COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Début de la Saison II (6/10)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Début de la Saison II (6/10)
La saison I a planté le décor.
Je m’appelle Véronique et par suite d’un accident de cheval, j’ai perdu la vue.
Au lieu de me morfondre, j’ai pris le taureau par les cornes remontant même sur un cheval.
Un cheval, plus spécifiquement une vieille jument Quasi rachetée aux haras nationaux de Cluny en Saône et Loire.
C’est sur Rocco que j’ai eu mon accident, mais il m’était impossible de reprendre sur un cheval aussi fougueux.
C’est en allant voir mon cheval qu’une première puis une deuxième fois, je me sens forcée à la limite du viol.
Mais ayant connu le sexe avec un bel italien, le manque de rapport dû à ma cécité me permet de ne pas porter plainte.
Il est revenu, je suis de nouveau à lui, cette fois-ci j’ai réussi à maîtriser nos jeux amoureux sans pour autant entendre le son de sa voix.
Nous roulons dans le foin quand il me prend sauvagement en levrette, un éclair frappe en même temps que le tonnerre se fait entendre non loin de l’écurie.
Je jouis et il décharge en moi.
Le halo vert qui doit nous entourer car je perçois juste une lueur frappant mes yeux malades me fait entrevoir un espoir de recouvrer la vue.
Quand cette grande lueur disparaît en même temps que ce grand bruit, et que le plaisir provoqué par l’orgasme simultané que je ressens en même temps que le sexe qui éjacule en moi s’estompe.
Je suis prête à recommencer en voulant profiter à fond de l’aubaine d’avoir un sexe à ma disposition.
- Au feu, vite au feu.
À croire que je suis maudite.
Je sens le sexe m’abandonné et la lourdeur de la nuit sans bruit s’installer après le bruit de la cavalcade de mon bel inconnu fait précipitamment pour se sauver.
Je cherche mon peignoir à tâtons à quatre pattes me voyant mal sortir nue de l’écurie où les chevaux un moment paniqués se sont calmés.
Je trouve l’une de mes mules à toupet rose mais impossible de mettre la main sur la deuxième.
Le bruit de personnes s’activant à l’extérieur semble se rapprocher.
J’entends mais sans reconnaître la voix qui hurle.
- Vite, allez chercher des seaux dans l’écurie.
Faîte la chaîne pour récupérer l’eau dans la piscine pour les remplir.
Il faut faire vite, je me cogne dans le coin du dernier box me faisant mal à l’épaule.
Je sors par la petite porte arrière afin de contourner l’écurie me permettant d’arriver sur l’avant comme si je sortais de ma maison.
Je suis pieds nus ce qui est un moindre mal, même que sur les graviers, rapidement ils me font mal.
Je cherche à mettre la ceinture de mon peignoir mais sans la trouver, je finis par comprendre que je l’ai mis à l’envers et que la ceinture est dans ses coulants à l’intérieur.
Je tiens les revers pour éviter d’avoir le corps nu.
- Patronne restée où vous êtes, la foudre est tombée sur la chapelle et la toiture s’est enflammée, les pompiers arrivent je viens de les appeler.
- J’ai attendu que vous faîte une chaîne placez-moi dans la piscine je vais remplir les sceaux.
C’est maître Mathieu qui me parle.
Il me fait descendre et la personne placée sur la première marche me passe un sceau que je rends rempli, reprenant le suivant.
Je sens mon vêtement s’ouvrir et glisser de mes épaules.
J’ai les bras bloqués alors je le laisse carrément tomber.
J’ai ma chatte qui est dans l’eau et qui se refroidit après l’assaut que mon inconnu m’a fait subir.
- Plus vite, plus vite.
Pin-pon les pompiers arrivent et je sens qu’autour de moi ça s’agite et nous arrêtons la chaîne.
Je cherche mon peignoir dans l’eau autour de moi.
Impossible de le trouver, il a dû couler après que je l’ai enlevé.
Je suis nue l’eau cachant mon ventre et je trouve mon salut en faisant des mouvements de brasse qui doivent donner l’impression que je prends un bain de minuit.
- Madame, vous avez un problème, voulez-vous que l’on vous aide à sortir de l’eau.
- Je voudrais bien, mais j’ai perdu mon peignoir, vous voulez vous rincer l’œil.
- Madame Véronique, excuser mon jeune sapeur, il vient de nous rejoindre.
Vous vous souvenez c’est moi le responsable des pompiers du secteur.
Je me suis occupé de vous après votre accident, aide madame à sortir mais avant retrouve son peignoir.
- Ou voulez-vous que je le trouve ?
- Au fond de la piscine, grand nigaud.
J’entends un bruit de vêtement que l’on enlève et une chute dans l’eau.
On nage autour de moi pendant quelques minutes.
- Je l’ai, madame je l’ai, il est trempé.
- Véronique je vais te chercher un vêtement sec pour te couvrir.
- Laurette tu es là, aide-moi, j’ai mis l’eau dans les sceaux et j’ai perdu mon peignoir.
Ce jeune homme l’a retrouvé mais il est impossible que je le remette.
- Je vais dans ta chambre chercher celui qui est propre, assied toi sur les marches.
- Mais je suis nue, la lumière de la piscine est-elle allumée.
- Bien sûr, pourquoi ?
- Les pompiers vont me voir.
- Arrête ton cirque, on a passé l’après-midi les seins à l’air.
Je suis encore troublé par ce qui m’est arrivé dans l’écurie et mon raisonnement dans la nuit de ma nuit est altéré surtout que j’étais loin d’être une jeune fille prude avant mon accident sans pour autant me donner en spectacle.
Je finis par sortir d l’eau commençant à avoir un peu froid et aidé par une main que je prends pour la première fois.
J’en suis sûr, on me conduit sur un des transats où je m’assoie.
- Si j’ai bien compris c’est la chapelle sur laquelle la foudre est tombée.
- Oui madame, l’incendie est éteint mais le toit est parti en fumé.
- Vous croyez que c’est réparable.
- Il faudrait que je sois charpentier je suis pompier volontaire et employé au super marché.
- Vous savez cette chapelle j’y tient beaucoup, mon arrière-arrière-grand-mère s’est mariée dans cette chapelle avant qu’aucun curé ne daigne venir officier après guerre.
Si je me marie un jour j’espère que ce sera là.
Je vais pleurer, je dois être pathétique de parler de mon futur mariage alors qu’Ottavio m’a quitté et que mon inconnu reste un inconnu.
- Louis arrête d’ennuyer madame Véronique, il faut finir le boulot et ranger le matériel, il est trois heures et dans trois heures je pars au travail.
- Aller y jeune homme, vous allez vous faire disputer, merci pour le peignoir, j’entends mon amie qui revient.
- Elle est à plus de 10 mètres et vous l’avez entendue.
- Oui les graviers ont crissé et c’est sa manière de traîner les pieds.
- Tiens couvre-toi, le jeune pompier en a assez vu, Lionel aidez-moi à raccompagner la patronne chez elle.
Tu es pieds nus, et tes chaussures, ou sont-elles.
- J’ai perdu mes mules roses dans la panique.
- Laisser, je vais vous aider madame, même si le chef râle, de toute façon il râle tout le temps.
J’ai l’habitude et s’il lui manque du sommeil, il démissionne quand on est pompier mon grand-père m’a appris à servir les autres sans compter son temps.
Il me prend par le bras et me conduit avec Laurette jusque dans ma chambre.
- Tu veux peut-être que ce jeune pompier te frotte le dos sous ta douche.
- Laurette soit sympa, pour une fois que j’intéresse quelqu’un, toi tu t’en fiche, tu as Lionel.
- Je préfère aller me recoucher, demain j’espère que tu seras plus lucide.
- Louis je vais vous laisser partir vous étiez combien de pompiers à intervenir ?
- Quatre avec le chef, vous savez le râleur, Madame.
- Alors merci, bonne nuit.
Je vais dans ma salle de bain me laver et je me couche en rêvant au sexe qui m’a défoncé hier au soir et si c’était Louis qui était revenu en pompier quand un peu avant il était là en soudard.
Il est 14 heures à l’horloge du village quand j’émerge.
J’ai faim je mangerais un bœuf.
Je descends et Laurette m’apporte directement mon déjeuner.
- Je suis en colère, que faisais-tu dans l’écurie et avec qui ?
- Laurette évite de me juger, ce qui m’est arrivé est exceptionnel.
C’est mon amie depuis toute petite, bien sûr elle a toujours su qu’elle était la fille de nos employés et quelques fois il y a eu quelques tensions mais vite nous revenons les pieds sur terre.
- Tu es folle, te faire baiser dans l’écurie par un inconnu et même arriver à guider vos jeux et s’il te coupait le cou tu aurais l’air maline.
Si tu as autant besoin de baiser dit le moi, nous irons draguer à Chalon où à Dijon et je suis sûr qu’aussi joli que toi je t’aiderais à lever un homme qui te baisera en toute sécurité.
- Mais toi tu as Lionel, d’ailleurs je trouve que tu as été rapide avec celui-là.
Depuis qu’il te saute, je constate que tu as arrêté tes confidences.
- Avec les hommes mariés ?
- Entre autres et aussi avec lui.
- Je vais te dire, j’ignore après l’incendie si les choses vont se passer comme je l’espérais.
Tu sais Alain le médecin accoucheur qui a monté ton cheval hier Après t’avoir raccompagné, il m’avait donné rendez-vous dans la chapelle à 11 heures, sa femme dort tous les jours jusqu’à 12 ou 13 heures.
- Je croyais qu’il s’était acheté une conduite après qu’il eut appris que Nelly était enceinte.
- Tu apprendras que chez certains hommes le naturel revient aussi vite que Rocco au galop.
- Tu dis que nous pourrions aller draguer, que demain tu devais te faire sauter dans la chapelle et le palefrenier dans tout cela.
- Que crois-tu qu’il fasse les soirs comme hier où il se fait une soirée entre copains et si c’était lui ton bel inconnu ?
Il y a une solution, nous allons lui monter un piège, je sais quand il sort pour une de ses soirées.
J’irais me cacher dans l’écurie et tu arriveras comme tu la fais les autres fois et nous verrons qui est ton inconnu.
Je le laisserai commencer et j’allumerais.
- Je suis d’accord, mais pense aux conséquences, si nous le confondons il faudra que je le licencie.
Il est impossible qu’il te baise et moi sa patronne aussi.
Alors s’il vient j’aimerais que tu me laisses le temps de jouir une dernière fois et après tu m’aideras à profiter de notre jeunesse.
Tu seras mes yeux pour me dire si les sexes que nous rencontrerons seront de bon coup.
Tu m’aideras à éviter les vieux bedonnants qui cherchent à se faire une jeunette.
Nous éclatons de rire, la tension du début ayant disparu, nos brouilles étant toujours très courtes…
Je m’appelle Véronique et par suite d’un accident de cheval, j’ai perdu la vue.
Au lieu de me morfondre, j’ai pris le taureau par les cornes remontant même sur un cheval.
Un cheval, plus spécifiquement une vieille jument Quasi rachetée aux haras nationaux de Cluny en Saône et Loire.
C’est sur Rocco que j’ai eu mon accident, mais il m’était impossible de reprendre sur un cheval aussi fougueux.
C’est en allant voir mon cheval qu’une première puis une deuxième fois, je me sens forcée à la limite du viol.
Mais ayant connu le sexe avec un bel italien, le manque de rapport dû à ma cécité me permet de ne pas porter plainte.
Il est revenu, je suis de nouveau à lui, cette fois-ci j’ai réussi à maîtriser nos jeux amoureux sans pour autant entendre le son de sa voix.
Nous roulons dans le foin quand il me prend sauvagement en levrette, un éclair frappe en même temps que le tonnerre se fait entendre non loin de l’écurie.
Je jouis et il décharge en moi.
Le halo vert qui doit nous entourer car je perçois juste une lueur frappant mes yeux malades me fait entrevoir un espoir de recouvrer la vue.
Quand cette grande lueur disparaît en même temps que ce grand bruit, et que le plaisir provoqué par l’orgasme simultané que je ressens en même temps que le sexe qui éjacule en moi s’estompe.
Je suis prête à recommencer en voulant profiter à fond de l’aubaine d’avoir un sexe à ma disposition.
- Au feu, vite au feu.
À croire que je suis maudite.
Je sens le sexe m’abandonné et la lourdeur de la nuit sans bruit s’installer après le bruit de la cavalcade de mon bel inconnu fait précipitamment pour se sauver.
Je cherche mon peignoir à tâtons à quatre pattes me voyant mal sortir nue de l’écurie où les chevaux un moment paniqués se sont calmés.
Je trouve l’une de mes mules à toupet rose mais impossible de mettre la main sur la deuxième.
Le bruit de personnes s’activant à l’extérieur semble se rapprocher.
J’entends mais sans reconnaître la voix qui hurle.
- Vite, allez chercher des seaux dans l’écurie.
Faîte la chaîne pour récupérer l’eau dans la piscine pour les remplir.
Il faut faire vite, je me cogne dans le coin du dernier box me faisant mal à l’épaule.
Je sors par la petite porte arrière afin de contourner l’écurie me permettant d’arriver sur l’avant comme si je sortais de ma maison.
Je suis pieds nus ce qui est un moindre mal, même que sur les graviers, rapidement ils me font mal.
Je cherche à mettre la ceinture de mon peignoir mais sans la trouver, je finis par comprendre que je l’ai mis à l’envers et que la ceinture est dans ses coulants à l’intérieur.
Je tiens les revers pour éviter d’avoir le corps nu.
- Patronne restée où vous êtes, la foudre est tombée sur la chapelle et la toiture s’est enflammée, les pompiers arrivent je viens de les appeler.
- J’ai attendu que vous faîte une chaîne placez-moi dans la piscine je vais remplir les sceaux.
C’est maître Mathieu qui me parle.
Il me fait descendre et la personne placée sur la première marche me passe un sceau que je rends rempli, reprenant le suivant.
Je sens mon vêtement s’ouvrir et glisser de mes épaules.
J’ai les bras bloqués alors je le laisse carrément tomber.
J’ai ma chatte qui est dans l’eau et qui se refroidit après l’assaut que mon inconnu m’a fait subir.
- Plus vite, plus vite.
Pin-pon les pompiers arrivent et je sens qu’autour de moi ça s’agite et nous arrêtons la chaîne.
Je cherche mon peignoir dans l’eau autour de moi.
Impossible de le trouver, il a dû couler après que je l’ai enlevé.
Je suis nue l’eau cachant mon ventre et je trouve mon salut en faisant des mouvements de brasse qui doivent donner l’impression que je prends un bain de minuit.
- Madame, vous avez un problème, voulez-vous que l’on vous aide à sortir de l’eau.
- Je voudrais bien, mais j’ai perdu mon peignoir, vous voulez vous rincer l’œil.
- Madame Véronique, excuser mon jeune sapeur, il vient de nous rejoindre.
Vous vous souvenez c’est moi le responsable des pompiers du secteur.
Je me suis occupé de vous après votre accident, aide madame à sortir mais avant retrouve son peignoir.
- Ou voulez-vous que je le trouve ?
- Au fond de la piscine, grand nigaud.
J’entends un bruit de vêtement que l’on enlève et une chute dans l’eau.
On nage autour de moi pendant quelques minutes.
- Je l’ai, madame je l’ai, il est trempé.
- Véronique je vais te chercher un vêtement sec pour te couvrir.
- Laurette tu es là, aide-moi, j’ai mis l’eau dans les sceaux et j’ai perdu mon peignoir.
Ce jeune homme l’a retrouvé mais il est impossible que je le remette.
- Je vais dans ta chambre chercher celui qui est propre, assied toi sur les marches.
- Mais je suis nue, la lumière de la piscine est-elle allumée.
- Bien sûr, pourquoi ?
- Les pompiers vont me voir.
- Arrête ton cirque, on a passé l’après-midi les seins à l’air.
Je suis encore troublé par ce qui m’est arrivé dans l’écurie et mon raisonnement dans la nuit de ma nuit est altéré surtout que j’étais loin d’être une jeune fille prude avant mon accident sans pour autant me donner en spectacle.
Je finis par sortir d l’eau commençant à avoir un peu froid et aidé par une main que je prends pour la première fois.
J’en suis sûr, on me conduit sur un des transats où je m’assoie.
- Si j’ai bien compris c’est la chapelle sur laquelle la foudre est tombée.
- Oui madame, l’incendie est éteint mais le toit est parti en fumé.
- Vous croyez que c’est réparable.
- Il faudrait que je sois charpentier je suis pompier volontaire et employé au super marché.
- Vous savez cette chapelle j’y tient beaucoup, mon arrière-arrière-grand-mère s’est mariée dans cette chapelle avant qu’aucun curé ne daigne venir officier après guerre.
Si je me marie un jour j’espère que ce sera là.
Je vais pleurer, je dois être pathétique de parler de mon futur mariage alors qu’Ottavio m’a quitté et que mon inconnu reste un inconnu.
- Louis arrête d’ennuyer madame Véronique, il faut finir le boulot et ranger le matériel, il est trois heures et dans trois heures je pars au travail.
- Aller y jeune homme, vous allez vous faire disputer, merci pour le peignoir, j’entends mon amie qui revient.
- Elle est à plus de 10 mètres et vous l’avez entendue.
- Oui les graviers ont crissé et c’est sa manière de traîner les pieds.
- Tiens couvre-toi, le jeune pompier en a assez vu, Lionel aidez-moi à raccompagner la patronne chez elle.
Tu es pieds nus, et tes chaussures, ou sont-elles.
- J’ai perdu mes mules roses dans la panique.
- Laisser, je vais vous aider madame, même si le chef râle, de toute façon il râle tout le temps.
J’ai l’habitude et s’il lui manque du sommeil, il démissionne quand on est pompier mon grand-père m’a appris à servir les autres sans compter son temps.
Il me prend par le bras et me conduit avec Laurette jusque dans ma chambre.
- Tu veux peut-être que ce jeune pompier te frotte le dos sous ta douche.
- Laurette soit sympa, pour une fois que j’intéresse quelqu’un, toi tu t’en fiche, tu as Lionel.
- Je préfère aller me recoucher, demain j’espère que tu seras plus lucide.
- Louis je vais vous laisser partir vous étiez combien de pompiers à intervenir ?
- Quatre avec le chef, vous savez le râleur, Madame.
- Alors merci, bonne nuit.
Je vais dans ma salle de bain me laver et je me couche en rêvant au sexe qui m’a défoncé hier au soir et si c’était Louis qui était revenu en pompier quand un peu avant il était là en soudard.
Il est 14 heures à l’horloge du village quand j’émerge.
J’ai faim je mangerais un bœuf.
Je descends et Laurette m’apporte directement mon déjeuner.
- Je suis en colère, que faisais-tu dans l’écurie et avec qui ?
- Laurette évite de me juger, ce qui m’est arrivé est exceptionnel.
C’est mon amie depuis toute petite, bien sûr elle a toujours su qu’elle était la fille de nos employés et quelques fois il y a eu quelques tensions mais vite nous revenons les pieds sur terre.
- Tu es folle, te faire baiser dans l’écurie par un inconnu et même arriver à guider vos jeux et s’il te coupait le cou tu aurais l’air maline.
Si tu as autant besoin de baiser dit le moi, nous irons draguer à Chalon où à Dijon et je suis sûr qu’aussi joli que toi je t’aiderais à lever un homme qui te baisera en toute sécurité.
- Mais toi tu as Lionel, d’ailleurs je trouve que tu as été rapide avec celui-là.
Depuis qu’il te saute, je constate que tu as arrêté tes confidences.
- Avec les hommes mariés ?
- Entre autres et aussi avec lui.
- Je vais te dire, j’ignore après l’incendie si les choses vont se passer comme je l’espérais.
Tu sais Alain le médecin accoucheur qui a monté ton cheval hier Après t’avoir raccompagné, il m’avait donné rendez-vous dans la chapelle à 11 heures, sa femme dort tous les jours jusqu’à 12 ou 13 heures.
- Je croyais qu’il s’était acheté une conduite après qu’il eut appris que Nelly était enceinte.
- Tu apprendras que chez certains hommes le naturel revient aussi vite que Rocco au galop.
- Tu dis que nous pourrions aller draguer, que demain tu devais te faire sauter dans la chapelle et le palefrenier dans tout cela.
- Que crois-tu qu’il fasse les soirs comme hier où il se fait une soirée entre copains et si c’était lui ton bel inconnu ?
Il y a une solution, nous allons lui monter un piège, je sais quand il sort pour une de ses soirées.
J’irais me cacher dans l’écurie et tu arriveras comme tu la fais les autres fois et nous verrons qui est ton inconnu.
Je le laisserai commencer et j’allumerais.
- Je suis d’accord, mais pense aux conséquences, si nous le confondons il faudra que je le licencie.
Il est impossible qu’il te baise et moi sa patronne aussi.
Alors s’il vient j’aimerais que tu me laisses le temps de jouir une dernière fois et après tu m’aideras à profiter de notre jeunesse.
Tu seras mes yeux pour me dire si les sexes que nous rencontrerons seront de bon coup.
Tu m’aideras à éviter les vieux bedonnants qui cherchent à se faire une jeunette.
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