COLLECTION LESBIENNES. Sex-shop exclusivement féminin (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION LESBIENNES. Sex-shop exclusivement féminin (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2025 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION LESBIENNES. Sex-shop exclusivement féminin (2/2)
« Interdit aux hommes. »

C’est l’affiche lumineuse que nous avons mise avec Gigi, ma femme, lorsque nous avons acheté ce sex-shop près de la place Pigalle.
Présentement une cliente d’un certain âge vient de franchir la porte de notre sex-shop.
Avant de voir ce qui l’intéresse, revenons un peu en arrière.
Parlons de moi, Marie-Pervenche, maman étant fan de Danièle Évenou la pervenche de cette série qu’elle dévorait.
On a vu que j’étais porté sur les femmes, en voyant mon prénom, je me suis demandé bien souvent si celle qui m’avait engendré n’était pas une lesbienne refoulée par des parents aussi rigoriste que mon père.
Pour ma part au moment où je rencontre Gigi, sous cette tente ou son père l’exhibait comme un objet de foire, je savais au fond de moi que je refusais tous contacts avec des hommes.
J’avais douze ans lorsque j’ai eu mes règles.
Ça a correspondu avec la foi ou j’ai vu Madeleine, ma maman, se faire baiser par mon père sur le sofa du salon.
Elle écartait ses cuisses me montrant pour la première fois la chatte d’une femme sans imagination.
On comprend pourquoi dès que mes poils ont poussé ayant volé le coupe-chou de mon père, je me les rasais dès que l’un d’entre eux apparaissait.
Comme ma mère, ils étaient très vite très nombreux et depuis que j’ai donné mon cœur à Gigi s’est elle qui me passe le savon à barbe faisant ce travail très méthodiquement.
Maman avait une toison que j’ai apprise avec le temps que certains appelaient cela un tablier de sapeur.
Placée comme je l’étais, grâce à un jeu de glace, j’ai vu cette chose toute rouge et qui a plongé à l’intérieur de la vulve maternelle.
Je crie lorsque je jouis, du moins je m’exprime, Gigi aussi.
Entendre les hans ! hans ! de mon père chaque fois que ce poignard déchirait le ventre de ma chère mère, m’a traumatisé à vie.
Surtout que dans le même temps maman subissant l’assaut semblait regarder le plafond sans que le moindre son ou mouvement de sentiment sorte de sa bouche.
Maman subissait l’attaque du mâle en rut sans sembler y prendre le moindre plaisir.
J’avais quatorze ans, lorsque j’ai repoussé l’assaut de mon cousin Franck.
C’était un soir du 14 juillet sur une plage de l’Atlantique, ou pour la deuxième fois et là de plus prêt, je voyais une dague identique à celle qui avait pourfendu maman.
Mon cousin m’en a voulu, il avait seize ans et je suppute qu’il était encore puceau.
Il avait dû compter sur sa cousine pour le soulager de ce poids pesant sur lui.
J’ai terminé nos vacances toujours très proches de maman se demandant pourquoi d’un coup, je me rapprochais d’elle alors qu’en temps normal, j’avais tendance à les éviter, elle ainsi que papa.
Une seule personne aurait pu faire ce qu’elle voulait de moi, c’était Aurélie sa sœur.
Avec elle j’aurais pu avoir les mêmes rapports de proximité et comprendre que je devenais femme programmée pour aimer les femmes comme maman devait l’être sans le savoir ou alors au plus profond d’elle.
C’est quelques mois plus tard, qu’une nuit je me suis réveillée couverte de sueur.
J’ai pensé à une grippe d’été, mais c’est ma main sur ma chatte qui m’a donné la solution à mon problème, ma main venait de découvrir mon clitoris qui rapidement est devenu ma nouvelle source de jeux.
La masturbation solitaire devenait ma principale activité.

• Marie-Pervenche, pose tes mains sur la table, qu’est-ce que c’est que ces façons de les planquer sous la nappe, tu m’inquiètes ma fille !
• Mais je me fais jouir papa, si maman en faisait autant, je suis sûr qu’elle jouirait encore voire plus que moi.
• Tu as raison ma fille, ton père est un gros con et moi une grosse salope.

Il va de soi que ces deux dernières phrase sur ma jouissance et celle hypothétique de maman, je les pense sans, hélas, les exprimer.
Mon père exprimait mon envie de sexe d’une façon encore plus repoussante que mon cousin Franck.
Chaque fois qu’il ouvrait la bouche, je revoyais ce morceau rouge et tendu que j’avais vu dans la glace et qui n’avait fait ni chaud ni froids à maman.
Ma main pour ma part laissait partir de petites flèches telle celle de cupidon dans tous les sens et chaque fois je serais mes lèvres pour éviter de leur montrer la jouissance que je m’apportais.
J’avais dix-neuf ans lorsque je suis rentrée sous cette tente tenue par Lulu le père de Gigi et dont j’en suis sortie pour me rendre dans la roulotte de ma nouvelle famille.
C’est la bouche de Gigi puis ses doigts entrant au plus profond de moi qu’ils le pouvaient qui m’ont défloré, rendant Gigi folle amoureuse de moi.

• Oh ! mon cœur, tu étais vierge, regarde, je suce ton sang sur mes doigts, moi si je te disais cela c’est bien plus mal passé, mais je préfère tout oublier dans tes bras.

C’est le soir ou le maire de l’arrondissement de Pigalle, que dans notre chambre, le soir de notre mariage.
Dans mes bras après que nous nous soyons donnés bien du plaisir dans un 69 mémorable, comme elle me l’avait promis, que Gigi m’a tout dit sur cette période de sa vie.
Parmi d’autres forains, il y avait Maud la cartomancienne.
C’est elle qui a initié Gigi dans les plaisirs féminins.
Elle lui montrait que sur ses airs de garçon manqué, c’était les filles qui étaient sa tasse de thé.
Hélas, ça c’est su, quelqu’un avait dû prévenir les autres hommes que dans le campement deux gouines sévissaient.
Elles étaient étroitement enlacées venant de se donner énormément de plaisir que trois hommes encagoulés sont entrés en défonçant la porte de Maud, à l’aide d’un pied-de-biche.
Ils ont littéralement violé les deux femmes, l’une la cinquantaine Maud et l’autre dix-neuf, l’âge que j’ai lorsqu’elle me raconte cette étape de sa vie.
Elle avait compris qu’elle était lesbienne de cœur et s’est renforcée lorsqu’elle s’est mise aux sports de combat.
C’était avec les catcheurs qui faisaient eux aussi un numéro sous une tente comme le faisait son père avec ses filles sous la sienne.
On l’a vu lors de son altercation avec des hommes me mettant leurs mains aux fesses, lorsque je suis venue en voir plus que sa simple pointe d’un sein.
Elle avait réussi à se faire craindre même du public, venue l’admirer.
Nous avons ri, non pas de son viol, mais de ce qu’elle m’a dit des hommes encagoulés.
Rien ne pouvait exclure que parmi ceux qui lui avaient appris à se défendre, l’un d’eux n’était pas dans les trois qui lui avaient pris son hymen ou sa pastille, les deux femmes avaient été enculées.
Ce qu’il y a de sur, c’est qu’elles ont gardé cela pour elles, si elles avaient parlé, elles étaient certaines qu’une guerre aurait éclaté entre forains.
Les clans étant nombreux au sein de cette communauté des gens du voyage.

De plus on comprend pourquoi Gigi, virait les intrus mâles sans grande difficulté de notre sex-shop jusqu’à cet après-midi ou la porte s’est ouverte et ou cette femme bien mise est venue me demander des renseignements.

• Je cherche des objets pour soumettre mon mari, il m’a outrageusement trompé et comme c’est moi qui possède l’argent qui lui permet de vivre, il est obligé de passer par mes quatre volontés.

J’ai parlé du temps qu’il nous a fallu pour choisir les objets à mettre en ventent.
Les films en ont fait partie, mais aussi ces objets de soumission touchant les hommes.
Les fouets et les martinets ce fut facile à trancher, mais les cages de chasteté pour hommes, c’était plus délicat.
Un système ingénieux universel prenant en compte toutes les tailles de verges des plus petites à une taille raisonnable, un seul objet étant nécessaire nous permet d’éviter que le dominé ne soit là.

• Pour commencer, chère madame, merci d’être venue dans notre boutique et de nous faire confiance.
Nous avons l’objet que vous nous demandez, mais pour dominer un homme il vous faut une tenue qui le fasse saliver lorsque vous lui aurez bloqué les couilles.
Regardez ma robe, elle parait cacher entièrement mes formes, mais si je me lève de mon siège, et que je me retourne.
• Formidable, on voit votre cul, ce qu’il va le faire bander, alors qu’avec la cage, ça lui sera impossible, c’est moi qui dirigerais nos jeux.
Ou puis-je trouver ces merveilles.
• J’appelle mon associée, c’est elle qui est la spécialiste de tout ceci, elle va vous conduire jusqu’à l’endroit où ça se trouve.
• Marie, tu m’as appelé, que se passe-t-il ?
• Madame me dit être intéressée par la robe que je porte.
Je pense que tu peux aussi lui montrer les combinaisons en latex avec cagoule, qu’elle pourra faire enfiler à son mari volage.
Son cul comme le mien ressortira, un martinet ou une badine flexible comme tu aimes te servir sur moi lorsque je porte cette robe aujourd’hui lui sera très utile.
Elle veut aussi une cage de chasteté, tu lui montreras son fonctionnement.


Gigi emmène la dame dans le sous-sol ou se trouve, le rayon sado-maso.
J’ai parlé des tromperies de Gigi au début de notre relation.
Depuis que nous avons ouvert et que ça marche du feu de Dieu, c’est elle qui s’occupe de ce genre de cliente ayant besoin de conseils.
Pour éviter les vols, nous avons quelques caméras dans les rayons les plus fauchés.
Lorsque Gigi fait essayer une robe identique à la mienne, mais en rouge, je passe ma main entre les pans de ma robe et je me caresse la chatte.
Ma maitresse lui montre la fente, qui lui permettra de faire saliver le cocu coincé dans sa cage et ainsi de se venger.

• Tu as bien joui Marie, ma chérie, je sais ce que tu te faisais lorsque j’ai fait essayer sa robe à cette femme.
Elle a dépensé combien, 5 500 €, ouahou !

Et que lui a-t-elle fait lorsque je l’ai vu regarder la liste des films à visionner sur place ?
Gigi est restée une demi-heure avec notre cliente dans une cabine, hélas, pour garder l’intimité aucune caméra, mais je sais de quoi Gigi est capable lorsqu’elle a une chatte à sa disposition.

• Marie, une salope comme la plupart des clientes qui viennent s’achalander chez nous, bébé.
• Moi aussi je lui ai certainement fait de l’effet, elle m’a donné son numéro de téléphone pour que je vienne personnellement lui livrer toute sa commande.
• Si tu l’appelles et que tu t’y rendes, je t’arrache les yeux, chérie !
• Et si pour une fois, je l’appelais pour lui dire que nous serons deux, je crois que moi aussi je mérite un moment de plaisir avec ce genre de salope.

Voilà, c’est dit, moi aussi, je vais avoir mon heure de gloire avec cette cliente, mais dans le respect de mon engagement de fidélité à Gigi devant monsieur le maire.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Chris que nous réserves es-tu dans le 3
Seul ton cerveau le sait donc on patiente sur l’evéntuelle rencontre
Toujours bien écrit Daniel

Histoire Erotique
On attend le 3 épisode, la rencontre de Gigi, Marie et leur cliente et la soumission du mari ?
Marc



Texte coquin : COLLECTION LESBIENNES. Sex-shop exclusivement féminin (2/2)
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