.
Ce choix nous a pris énormément de temps, car il nous a fallu visionner de nombreux films et comme notre logement se trouvait au-dessus de notre magasin, nous allions souvent éteindre le feu que certaines visions avaient provoqué en nous.
Le nôtre est exclusivement orienté vers les femmes et pour les femmes.
Même les films projetés, sont, soit lesbiens soit dominés, mais c’est la femme qui domine.
Une des difficultés lorsque nous avons eu les autorisations ce fut de faire le tri entre ce que nous gardions de l’ancienne enseigne.
Encore quinze jours de tri et d’achalandage de nouveaux produits à mettre sur nos étagères.
Nous visionnions les films, mettant dans des cartons ceux hors notre concept et la livraison de nouveaux films et objets utiles aux femmes.
Gigi, que j’ai épousé après trois ans de vie commune comme strip-teaseuse dans une boîte d’effeuillage du quartier où nous nous produisions dans un duo très pervers lorsque les mœurs se sont relâchées dans ce genre de boîte.
Elle était appelée « théâtre érotique, » il y avait des numéros hétéros, un homo et nous étions le numéro « femmes entre femmes. »
Nous avions depuis longtemps repéré ce sex-shop à vendre.
Julien le patron nous connaissait, c’est chez lui que nous nous fournissions en gode dernier modèle, mais surtout en lubrifiant Gigi adorant que je la pénètre par l’anus.
Pour ma part, j’étais plutôt classique, ma préférence allant au 69, me faire sucer pendant que je la suçais déclenchait mon plaisir et cela me suffisait.
Gigi avait un petit travers dur à supporter au début, elle était du genre infidèle.
Attention, qu’avec des femmes, je ne l’ai jamais vu avec des hommes.
Justement dans notre sex-shop nous avons été rapidement confrontés malgré l’affiche lumineuse à des hommes voulant tout de même entrer.
C’est le cas maintenant, je suis à la caisse, deux femmes dont une mémé de plus de soixante ans lorsqu’un homme franchit la porte.
J’appuie sur le bouton du boitier que Gigi a dans sa poche.
Il vibre et alors que j’ignore ou elle se trouve dans le magasin, elle rapplique vers moi et voit directement le problème.
Un sas évite que cet homme ne voie l’intérieur du magasin et ce que font les femmes qui viennent s’achalander en produits divers.
• Monsieur, veuillez sortir, ce magasin est exclusivement réservé aux femmes.
• Et c’est toi espèce d’ablette qui va m’empêcher de rentrer, t’a vu comment tu es gaulé, on te souffle dessus et tu vas t’écraser contre ta caisse.
• Connaissez-vous l'histoire des trois petits cochons ?
• Qu’a à voir cette histoire avec le fait que si j’ai envie d’entrer, ce n’est pas toi, petit avorton, qui réussira à m’en empêcher !
• Gigi, garde ton calme, met le dehors comme tu sais si bien le faire en évitant la violence, il va de soi !
Aussitôt dit, aussitôt fait, l’avorton lui fait une simple clef de bras et le tenant fermement le conduit jusqu’à l’extérieur.
• T’as du pot, c’est mon jour de bonté !
Si j’avais soufflé plus fort, comme le loup le fait dans l’histoire des petits cochons, les filles du Moulin Rouge auraient été dans l’obligation d’appeler les secours pour te conduire à l’hôpital.
• Salope.
Ce seul mot qu’il trouve à dire lorsque je le relâche, celui-ci en est un qui ne reviendra pas de sitôt afin d’essayer de rentrer dans notre royaume réservé aux femmes.
Lorsque nous avons repris le magasin Gigi et moi, entre parentaise, j’ai oublié de me présenter ainsi que Gigi.
Quoique, je vienne de le faire en partie en expliquant comment elle était bâtie et son nom lorsque je l’appelle.
Blonde, semblant frêle, mais avec des muscles d’acier.
Elle a fait du catch avant de s’effeuiller, et les balaises, genre « bourreau de béthune » elle les faisait valser même si certains disent que le catch, ce n’est rien que du chiqué.
Gigi on peut le dire était un vrai garçon manqué, bien que féminin.
Elle savait à l’occasion faire le coup de poing lorsqu’une bagarre démarrait dans la fête, au milieu des manèges.
Il faut dire que son père était forain et présentait un spectacle d’effeuilleuse.
Gigi, sa fille lorsqu’elle a été en âge, se présentait en petite tenue, été comme hivers et s’effeuillait comme les autres filles.
C’est là que je l’ai connu, dur au mal, mais si tendre lorsque sa langue venait caresser mon clito.
Un jour, c’est à la foire du trône que malgré que je sois une fille, je suis entrée gratuitement, Jojo son papa me faisant une fleur, j’étais la seule femme voulant pénétrer ce lieu plutôt masculin.
J’ai eu rapidement des mains aux fesses, ce que Gigi a remarqué.
• Messieurs, écartez-vous de cette demoiselle, vous êtes venus voir mon cul, vous avez payé pour ça, après que vous m’ayez vu vous appâter.
Mais si vous continuez, je descends de scène et un bon nombre d’entre vous savez comment je règle ce genre de litige.
Quel espace, ai-je eu autour de moi, mais les mains ont disparu et Gigi, nom que son père, avait évoqué en nous la présentant avant de faire entrer les mâles en manque de femmes sous la tente.
• Et pour votre plus grand plaisir, je sais que c’est pour elle que vous êtes venue, mademoiselle Gigi qui va se montrer dans son intégralité, n’hésitez pas à entrer.
Le spectacle va commencer dans cinq minutes, 10 € l’entrer, c’est donné pour voir des corps de rêves.
J’ai compris que si j’avais voulu entrer, c’était pour elle lorsqu’elle avait fait, c’est-à-dire appâté le client en me montrant une épaule savamment sortie de son peignoir recouvrant et cachant le reste de son corps.
Elle l’avait ouvert jusqu’à son sein me donnant l’envie de le prendre dans ma main.
• Messieurs, vous voulez voir le reste, je vous rappelle 10 € et la petite vous en montrera bien plus ainsi que ses quatre collègues qui se sont présentées à vous !
Jojo vendait les charmes de sa fille sans le moindre scrupule.
À la fin du spectacle, Gigi est venue vers moi ayant remis son peignoir et m’a invité dans la roulotte qui leur servait de maison.
J’étais venue avec des copines, on peut dire des beaux quartiers parisiens, mon père travaillant à l’assembler nationale, je les avais perdus lorsque j’ai été attiré par les charmes de Gigi qui faisait sa présentation.
La petite, enfin pas tout à fait, je faisais une tête de plus que Gigi, j’ai appelée mes parents pour leur dire que j’avais trouvé chaussure à mon pied.
J’ai dit que le 69 était ma position favorite, c’est dans sa couche que j’ai pour la première fois fait un cunnilingus à cette magnifique amie.
Maman a pleuré toutes les larmes de son corps, mais lorsqu’elle m’a dit que mon père état effondré, le connaissant trop bien, c’est d’avoir une fille unique lesbienne qui l’effondrait.
Moi, la petite Marie-Adélaïde, il faut être tordu d’appeler sa fille d’un tel prénom.
C’est un bras d’honneur que je lui faisais avec ma langue lorsque je la passais avec envie dans la chatte de l’amour de ma vie.
Comment l’on dit, du moins qu’il m’a dit, par l’intermédiaire de la carpette que ma mère a toujours été, à oui, à ma mort, « il va te déshériter ? »
J’aurais été un homme, je lui aurais dit que je m’en « battais la queue ! »
J’ai ainsi préféré l’amour, même si ça a été en m’exhibant, qu’à son pognon.
C’est Gigi qui a voulu quitter son père, nous avions des rapports assez sonores et savoir que ce vieil obsédé nous écoutait baiser, nous mettant mal à l’aise.
J’ai pourtant vécu presque trois mois dans cette roulotte, même après la fin de la foire du trône.
Nous avons quitté Lulu et la roulotte lorsque Lulu a parlé à sa fille que je devais moi aussi gagner ma pitance en montrant mon corps dans la prochaine ville où Gigi et lui montait la tente.
Elle avait un petit pécule, son père lui donnant plutôt de l’argent de poche qu’un salaire, mais sur la fête étant née dans cette roulotte, tous les forains la connaissaient et elle n’avait aucune dépense.
Pour ma part, étant majeure, j’ai pu tirer l’argent de mon livret de caisse d’épargne, mais nous avons rejoint Pigalle et la vie facile pour des filles n’ayant pas froid aux yeux.
C’est à Pigalle, que Marie-Louise m’a tatoué pour la première fois, faisant passer cette fille de bonne famille, en fille se rebellant contre la société.
Je serais entrée dans une bande, comme celle d’y l’y a quelques années, type bande terroriste, bien encadré par Gigi, j’aurais été capable de flinguer mon propre père.
En plus des tatouages pour faire plus fille libre, Marie-Louise, m’a percé jusqu’à ma chatte.
Ce fut les seules fois ou une autre femme que Gigi a vu mes seins et ma chatte de très près, sur scène le client se tenant à quelques mètres.
J’ai parlé des infidélités de Gigi, ça a failli tout casser entre nous.
Elle partait le soir, toujours dans des bars ou se retrouvait des lesbiennes et se faisait défoncer jusqu’au matin ou elle me revenait honteuse de m’avoir trompé.
Un exemple de ce qu’elle peut faire et fait dans notre sex-shop.
• Bonjour madame heureuse de vous connaitre, c’est la première fois que vous venez !
• Oui, il est hors de question que je rentre dans un lieu comme le vôtre, ou les hommes présents vous regardent comme une marchandise.
Je cherche de quoi dominer mon mari.
• Vous êtes au bon endroit, j’appelle Gigi mon amie, c’est elle qui va vous faire découvrir le monde que nous mettons à votre disposition afin que vous dominiez le plus possible votre mari...
C’est l’affiche lumineuse que nous avons mise avec Gigi, ma femme, lorsque nous avons acheté ce sex-shop près de la place Pigalle.
Interdit aux hommes, il a fallu se battre pour avoir les autorisations d’ouvrir car on nous mettait des bâtons dans les roues pour liberté de circulation.
C’est monté jusqu’au « Conseil d’État » par chance, ils ont tranché en notre faveur.
Des sex-shops, il y en a des dizaines dans le quartier avec possibilité d’achat ou de visionnage de films ou la femme est bien souvent dominée par les hommes, alors que dans notre boutique ce genre de film était banni.
Ce choix nous a pris énormément de temps, car il nous a fallu visionner de nombreux films et comme notre logement se trouvait au-dessus de notre magasin, nous allions souvent éteindre le feu que certaines visions avaient provoqué en nous.
Le nôtre est exclusivement orienté vers les femmes et pour les femmes.
Même les films projetés, sont, soit lesbiens soit dominés, mais c’est la femme qui domine.
Une des difficultés lorsque nous avons eu les autorisations ce fut de faire le tri entre ce que nous gardions de l’ancienne enseigne.
Encore quinze jours de tri et d’achalandage de nouveaux produits à mettre sur nos étagères.
Nous visionnions les films, mettant dans des cartons ceux hors notre concept et la livraison de nouveaux films et objets utiles aux femmes.
Gigi, que j’ai épousé après trois ans de vie commune comme strip-teaseuse dans une boîte d’effeuillage du quartier où nous nous produisions dans un duo très pervers lorsque les mœurs se sont relâchées dans ce genre de boîte.
Elle était appelée « théâtre érotique, » il y avait des numéros hétéros, un homo et nous étions le numéro « femmes entre femmes. »
Nous avions depuis longtemps repéré ce sex-shop à vendre.
Julien le patron nous connaissait, c’est chez lui que nous nous fournissions en gode dernier modèle, mais surtout en lubrifiant Gigi adorant que je la pénètre par l’anus.
Pour ma part, j’étais plutôt classique, ma préférence allant au 69, me faire sucer pendant que je la suçais déclenchait mon plaisir et cela me suffisait.
Gigi avait un petit travers dur à supporter au début, elle était du genre infidèle.
Attention, qu’avec des femmes, je ne l’ai jamais vu avec des hommes.
Justement dans notre sex-shop nous avons été rapidement confrontés malgré l’affiche lumineuse à des hommes voulant tout de même entrer.
C’est le cas maintenant, je suis à la caisse, deux femmes dont une mémé de plus de soixante ans lorsqu’un homme franchit la porte.
J’appuie sur le bouton du boitier que Gigi a dans sa poche.
Il vibre et alors que j’ignore ou elle se trouve dans le magasin, elle rapplique vers moi et voit directement le problème.
Un sas évite que cet homme ne voie l’intérieur du magasin et ce que font les femmes qui viennent s’achalander en produits divers.
• Monsieur, veuillez sortir, ce magasin est exclusivement réservé aux femmes.
• Et c’est toi espèce d’ablette qui va m’empêcher de rentrer, t’a vu comment tu es gaulé, on te souffle dessus et tu vas t’écraser contre ta caisse.
• Connaissez-vous l'histoire des trois petits cochons ?
• Qu’a à voir cette histoire avec le fait que si j’ai envie d’entrer, ce n’est pas toi, petit avorton, qui réussira à m’en empêcher !
• Gigi, garde ton calme, met le dehors comme tu sais si bien le faire en évitant la violence, il va de soi !
Aussitôt dit, aussitôt fait, l’avorton lui fait une simple clef de bras et le tenant fermement le conduit jusqu’à l’extérieur.
• T’as du pot, c’est mon jour de bonté !
Si j’avais soufflé plus fort, comme le loup le fait dans l’histoire des petits cochons, les filles du Moulin Rouge auraient été dans l’obligation d’appeler les secours pour te conduire à l’hôpital.
• Salope.
Ce seul mot qu’il trouve à dire lorsque je le relâche, celui-ci en est un qui ne reviendra pas de sitôt afin d’essayer de rentrer dans notre royaume réservé aux femmes.
Lorsque nous avons repris le magasin Gigi et moi, entre parentaise, j’ai oublié de me présenter ainsi que Gigi.
Quoique, je vienne de le faire en partie en expliquant comment elle était bâtie et son nom lorsque je l’appelle.
Blonde, semblant frêle, mais avec des muscles d’acier.
Elle a fait du catch avant de s’effeuiller, et les balaises, genre « bourreau de béthune » elle les faisait valser même si certains disent que le catch, ce n’est rien que du chiqué.
Gigi on peut le dire était un vrai garçon manqué, bien que féminin.
Elle savait à l’occasion faire le coup de poing lorsqu’une bagarre démarrait dans la fête, au milieu des manèges.
Il faut dire que son père était forain et présentait un spectacle d’effeuilleuse.
Gigi, sa fille lorsqu’elle a été en âge, se présentait en petite tenue, été comme hivers et s’effeuillait comme les autres filles.
C’est là que je l’ai connu, dur au mal, mais si tendre lorsque sa langue venait caresser mon clito.
Un jour, c’est à la foire du trône que malgré que je sois une fille, je suis entrée gratuitement, Jojo son papa me faisant une fleur, j’étais la seule femme voulant pénétrer ce lieu plutôt masculin.
J’ai eu rapidement des mains aux fesses, ce que Gigi a remarqué.
• Messieurs, écartez-vous de cette demoiselle, vous êtes venus voir mon cul, vous avez payé pour ça, après que vous m’ayez vu vous appâter.
Mais si vous continuez, je descends de scène et un bon nombre d’entre vous savez comment je règle ce genre de litige.
Quel espace, ai-je eu autour de moi, mais les mains ont disparu et Gigi, nom que son père, avait évoqué en nous la présentant avant de faire entrer les mâles en manque de femmes sous la tente.
• Et pour votre plus grand plaisir, je sais que c’est pour elle que vous êtes venue, mademoiselle Gigi qui va se montrer dans son intégralité, n’hésitez pas à entrer.
Le spectacle va commencer dans cinq minutes, 10 € l’entrer, c’est donné pour voir des corps de rêves.
J’ai compris que si j’avais voulu entrer, c’était pour elle lorsqu’elle avait fait, c’est-à-dire appâté le client en me montrant une épaule savamment sortie de son peignoir recouvrant et cachant le reste de son corps.
Elle l’avait ouvert jusqu’à son sein me donnant l’envie de le prendre dans ma main.
• Messieurs, vous voulez voir le reste, je vous rappelle 10 € et la petite vous en montrera bien plus ainsi que ses quatre collègues qui se sont présentées à vous !
Jojo vendait les charmes de sa fille sans le moindre scrupule.
À la fin du spectacle, Gigi est venue vers moi ayant remis son peignoir et m’a invité dans la roulotte qui leur servait de maison.
J’étais venue avec des copines, on peut dire des beaux quartiers parisiens, mon père travaillant à l’assembler nationale, je les avais perdus lorsque j’ai été attiré par les charmes de Gigi qui faisait sa présentation.
La petite, enfin pas tout à fait, je faisais une tête de plus que Gigi, j’ai appelée mes parents pour leur dire que j’avais trouvé chaussure à mon pied.
J’ai dit que le 69 était ma position favorite, c’est dans sa couche que j’ai pour la première fois fait un cunnilingus à cette magnifique amie.
Maman a pleuré toutes les larmes de son corps, mais lorsqu’elle m’a dit que mon père état effondré, le connaissant trop bien, c’est d’avoir une fille unique lesbienne qui l’effondrait.
Moi, la petite Marie-Adélaïde, il faut être tordu d’appeler sa fille d’un tel prénom.
C’est un bras d’honneur que je lui faisais avec ma langue lorsque je la passais avec envie dans la chatte de l’amour de ma vie.
Comment l’on dit, du moins qu’il m’a dit, par l’intermédiaire de la carpette que ma mère a toujours été, à oui, à ma mort, « il va te déshériter ? »
J’aurais été un homme, je lui aurais dit que je m’en « battais la queue ! »
J’ai ainsi préféré l’amour, même si ça a été en m’exhibant, qu’à son pognon.
C’est Gigi qui a voulu quitter son père, nous avions des rapports assez sonores et savoir que ce vieil obsédé nous écoutait baiser, nous mettant mal à l’aise.
J’ai pourtant vécu presque trois mois dans cette roulotte, même après la fin de la foire du trône.
Nous avons quitté Lulu et la roulotte lorsque Lulu a parlé à sa fille que je devais moi aussi gagner ma pitance en montrant mon corps dans la prochaine ville où Gigi et lui montait la tente.
Elle avait un petit pécule, son père lui donnant plutôt de l’argent de poche qu’un salaire, mais sur la fête étant née dans cette roulotte, tous les forains la connaissaient et elle n’avait aucune dépense.
Pour ma part, étant majeure, j’ai pu tirer l’argent de mon livret de caisse d’épargne, mais nous avons rejoint Pigalle et la vie facile pour des filles n’ayant pas froid aux yeux.
C’est à Pigalle, que Marie-Louise m’a tatoué pour la première fois, faisant passer cette fille de bonne famille, en fille se rebellant contre la société.
Je serais entrée dans une bande, comme celle d’y l’y a quelques années, type bande terroriste, bien encadré par Gigi, j’aurais été capable de flinguer mon propre père.
En plus des tatouages pour faire plus fille libre, Marie-Louise, m’a percé jusqu’à ma chatte.
Ce fut les seules fois ou une autre femme que Gigi a vu mes seins et ma chatte de très près, sur scène le client se tenant à quelques mètres.
J’ai parlé des infidélités de Gigi, ça a failli tout casser entre nous.
Elle partait le soir, toujours dans des bars ou se retrouvait des lesbiennes et se faisait défoncer jusqu’au matin ou elle me revenait honteuse de m’avoir trompé.
Un exemple de ce qu’elle peut faire et fait dans notre sex-shop.
• Bonjour madame heureuse de vous connaitre, c’est la première fois que vous venez !
• Oui, il est hors de question que je rentre dans un lieu comme le vôtre, ou les hommes présents vous regardent comme une marchandise.
Je cherche de quoi dominer mon mari.
• Vous êtes au bon endroit, j’appelle Gigi mon amie, c’est elle qui va vous faire découvrir le monde que nous mettons à votre disposition afin que vous dominiez le plus possible votre mari...
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