COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Fin de la saison II (6/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Fin de la saison II (6/6)
Partie pour une croisière offerte par nos enfants je me trouve confrontée à une situation très insolite.
La croisière qu’ils nous offrent est une croisière libertine.
Mieux, ma fille Rose s’avère être la maîtresse d’Alexandre, le commandant de bord.
Mieux encore, mon fils Alain est serveur sur ce petit paquebot de croisière et semble avoir rencontré une jeune Suédoise.
Comment s’appelle-t-elle déjà, à oui, Ylva, je vais devoir me mettre ce nom dans la tête si cette belle jeune femme doit devenir la femme de sa vie.
Ces premiers moments digérés, grâce à Aliza qui a été prévu pour me chaperonner, je suis à deux doigts de faire l’amour avec Alex me draguant dans la piscine des VIP dont nous faisons partie.
Sa queue phénoménale pourrait être un avantage dans ce genre de croisière, mais je constate rapidement que ce beau mâle a un problème grave qui semble le ronger.
Sandrine a pris peur le soir de leur noce malgré le coup de foudre les ayant frappés et se retrouve dans cette croisière toujours vierge, refusant de se faire dépuceler par cette énorme verge.
J’arrive à rectifier le tir et c’est dans leur cabine ayant proprement viré un couple qui avait des vues sur l’hymen de la petite.
Je suis dans l’obligation de me fister avec sa main pour lui démontrer l’étonnant pouvoir que nos chattes ont de s’ouvrir comme une fleur et de se refermer la verge ressortie.
• Et si nous le sucions pour lui rendre sa rigidité !
• Aide-moi, j’ignore tout de ce que je dois faire pour satisfaire Alex.
Tu sais que je t’aime mon amour.
• Jennifer, tu as bien commencé, peux-tu lui faire voir, comment tu ferais avec ton mari.
Me voilà propulsée professeur de sexologie avec cette jeune femme moi qui il y a encore peu de temps à une exception près mais rapide, je jurais que je respecterais jusqu’à la fin de la vie fidélité à Gilles.
• Pour commencer, place-toi de l’autre côté d’Alex, voilà c’est bien.
Avec ta main, prend sa verge en main.
Non, carrément comme cela, avec deux doigts tu nous donnes l’impression que la bite de ton mari est sale à toucher alors qu’elle sort du chlore de la piscine !
• Comme ça Jennifer ?
• Très bien, baisse-toi et donne un petit bisou sur la petite fente que tu vois là !
C’est le méat de sa verge.
C’est bien, regarde, il commence à bander.
• Avec deux belles salopes s’occupant de moi, il faudrait être eunuque pour rester insensible.
• Toi, notre esclave, ferme là, tu es notre chose, tu es la bite qui va nous défoncer pour notre plus grand plaisir.
Je sans que je mouille à faire la professeur de sexe, je prends moi-même la bite en main, il y a de la place pour deux.
Avec ma langue, oubliant mon élève, je commence à le sucer à l’opposé de Sandrine dont j’ai les yeux dans mes yeux et qui en bonne élève suis ce que je fais.
• C’est très bien, même ses couilles tu peux les lécher, avec des hommes moins bien pourvus, tu pourrais les prendre dans ta bouche et les sucer comme des bonbons.
Tu vois notre sexe sur pied bande, tu vas pouvoir être à lui.
J’ai placé mes doigts sur la fente de la jeune vierge lui caressant son clitoris.
Sandrine a de la chance, il ressemble à une petite bite, j’en avais vu à l’écran de mon ordinateur.
• Tu es trempée Sandrine, le moment est venu de te donner à Alex et lui montrer que tu l’aimes plus que tout au monde.
Place-toi à califourchon au-dessus de la verge de ton homme.
• Tu vas m’aider !
• Bien sûr, voilà, descends lentement, c’est toi qui vas te pénétrer de sa verge.
Descends, attends, je t’ouvre pour qu’il glisse mieux en toi.
C’est parfait.
• Je sens qu’une douleur monte en moi.
• C’est normal, la verge touche ton hymen, Alex, maîtrise-toi, tout va bien se passer.
• Tu as raison Jennifer, il faut que je maîtrise ma peur, tiens, ah !
Sandrine, en bonne petite femme, vient de se crucifier sur l’hôtel du Dieu Priape.
• C’est bien les enfants, le plus dur est fait, je vous laisse, aimez-vous !
C’est très beau, on dirait Shakespeare, je récupère mon paréo que je noue à gauche, de nouveau disponible, voir Sandrine s’enfoncer la bite phénoménale d’Alex, j’avais envie de prendre sa place.
Je suis ressortie vers la piscine, je laisse de nouveau tomber mon paréo et je plonge, quelques brasses me refroidiront les sens.
Un aller et au retour, je vois le couple que j’ai viré assis sur la margelle, les pieds dans l’eau, semblant songeur.
Je me hisse à leurs côtés et je m’assieds, ils ont l’air surpris.
• Je voulais m’excuser de vous avoir fait partir de la chambre de Sandrine et d’Alex.
• Vous pouvez vous excuser, vous venez de foutre en l’air notre croisière.
• Vous exagérez, elle est encore longue, mais ce couple avait un problème qui les regarde , mais que nous avons résolu.
Vous allez bien rencontrer d’autres femmes qui seront prêtes à passer un moment avec vous.
C’est notre deuxième croisière et chaque fois nous rentrons chez nous sans avoir réussi à avoir des rapports avec qui que ce soit.
Nous devons être mal foutus, nous avions trouvé cette jeune fille et enfin, nous avions réussi à aller dans sa cabine, mais vous avez tout gâché !
• Je comprends votre problème, bien qu’il soit loin d’être insoluble, suivez-moi dans ma cabine, monsieur.
Je suis un peu plus vieille que Sandrine, mais je peux vous donner à vous et à votre épouse le plaisir que vous recherchez.
• Béatrice et Augustin, c’est comme cela que nos parents nous ont appelés à notre naissance, ça fait onze ans que nous sommes mariés.
C’était pour nos dix ans de mariage que nous avions décidé de relancer l’amour entre nous en faisant cette croisière.
• Jennifer, c’est aussi ce nom que m’ont donné mes parents à ma naissance.
Venez avec moi, allons dans ma cabine.
J’aurais pu les suivre dans la leur, mais le destin a voulu que je choisisse la nôtre.
• Entrez, mettez-vous à l’aise.
• Votre cabine est plus belle que la nôtre, nous sommes au niveau 2 où les cabines sont plus petites et avec un simple hublot pour voir la mer.
Regarde Augustin, notre amie Jennifer à un balcon surplombant la mer.
La baie étant ouverte, ils sont tous les deux appuyés au bastingage.
Le feu dans ma chatte vient de se réveiller.
Il est vrai que si Sandrine en ce moment prend son pied, j’en suis certaine, je sens que moi aussi j’ai envie d’une bite, même moins impressionnante que celle d’Alexi.
• Alors mes amis, c’est pour regarder la mer ou pour s’occuper de moi que nous sommes venus dans ma cabine !
Je me colle à Augustin tout en passant mon bras autour des seins de Béatrice.
Elle tourne la tête et avant qu’elle fasse quoi que ce soit, je l’embrasse.
Une nouvelle fois, la tête me tourne, comment moi la bonne mère de famille ai-je pu évoluer aussi vite dans la luxure ?
Augustin nous regarde, je quitte la bouche de sa femme pour sa bouche, nos langues se mélangeant.
Ma main libre part en exploration, la verge d’Augustin énormément moins impressionnante de qui vous savez est bien bandée.
• Si nous allions sur le lit, ce serait très sympa, qu’en pensez-vous.
Je les prends par la main entrant dans la cabine.
C’est à ce moment que la porte ouvre et que Gilles et Serge entrent.
• Mince, on vous dérange, nous venions chercher quelques billets, notre veine de cocu semblerait nous avoir quittés.
• C’est parce que vous avez joué trop tôt, à cinq minutes tes cornes auraient poussé.
Je vous présente, Béatrice et Augustins.
Mes amis, voici Serge notre voisin de cabine et Gilles mon mari.
Êtes-vous en force, Béatrice rêve d’être baiser comme une salope et Augustin rêve de la voir se faire baiser en double péné !
À vous de jouer, nous vous laissons le lit, Augustin nous allons prendre le fauteuil.
Aussitôt dit aussitôt fait, mes hommes comprennent l’urgence de la situation.
Ils asseyent Béatrice sur le lit et lui présentent leur verge, la gourmande saute sur les morceaux les avalant jusqu’aux couilles.
Je me laisse tomber dans le fauteuil le plus proche, moi aussi je veux faire voir que je peux être une salope, je pose mes jambes sur les avant-bras m’ouvrant comme une huître.
Augustin comprenant mon invitation se laisse tomber sa bouche et sa langue venant s’occuper de mon clito et de ma chatte en fusion.
Dix minutes de ce traitement et j’ai une première décharge qui me traverse.
Là encore, si l’on m’avait dit que pendant cette croisière je jouerais les mères Teresa, j’aurais crié au fou ou aux folles.
La comparaison avec mère Teresa est certainement exagérée, on sait pourquoi les sœurs portent une alliance comme moi j’en porte une.
D’un côté, ayant un peu perdu la notion du temps, Béatrice est empalée sur Gilles alors que Serge l’encule.
Je me lève et me mets à quatre pattes, en levrette donc Augustin me perforant.
Rapidement les cris des deux salopes dont je parlais tout à l’heure emplissent notre cabine.
Il faut bien que la croisière surprise soit remplacée par la croisière s’amuse...
Nous allons laisser nos libertins passer un bon moment entre eux, nul doute que nous les retrouverons dans la saison III de notre « croisière surprise. »Alain et Ylva ont certainement des surprises à avouer à notre bonne amie Jennifer.
La croisière qu’ils nous offrent est une croisière libertine.
Mieux, ma fille Rose s’avère être la maîtresse d’Alexandre, le commandant de bord.
Mieux encore, mon fils Alain est serveur sur ce petit paquebot de croisière et semble avoir rencontré une jeune Suédoise.
Comment s’appelle-t-elle déjà, à oui, Ylva, je vais devoir me mettre ce nom dans la tête si cette belle jeune femme doit devenir la femme de sa vie.
Ces premiers moments digérés, grâce à Aliza qui a été prévu pour me chaperonner, je suis à deux doigts de faire l’amour avec Alex me draguant dans la piscine des VIP dont nous faisons partie.
Sa queue phénoménale pourrait être un avantage dans ce genre de croisière, mais je constate rapidement que ce beau mâle a un problème grave qui semble le ronger.
Sandrine a pris peur le soir de leur noce malgré le coup de foudre les ayant frappés et se retrouve dans cette croisière toujours vierge, refusant de se faire dépuceler par cette énorme verge.
J’arrive à rectifier le tir et c’est dans leur cabine ayant proprement viré un couple qui avait des vues sur l’hymen de la petite.
Je suis dans l’obligation de me fister avec sa main pour lui démontrer l’étonnant pouvoir que nos chattes ont de s’ouvrir comme une fleur et de se refermer la verge ressortie.
• Et si nous le sucions pour lui rendre sa rigidité !
• Aide-moi, j’ignore tout de ce que je dois faire pour satisfaire Alex.
Tu sais que je t’aime mon amour.
• Jennifer, tu as bien commencé, peux-tu lui faire voir, comment tu ferais avec ton mari.
Me voilà propulsée professeur de sexologie avec cette jeune femme moi qui il y a encore peu de temps à une exception près mais rapide, je jurais que je respecterais jusqu’à la fin de la vie fidélité à Gilles.
• Pour commencer, place-toi de l’autre côté d’Alex, voilà c’est bien.
Avec ta main, prend sa verge en main.
Non, carrément comme cela, avec deux doigts tu nous donnes l’impression que la bite de ton mari est sale à toucher alors qu’elle sort du chlore de la piscine !
• Comme ça Jennifer ?
• Très bien, baisse-toi et donne un petit bisou sur la petite fente que tu vois là !
C’est le méat de sa verge.
C’est bien, regarde, il commence à bander.
• Avec deux belles salopes s’occupant de moi, il faudrait être eunuque pour rester insensible.
• Toi, notre esclave, ferme là, tu es notre chose, tu es la bite qui va nous défoncer pour notre plus grand plaisir.
Je sans que je mouille à faire la professeur de sexe, je prends moi-même la bite en main, il y a de la place pour deux.
Avec ma langue, oubliant mon élève, je commence à le sucer à l’opposé de Sandrine dont j’ai les yeux dans mes yeux et qui en bonne élève suis ce que je fais.
• C’est très bien, même ses couilles tu peux les lécher, avec des hommes moins bien pourvus, tu pourrais les prendre dans ta bouche et les sucer comme des bonbons.
Tu vois notre sexe sur pied bande, tu vas pouvoir être à lui.
J’ai placé mes doigts sur la fente de la jeune vierge lui caressant son clitoris.
Sandrine a de la chance, il ressemble à une petite bite, j’en avais vu à l’écran de mon ordinateur.
• Tu es trempée Sandrine, le moment est venu de te donner à Alex et lui montrer que tu l’aimes plus que tout au monde.
Place-toi à califourchon au-dessus de la verge de ton homme.
• Tu vas m’aider !
• Bien sûr, voilà, descends lentement, c’est toi qui vas te pénétrer de sa verge.
Descends, attends, je t’ouvre pour qu’il glisse mieux en toi.
C’est parfait.
• Je sens qu’une douleur monte en moi.
• C’est normal, la verge touche ton hymen, Alex, maîtrise-toi, tout va bien se passer.
• Tu as raison Jennifer, il faut que je maîtrise ma peur, tiens, ah !
Sandrine, en bonne petite femme, vient de se crucifier sur l’hôtel du Dieu Priape.
• C’est bien les enfants, le plus dur est fait, je vous laisse, aimez-vous !
C’est très beau, on dirait Shakespeare, je récupère mon paréo que je noue à gauche, de nouveau disponible, voir Sandrine s’enfoncer la bite phénoménale d’Alex, j’avais envie de prendre sa place.
Je suis ressortie vers la piscine, je laisse de nouveau tomber mon paréo et je plonge, quelques brasses me refroidiront les sens.
Un aller et au retour, je vois le couple que j’ai viré assis sur la margelle, les pieds dans l’eau, semblant songeur.
Je me hisse à leurs côtés et je m’assieds, ils ont l’air surpris.
• Je voulais m’excuser de vous avoir fait partir de la chambre de Sandrine et d’Alex.
• Vous pouvez vous excuser, vous venez de foutre en l’air notre croisière.
• Vous exagérez, elle est encore longue, mais ce couple avait un problème qui les regarde , mais que nous avons résolu.
Vous allez bien rencontrer d’autres femmes qui seront prêtes à passer un moment avec vous.
C’est notre deuxième croisière et chaque fois nous rentrons chez nous sans avoir réussi à avoir des rapports avec qui que ce soit.
Nous devons être mal foutus, nous avions trouvé cette jeune fille et enfin, nous avions réussi à aller dans sa cabine, mais vous avez tout gâché !
• Je comprends votre problème, bien qu’il soit loin d’être insoluble, suivez-moi dans ma cabine, monsieur.
Je suis un peu plus vieille que Sandrine, mais je peux vous donner à vous et à votre épouse le plaisir que vous recherchez.
• Béatrice et Augustin, c’est comme cela que nos parents nous ont appelés à notre naissance, ça fait onze ans que nous sommes mariés.
C’était pour nos dix ans de mariage que nous avions décidé de relancer l’amour entre nous en faisant cette croisière.
• Jennifer, c’est aussi ce nom que m’ont donné mes parents à ma naissance.
Venez avec moi, allons dans ma cabine.
J’aurais pu les suivre dans la leur, mais le destin a voulu que je choisisse la nôtre.
• Entrez, mettez-vous à l’aise.
• Votre cabine est plus belle que la nôtre, nous sommes au niveau 2 où les cabines sont plus petites et avec un simple hublot pour voir la mer.
Regarde Augustin, notre amie Jennifer à un balcon surplombant la mer.
La baie étant ouverte, ils sont tous les deux appuyés au bastingage.
Le feu dans ma chatte vient de se réveiller.
Il est vrai que si Sandrine en ce moment prend son pied, j’en suis certaine, je sens que moi aussi j’ai envie d’une bite, même moins impressionnante que celle d’Alexi.
• Alors mes amis, c’est pour regarder la mer ou pour s’occuper de moi que nous sommes venus dans ma cabine !
Je me colle à Augustin tout en passant mon bras autour des seins de Béatrice.
Elle tourne la tête et avant qu’elle fasse quoi que ce soit, je l’embrasse.
Une nouvelle fois, la tête me tourne, comment moi la bonne mère de famille ai-je pu évoluer aussi vite dans la luxure ?
Augustin nous regarde, je quitte la bouche de sa femme pour sa bouche, nos langues se mélangeant.
Ma main libre part en exploration, la verge d’Augustin énormément moins impressionnante de qui vous savez est bien bandée.
• Si nous allions sur le lit, ce serait très sympa, qu’en pensez-vous.
Je les prends par la main entrant dans la cabine.
C’est à ce moment que la porte ouvre et que Gilles et Serge entrent.
• Mince, on vous dérange, nous venions chercher quelques billets, notre veine de cocu semblerait nous avoir quittés.
• C’est parce que vous avez joué trop tôt, à cinq minutes tes cornes auraient poussé.
Je vous présente, Béatrice et Augustins.
Mes amis, voici Serge notre voisin de cabine et Gilles mon mari.
Êtes-vous en force, Béatrice rêve d’être baiser comme une salope et Augustin rêve de la voir se faire baiser en double péné !
À vous de jouer, nous vous laissons le lit, Augustin nous allons prendre le fauteuil.
Aussitôt dit aussitôt fait, mes hommes comprennent l’urgence de la situation.
Ils asseyent Béatrice sur le lit et lui présentent leur verge, la gourmande saute sur les morceaux les avalant jusqu’aux couilles.
Je me laisse tomber dans le fauteuil le plus proche, moi aussi je veux faire voir que je peux être une salope, je pose mes jambes sur les avant-bras m’ouvrant comme une huître.
Augustin comprenant mon invitation se laisse tomber sa bouche et sa langue venant s’occuper de mon clito et de ma chatte en fusion.
Dix minutes de ce traitement et j’ai une première décharge qui me traverse.
Là encore, si l’on m’avait dit que pendant cette croisière je jouerais les mères Teresa, j’aurais crié au fou ou aux folles.
La comparaison avec mère Teresa est certainement exagérée, on sait pourquoi les sœurs portent une alliance comme moi j’en porte une.
D’un côté, ayant un peu perdu la notion du temps, Béatrice est empalée sur Gilles alors que Serge l’encule.
Je me lève et me mets à quatre pattes, en levrette donc Augustin me perforant.
Rapidement les cris des deux salopes dont je parlais tout à l’heure emplissent notre cabine.
Il faut bien que la croisière surprise soit remplacée par la croisière s’amuse...
Nous allons laisser nos libertins passer un bon moment entre eux, nul doute que nous les retrouverons dans la saison III de notre « croisière surprise. »Alain et Ylva ont certainement des surprises à avouer à notre bonne amie Jennifer.
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