COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Fin de la saison II (10/10)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Fin de la saison II (10/10)
Le pauvre !
Louis le jeune pompier qui m’a aidé lors de l’incendie de la chapelle de mon domaine et qui m’a emmené manger un kebab à Givry est appelé pour une intervention d’urgence se privant définitivement d’avoir une chance de me baiser.
Son abandon me laissant seule dans la ville où mes repères sont nuls est une chose mais sa manière de m’embrasser tremblant de tous ses membres le disqualifie pour la course d’être mon inconnu.
L’autre nuit, son baiser était gouleyant.
Frais comme le vin rosé que nous vendons grâce à notre raisin mais qui est vinifié chez un autre viticulteur qui a des cuves à froid nécessaire pour sa fabrication.
Celui de mon inconnu avait sa langue qui savait tournoyer autour de la mienne l’entourant et la relâchant pour mieux venir la reprendre.
J’ai beau appeler Laurette, elle est aux abonnées absente.
Elle qui en temps normal a toujours son portable à porter de main.
- Bonjour Véronique, ce pauvre con de Louis t’a laissé en plan ?
Voilà ce que c’est que de sortir avec un louseur, sais-tu qui je suis ?
- Votre voix, non, mais vous savez sans les yeux il m’est difficile de vous reconnaître.
- Tu es la première fille qui m’a embrassé et je suis le premier garçon qui en a fait autant pour moi.
- J’ignore qui vous êtes.
- Pourtant ce jour-là tu me tutoyais !
Au divorce de mes parents je suis parti avec ma mère dans le Bordelais chez mon grand-père et je viens de revenir.
Il y a un mois que j’ai pris en main le domaine Raguin étant son fils, j’hérite de ses biens.
- Tu es Olivier le fils Raguin, je me souviens nous avions 5 ans le jour du mariage de ma tante et nous étions cachés sous la table.
- Tu viens on va se cacher sous la table.
- Sans nappe ça va être difficile.
- Viens, je te ramène chez toi.
Il me prend la main, galant mieux que le galant qui m’a amené ici.
- Attends, je t’ouvre la portière.
Quand je parle de galant en voilà un, je m’installe.
- Ta voiture est neuve, elle est spacieuse.
- Tu m’épates Véronique qu’elle soit spacieuse, je conçois que tu le constates, je suis à 20 centimètres de toi mais neuve.
- Elle sent le cuir neuf.
- C’est la voiture que mon père venait de s’acheter quand il a fait un infarctus foudroyant.
J’ai hérité des biens dont le domaine et la voiture de marque Mercédès classe C.
Givry centre, mon domaine en moins de cinq minutes nous sommes rendus et les pneus crissent sur le gravier.
- Tu m’offres un verre ?
- S’il te plaît, je te remercie mais je crois que j’ai besoin d’un moment de solitude, quel est ton numéro de téléphone ?
Il me le donne.
- Voilà c’est dans la boîte rappelle-moi.
- Je peux te faire la bise ?
- Ça tu en as gagné le droit.
- Comme à 5 ans ?
- Pourquoi, vous les garçons il faut toujours que vous abusiez ?
Il me fait la bise et j’entends la voiture partir.
L’après-midi je suis en mono à la piscine il faut bien que dimanche se passe.
J’ai le cafard, plus de trace de mon inconnu mais c’est normal car je ferme ma fenêtre, je vais à l’écurie quand il fait jour.
Bref je promène ma peine.
- Allô, Véronique c’est Olivier, je t’invite à sortir samedi soir, je te pris d’accepter, je me languis de te revoir.
- Pour que tu me laisse en plan ?
- Jurer, je serai à tes petits soins pas comme ce couillon de Louis.
- Alors j’accepte à samedi.
Merci Louis de m’avoir laissé en plan, je me souviens d’Olivier qui était un joli petit blond ayant une jolie frimousse qui a fait de lui certainement un beau gosse à son âge.
Pour une fois depuis mon accident j’ai la chance d’intéresser un homme à visage découvert.
Ce même jour nous nous réconcilions avec Laurette alors que nous étions auprès des chevaux dans l’écurie car le fait qu’elle m’ait abandonné en ayant mis son téléphone aux abonnés absent alors que j’étais dehors avait créé l’un de ces moments de tension ponctuant notre vie.
- Véronique excuse-moi, c’est la dernière fois que cela arrivera.
Mais tu sais, il était beau gosse et ce jour-là j’étais en colère contre Lionel.
- Quand tu es en colère tu couches avec un autre pour te venger ?
- C’est un peu cela.
Nous sommes tombées dans les bras et Laurette m’embrassait partout sur le visage déclenchant en moi un certain émoi pour la première fois de ma vie.
- Ce soir Lionel part au rugby pour un entraînement.
Il m’a dit qu’il y aurait une troisième mi-temps, on se retrouve dans l’écurie à minuit ?
- Non, Laurette, j’en ai marre de cette quête au mâle comme si j’étais une fille juste bonne à baiser.
Ce soir je vais rester seule dans mon lit, de plus les ouvriers ont fini le toit et attaquent les travaux de la chapelle ils ont le feu vert de l’assurance.
- Je peux venir te rejoindre dans ta chambre quand j’aurai fini mon travail cela me rappellera notre jeunesse quand nos parents nous faisaient couchés dans le même lit les soirs du 14 juillet.
- Oui bien sûr, je t’attendrais nous prendrons un bain ensemble comme au temps où aucun ballon d’eau chaude ne nous permettait de nous laver.
Dans ces années-là, l’eau chaude et les douches étant inexistantes dans nos maisons.
Nos parents laissaient l’eau au soleil dans l’auge devant l’écurie avant de nous baigner et de nous coucher.
Je me garde de dire à Laurette que j’ai un rancard avec le fils Raguin samedi voulant pour une fois garder cette aventure pour moi seule.
Après dîner, comme prévu je suis dans ma salle de bain quand Laurette arrive, je suis en train de faire couler de l’eau bien chaude celle-là avec beaucoup de sels odorants.
Je suis nue et j’entends mon amie en faire de même.
- J’ai mis beaucoup de sel, tu empestes le crottin de cheval.
- Madame fait sa mijaurée alors qu’elle était moins regardante quand elle se roulait par terre dans l’écurie et qu’elle se comportait comme une truie.
- Laurette comme une jument pas comme une cochonne car j’étais dans l’écurie et non dans la porcherie.
Elle est à ma portée et nous nous retrouvons dans les bras l’une l’autre mes seins dardant sur ses seins, Elle m’aide à entrer dans l’eau et à m’asseoir, que fait-elle, elle entre dans l’eau derrière moi et je sens ses jambes venir de chaque côté et ses seins se coller à mon dos.
Je comprends qu’elle m’a placé à quelques centimètres du bout de la baignoire pour pouvoir s’asseoir comme elle le fait en ce moment.
Elle pose sa tête sur mon épaule et je sens l’une de ses mains partir à la découverte de mon corps.
Laurette que je connais depuis toujours en quelques minutes me chamboule les sens et chamboule ma vie.
Quand sa main et surtout ses doigts viennent caresser mon clitoris, je sais que c’est elle que j’espérais et mon amour pour elle m’apparaît au grand jour.
Dès ce moment je sais qu’elle sera infidèle car si c’est elle qui me fait prendre mon plaisir en ce moment je sais dans mon for intérieur que je suis prête à souffrir pour conserver notre amour naissant.
Bien sûr il y a Lionel, je suis prête à la partager avec lui et si bien sûr le palefrenier est l’amant inconnu nous pourrions nous entendre tous les trois.
J’extrapole déjà notre vie future alors que ma bouche est encore vierge de sa bouche mais quand je tourne la tête ce petit inconvénient se trouve vite corrigé.
La position est difficile car je dois me tordre le cou mais sa main qui continue à me caresser la chatte me permet d’avoir carrément une première jouissance sous les doigts d’une fille.
Je la sens bouger, libérer mon sein et mon vagin et sans faire attention aux éclaboussures provoquées sortir de l’eau pour mieux rerentrer devant moi.
Je la sens debout et avant qu’elle ne se rasseye je lui enserre les jambes manquant de la déséquilibrer et sans voir où je vais, je plaque ma bouche sur son sexe.
Elle me prend par les côtés de ma tête et ma langue entre en elle.
Elle plie les jambes et je peux sucer son bouton plus imposant que le mien, je le mordille faisant démarrer en elle les débuts de frissons que je ressentais quand les sexes étaient en moi.
- Véronique, que nous arrive-t-il, quand je t’ai vu nue une envie irrésistible s’est insinuée en moi et j’ai eu envie de te caresser ?
Je vois que toi aussi tu aimes me sucer la chatte et le clito, crois-tu que l’on s’aime ?
Mon amour Laurette, ma bouche est prise pour te répondre mais moi aussi je viens de m’apercevoir que depuis longtemps je craque pour toi.
Emmène-moi sur mon lit et bande pour moi, tes seins, ta petite minette adorable je vais les aimer.
Mieux, les choyer, les massacrer avec amours, je vais te faire oublier la chasse effrénée que tu as des plus grosses verges.
Fini la plus performante car à partir de ce jour nous sommes toutes les deux l’une à l’autre.
La nuit que nous passons dans les bras l’une l’autre interrompus par des 69 nous laissant pantelantes semble sans fin.
La nuit avec des mots d’amour sans s’arrêter toujours renouveler jusqu’à 10 heures où je me réveille seul dans notre lit.
Je mets une petite robe d’été sans rien en dessous, et je retrouve Laurette qui est assise à la table le petit déjeuner servi.
Autour de nous les ouvriers déplacent les morceaux d’échafaudage et les montent jusqu’à la chapelle et le remonter pour commencer les travaux.
- Véronique, tu verrais comme il te regarde.
- Je m’en fiche je suis amoureuse.
- Tient voilà Lionel qui approche.
- Je sais, je l’ai entendu.
On garde notre nuit pour nous.
- Tiens, tu es là Laurette, j’ai tout fait tous seul ce matin j’ai même dû aller recevoir le boulanger quand il est venu, il y avait deux heures que je dormais.
- Continu pendant quelque temps, Véronique m’a donné jusqu’à dimanche soir, je suis en congé.
- Puis-je vous parler Patronne ?
- Bien sûr Lionel, tu peux parler devant Laurette entre nous pas de secret.
- Connaissez-vous Olivier Raguin ?...
C’est la fin de la saison II, quelques textes et les cinq prochains chapitres de la saison III seront en ligne.
Que Lionel souhaite-t-il m’apprendre sur Olivier Raguin, y aurait-il anguille sous roche.
En attendant, merci à Alexandra pour ses relectures.
Louis le jeune pompier qui m’a aidé lors de l’incendie de la chapelle de mon domaine et qui m’a emmené manger un kebab à Givry est appelé pour une intervention d’urgence se privant définitivement d’avoir une chance de me baiser.
Son abandon me laissant seule dans la ville où mes repères sont nuls est une chose mais sa manière de m’embrasser tremblant de tous ses membres le disqualifie pour la course d’être mon inconnu.
L’autre nuit, son baiser était gouleyant.
Frais comme le vin rosé que nous vendons grâce à notre raisin mais qui est vinifié chez un autre viticulteur qui a des cuves à froid nécessaire pour sa fabrication.
Celui de mon inconnu avait sa langue qui savait tournoyer autour de la mienne l’entourant et la relâchant pour mieux venir la reprendre.
J’ai beau appeler Laurette, elle est aux abonnées absente.
Elle qui en temps normal a toujours son portable à porter de main.
- Bonjour Véronique, ce pauvre con de Louis t’a laissé en plan ?
Voilà ce que c’est que de sortir avec un louseur, sais-tu qui je suis ?
- Votre voix, non, mais vous savez sans les yeux il m’est difficile de vous reconnaître.
- Tu es la première fille qui m’a embrassé et je suis le premier garçon qui en a fait autant pour moi.
- J’ignore qui vous êtes.
- Pourtant ce jour-là tu me tutoyais !
Au divorce de mes parents je suis parti avec ma mère dans le Bordelais chez mon grand-père et je viens de revenir.
Il y a un mois que j’ai pris en main le domaine Raguin étant son fils, j’hérite de ses biens.
- Tu es Olivier le fils Raguin, je me souviens nous avions 5 ans le jour du mariage de ma tante et nous étions cachés sous la table.
- Tu viens on va se cacher sous la table.
- Sans nappe ça va être difficile.
- Viens, je te ramène chez toi.
Il me prend la main, galant mieux que le galant qui m’a amené ici.
- Attends, je t’ouvre la portière.
Quand je parle de galant en voilà un, je m’installe.
- Ta voiture est neuve, elle est spacieuse.
- Tu m’épates Véronique qu’elle soit spacieuse, je conçois que tu le constates, je suis à 20 centimètres de toi mais neuve.
- Elle sent le cuir neuf.
- C’est la voiture que mon père venait de s’acheter quand il a fait un infarctus foudroyant.
J’ai hérité des biens dont le domaine et la voiture de marque Mercédès classe C.
Givry centre, mon domaine en moins de cinq minutes nous sommes rendus et les pneus crissent sur le gravier.
- Tu m’offres un verre ?
- S’il te plaît, je te remercie mais je crois que j’ai besoin d’un moment de solitude, quel est ton numéro de téléphone ?
Il me le donne.
- Voilà c’est dans la boîte rappelle-moi.
- Je peux te faire la bise ?
- Ça tu en as gagné le droit.
- Comme à 5 ans ?
- Pourquoi, vous les garçons il faut toujours que vous abusiez ?
Il me fait la bise et j’entends la voiture partir.
L’après-midi je suis en mono à la piscine il faut bien que dimanche se passe.
J’ai le cafard, plus de trace de mon inconnu mais c’est normal car je ferme ma fenêtre, je vais à l’écurie quand il fait jour.
Bref je promène ma peine.
- Allô, Véronique c’est Olivier, je t’invite à sortir samedi soir, je te pris d’accepter, je me languis de te revoir.
- Pour que tu me laisse en plan ?
- Jurer, je serai à tes petits soins pas comme ce couillon de Louis.
- Alors j’accepte à samedi.
Merci Louis de m’avoir laissé en plan, je me souviens d’Olivier qui était un joli petit blond ayant une jolie frimousse qui a fait de lui certainement un beau gosse à son âge.
Pour une fois depuis mon accident j’ai la chance d’intéresser un homme à visage découvert.
Ce même jour nous nous réconcilions avec Laurette alors que nous étions auprès des chevaux dans l’écurie car le fait qu’elle m’ait abandonné en ayant mis son téléphone aux abonnés absent alors que j’étais dehors avait créé l’un de ces moments de tension ponctuant notre vie.
- Véronique excuse-moi, c’est la dernière fois que cela arrivera.
Mais tu sais, il était beau gosse et ce jour-là j’étais en colère contre Lionel.
- Quand tu es en colère tu couches avec un autre pour te venger ?
- C’est un peu cela.
Nous sommes tombées dans les bras et Laurette m’embrassait partout sur le visage déclenchant en moi un certain émoi pour la première fois de ma vie.
- Ce soir Lionel part au rugby pour un entraînement.
Il m’a dit qu’il y aurait une troisième mi-temps, on se retrouve dans l’écurie à minuit ?
- Non, Laurette, j’en ai marre de cette quête au mâle comme si j’étais une fille juste bonne à baiser.
Ce soir je vais rester seule dans mon lit, de plus les ouvriers ont fini le toit et attaquent les travaux de la chapelle ils ont le feu vert de l’assurance.
- Je peux venir te rejoindre dans ta chambre quand j’aurai fini mon travail cela me rappellera notre jeunesse quand nos parents nous faisaient couchés dans le même lit les soirs du 14 juillet.
- Oui bien sûr, je t’attendrais nous prendrons un bain ensemble comme au temps où aucun ballon d’eau chaude ne nous permettait de nous laver.
Dans ces années-là, l’eau chaude et les douches étant inexistantes dans nos maisons.
Nos parents laissaient l’eau au soleil dans l’auge devant l’écurie avant de nous baigner et de nous coucher.
Je me garde de dire à Laurette que j’ai un rancard avec le fils Raguin samedi voulant pour une fois garder cette aventure pour moi seule.
Après dîner, comme prévu je suis dans ma salle de bain quand Laurette arrive, je suis en train de faire couler de l’eau bien chaude celle-là avec beaucoup de sels odorants.
Je suis nue et j’entends mon amie en faire de même.
- J’ai mis beaucoup de sel, tu empestes le crottin de cheval.
- Madame fait sa mijaurée alors qu’elle était moins regardante quand elle se roulait par terre dans l’écurie et qu’elle se comportait comme une truie.
- Laurette comme une jument pas comme une cochonne car j’étais dans l’écurie et non dans la porcherie.
Elle est à ma portée et nous nous retrouvons dans les bras l’une l’autre mes seins dardant sur ses seins, Elle m’aide à entrer dans l’eau et à m’asseoir, que fait-elle, elle entre dans l’eau derrière moi et je sens ses jambes venir de chaque côté et ses seins se coller à mon dos.
Je comprends qu’elle m’a placé à quelques centimètres du bout de la baignoire pour pouvoir s’asseoir comme elle le fait en ce moment.
Elle pose sa tête sur mon épaule et je sens l’une de ses mains partir à la découverte de mon corps.
Laurette que je connais depuis toujours en quelques minutes me chamboule les sens et chamboule ma vie.
Quand sa main et surtout ses doigts viennent caresser mon clitoris, je sais que c’est elle que j’espérais et mon amour pour elle m’apparaît au grand jour.
Dès ce moment je sais qu’elle sera infidèle car si c’est elle qui me fait prendre mon plaisir en ce moment je sais dans mon for intérieur que je suis prête à souffrir pour conserver notre amour naissant.
Bien sûr il y a Lionel, je suis prête à la partager avec lui et si bien sûr le palefrenier est l’amant inconnu nous pourrions nous entendre tous les trois.
J’extrapole déjà notre vie future alors que ma bouche est encore vierge de sa bouche mais quand je tourne la tête ce petit inconvénient se trouve vite corrigé.
La position est difficile car je dois me tordre le cou mais sa main qui continue à me caresser la chatte me permet d’avoir carrément une première jouissance sous les doigts d’une fille.
Je la sens bouger, libérer mon sein et mon vagin et sans faire attention aux éclaboussures provoquées sortir de l’eau pour mieux rerentrer devant moi.
Je la sens debout et avant qu’elle ne se rasseye je lui enserre les jambes manquant de la déséquilibrer et sans voir où je vais, je plaque ma bouche sur son sexe.
Elle me prend par les côtés de ma tête et ma langue entre en elle.
Elle plie les jambes et je peux sucer son bouton plus imposant que le mien, je le mordille faisant démarrer en elle les débuts de frissons que je ressentais quand les sexes étaient en moi.
- Véronique, que nous arrive-t-il, quand je t’ai vu nue une envie irrésistible s’est insinuée en moi et j’ai eu envie de te caresser ?
Je vois que toi aussi tu aimes me sucer la chatte et le clito, crois-tu que l’on s’aime ?
Mon amour Laurette, ma bouche est prise pour te répondre mais moi aussi je viens de m’apercevoir que depuis longtemps je craque pour toi.
Emmène-moi sur mon lit et bande pour moi, tes seins, ta petite minette adorable je vais les aimer.
Mieux, les choyer, les massacrer avec amours, je vais te faire oublier la chasse effrénée que tu as des plus grosses verges.
Fini la plus performante car à partir de ce jour nous sommes toutes les deux l’une à l’autre.
La nuit que nous passons dans les bras l’une l’autre interrompus par des 69 nous laissant pantelantes semble sans fin.
La nuit avec des mots d’amour sans s’arrêter toujours renouveler jusqu’à 10 heures où je me réveille seul dans notre lit.
Je mets une petite robe d’été sans rien en dessous, et je retrouve Laurette qui est assise à la table le petit déjeuner servi.
Autour de nous les ouvriers déplacent les morceaux d’échafaudage et les montent jusqu’à la chapelle et le remonter pour commencer les travaux.
- Véronique, tu verrais comme il te regarde.
- Je m’en fiche je suis amoureuse.
- Tient voilà Lionel qui approche.
- Je sais, je l’ai entendu.
On garde notre nuit pour nous.
- Tiens, tu es là Laurette, j’ai tout fait tous seul ce matin j’ai même dû aller recevoir le boulanger quand il est venu, il y avait deux heures que je dormais.
- Continu pendant quelque temps, Véronique m’a donné jusqu’à dimanche soir, je suis en congé.
- Puis-je vous parler Patronne ?
- Bien sûr Lionel, tu peux parler devant Laurette entre nous pas de secret.
- Connaissez-vous Olivier Raguin ?...
C’est la fin de la saison II, quelques textes et les cinq prochains chapitres de la saison III seront en ligne.
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