COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Fin de la saison III (15/15)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Fin de la saison III (15/15)
La presse locale veut en savoir plus sur notre découverte.
Olivier qui lorgne mon domaine et maintenant le trésor trouvé dans la crypte sous la chapelle l’accompagne.
Il doit avoir un but caché comme tout ce qu’il fait.
Prévenue, je prends mon temps, les faire marronner est mon but.
Je passe une robe légère sur mon string et je descends jusqu’à la salle des repas où Laurette a conduit les deux hommes.
- Bonjour Véronique excuse nous de te déranger mais Valentin est un copain qui joue dans mon équipe et qui souhaite faire un article sur le trésor que j’ai découvert avec toi.
J’avais raison, une fois de plus il se la pète donnant l’impression d’avoir tout découvert en premier.
Le jeune correspondant écoute ce que je lui explique.
- Insiste bien que grâce à moi et a mon courage nous sommes descendues dans la crypte et que nous avons tous trouvés.
- Capitaine, on t’aime bien, sur le terrain je te respecte mais après ce que je viens d’entendre l’affaire est trop grosses pour mes compétences.
Excusez-moi, je vais téléphoner au journal qui va envoyer un journaliste professionnel.
Je pense que votre découverte va faire la couverture du journal de demain.
En ce qui me concerne j’aurais eu le plaisir d’être le premier à vous avoir posé des questions.
Inutile que je vous demande de faire des photos, je sais déjà que la gendarmerie a mis en sécurité les valeurs inestimables que vous avez découvert mademoiselle.
À ce sujet, comment va votre jambe ?
- Je peux dire que je m’en sors bien, j’aurais pu me fendre la jambe avec les bouts de bois acérés.
Merci d’être venu et de votre grand professionnalisme.
Il me serre la main un peu malhabile et je l’entends sortir suivi par Olivier.
Je comprends comme il m’a salué qu’il va partir et j’entends la voiture rouler sur les graviers.
- Si nous allions faire pipi Véro ?
Test pour Laurette positive moi peut mieux faire mais certainement positive aussi, à ce constat les questions se posent.
- Il faut cacher à Olivier si tu es enceinte si le « peut-être » devient définitivement un oui.
J’appelle tout de suite ta banque avant la sortie du journal.
Tu vas voir, le banquier va nous recevoir dans les minutes où il saura pourquoi nous le sollicitons.
Je suis sûr que rapidement tu auras une ligne de crédit presque illimité ouvert sur ton compte.
Nous suivons ce que Laurette suggère et il est 16 heures quand les poches virtuellement pleines nous revenons à la maison.
- Bonjour mesdames le journal m’a chargé de faire un papier sur votre découverte.
Valentin auprès de qui j’ai eu quelques éléments à bien insister sur le rôle joué par le capitaine de l’équipe de foot de votre village.
Votre fiancé si j’ai bien compris.
- Je vous laisse, j’ai un coup de fil à passer.
Laurette quitte la pièce me laissant en tête à tête avec le journaliste.
Je lui réponds laissant planer le doute sur mes fiançailles avec ce monsieur que je présente comme un garçon légèrement peureux quand il s’est agi de descendre dans la crypte.
- Je comprends, il souhaite s’attribuer le beau rôle.
J’en tiendrais compte.
Est-il possible que vous me conduisiez jusqu’à la chapelle pour faire des photos ?
- Faite comme chez vous vous pouvez y aller sans moi mais attention les gendarmes ont délimité une zone de protection, évitez de la franchir.
Vous ne verrez que les deux tombes, les colonnes et l’hôtel en marbre, les valeurs sont chez eux.
- J’ai l’habitude, vous pouvez avoir confiance je vous salue nous aurons certainement besoin de nous revoir.
- Vous serez toujours le bienvenu.
Je le quitte un peu exténuée par ces successions de nouvelles, c’est le moment où Laurette fait son retour.
- Véro j’ai eu le négociant en vins qui s’occupe de la récolte du mouton et veux nous voir demain pour signer un pré-contrat.
- Le mouton ?
- Celui qu’on va avoir le plaisir de tondre surtout après qu’il a essayé de tirer la couverture à lui.
- Auprès du négoce, j’ai obtenu 5 % de baisse pour qu’il casse le contrat avec monsieur béé, il en voulait 25 au départ.
- Comment as-tu fait pour obtenir cela par téléphone ?
- Il faudra aller signer le contrat définitif et je lui ai dit que je t’accompagnerais.
- Tu le connaissais ?
- Non mais sa voix était sensuelle, je suis sûr que c’est une bête de sexe.
- Comme l’était mon inconnu ?
- En parlant d’inconnu, j’ai une mauvaise nouvelle à t’annoncer.
J’ai dit à Lionel qu’il va être papa, ton palefrenier t’a quitté dans les dix minutes qui ont suivi.
- Les choses s’arrangeaient trop bien !
- Coule ma biche, viens m’embrasser, Lucien est prêt à reprendre provisoirement son travail.
Tu sais la retraite qu’il a pris après avoir formé Lionel sur l’exploitation lui pesait.
- As-tu dit à maître Mathieu pour ton bébés ?
- Pour le mien oui, il est content d’être grand-père, il va le pourrir.
- Et pour moi, tu lui as dit ?
- Non, pas un mot, attention j’entends une voiture arrivée ce doit être notre bélier qui arrive.
- Notre bélier ?
- Ton mouton noir, monsieur béé, c’est pareil.
Comme hier tu l’humilies mais je t’en supplie garde moi dans ton lit, jusqu’à l’accouchement je n’appartiendrais à aucun homme.
- Et une femme ?
- Cela se négocie !
- Veux-tu que je te paye ?
- Non que tu continues à me faire jouir.
C’est bien notre souffre-douleur qui revient sa journée de travail terminé.
- Olivier va dans ta cuisine et enlève tes vêtements sur la chaise.
Passe ton vêtement de travail.
Mets-le et viens nous servir, demain tu viendras en ayant fait les courses, nous arrivons à la fin des victuailles préparés par ma gouvernante.
Il part et revient nu comme je lui ai demandé mais avec le petit tablier blanc que je savais être dans un placard de la cuisine.
Laurette vient s’asseoir sur mes genoux dans la salle à manger où nous picorons ce qu’il nous apporte.
Une de mes mains s’occupe de sa chatte pour l’exciter nous sommes nues toutes les deux.
Laurette à un moment où il part chercher la suite me rapporte qu’elle voit qu’il bande lui montrant son baobab comme il dit à travers le tissu.
Je n’oublie pas les baisers enflammés que nous nous échangeons.
- Tu aimes mon Olive, regarde comme c’est beau deux femmes qui s’aiment.
- Continue ta caresse dans mon vagin tes doigts sont divins, je m’envole.
- Il faut que je t’aime Véronique pour supporter tout cela, mais si c’est le prix à payer pour avoir ton cœur je suis prêt à tous les sacrifices.
Dès que nous montrons nous coucher je vous lécherais les pieds.
- Cou-couche panier ce soir.
J’ai pris un bain et mes pieds sont propres à moins que Laurette en ait envie tu resteras sur ta carpette.
Tient quand je dis panier demain nous irons au magasin pour chiens et chats et je t’achèterais un joli panier où tu pourras dormir lover dedans.
Tu seras le gentil toutou de ses maîtresses.
- Salopes.
- Il l’a remarqué ma chérie, il a raison nous sommes des salopes mais à qui la faute ?
Je m’amuse comme Olivier semblait s’amuser quand il me faisait des avances.
J’ai un peu mal au cœur de le traiter de la sorte.
Je suis loin d’être la dominatrice que je lui fais croire.
Vivement qu’on l’assomme en lui piquant sa récolte et qu’il aille planter des choux ailleurs.
Pour une fois je me lève tôt, journal oblige tout est dans la forme.
Le journaliste en plus de photos que décrivent les yeux de Laurette l’article est presque insultant pour notre valet de pied.
Comme elle lit à haute voix il lui est difficile d’ignorer ce qu’il entend.
- Pour te consoler, tu vois je suis prête et Laurette va l’être aussi.
Nous allons t’emmener faire nos courses, emmène-nous dans ta belle auto.
Nous montons toutes les deux à l’arrière de la voiture et il nous conduit vers les rues commerçant de Beaune où nous faisons des achats dans de nombreuses boutiques.
Au bout d’un moment il doit porter une dizaine de sacs de magasin de vêtements pas très bon marché.
Notre gentil toutou nous suit docilement étant définitivement maté.
Il faut dire que ce que le journaliste dit de lui dans le canard a de quoi l’inquiéter car il est écrit qu’auprès d’une source sur, le domaine Raguin compterait sur le domaine Dunant pour éviter la banqueroute vue les frasques de l’ancien propriétaire et l’incompétence de son fils se voyant déjà comme un nouveau riche.
Quand nous sortons de la dernière boutique je propose de manger sur la place près d’un manège à enfants.
- Tu te rends compte Véro dans quelque temps c’est nous qui viendrons avec nos enfants pour qu’il fasse du manège.
Laurette ne perd pas une occasion de se faire remarquer…
Voilà, la saison III se termine, retour vers d’autres textes en attendant la reprise de 6 nouveaux chapitres le 21ème marquant la fin de cette aventure agréable à écrire.
Une nouvelle fois, merci à Alexandra de ses relectures.
Olivier qui lorgne mon domaine et maintenant le trésor trouvé dans la crypte sous la chapelle l’accompagne.
Il doit avoir un but caché comme tout ce qu’il fait.
Prévenue, je prends mon temps, les faire marronner est mon but.
Je passe une robe légère sur mon string et je descends jusqu’à la salle des repas où Laurette a conduit les deux hommes.
- Bonjour Véronique excuse nous de te déranger mais Valentin est un copain qui joue dans mon équipe et qui souhaite faire un article sur le trésor que j’ai découvert avec toi.
J’avais raison, une fois de plus il se la pète donnant l’impression d’avoir tout découvert en premier.
Le jeune correspondant écoute ce que je lui explique.
- Insiste bien que grâce à moi et a mon courage nous sommes descendues dans la crypte et que nous avons tous trouvés.
- Capitaine, on t’aime bien, sur le terrain je te respecte mais après ce que je viens d’entendre l’affaire est trop grosses pour mes compétences.
Excusez-moi, je vais téléphoner au journal qui va envoyer un journaliste professionnel.
Je pense que votre découverte va faire la couverture du journal de demain.
En ce qui me concerne j’aurais eu le plaisir d’être le premier à vous avoir posé des questions.
Inutile que je vous demande de faire des photos, je sais déjà que la gendarmerie a mis en sécurité les valeurs inestimables que vous avez découvert mademoiselle.
À ce sujet, comment va votre jambe ?
- Je peux dire que je m’en sors bien, j’aurais pu me fendre la jambe avec les bouts de bois acérés.
Merci d’être venu et de votre grand professionnalisme.
Il me serre la main un peu malhabile et je l’entends sortir suivi par Olivier.
Je comprends comme il m’a salué qu’il va partir et j’entends la voiture rouler sur les graviers.
- Si nous allions faire pipi Véro ?
Test pour Laurette positive moi peut mieux faire mais certainement positive aussi, à ce constat les questions se posent.
- Il faut cacher à Olivier si tu es enceinte si le « peut-être » devient définitivement un oui.
J’appelle tout de suite ta banque avant la sortie du journal.
Tu vas voir, le banquier va nous recevoir dans les minutes où il saura pourquoi nous le sollicitons.
Je suis sûr que rapidement tu auras une ligne de crédit presque illimité ouvert sur ton compte.
Nous suivons ce que Laurette suggère et il est 16 heures quand les poches virtuellement pleines nous revenons à la maison.
- Bonjour mesdames le journal m’a chargé de faire un papier sur votre découverte.
Valentin auprès de qui j’ai eu quelques éléments à bien insister sur le rôle joué par le capitaine de l’équipe de foot de votre village.
Votre fiancé si j’ai bien compris.
- Je vous laisse, j’ai un coup de fil à passer.
Laurette quitte la pièce me laissant en tête à tête avec le journaliste.
Je lui réponds laissant planer le doute sur mes fiançailles avec ce monsieur que je présente comme un garçon légèrement peureux quand il s’est agi de descendre dans la crypte.
- Je comprends, il souhaite s’attribuer le beau rôle.
J’en tiendrais compte.
Est-il possible que vous me conduisiez jusqu’à la chapelle pour faire des photos ?
- Faite comme chez vous vous pouvez y aller sans moi mais attention les gendarmes ont délimité une zone de protection, évitez de la franchir.
Vous ne verrez que les deux tombes, les colonnes et l’hôtel en marbre, les valeurs sont chez eux.
- J’ai l’habitude, vous pouvez avoir confiance je vous salue nous aurons certainement besoin de nous revoir.
- Vous serez toujours le bienvenu.
Je le quitte un peu exténuée par ces successions de nouvelles, c’est le moment où Laurette fait son retour.
- Véro j’ai eu le négociant en vins qui s’occupe de la récolte du mouton et veux nous voir demain pour signer un pré-contrat.
- Le mouton ?
- Celui qu’on va avoir le plaisir de tondre surtout après qu’il a essayé de tirer la couverture à lui.
- Auprès du négoce, j’ai obtenu 5 % de baisse pour qu’il casse le contrat avec monsieur béé, il en voulait 25 au départ.
- Comment as-tu fait pour obtenir cela par téléphone ?
- Il faudra aller signer le contrat définitif et je lui ai dit que je t’accompagnerais.
- Tu le connaissais ?
- Non mais sa voix était sensuelle, je suis sûr que c’est une bête de sexe.
- Comme l’était mon inconnu ?
- En parlant d’inconnu, j’ai une mauvaise nouvelle à t’annoncer.
J’ai dit à Lionel qu’il va être papa, ton palefrenier t’a quitté dans les dix minutes qui ont suivi.
- Les choses s’arrangeaient trop bien !
- Coule ma biche, viens m’embrasser, Lucien est prêt à reprendre provisoirement son travail.
Tu sais la retraite qu’il a pris après avoir formé Lionel sur l’exploitation lui pesait.
- As-tu dit à maître Mathieu pour ton bébés ?
- Pour le mien oui, il est content d’être grand-père, il va le pourrir.
- Et pour moi, tu lui as dit ?
- Non, pas un mot, attention j’entends une voiture arrivée ce doit être notre bélier qui arrive.
- Notre bélier ?
- Ton mouton noir, monsieur béé, c’est pareil.
Comme hier tu l’humilies mais je t’en supplie garde moi dans ton lit, jusqu’à l’accouchement je n’appartiendrais à aucun homme.
- Et une femme ?
- Cela se négocie !
- Veux-tu que je te paye ?
- Non que tu continues à me faire jouir.
C’est bien notre souffre-douleur qui revient sa journée de travail terminé.
- Olivier va dans ta cuisine et enlève tes vêtements sur la chaise.
Passe ton vêtement de travail.
Mets-le et viens nous servir, demain tu viendras en ayant fait les courses, nous arrivons à la fin des victuailles préparés par ma gouvernante.
Il part et revient nu comme je lui ai demandé mais avec le petit tablier blanc que je savais être dans un placard de la cuisine.
Laurette vient s’asseoir sur mes genoux dans la salle à manger où nous picorons ce qu’il nous apporte.
Une de mes mains s’occupe de sa chatte pour l’exciter nous sommes nues toutes les deux.
Laurette à un moment où il part chercher la suite me rapporte qu’elle voit qu’il bande lui montrant son baobab comme il dit à travers le tissu.
Je n’oublie pas les baisers enflammés que nous nous échangeons.
- Tu aimes mon Olive, regarde comme c’est beau deux femmes qui s’aiment.
- Continue ta caresse dans mon vagin tes doigts sont divins, je m’envole.
- Il faut que je t’aime Véronique pour supporter tout cela, mais si c’est le prix à payer pour avoir ton cœur je suis prêt à tous les sacrifices.
Dès que nous montrons nous coucher je vous lécherais les pieds.
- Cou-couche panier ce soir.
J’ai pris un bain et mes pieds sont propres à moins que Laurette en ait envie tu resteras sur ta carpette.
Tient quand je dis panier demain nous irons au magasin pour chiens et chats et je t’achèterais un joli panier où tu pourras dormir lover dedans.
Tu seras le gentil toutou de ses maîtresses.
- Salopes.
- Il l’a remarqué ma chérie, il a raison nous sommes des salopes mais à qui la faute ?
Je m’amuse comme Olivier semblait s’amuser quand il me faisait des avances.
J’ai un peu mal au cœur de le traiter de la sorte.
Je suis loin d’être la dominatrice que je lui fais croire.
Vivement qu’on l’assomme en lui piquant sa récolte et qu’il aille planter des choux ailleurs.
Pour une fois je me lève tôt, journal oblige tout est dans la forme.
Le journaliste en plus de photos que décrivent les yeux de Laurette l’article est presque insultant pour notre valet de pied.
Comme elle lit à haute voix il lui est difficile d’ignorer ce qu’il entend.
- Pour te consoler, tu vois je suis prête et Laurette va l’être aussi.
Nous allons t’emmener faire nos courses, emmène-nous dans ta belle auto.
Nous montons toutes les deux à l’arrière de la voiture et il nous conduit vers les rues commerçant de Beaune où nous faisons des achats dans de nombreuses boutiques.
Au bout d’un moment il doit porter une dizaine de sacs de magasin de vêtements pas très bon marché.
Notre gentil toutou nous suit docilement étant définitivement maté.
Il faut dire que ce que le journaliste dit de lui dans le canard a de quoi l’inquiéter car il est écrit qu’auprès d’une source sur, le domaine Raguin compterait sur le domaine Dunant pour éviter la banqueroute vue les frasques de l’ancien propriétaire et l’incompétence de son fils se voyant déjà comme un nouveau riche.
Quand nous sortons de la dernière boutique je propose de manger sur la place près d’un manège à enfants.
- Tu te rends compte Véro dans quelque temps c’est nous qui viendrons avec nos enfants pour qu’il fasse du manège.
Laurette ne perd pas une occasion de se faire remarquer…
Voilà, la saison III se termine, retour vers d’autres textes en attendant la reprise de 6 nouveaux chapitres le 21ème marquant la fin de cette aventure agréable à écrire.
Une nouvelle fois, merci à Alexandra de ses relectures.
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