COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Début de la saison IV (16/21)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Début de la saison IV (16/21)
Dans les trois premières saisons, je me suis trouvée confrontée à un garçon malfaisant qui voulait accaparer mon domaine pour sauver le sien.
Je l’ai appris et avec Laurette mon employée mais aussi mon amie d’enfance nous avons décidé de lui en faire baver.
Je me sers de son pseudo amour pour le manœuvrer à ma guise espérant même le mettre sur la paille.
La foudre tombée sur notre chapelle m’a permis de trouver une crypte dans laquelle mes ancêtres avaient caché un trésor inestimable.
Ce genre de trésor qui fait ma fortune et que l’on trouve une fois par siècle peut-être.
À la fin de la saison III, Laurette s’aperçoit qu’elle est enceinte de notre jeune palefrenier qui s’est sauvé en apprenant la nouvelle.
De mon côté, j’ai un peu de retard mais sans pouvoir dire par le stylo imprégné de mon urine si je le suis vraiment.
Ce n’est pas Olivier qui serait le père de mon enfant mais un inconnu avec lequel j’ai eu trois fois des rapports.
Mon amoureux étant prêt à tout, dit ces mots !
- Tu veux des enfants Véronique nous en auront autant que tu en veux.
Et soixante chiens, deux cents chevaux sans compter les vaches et les lapins et des cochons.
Chaque fois qu’il ouvre la bouche c’est pour s’enfoncer un peu plus, tout ce qu’il peut dire, sonne faux.
Ce qu’il veut c’est surtout d’éviter de me contrarier afin d’arriver à ses fins.
Contrarier, dans peu de temps, c’est lui qui va l’être.
Je me remets dans la tête les propos rapportés auprès de ses copains.
« Il va se faire l’infirme pour mieux assurer son avenir. »Son avenir je l’ai au bout de la main quand son portable sonne.
- Je peux répondre ?
- Bien sûr, nous sommes des femmes magnanimes et tu es loin d’être privé de toutes libertés.
- Oui, j’écoute.
À mesure de la courte conversation le son de sa voie se décompose jusqu’à ce qu’il raccroche.
Trois mots signent notre victoire.
- Je suis foutue.
Je laisse passer un moment qu’il digère l’information que je connais certainement déjà.
- As-tu un problème Olivier ?
- Si l’on peut dire.
- Si tu m’en disais plus, je pourrais peut-être t’aider ?
Le temps qui suit doit correspondre à ce qu’il a entendu le propulsant dans la nasse que nous lui avons tendue.
- Je vais tout te dire ma chérie.
Comme il est dit dans le journal après sa séparation avec maman mon père à flamber au casino de Santenay et était plus souvent au PMU que dans nos vignes.
Contrairement à ce que tu as lu j’ai fait des pieds et des mains pour redresser notre affaire.
J’en étais arrivé à vendre à un négoce notre future production mais avec une clause lui permettant de faire ce qu’il vient de faire.
Cette clause disait qu’il pouvait casser le contrat si un autre viticulteur lui proposait le même nombre d'hectos moins chers.
Au prix que je lui faisais, j’étais certain que personne ne pourrait s’aligner.
Pourtant c’'est ce qui vient d’arriver, si je connaissais le salaud qui a fait cela j’irais lui casser la figure.
- Mon dieu, c’est difficile pour toi je le comprends.
J’ai peut-être une solution pour t’aider.
- Je t’en serais éternellement reconnaissante Véronique.
Laquelle ?
- Hier je parlais avec maître Mathieu notre maître de chai que tu connais et il me disait être embêté car il a une très grosse commande chinoise à préparer dès que le vin serait prêt.
Cette commande porte sur trois ans.
Nous allons être obligés de trouver un viticulteur prêt à nous vendre des hectos pour y arriver.
- Vous achèteriez à quel prix ?
Laurette lui donne le prix à l’hecto suivant les crus.
- Impossible Laurette, merci de vouloir m’aider.
- Vous me montrer que tu es prête à notre union Véronique entre nos deux familles mais c’est 30 % au-dessous de ce que m’en proposait le négociant.
- Olivier vu l’article passé ce matin dans la presse, demain c’est 50 % voir plus de moins que te proposeront les requins de notre profession.
- 20 % et je contact mon comptable pour signer.
- 25 et c’est notre dernier mot et cela écrit noir sur blanc devant le notaire de Véronique avec une petite prime en lui offrant ta voiture pour service rendu.
- Je lui offrirais la voiture avec la bague que j’ai commandé et payer cash avec une nouvelle hypothèque mise sur notre maison familiale.
Je l’ai obtenu mais c’est la dernière, celui qui les lèvera s’offrira notre maison ancestrale au quart de son prix.
Foutu le mec, je sens que mon notaire va se renseigner sur ces hypothèques et certainement faire d’Olivier un peu plus notre redevable.
Dans les heures qui suivent trois spécialistes des fouilles archéologiques arrivent et travail sur les deux tombeaux.
Ce sont les aïeux de ma famille, mort en 1220 pour le mari et 1240 pour la femme.
Ils s’appelaient Rondeau, ils ont eu un fils qui lui-même a eu un fils pour arriver à ceux qui ont laissé le trésor.
C’est le comte et la comtesse de Haute Pierre qui semble avoir laissé la crypte dans l’état où nous l’avons trouvé.
Les recherches font apparaître qu’ils avaient décidé de s’y cacher le temps de la révolution.
Hélas, ils s’étaient fait arrêter alors que tout était prêt jusqu’aux victuailles qui étaient placées dans des amphores comme les grecques.
Des bouteilles de vin où la date était écrite au charbon de bois ont fait apparaître l’année 1785, soit quelques années avant la révolution qui devait les emporter, leurs têtes sur le billot.
Quand les choses se sont calmées, la fille du couple ayant échappé grâce aux métayers à la purge des nobles par les révolutionnaires, a repris le domaine et s’est mariée avec un monsieur Dunant qui est ma lignée directe.
Elle a fait prendre son nom au domaine pour éviter les représailles des derniers fanatiques voyant un nom avec une particule.
Il est 14 heures quand j’ai une envie de m’isoler alors que je lézarde sur ma terrasse.
J’entends deux chevaux partir et Laurette donner des directives.
Vers 15 heures j’entre et je passe par la salle à manger pour me rendre aux toilettes du bas du castel, quand on me saisit violemment.
Il est revenu, je sens son sexe aussi dur que les trois autres fois posés sur mes fesses.
Mon agresseur préféré me couche les seins sur la table après m’avoir arraché mon haut de maillot.
Je viens de rajeunir d’un sacré paquet d’années car c’est à l'endroit exact où ceux de la maman de Laurette étaient que les miens sont posés.
Une main écarte mon slip et la verge qui m’a peut-être engrossé, entre en moi.
Il me faut peu de temps pour savoir comment les choses vont se passer.
Je vais hurler le plaisir qui monte en moi.
Une pute, une chienne, je devrais virer de ma chatte l’intrus et appeler les gendarmes ! Mais avoir un gros sexe dans le vagin c’est divin remettant en cause mes plaisirs lesbiens avec Laurette.
Je dois le reconnaître je suis bi comme Laurette l’est aussi.
Je sens le sexe m’ayant explosé sortir et quand je pense qu’il va partir en courant comme les autres fois, sa main le place un cran plus haut et après avoir craché sur mon anus entre d'un coup direct me faisant hurler du mal que je ressens.
Je me fais sodomiser sans que je rejette ce corps étranger qui me troue le cul.
Laurette qui se fait régulièrement enculer, m’a dit qu’elle jouissait par l’anus mais le bâton qui m’est imposé est loin de me faire planer.
Il me lime longtemps et la douleur fait place à une sensation spéciale et supportable.
Mes seins vont et viennent sur le vernis de la table, je sais qu’elle est brillante et l’on doit les voir aller et venir sur le plateau.
- Tu es revenu même de jour ?
Tu sais que tu m’es tout acquis, j’aimerais que tu me dises qui tu es, je crois que je suis tombée amoureuse de toi mon bel inconnu !
Pour toute réponse j’ai des jets de sperme qui finissent dans mon fondement me laissant pantelante.
Une sensation de vide me prend quand il se retire et me quitte précipitamment comme les autres fois.
- Véronique où es-tu ?
Cochonne, tu testes la position qu’avait maman quand ton père la baisait, reste comme cela tu me donnes envie.
Je suis encore dans les vapes et je suis incapable de réagir quand elle vient derrière moi et me place sa langue dans le vagin.
Sa langue part de mon trou vaginal pour remonter dans celui supérieur.
- Véronique il est revenu ?
- Oui.
D’une petite voix.
- Salope, tu me laisses forniquer dans le sperme de ton amant.
Mais dit donc, il t’a enculé ?
- Oui.
De la même petite voix.
- Il avait envie, tu as plein de sperme qui coule de ton cul à ton vagin.
Il t’en a mis partout.
- Oui, c’était bon.
- Et il te baise sans capote, je comprends pourquoi tu peux être enceinte.
- Par le cul ?
- Bêtasse les autres fois aussi il t’a rempli sans protection.
- Oui, mais je me suis bien lavée après.
- On verra cela dans 8 à 9 mois.
Elle me lèche entre deux phrases et rapidement je commence à jouir.
Quand elle m’a traité de salope j’aurais pu m’offusquer !
Hélas, elle a certainement raison continuant de me faire baiser par cet inconnu en hurlant de plaisir au lieu de crier aux viols.
- C’est bon tu m’as rejoint, j’ai eu beaucoup de spermes dans ma bouche mais celui que je viens d’enlever de ton entrejambe ressemble un peu à celui de Lionel.
Ce salaud est peut-être resté dans le coin et a voulu te la mettre une dernière fois, il en a profité pour te déflorer l’anus.
Relevée, je la prends dans mes bras et l’embrasse…
Je l’ai appris et avec Laurette mon employée mais aussi mon amie d’enfance nous avons décidé de lui en faire baver.
Je me sers de son pseudo amour pour le manœuvrer à ma guise espérant même le mettre sur la paille.
La foudre tombée sur notre chapelle m’a permis de trouver une crypte dans laquelle mes ancêtres avaient caché un trésor inestimable.
Ce genre de trésor qui fait ma fortune et que l’on trouve une fois par siècle peut-être.
À la fin de la saison III, Laurette s’aperçoit qu’elle est enceinte de notre jeune palefrenier qui s’est sauvé en apprenant la nouvelle.
De mon côté, j’ai un peu de retard mais sans pouvoir dire par le stylo imprégné de mon urine si je le suis vraiment.
Ce n’est pas Olivier qui serait le père de mon enfant mais un inconnu avec lequel j’ai eu trois fois des rapports.
Mon amoureux étant prêt à tout, dit ces mots !
- Tu veux des enfants Véronique nous en auront autant que tu en veux.
Et soixante chiens, deux cents chevaux sans compter les vaches et les lapins et des cochons.
Chaque fois qu’il ouvre la bouche c’est pour s’enfoncer un peu plus, tout ce qu’il peut dire, sonne faux.
Ce qu’il veut c’est surtout d’éviter de me contrarier afin d’arriver à ses fins.
Contrarier, dans peu de temps, c’est lui qui va l’être.
Je me remets dans la tête les propos rapportés auprès de ses copains.
« Il va se faire l’infirme pour mieux assurer son avenir. »Son avenir je l’ai au bout de la main quand son portable sonne.
- Je peux répondre ?
- Bien sûr, nous sommes des femmes magnanimes et tu es loin d’être privé de toutes libertés.
- Oui, j’écoute.
À mesure de la courte conversation le son de sa voie se décompose jusqu’à ce qu’il raccroche.
Trois mots signent notre victoire.
- Je suis foutue.
Je laisse passer un moment qu’il digère l’information que je connais certainement déjà.
- As-tu un problème Olivier ?
- Si l’on peut dire.
- Si tu m’en disais plus, je pourrais peut-être t’aider ?
Le temps qui suit doit correspondre à ce qu’il a entendu le propulsant dans la nasse que nous lui avons tendue.
- Je vais tout te dire ma chérie.
Comme il est dit dans le journal après sa séparation avec maman mon père à flamber au casino de Santenay et était plus souvent au PMU que dans nos vignes.
Contrairement à ce que tu as lu j’ai fait des pieds et des mains pour redresser notre affaire.
J’en étais arrivé à vendre à un négoce notre future production mais avec une clause lui permettant de faire ce qu’il vient de faire.
Cette clause disait qu’il pouvait casser le contrat si un autre viticulteur lui proposait le même nombre d'hectos moins chers.
Au prix que je lui faisais, j’étais certain que personne ne pourrait s’aligner.
Pourtant c’'est ce qui vient d’arriver, si je connaissais le salaud qui a fait cela j’irais lui casser la figure.
- Mon dieu, c’est difficile pour toi je le comprends.
J’ai peut-être une solution pour t’aider.
- Je t’en serais éternellement reconnaissante Véronique.
Laquelle ?
- Hier je parlais avec maître Mathieu notre maître de chai que tu connais et il me disait être embêté car il a une très grosse commande chinoise à préparer dès que le vin serait prêt.
Cette commande porte sur trois ans.
Nous allons être obligés de trouver un viticulteur prêt à nous vendre des hectos pour y arriver.
- Vous achèteriez à quel prix ?
Laurette lui donne le prix à l’hecto suivant les crus.
- Impossible Laurette, merci de vouloir m’aider.
- Vous me montrer que tu es prête à notre union Véronique entre nos deux familles mais c’est 30 % au-dessous de ce que m’en proposait le négociant.
- Olivier vu l’article passé ce matin dans la presse, demain c’est 50 % voir plus de moins que te proposeront les requins de notre profession.
- 20 % et je contact mon comptable pour signer.
- 25 et c’est notre dernier mot et cela écrit noir sur blanc devant le notaire de Véronique avec une petite prime en lui offrant ta voiture pour service rendu.
- Je lui offrirais la voiture avec la bague que j’ai commandé et payer cash avec une nouvelle hypothèque mise sur notre maison familiale.
Je l’ai obtenu mais c’est la dernière, celui qui les lèvera s’offrira notre maison ancestrale au quart de son prix.
Foutu le mec, je sens que mon notaire va se renseigner sur ces hypothèques et certainement faire d’Olivier un peu plus notre redevable.
Dans les heures qui suivent trois spécialistes des fouilles archéologiques arrivent et travail sur les deux tombeaux.
Ce sont les aïeux de ma famille, mort en 1220 pour le mari et 1240 pour la femme.
Ils s’appelaient Rondeau, ils ont eu un fils qui lui-même a eu un fils pour arriver à ceux qui ont laissé le trésor.
C’est le comte et la comtesse de Haute Pierre qui semble avoir laissé la crypte dans l’état où nous l’avons trouvé.
Les recherches font apparaître qu’ils avaient décidé de s’y cacher le temps de la révolution.
Hélas, ils s’étaient fait arrêter alors que tout était prêt jusqu’aux victuailles qui étaient placées dans des amphores comme les grecques.
Des bouteilles de vin où la date était écrite au charbon de bois ont fait apparaître l’année 1785, soit quelques années avant la révolution qui devait les emporter, leurs têtes sur le billot.
Quand les choses se sont calmées, la fille du couple ayant échappé grâce aux métayers à la purge des nobles par les révolutionnaires, a repris le domaine et s’est mariée avec un monsieur Dunant qui est ma lignée directe.
Elle a fait prendre son nom au domaine pour éviter les représailles des derniers fanatiques voyant un nom avec une particule.
Il est 14 heures quand j’ai une envie de m’isoler alors que je lézarde sur ma terrasse.
J’entends deux chevaux partir et Laurette donner des directives.
Vers 15 heures j’entre et je passe par la salle à manger pour me rendre aux toilettes du bas du castel, quand on me saisit violemment.
Il est revenu, je sens son sexe aussi dur que les trois autres fois posés sur mes fesses.
Mon agresseur préféré me couche les seins sur la table après m’avoir arraché mon haut de maillot.
Je viens de rajeunir d’un sacré paquet d’années car c’est à l'endroit exact où ceux de la maman de Laurette étaient que les miens sont posés.
Une main écarte mon slip et la verge qui m’a peut-être engrossé, entre en moi.
Il me faut peu de temps pour savoir comment les choses vont se passer.
Je vais hurler le plaisir qui monte en moi.
Une pute, une chienne, je devrais virer de ma chatte l’intrus et appeler les gendarmes ! Mais avoir un gros sexe dans le vagin c’est divin remettant en cause mes plaisirs lesbiens avec Laurette.
Je dois le reconnaître je suis bi comme Laurette l’est aussi.
Je sens le sexe m’ayant explosé sortir et quand je pense qu’il va partir en courant comme les autres fois, sa main le place un cran plus haut et après avoir craché sur mon anus entre d'un coup direct me faisant hurler du mal que je ressens.
Je me fais sodomiser sans que je rejette ce corps étranger qui me troue le cul.
Laurette qui se fait régulièrement enculer, m’a dit qu’elle jouissait par l’anus mais le bâton qui m’est imposé est loin de me faire planer.
Il me lime longtemps et la douleur fait place à une sensation spéciale et supportable.
Mes seins vont et viennent sur le vernis de la table, je sais qu’elle est brillante et l’on doit les voir aller et venir sur le plateau.
- Tu es revenu même de jour ?
Tu sais que tu m’es tout acquis, j’aimerais que tu me dises qui tu es, je crois que je suis tombée amoureuse de toi mon bel inconnu !
Pour toute réponse j’ai des jets de sperme qui finissent dans mon fondement me laissant pantelante.
Une sensation de vide me prend quand il se retire et me quitte précipitamment comme les autres fois.
- Véronique où es-tu ?
Cochonne, tu testes la position qu’avait maman quand ton père la baisait, reste comme cela tu me donnes envie.
Je suis encore dans les vapes et je suis incapable de réagir quand elle vient derrière moi et me place sa langue dans le vagin.
Sa langue part de mon trou vaginal pour remonter dans celui supérieur.
- Véronique il est revenu ?
- Oui.
D’une petite voix.
- Salope, tu me laisses forniquer dans le sperme de ton amant.
Mais dit donc, il t’a enculé ?
- Oui.
De la même petite voix.
- Il avait envie, tu as plein de sperme qui coule de ton cul à ton vagin.
Il t’en a mis partout.
- Oui, c’était bon.
- Et il te baise sans capote, je comprends pourquoi tu peux être enceinte.
- Par le cul ?
- Bêtasse les autres fois aussi il t’a rempli sans protection.
- Oui, mais je me suis bien lavée après.
- On verra cela dans 8 à 9 mois.
Elle me lèche entre deux phrases et rapidement je commence à jouir.
Quand elle m’a traité de salope j’aurais pu m’offusquer !
Hélas, elle a certainement raison continuant de me faire baiser par cet inconnu en hurlant de plaisir au lieu de crier aux viols.
- C’est bon tu m’as rejoint, j’ai eu beaucoup de spermes dans ma bouche mais celui que je viens d’enlever de ton entrejambe ressemble un peu à celui de Lionel.
Ce salaud est peut-être resté dans le coin et a voulu te la mettre une dernière fois, il en a profité pour te déflorer l’anus.
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