COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Saison II (7/10)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Saison II (7/10)
La chapelle a pris feu et a fait fuir mon inconnu de l’écurie au moment où enfin il recommençait à me baiser.
Contrairement à la première fois, j’ai pu participer avant que la foudre ne le fasse fuir de nouveau.
Laurette s’est aperçu qu’il se passait quelque chose et arrive à me faire dire que je rencontre un inconnu qui me sexe comme une folle ayant même réussi à diriger nos jeux avant le début de l’incendie.
- Maître Mathieu, asseyez-vous et prenez un café, il faut que l’on parle de cette nuit et de ce qu’il va falloir faire.
- Madame Véronique, j’ai déjà entamé les procédures à entreprendre dans ces cas-là.
J’ai vérifié le contrat la chapelle était bien prise en compte dans l’assurance.
- Ça je savais, c’est moi qui ai tenu à ce qu’elle soit incluse dedans car c’est pour moi le symbole du domaine Dunant.
Si vous regardez sur toutes les étiquettes on voit la maison surplombée de la chapelle.
- Vous avez raison, j’allais vous demander s’il n’était pas préférable de l’abatte mais comme ce sont les assurances qui payeront la remise en état, je ferais le nécessaire.
- Pendant que nous y sommes, la société qui fera la couverture pourrait très bien refaire le pan de toit de la maison dont nous avions parlé l’autre jour avant qu’une fuite ne dégrade la charpente.
- Bonne idée, l’ensemble des travaux me permettra de négocier le travail de la maison comme ils seront sur place.
- À oui, Maître Mathieu, faites porter quatre caisses de notre 1er cru vieilles vignes chez les pompiers pour le travail qu’ils ont fait cette nuit.
En plus vous mettrez une caisse de Crémant pour le jeune pompier qui m’a particulièrement aidé quand j’ai eu des soucis avec mon peignoir dans la piscine.
- Je suis au courant, j’ai vu Laurette qui s’est empressée de tout me raconter.
- Vous a-t-elle parlé de l’écurie ?
- L’écurie non, pourquoi ?
- Rien, passons.
- Moi aussi j’oublie de vous dire deux choses.
Les clients dont la femme était enceinte viennent de repartir car après les événements de cette nuit cela lui a entraîné le début des contractions.
Dommage pour Laurette, elle perd en même temps son lieu de rendez-vous et l’objet de ce rendez-vous.
- Sans oublier, le camion pour descendre les tonneaux de la récolte de l’an passé en vins rouges de la cave à l’entrepôt de mise en bouteilles et de ventes est arrivé.
Les tonneaux à sortir, il faut que je trouve les moyens financiers pour faciliter cette tâche.
La cave est sous la maison et va jusqu’aux chambres d’hôtes.
Mon père avant sa mort avait investi dans le nouvel entrepôt où les tonneaux sont vidés dans des cuves par crus, filtrés et mis en bouteilles.
Elles sont étiquetées, capsulées pour les douanes et empilées en rangs contenant jusqu’à 10 000 bouteilles.
Pour finir le travail, mes employés les mettent en carton de 6 ou 12 bouteilles suivant les commandes.
Depuis toujours, le raisin était travaillé dans ce vieux chai et rentré dans la cave, grâce à des cordes et des anneaux de ferraille solidement ancrés dans le sol.
Quand le jus de raisin est arrivé à maturité il nous faut faire l’opération inverse.
Travail ardu et pénible avec de gros risques d'accidents heureusement épargnés à ce jour.
Par chance, la pente étant suffisante, il va falloir creuser en points bas et faire une nouvelle entrée qui permettra de les prendre directement avec les engins de levage.
Les plans existent mais les moyens me manquent encore.
Mon père a pensé à beaucoup de choses pour faire fructifier le domaine Dunant mais avant de faire l’entrepôt du bas il aurait dû faciliter le travail en faisant l’ouverture sur notre cave ancestrale.
- Bien, je passerais tout à l’heure travaillez bien et dite à tous de faire attention.
Dans la journée les premiers tonneaux sont sortis et amenés au nouvel entrepôt.
Les jours passent et le beau temps persiste.
L’assurance donne les autorisations pour la reconstruction de la chapelle.
Maître Mathieu a fait le nécessaire avec l’entreprise de maçonnerie et charpente pour le toit du castel.
Aujourd’hui le patron de l’entreprise Pierre, nom prédestiné surtout dans nos villages avec nos maisons en pierres taillées.
- Bonjours madame Dunant, je vais vous demander s’il m’est possible de commencer les travaux du toit pour profiter du beau temps ?
Vous savez je suis monté dans les combes, il faudrait envisager une plus grosse intervention que le replâtrage que je vais faire mais je sais que l’investissement est nettement plus onéreux.
- Oui, d’autant plus que je dois investir dans la sortie de la cave et d’ailleurs si j’ai le financement je ferais appel à vous.
J’espère que vous saurez me faire un prix abordable.
- Vous les femmes vous savez toujours trouver les mots pour nous amadouer.
J’étudierais votre demande au prix le plus juste, en attendant êtes-vous d’accord pour qu’aujourd’hui mes gars montent l’échafaudage qui va ternir la beauté de cette façade jusqu’à la fin des travaux ?
- Aucun problème je mangerais à l’autre bout de la terrasse je vais demander que ma table soit déplacée.
- Je peux vous demander ?
C’est reparti, je sais je suis aveugle.
Quatre jours plus tard l’échafaudage est monté.
Trois ouvriers ont découvert la partie du toit qui pose le plus de problèmes.
- Véronique Lionel m’a prévenu il a entraînement ce soir et restera à la troisième mi-temps.
- On met notre plan à exécution, j’irai à l’écurie à minuit.
Tu m’as promis de me laisser du temps, j’ai envie de me faire baiser.
- Je te l’ai promis.
La journée est interminable et à l’heure dite je rentre voir Rocco et Quasi ayant remis mon peignoir à l’endroit étant nu dessous.
- Es-tu là ?
- Oui, dans le box vide à l’opposé d’où tu es.
Fait comme tu as fait chaque fois.
- Je m’occupe de Rocco et je vais voir Quasi qui aime me lécher la main.
- Chut, il peut venir.
Je rejoins Rocco qui aime quand je lui brosse le poil.
Je sors après une demi-heure c’est là que la première fois il m’est apparu.
Je dois plutôt dire, senti s’emparer de moi.
Rien, je vais dans le box de Quasi, je me fais lécher la main près de trois quart-d’heure sans la moindre présence de l’inconnu.
Mon ouïe entend Laurette bouger quelques fois, je m’approche de l’endroit où elle est cachée et lui parle presque en murmurant.
- Je vais m’allonger sur le foin cela le fera peut-être venir.
Je me déplace et je m’allonge en quelques secondes mes yeux se ferment.
- Alors les jolies gougnottes on a pris son pied.
Je me réveille d’un coup, je sens une présence dans mes bras bougeant en m’étirant comme une chatte.
- Merde Lionel arrête de déconner.
- Comment penses-tu que je dois comprendre ce que vous êtes la patronne et toi quand je vous trouve couchées sur un tas de foin ?
La patronne à poil son peignoir ouvert me montrant sa jolie petite chatte que je baiserais bien mais je t’aime Laurette et je veux vivre avec toi.
Quel mot puis-je employer que gougnotte quand ma copine dort dans tes bras ?
- Je sais les apparences sont contre nous mais regarde-moi je suis habillée et je t’aime aussi.
Je faisais un tour en attendant que tu rentres.
J’avais envie de toi et j’ai entendu du bruit dans l’écurie, je me suis approché et j’ai vu la patronne allongée à la lumière de la lune.
Me rapprochant, j’ai reçu un coup sur la tête, il devait y avoir un rôdeur qui a assommé Véronique et qui m’a assommé et je suis tombée sur elle.
- Croyez là, Lionel, c’est ce qui m’est arrivée et si elle vous explique la suite étant dans les pommes se doit être la vérité.
- Je vais appeler la gendarmerie pour leur signaler la présence d’un rôdeur.
- Inutile, Laurette doit me conduire à la gendarmerie je suis convoquée à la suite de l’incendie de la chapelle nous leur en parlerons.
- Bien, je ferme les yeux patronne, je viens pour harnacher Pompon on va dans les vignes.
Nous nous relevons, je referme mon peignoir et nous reprenons le chemin de la maison.
- Que s’est-il passé ?
- Justement rien, j’en avais mare dans mon box assise sur une chaise alors je suis venue près de toi Je me suis dit que je pouvais m’allonger et en quelques minutes j’ai dû m’endormir.
J’ai des doutes que Lionel soit ton inconnu bien qu’il ait pu sentir notre piège et éviter d’intervenir.
Je crois que celui que tu espérais piéger ce soir restera l’inconnu de tes nuits.
De retour dans ma chambre il me reste du temps pour dormir un peu.
Le foin c’est sympa mais pour récupérer il y a mieux quand j’entends du bruit devant ma fenêtre ouverte.
J’entends des murmures, j’ouvre les yeux et j’ai la désagréable impression d’être épiée.
C’est la série, dans la piscine à la vue de tous.
Dans l’écurie à celle de Lionel et maintenant depuis la fenêtre de ma chambre car je me suis allongée nue par ce début de chaude journée.
Plusieurs ouvriers montent l’échafaudage semblant apprécier le spectacle que je leur offre.
- Et les gars que regardez-vous, vous croyez que je vous paye à ne rien faire ?
Un peu garce je fais celle qui dort toujours alors que l’altercation avec leur patron m’a fait comprendre que les poseurs d’échafaudage me regardent.
Je bouge ma jambe que je laisse tomber dans la rigole de mon lit et je reste là la chatte offerte mouillant à sentir le regard de ses garçons sur moi.
- Il faut que je monte ?
Je remonte ma jambe, je me retourne leur montrant mon cul que je sais très beau car la selle de Rocco et les courses dans le parc avec Laurette me tenant la main les maintiennent fermes.
Je me lève m’habille et descends manger.
La journée est habituelle pour moi qui suit limitée dans ce que je peux faire et surtout la chaleur.
La nuit venue j’ai toujours aussi chaud quand je sens que l’on monte sur mon lit et qu’une bouche caresse mon intimité…
Contrairement à la première fois, j’ai pu participer avant que la foudre ne le fasse fuir de nouveau.
Laurette s’est aperçu qu’il se passait quelque chose et arrive à me faire dire que je rencontre un inconnu qui me sexe comme une folle ayant même réussi à diriger nos jeux avant le début de l’incendie.
- Maître Mathieu, asseyez-vous et prenez un café, il faut que l’on parle de cette nuit et de ce qu’il va falloir faire.
- Madame Véronique, j’ai déjà entamé les procédures à entreprendre dans ces cas-là.
J’ai vérifié le contrat la chapelle était bien prise en compte dans l’assurance.
- Ça je savais, c’est moi qui ai tenu à ce qu’elle soit incluse dedans car c’est pour moi le symbole du domaine Dunant.
Si vous regardez sur toutes les étiquettes on voit la maison surplombée de la chapelle.
- Vous avez raison, j’allais vous demander s’il n’était pas préférable de l’abatte mais comme ce sont les assurances qui payeront la remise en état, je ferais le nécessaire.
- Pendant que nous y sommes, la société qui fera la couverture pourrait très bien refaire le pan de toit de la maison dont nous avions parlé l’autre jour avant qu’une fuite ne dégrade la charpente.
- Bonne idée, l’ensemble des travaux me permettra de négocier le travail de la maison comme ils seront sur place.
- À oui, Maître Mathieu, faites porter quatre caisses de notre 1er cru vieilles vignes chez les pompiers pour le travail qu’ils ont fait cette nuit.
En plus vous mettrez une caisse de Crémant pour le jeune pompier qui m’a particulièrement aidé quand j’ai eu des soucis avec mon peignoir dans la piscine.
- Je suis au courant, j’ai vu Laurette qui s’est empressée de tout me raconter.
- Vous a-t-elle parlé de l’écurie ?
- L’écurie non, pourquoi ?
- Rien, passons.
- Moi aussi j’oublie de vous dire deux choses.
Les clients dont la femme était enceinte viennent de repartir car après les événements de cette nuit cela lui a entraîné le début des contractions.
Dommage pour Laurette, elle perd en même temps son lieu de rendez-vous et l’objet de ce rendez-vous.
- Sans oublier, le camion pour descendre les tonneaux de la récolte de l’an passé en vins rouges de la cave à l’entrepôt de mise en bouteilles et de ventes est arrivé.
Les tonneaux à sortir, il faut que je trouve les moyens financiers pour faciliter cette tâche.
La cave est sous la maison et va jusqu’aux chambres d’hôtes.
Mon père avant sa mort avait investi dans le nouvel entrepôt où les tonneaux sont vidés dans des cuves par crus, filtrés et mis en bouteilles.
Elles sont étiquetées, capsulées pour les douanes et empilées en rangs contenant jusqu’à 10 000 bouteilles.
Pour finir le travail, mes employés les mettent en carton de 6 ou 12 bouteilles suivant les commandes.
Depuis toujours, le raisin était travaillé dans ce vieux chai et rentré dans la cave, grâce à des cordes et des anneaux de ferraille solidement ancrés dans le sol.
Quand le jus de raisin est arrivé à maturité il nous faut faire l’opération inverse.
Travail ardu et pénible avec de gros risques d'accidents heureusement épargnés à ce jour.
Par chance, la pente étant suffisante, il va falloir creuser en points bas et faire une nouvelle entrée qui permettra de les prendre directement avec les engins de levage.
Les plans existent mais les moyens me manquent encore.
Mon père a pensé à beaucoup de choses pour faire fructifier le domaine Dunant mais avant de faire l’entrepôt du bas il aurait dû faciliter le travail en faisant l’ouverture sur notre cave ancestrale.
- Bien, je passerais tout à l’heure travaillez bien et dite à tous de faire attention.
Dans la journée les premiers tonneaux sont sortis et amenés au nouvel entrepôt.
Les jours passent et le beau temps persiste.
L’assurance donne les autorisations pour la reconstruction de la chapelle.
Maître Mathieu a fait le nécessaire avec l’entreprise de maçonnerie et charpente pour le toit du castel.
Aujourd’hui le patron de l’entreprise Pierre, nom prédestiné surtout dans nos villages avec nos maisons en pierres taillées.
- Bonjours madame Dunant, je vais vous demander s’il m’est possible de commencer les travaux du toit pour profiter du beau temps ?
Vous savez je suis monté dans les combes, il faudrait envisager une plus grosse intervention que le replâtrage que je vais faire mais je sais que l’investissement est nettement plus onéreux.
- Oui, d’autant plus que je dois investir dans la sortie de la cave et d’ailleurs si j’ai le financement je ferais appel à vous.
J’espère que vous saurez me faire un prix abordable.
- Vous les femmes vous savez toujours trouver les mots pour nous amadouer.
J’étudierais votre demande au prix le plus juste, en attendant êtes-vous d’accord pour qu’aujourd’hui mes gars montent l’échafaudage qui va ternir la beauté de cette façade jusqu’à la fin des travaux ?
- Aucun problème je mangerais à l’autre bout de la terrasse je vais demander que ma table soit déplacée.
- Je peux vous demander ?
C’est reparti, je sais je suis aveugle.
Quatre jours plus tard l’échafaudage est monté.
Trois ouvriers ont découvert la partie du toit qui pose le plus de problèmes.
- Véronique Lionel m’a prévenu il a entraînement ce soir et restera à la troisième mi-temps.
- On met notre plan à exécution, j’irai à l’écurie à minuit.
Tu m’as promis de me laisser du temps, j’ai envie de me faire baiser.
- Je te l’ai promis.
La journée est interminable et à l’heure dite je rentre voir Rocco et Quasi ayant remis mon peignoir à l’endroit étant nu dessous.
- Es-tu là ?
- Oui, dans le box vide à l’opposé d’où tu es.
Fait comme tu as fait chaque fois.
- Je m’occupe de Rocco et je vais voir Quasi qui aime me lécher la main.
- Chut, il peut venir.
Je rejoins Rocco qui aime quand je lui brosse le poil.
Je sors après une demi-heure c’est là que la première fois il m’est apparu.
Je dois plutôt dire, senti s’emparer de moi.
Rien, je vais dans le box de Quasi, je me fais lécher la main près de trois quart-d’heure sans la moindre présence de l’inconnu.
Mon ouïe entend Laurette bouger quelques fois, je m’approche de l’endroit où elle est cachée et lui parle presque en murmurant.
- Je vais m’allonger sur le foin cela le fera peut-être venir.
Je me déplace et je m’allonge en quelques secondes mes yeux se ferment.
- Alors les jolies gougnottes on a pris son pied.
Je me réveille d’un coup, je sens une présence dans mes bras bougeant en m’étirant comme une chatte.
- Merde Lionel arrête de déconner.
- Comment penses-tu que je dois comprendre ce que vous êtes la patronne et toi quand je vous trouve couchées sur un tas de foin ?
La patronne à poil son peignoir ouvert me montrant sa jolie petite chatte que je baiserais bien mais je t’aime Laurette et je veux vivre avec toi.
Quel mot puis-je employer que gougnotte quand ma copine dort dans tes bras ?
- Je sais les apparences sont contre nous mais regarde-moi je suis habillée et je t’aime aussi.
Je faisais un tour en attendant que tu rentres.
J’avais envie de toi et j’ai entendu du bruit dans l’écurie, je me suis approché et j’ai vu la patronne allongée à la lumière de la lune.
Me rapprochant, j’ai reçu un coup sur la tête, il devait y avoir un rôdeur qui a assommé Véronique et qui m’a assommé et je suis tombée sur elle.
- Croyez là, Lionel, c’est ce qui m’est arrivée et si elle vous explique la suite étant dans les pommes se doit être la vérité.
- Je vais appeler la gendarmerie pour leur signaler la présence d’un rôdeur.
- Inutile, Laurette doit me conduire à la gendarmerie je suis convoquée à la suite de l’incendie de la chapelle nous leur en parlerons.
- Bien, je ferme les yeux patronne, je viens pour harnacher Pompon on va dans les vignes.
Nous nous relevons, je referme mon peignoir et nous reprenons le chemin de la maison.
- Que s’est-il passé ?
- Justement rien, j’en avais mare dans mon box assise sur une chaise alors je suis venue près de toi Je me suis dit que je pouvais m’allonger et en quelques minutes j’ai dû m’endormir.
J’ai des doutes que Lionel soit ton inconnu bien qu’il ait pu sentir notre piège et éviter d’intervenir.
Je crois que celui que tu espérais piéger ce soir restera l’inconnu de tes nuits.
De retour dans ma chambre il me reste du temps pour dormir un peu.
Le foin c’est sympa mais pour récupérer il y a mieux quand j’entends du bruit devant ma fenêtre ouverte.
J’entends des murmures, j’ouvre les yeux et j’ai la désagréable impression d’être épiée.
C’est la série, dans la piscine à la vue de tous.
Dans l’écurie à celle de Lionel et maintenant depuis la fenêtre de ma chambre car je me suis allongée nue par ce début de chaude journée.
Plusieurs ouvriers montent l’échafaudage semblant apprécier le spectacle que je leur offre.
- Et les gars que regardez-vous, vous croyez que je vous paye à ne rien faire ?
Un peu garce je fais celle qui dort toujours alors que l’altercation avec leur patron m’a fait comprendre que les poseurs d’échafaudage me regardent.
Je bouge ma jambe que je laisse tomber dans la rigole de mon lit et je reste là la chatte offerte mouillant à sentir le regard de ses garçons sur moi.
- Il faut que je monte ?
Je remonte ma jambe, je me retourne leur montrant mon cul que je sais très beau car la selle de Rocco et les courses dans le parc avec Laurette me tenant la main les maintiennent fermes.
Je me lève m’habille et descends manger.
La journée est habituelle pour moi qui suit limitée dans ce que je peux faire et surtout la chaleur.
La nuit venue j’ai toujours aussi chaud quand je sens que l’on monte sur mon lit et qu’une bouche caresse mon intimité…
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