COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Saison IV (18/21)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Saison IV (18/21)
Nous sommes attablées au kébab de Givry quand Louis vient nous présenter Agnès la jeune fille qu’il a séduite et qu’il va épouser.
Laurette pose une question à Louis mon petit pompier sur des sacs de super-marcher que bien sûr je n’avais pas vu.
- Plus de travail, pas encore d’aide sociale alors que je me dévoue pour les autres comme pompier depuis deux ans.
Agnès et moi avons perdu notre chez-nous et nous allons coucher à la belle étoile cette nuit, on a de la chance, il fait beau.
- Véronique, Lionel est parti et je couche dans ta chambre, si nous les installions pour qu’ils aient le temps de se retourner, j’ai changé mes draps ce matin.
- Bonne idée, installez-vous, commencés par manger et après nous irons vous montrer le logement que nous mettons à votre disposition.
Je me souviens que tu as plongé dans ma piscine pour me rapporter mon déshabillé.
- Comment Louis, as-tu pu me cacher que tu te sentais obligé de sauver des femmes dans leur piscine.
- Surtout quand elles sont à poil.
- Laurette, tais-toi, tu cherches à ce que Louis ait des ennuis ?
- Je l’ai bien vu, il te dévorait des yeux.
- Je crois que je vais aller me coucher ailleurs qu’avec ce dévergondé !
- Agnès, Laurette te fait marcher, il est vrai que ton copain m’a sortie de ma piscine dénudée.
Il avait des circonstances de le faire après les ordres qu’il avait reçus.
Son chef l’a obligé à plonger et a récupéré mon peignoir que j’avais perdu en remplissant les seaux d’eau pour éteindre mon incendie.
- J’hallucine, cette femme avec son regard qui me fixe en me parlant avait le feu au cul et tu l’as éteint avec un seau d’eau de sa piscine.
Il est hors de question que le père de mes enfants soit un pornographe.
La jeune fille semble un tantinet jalouse.
- Agnès cette femme qui te fixe est aveugle, d’où son regard fixe.
Ton copain intervenait dans le cadre de sa mission comme pompier.
La foudre avait frappé sa chapelle et le feu se propageait.
Elle est sortie de son lit et a mis un peignoir.
À cause de la chaleur, elle dormait nue et s’étant placée au début de la chaîne avant l’arrivée de ton aimé, son peignoir s'est détaché.
N’écoutant que son courage, pour venir au secours de l’amour de ma vie, il a plongé pour le récupérer et protéger la pudeur de celle qui par son accident de cheval a tout perdu.
- Laurette arrête tes grandes envolées lyriques.
Agnès va croire que je suis Cosette dans les misérables.
Tu sais tout, il a exécuté un ordre et même si je ne vous vois pas je suis sûr que vous formez un joli couple.
La jeune femme se lève au bruit fait par sa chaise et vient m’embrasser.
- Pardon.
- Mangez, les kébabs sont servis.
Ce que j’aime c’est de manger avec mes doigts, si vous saviez comme il est dur de manger proprement sans voir son assiette.
Le reste de la soirée se passe sans incident.
Agnès est une jeune femme pleine de tact avec moi.
- Venez, je vais vous faire voir votre chambre près des chambres d’hôtes.
Nous venons de quitter la voiture d’Olivier près de ma maison et le trio part vers l’ancienne maison transformée en chambre de passage dans nos vignes.
J’ai du vague à l’âme et peu enclin à entrer retrouver Olivier seul.
Je m’engage sur le chemin menant à une de nos vignes.
Je l’atteins sans encombre c’est un secteur où je vais souvent seule.
Je prends quelques grains sur plusieurs pieds que je mange.
Dans cette saison de grande chaleur fin août il va falloir revoir les vendanges huit jours plus tôt que nous avions prévu.
Ça va entraîner des difficultés avec les vendangeurs.
Je redescends vers les chambres et surtout la piscine, je pose mes affaires sur l’un des transats.
Je garde mon string et les seins nus je descends les marches manquant de glisser et entrant dans l’eau.
Sa température est divine limite trop chaude mais mon corps se sent bien à flotter.
J’aime faire la planche et d’un coup ma tête touche ce qui semble être une poitrine.
- Pardon, je suis aveugle et je suis venue me baigner dans ma piscine avant d’aller me coucher.
- Excusez, je vous ai vue arrivée dans la nuit et votre déplacement semblait naturel dans cette nuit de pleines lunes.
- L’éclairage de la piscine est éteint ?
- Oui, nous sommes dans la nuit, juste éclairés par les rayons de la lune.
- Quelle heure peut-il être ?
- Une heure.
- C’est normal la minuterie l’arrête à minuit trente.
- Vous êtes dans notre gîte ?
- Oui, nous sommes venues avec Paul mon mari, nous sommes en voyage de noces.
- C’est lui qui a fait du cheval avec Laurette ?
- Oui, il est revenu enchanté de sa promenade.
Dommage que j’aie peur de ces animaux.
- Taratata, demain nous allons vous emmener faire une balade, vous verrez vous aimerez.
- Paul doit aller visiter votre chai avec votre responsable, c’est pour cela que nous avons choisi vos chambres d’hôtes.
- Que fait-il ?
- Il est dans les vins et spiritueux à Paris, nous avons un bar à vins dans le quartier du Marais, j’étais sa serveuse et il m’a séduite.
- Partante pour le tour à cheval ?
- Si sans voir vous monter vos chevaux, il m’est impossible de refuser.
Surtout j’irais avec vous sans que mon mari ne le sache car s’il est là je risque de perdre confiance.
Il me fait souvent de petites réflexions qui risquent de me bloquer.
Nous parlons tout en nageant sur place, la jeune femme est la femme de celui qui a enculé Laurette dans sa promenade cette après-midi.
Ma main plusieurs fois touche sa poitrine qui est fort rebondie.
- Excusez, je vous touche sans le faire exprès.
- On se tutoie on est du même âge je pense, je m’appelle Virginie.
- Ok pour le tutoiement mon prénom à la même première lettre V pour Véronique.
- Bonsoir Véronique, tu peux me toucher les seins, ils ont aimé, mieux, tu peux les caresser si tu en as envie ?
Comment refuser une telle invitation ?
J’arrive à attraper l’une de ses fraises qui réagit à l’eau fraîche et à mon petit pincement.
Je sens Virginie s’approcher de moi, me pousser jusqu’à ce que nous ayons pied et sa bouche vient sur ma propre poitrine.
Moi qui me plaignais depuis mon accident, que mes rapports sexuels avaient disparu, l’inconnu, Laurette et maintenant Virginie me ramène dans le circuit des femmes fatales.
Ses lèvres trouvent mes lèvres et sa langue la mienne.
Le frisson qui parcourt mon corps est dû à l’eau fraîche au bout d’un moment étant dans l’eau.
Bien que cette langue qui caresse ma langue autant que sa main qui vient d’atterrir sur mon vagin n’y est pas étrangère.
Virginie trouve mon clitoris qui est bien quand il est baigné tout en étant pincé.
Deux de ses doigts entrent dans ma chatte ce qui m’oblige à fléchir les jambes sous leur assaut.
M’envoyer en l’air dans ma piscine sous les doigts d’une cliente, quand nous l’avons fait construire, j’étais loin de penser que lors d’un soir d’été je jouirais dans son eau.
Cliente qui réagit comme réagit Virginie quand c’est moi qui lui enfile mes doigts et que je tire carrément sur sa petite cramouille recevant sur mes lèvres son cri de jouissance.
Les marches que nous avons atteintes me déséquilibrent me faisant la lâcher et me permettant de nouveau de nager.
Pendant un temps difficile à dire nous nous rattrapons nous embrassons pour mieux nous rattraper et de nouveau nous embrasser quand la bouche que j’attrape est différente.
- Laurette il y a longtemps que tu es là à jouer avec nous.
- Demande à notre amie près de nous, je l’ai déjà trouvée deux fois et deux fois nous nous sommes caressées.
Nous avons l’avantage car la lune nous permet de voir où nous sommes les unes par rapport aux autres.
À ce moment j’ai de nouveaux pieds et je sens un corps les seins venant au contact de mes seins.
Une main sur ma chatte et un autre corps derrière moi, les pointes de seins caressant mon dos et une main rejoignant l’autre main en passant sous mes fesses.
De chaque côté de ma chatte des doigts innombrables me pénètrent me caresses et finissent par me faire jouir une nouvelle fois.
Aucune d’elles ne me bâillonne et une main libre vient se poser sur ma bouche pour éviter de réveiller les clients qui dorment risquant de créer une grande partouze s’ils sont tous libertin comme semble l’être Paul et Virginie.
Impossible de dire quelle heure il est quand nous nous allongeons sur trois transats que nous avons rapprochés.
- Virginie tu fais l’amour souvent avec des femmes voire des hommes alors que vous êtes jeunes mariés avec Paul ?
- Véronique, demande à Laurette ce que Paul a fait avec elle cet après-midi lors de leur promenade à cheval !
- Tu es au courant ?
- À Paris nous allons fréquemment dans un club libertin où nous rejoignons un groupe d’amis avec qui nous passons des soirées délirantes.
Il m’a dit immédiatement ce qu’il a fait à son retour comme je lui dirais ce que je viens de faire avec vous.
Je vois déjà sa réaction quand il saura qu’en refusant de venir se baigner en prétextant qu’il était fatigué il a loupé vos deux petites chattes.
Excuse-moi Véronique, Laurette je sais qu’elle est une coquine mais l’es-tu ?
- Véronique, tu sais son grand plaisir cet été c’est de se faire baiser dans l’écurie par un inconnu.
- Laurette tu me gênes.
- Et tu aimes ?
- Oui, il est revenu deux fois dans ma chambre et même de jour me prendre hier dans ma salle à manger mes seins sur la table.
- Un viol étant consentant car si tu en parle comme tu le fais tu es consentante, j’en rêve, moi les bites que je me paye je les vois arriver.
- Si nous changions de sujet, Virginie que faisais-tu avant de tenir le bar avec Paul ?
- J’étais strip-teaseuse à Pigalle…
Laurette pose une question à Louis mon petit pompier sur des sacs de super-marcher que bien sûr je n’avais pas vu.
- Plus de travail, pas encore d’aide sociale alors que je me dévoue pour les autres comme pompier depuis deux ans.
Agnès et moi avons perdu notre chez-nous et nous allons coucher à la belle étoile cette nuit, on a de la chance, il fait beau.
- Véronique, Lionel est parti et je couche dans ta chambre, si nous les installions pour qu’ils aient le temps de se retourner, j’ai changé mes draps ce matin.
- Bonne idée, installez-vous, commencés par manger et après nous irons vous montrer le logement que nous mettons à votre disposition.
Je me souviens que tu as plongé dans ma piscine pour me rapporter mon déshabillé.
- Comment Louis, as-tu pu me cacher que tu te sentais obligé de sauver des femmes dans leur piscine.
- Surtout quand elles sont à poil.
- Laurette, tais-toi, tu cherches à ce que Louis ait des ennuis ?
- Je l’ai bien vu, il te dévorait des yeux.
- Je crois que je vais aller me coucher ailleurs qu’avec ce dévergondé !
- Agnès, Laurette te fait marcher, il est vrai que ton copain m’a sortie de ma piscine dénudée.
Il avait des circonstances de le faire après les ordres qu’il avait reçus.
Son chef l’a obligé à plonger et a récupéré mon peignoir que j’avais perdu en remplissant les seaux d’eau pour éteindre mon incendie.
- J’hallucine, cette femme avec son regard qui me fixe en me parlant avait le feu au cul et tu l’as éteint avec un seau d’eau de sa piscine.
Il est hors de question que le père de mes enfants soit un pornographe.
La jeune fille semble un tantinet jalouse.
- Agnès cette femme qui te fixe est aveugle, d’où son regard fixe.
Ton copain intervenait dans le cadre de sa mission comme pompier.
La foudre avait frappé sa chapelle et le feu se propageait.
Elle est sortie de son lit et a mis un peignoir.
À cause de la chaleur, elle dormait nue et s’étant placée au début de la chaîne avant l’arrivée de ton aimé, son peignoir s'est détaché.
N’écoutant que son courage, pour venir au secours de l’amour de ma vie, il a plongé pour le récupérer et protéger la pudeur de celle qui par son accident de cheval a tout perdu.
- Laurette arrête tes grandes envolées lyriques.
Agnès va croire que je suis Cosette dans les misérables.
Tu sais tout, il a exécuté un ordre et même si je ne vous vois pas je suis sûr que vous formez un joli couple.
La jeune femme se lève au bruit fait par sa chaise et vient m’embrasser.
- Pardon.
- Mangez, les kébabs sont servis.
Ce que j’aime c’est de manger avec mes doigts, si vous saviez comme il est dur de manger proprement sans voir son assiette.
Le reste de la soirée se passe sans incident.
Agnès est une jeune femme pleine de tact avec moi.
- Venez, je vais vous faire voir votre chambre près des chambres d’hôtes.
Nous venons de quitter la voiture d’Olivier près de ma maison et le trio part vers l’ancienne maison transformée en chambre de passage dans nos vignes.
J’ai du vague à l’âme et peu enclin à entrer retrouver Olivier seul.
Je m’engage sur le chemin menant à une de nos vignes.
Je l’atteins sans encombre c’est un secteur où je vais souvent seule.
Je prends quelques grains sur plusieurs pieds que je mange.
Dans cette saison de grande chaleur fin août il va falloir revoir les vendanges huit jours plus tôt que nous avions prévu.
Ça va entraîner des difficultés avec les vendangeurs.
Je redescends vers les chambres et surtout la piscine, je pose mes affaires sur l’un des transats.
Je garde mon string et les seins nus je descends les marches manquant de glisser et entrant dans l’eau.
Sa température est divine limite trop chaude mais mon corps se sent bien à flotter.
J’aime faire la planche et d’un coup ma tête touche ce qui semble être une poitrine.
- Pardon, je suis aveugle et je suis venue me baigner dans ma piscine avant d’aller me coucher.
- Excusez, je vous ai vue arrivée dans la nuit et votre déplacement semblait naturel dans cette nuit de pleines lunes.
- L’éclairage de la piscine est éteint ?
- Oui, nous sommes dans la nuit, juste éclairés par les rayons de la lune.
- Quelle heure peut-il être ?
- Une heure.
- C’est normal la minuterie l’arrête à minuit trente.
- Vous êtes dans notre gîte ?
- Oui, nous sommes venues avec Paul mon mari, nous sommes en voyage de noces.
- C’est lui qui a fait du cheval avec Laurette ?
- Oui, il est revenu enchanté de sa promenade.
Dommage que j’aie peur de ces animaux.
- Taratata, demain nous allons vous emmener faire une balade, vous verrez vous aimerez.
- Paul doit aller visiter votre chai avec votre responsable, c’est pour cela que nous avons choisi vos chambres d’hôtes.
- Que fait-il ?
- Il est dans les vins et spiritueux à Paris, nous avons un bar à vins dans le quartier du Marais, j’étais sa serveuse et il m’a séduite.
- Partante pour le tour à cheval ?
- Si sans voir vous monter vos chevaux, il m’est impossible de refuser.
Surtout j’irais avec vous sans que mon mari ne le sache car s’il est là je risque de perdre confiance.
Il me fait souvent de petites réflexions qui risquent de me bloquer.
Nous parlons tout en nageant sur place, la jeune femme est la femme de celui qui a enculé Laurette dans sa promenade cette après-midi.
Ma main plusieurs fois touche sa poitrine qui est fort rebondie.
- Excusez, je vous touche sans le faire exprès.
- On se tutoie on est du même âge je pense, je m’appelle Virginie.
- Ok pour le tutoiement mon prénom à la même première lettre V pour Véronique.
- Bonsoir Véronique, tu peux me toucher les seins, ils ont aimé, mieux, tu peux les caresser si tu en as envie ?
Comment refuser une telle invitation ?
J’arrive à attraper l’une de ses fraises qui réagit à l’eau fraîche et à mon petit pincement.
Je sens Virginie s’approcher de moi, me pousser jusqu’à ce que nous ayons pied et sa bouche vient sur ma propre poitrine.
Moi qui me plaignais depuis mon accident, que mes rapports sexuels avaient disparu, l’inconnu, Laurette et maintenant Virginie me ramène dans le circuit des femmes fatales.
Ses lèvres trouvent mes lèvres et sa langue la mienne.
Le frisson qui parcourt mon corps est dû à l’eau fraîche au bout d’un moment étant dans l’eau.
Bien que cette langue qui caresse ma langue autant que sa main qui vient d’atterrir sur mon vagin n’y est pas étrangère.
Virginie trouve mon clitoris qui est bien quand il est baigné tout en étant pincé.
Deux de ses doigts entrent dans ma chatte ce qui m’oblige à fléchir les jambes sous leur assaut.
M’envoyer en l’air dans ma piscine sous les doigts d’une cliente, quand nous l’avons fait construire, j’étais loin de penser que lors d’un soir d’été je jouirais dans son eau.
Cliente qui réagit comme réagit Virginie quand c’est moi qui lui enfile mes doigts et que je tire carrément sur sa petite cramouille recevant sur mes lèvres son cri de jouissance.
Les marches que nous avons atteintes me déséquilibrent me faisant la lâcher et me permettant de nouveau de nager.
Pendant un temps difficile à dire nous nous rattrapons nous embrassons pour mieux nous rattraper et de nouveau nous embrasser quand la bouche que j’attrape est différente.
- Laurette il y a longtemps que tu es là à jouer avec nous.
- Demande à notre amie près de nous, je l’ai déjà trouvée deux fois et deux fois nous nous sommes caressées.
Nous avons l’avantage car la lune nous permet de voir où nous sommes les unes par rapport aux autres.
À ce moment j’ai de nouveaux pieds et je sens un corps les seins venant au contact de mes seins.
Une main sur ma chatte et un autre corps derrière moi, les pointes de seins caressant mon dos et une main rejoignant l’autre main en passant sous mes fesses.
De chaque côté de ma chatte des doigts innombrables me pénètrent me caresses et finissent par me faire jouir une nouvelle fois.
Aucune d’elles ne me bâillonne et une main libre vient se poser sur ma bouche pour éviter de réveiller les clients qui dorment risquant de créer une grande partouze s’ils sont tous libertin comme semble l’être Paul et Virginie.
Impossible de dire quelle heure il est quand nous nous allongeons sur trois transats que nous avons rapprochés.
- Virginie tu fais l’amour souvent avec des femmes voire des hommes alors que vous êtes jeunes mariés avec Paul ?
- Véronique, demande à Laurette ce que Paul a fait avec elle cet après-midi lors de leur promenade à cheval !
- Tu es au courant ?
- À Paris nous allons fréquemment dans un club libertin où nous rejoignons un groupe d’amis avec qui nous passons des soirées délirantes.
Il m’a dit immédiatement ce qu’il a fait à son retour comme je lui dirais ce que je viens de faire avec vous.
Je vois déjà sa réaction quand il saura qu’en refusant de venir se baigner en prétextant qu’il était fatigué il a loupé vos deux petites chattes.
Excuse-moi Véronique, Laurette je sais qu’elle est une coquine mais l’es-tu ?
- Véronique, tu sais son grand plaisir cet été c’est de se faire baiser dans l’écurie par un inconnu.
- Laurette tu me gênes.
- Et tu aimes ?
- Oui, il est revenu deux fois dans ma chambre et même de jour me prendre hier dans ma salle à manger mes seins sur la table.
- Un viol étant consentant car si tu en parle comme tu le fais tu es consentante, j’en rêve, moi les bites que je me paye je les vois arriver.
- Si nous changions de sujet, Virginie que faisais-tu avant de tenir le bar avec Paul ?
- J’étais strip-teaseuse à Pigalle…
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