COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Fin de la saison III (9/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Fin de la saison III (9/9)
J’aurai tout fait sur ce bateau.
C’est ce que je pense en quittant notre cabine, pour descendre d’un pont.
Je viens de laisser Kessy se faire dépuceler par mon mari, aurais-je accepté qu’il déflore cette jeune anglaise au départ de cette croisière sans apprendre qu’il a souhaité avec mes enfants que je devienne libertine ?
La réponse est certainement non, mais la roue du temps a tourné et c’est une autre qui frappe cabine 22.
Comme je l’ai dit, le bateau est stable, j’ai travaillé dans un bar lorsque j’étais jeune, porter un plateau avec quatre verres, c’est comme le vélo, tu sais un jour, tu sais toujours.
La porte s’ouvre, la Japonaise que j’ai vue caresser mon fils en salle de restaurant au début de notre croisière est devant moi.
Je vais pour me retirer, mais je m’entends être interpellé.
• Jennifer entre, que fais-tu là, nous voulions te voir avec Alain, mais nous avons constamment été pris.
Cette voix que j’entends pour la première fois, a un accent que je découvre en même temps que Ylva, la jeune Suédoise, fiancé de mon fils.
Ylva suce un Japonais de mon âge alors que l’une des autres Japonaise présente à la table du restaurant lui broute le minet.
• Je reviendrai, j’amenais cette bouteille qui avait été commandée.
• Si c’est celle que Kessy devait apporter, tu te trompes, c’est dans la cabine 23 qu’elle devait l’amener !
Mince, erreur de numéro de ma part, j’avais retenu cabine 22, à oui, le 2 c’était pour le pont.
• À oui, je me suis trompée, pardon, j’y vais !
• Reste Jennifer, si tu frappes, tu trouveras certainement Alain en train de satisfaire une Australienne et son mari.
Lorsque j’ai envoyé Kessy pour son premier service, Rose ta fille m’a demandé de la mettre au parfum en douceur, ce couple est facile à satisfaire.
Kessy a dû se sauver en courant et c’est Alain qui a assumé le remplacement.
Nous étions ensemble lorsque j’ai servi le thé à mes clients japonais.
Je vois que tu plais à Yo !
En effet, l’homme du couple qui devait être avec la jeune femme m’ayant ouvert, commence à me tourner autour.
La conversation se poursuit en Anglais avec la jeune femme qui vient d’ouvrir.
• Excusez mon mari, il est âgé, mais c’est un chien fou, vous lui plaisez et comme vous avec un paréo saumon noué à gauche.
Même pour le personnel de cabine, les codes sont les mêmes pour nous les femmes, il te veut, tu dois le satisfaire.
Les codes, heureusement que contrairement à Aliza qui ne baise qu’en présence de son mari, nous sommes moins stricts dans nos nouveaux rapports, j’entre fermant la porte.
Il est vieux, mais il a du charme avec sa petite moustache et ses lunettes rondes, une vraie caricature de Nippon comme on en voit au cinéma.
Ce que je remarque, c’est sa petite verge, vais-je prendre du plaisir à me faire baiser par cette demi-portion d’homme comparé à Gilles.
Gilles qui doit déjà avoir dépucelé Kessy, il est bien dommage que j’ai loupé ce passage.
Mais jouer dans Nimitz ou des kamikazes plongeait avec leurs avions sur les bateaux américains, alors que sur le porte-avion d’où ils avaient décollé et ou les commandants lui ressemblaient, me font craquer.
Je pose la bouteille et je me laisse faire.
J’allais dire séduire, mot trop fort, car je suis ce que l’on appelle une libertine depuis que, j’ai cédé à Aliza dans la manœuvre que tous ont entreprise.
J’ai un seul petit souci quand mon paréo est dénoué, je me retrouve avec cette petite bite dans ma bouche.
Baiser devant ma future bru, que nenni, il y a cinq minutes que je la connais et nous manquons de complicité.
Ce qui me gêne, c’est de savoir qu’Alain mon fils, joue dans la cabine voisine à la bête à deux dos avec cette Australienne dont Ylva vient de me parler.
L’homme du soleil levant qui la pilonne est à la place de celui qui devrait y être, mais j’efface cette image trop vieux jeu après ce que je viens de vivre.
Je sens des seins dans mon dos.
L’homme me fait me relever et me conduit sur la couchette où Ylva commence à prendre du plaisir.
Au moins, Alain a dans son lit lorsqu’ils se retrouvent une jeune Suédoise loin d’être frigide.
Belle et belle salope, sur le dos, les jambes pendantes au sol, c’est la jeune femme qui vient dans la fourche.
• Yoko......
Seulement Yoko, le reste en japonais me passe par-dessus la tête.
Elle me regarde avec ses très jolis yeux bridés et me parle en anglais.
• Mon mari aime que je m’occupe d’une autre femme, il m’a demandée de vous lécher, pendant qu’il va me prendre, c’est toujours comme cela avec lui.
Pourquoi faire de longues phrases, je lui appuie sur la tête mouillant déjà abondamment ?
Pour mieux voir cette jeune femme se faire enfiler alors que, sa langue trouve mon clito hypersensible depuis le début de la croisière, voire ce petit sexe aller et venir à une vitesse folle, me fait envie.
C’est à ce moment que ma vue se trouble à deux niveaux.
Le premier lorsque la langue qui me fouille me fait partir vers les sommets de mon plaisir.
Le deuxième, c’est quand je vois la verge de ce petit homme sortir du fourreau marital et exploser en gerbes de sperme.
La première est si puissante qu’elle atterrit sur ma figure.
C’est à partir certainement de quatre que je commence à compter.
Cinq, six puis sept, enfin un dernier petit jet le huitième.
Comment un tel petit corps peut-il avoir autant de réserve pour satisfaire une femme ?
A-t-il voulu m’impressionner, mais la jeune Nipponne exulte, elle aussi de plaisir.
Son vieux mari vient de remplacer sa bite par son point la défonçant littéralement.
Une nouvelle fois au moment où nous quittons leur cabine, la croisière vient de me réserver de nouvelles surprises.
• Maman, tu as retrouvé Ylva, mais pourquoi as-tu un paréo saumon, à quel jeu jouez-vous.
Mon fils que je vois de prêt depuis le début de la croisière.
J’ai eu le temps de voir la tête de l’Australienne, mon fils semble avoir sauté une centenaire !
Mais au moins une septuagénaire, il y en a quelqu’une à bord, j’en ai croisé à la piscine ou aux machines à sous.
• Je vous laisse, je vais rejoindre votre père, Ylva t’expliquera.
Je les quitte sans plus d’explication, je voyais la bite de mon fil au travers de son paréo et cette vision m’était insoutenable.
Aurais-je eu la même réaction avec Ylva lorsqu’elle m’a interpellée dans la cabine, si je l’avais connu depuis plus longtemps, sachant que c’était la meuf de mon fils comme disent les jeunes ?
Je remonte jusqu’à notre pont, et je rejoins notre cabine.
Si ça faisait la fête chez les bridés, il en va de même chez nous.
Aliza, Béatrice, Sandrine et bien sûr Kessy sont là.
Les mâles aussi, Gilles, Serge, Alex avec sa grosse verge, bien plus grosse que celle que je viens de voir décharger comme pourrait le faire une mitraillette.
Bien sûr, Béatrice est là et Augustin aussi, bref toute la petite bande que nous avons constituée depuis le début est là.
• Jennifer, Gilles nous a dit pour ton remplacement de la petite qu’il a prise sous son aile.
Dommage que nous t’ayons attendu au spectacle, ou tu devais nous rejoindre.
Tu as bien fait de changer tes plans, tu aurais modérément apprécié les acteurs que nous avons vus dans cette pièce érotique.
• Ils étaient mauvais.
• Non, amateurs, c’était une parodie du petit chaperon rouge.
Les acteurs avaient des masques, mais nous avons bien reconnu, car nous la connaissons bien, Rose en petit chaperon rouge.
• Alexandre, le commandant en grand méchant loup.
• Tu nous as cachés ça, y étais-tu sans que l’on te voit ?
• Non, mais si Rose faisait partie de la pièce, objectivement son futur en faisait partie !
Et la grand-mère ?
• Après avoir baisé le petit chaperon rouge dans un décor de forêt, une maison a été le tableau suivant, la grand-mère entrait et sortait de la chambre où le loup était attaché au lit.
Entre Rose qui le suçait et la grand-mère, le loup a fini par avoir la langue pendante, mort de plaisir.
Les acteurs sont venus saluer, c’est à ce moment que nous avons vu que les grand-mères étaient cinq à se relayer, parmi l’une d’elles, Alice la jeune femme qui aide ta fille pour les VIP.
• Elle a ôté son masque !
• Non, disons que j’ai eu l’occasion de connaitre le grain de beauté sous son sein droit.
• Inutile de te demander où tu l’as rencontré, Aliza, je te fais confiance.
Et toi Kessy, comment c’est passé ton dépucelage avec Gilles ?
Je vois la jeune anglaise se troubler.
● Je croyais que j’étais vierge !
Être vierge ou non comme le disait Shakespeare, « être ou ne pas être, telle est la question ? »
La saison III est arrivée à son terme, que cache Kessy, nous l’apprendrons dans la saison IV de « la croisière qui m’a déjà apporté tant de surprises ?
C’est ce que je pense en quittant notre cabine, pour descendre d’un pont.
Je viens de laisser Kessy se faire dépuceler par mon mari, aurais-je accepté qu’il déflore cette jeune anglaise au départ de cette croisière sans apprendre qu’il a souhaité avec mes enfants que je devienne libertine ?
La réponse est certainement non, mais la roue du temps a tourné et c’est une autre qui frappe cabine 22.
Comme je l’ai dit, le bateau est stable, j’ai travaillé dans un bar lorsque j’étais jeune, porter un plateau avec quatre verres, c’est comme le vélo, tu sais un jour, tu sais toujours.
La porte s’ouvre, la Japonaise que j’ai vue caresser mon fils en salle de restaurant au début de notre croisière est devant moi.
Je vais pour me retirer, mais je m’entends être interpellé.
• Jennifer entre, que fais-tu là, nous voulions te voir avec Alain, mais nous avons constamment été pris.
Cette voix que j’entends pour la première fois, a un accent que je découvre en même temps que Ylva, la jeune Suédoise, fiancé de mon fils.
Ylva suce un Japonais de mon âge alors que l’une des autres Japonaise présente à la table du restaurant lui broute le minet.
• Je reviendrai, j’amenais cette bouteille qui avait été commandée.
• Si c’est celle que Kessy devait apporter, tu te trompes, c’est dans la cabine 23 qu’elle devait l’amener !
Mince, erreur de numéro de ma part, j’avais retenu cabine 22, à oui, le 2 c’était pour le pont.
• À oui, je me suis trompée, pardon, j’y vais !
• Reste Jennifer, si tu frappes, tu trouveras certainement Alain en train de satisfaire une Australienne et son mari.
Lorsque j’ai envoyé Kessy pour son premier service, Rose ta fille m’a demandé de la mettre au parfum en douceur, ce couple est facile à satisfaire.
Kessy a dû se sauver en courant et c’est Alain qui a assumé le remplacement.
Nous étions ensemble lorsque j’ai servi le thé à mes clients japonais.
Je vois que tu plais à Yo !
En effet, l’homme du couple qui devait être avec la jeune femme m’ayant ouvert, commence à me tourner autour.
La conversation se poursuit en Anglais avec la jeune femme qui vient d’ouvrir.
• Excusez mon mari, il est âgé, mais c’est un chien fou, vous lui plaisez et comme vous avec un paréo saumon noué à gauche.
Même pour le personnel de cabine, les codes sont les mêmes pour nous les femmes, il te veut, tu dois le satisfaire.
Les codes, heureusement que contrairement à Aliza qui ne baise qu’en présence de son mari, nous sommes moins stricts dans nos nouveaux rapports, j’entre fermant la porte.
Il est vieux, mais il a du charme avec sa petite moustache et ses lunettes rondes, une vraie caricature de Nippon comme on en voit au cinéma.
Ce que je remarque, c’est sa petite verge, vais-je prendre du plaisir à me faire baiser par cette demi-portion d’homme comparé à Gilles.
Gilles qui doit déjà avoir dépucelé Kessy, il est bien dommage que j’ai loupé ce passage.
Mais jouer dans Nimitz ou des kamikazes plongeait avec leurs avions sur les bateaux américains, alors que sur le porte-avion d’où ils avaient décollé et ou les commandants lui ressemblaient, me font craquer.
Je pose la bouteille et je me laisse faire.
J’allais dire séduire, mot trop fort, car je suis ce que l’on appelle une libertine depuis que, j’ai cédé à Aliza dans la manœuvre que tous ont entreprise.
J’ai un seul petit souci quand mon paréo est dénoué, je me retrouve avec cette petite bite dans ma bouche.
Baiser devant ma future bru, que nenni, il y a cinq minutes que je la connais et nous manquons de complicité.
Ce qui me gêne, c’est de savoir qu’Alain mon fils, joue dans la cabine voisine à la bête à deux dos avec cette Australienne dont Ylva vient de me parler.
L’homme du soleil levant qui la pilonne est à la place de celui qui devrait y être, mais j’efface cette image trop vieux jeu après ce que je viens de vivre.
Je sens des seins dans mon dos.
L’homme me fait me relever et me conduit sur la couchette où Ylva commence à prendre du plaisir.
Au moins, Alain a dans son lit lorsqu’ils se retrouvent une jeune Suédoise loin d’être frigide.
Belle et belle salope, sur le dos, les jambes pendantes au sol, c’est la jeune femme qui vient dans la fourche.
• Yoko......
Seulement Yoko, le reste en japonais me passe par-dessus la tête.
Elle me regarde avec ses très jolis yeux bridés et me parle en anglais.
• Mon mari aime que je m’occupe d’une autre femme, il m’a demandée de vous lécher, pendant qu’il va me prendre, c’est toujours comme cela avec lui.
Pourquoi faire de longues phrases, je lui appuie sur la tête mouillant déjà abondamment ?
Pour mieux voir cette jeune femme se faire enfiler alors que, sa langue trouve mon clito hypersensible depuis le début de la croisière, voire ce petit sexe aller et venir à une vitesse folle, me fait envie.
C’est à ce moment que ma vue se trouble à deux niveaux.
Le premier lorsque la langue qui me fouille me fait partir vers les sommets de mon plaisir.
Le deuxième, c’est quand je vois la verge de ce petit homme sortir du fourreau marital et exploser en gerbes de sperme.
La première est si puissante qu’elle atterrit sur ma figure.
C’est à partir certainement de quatre que je commence à compter.
Cinq, six puis sept, enfin un dernier petit jet le huitième.
Comment un tel petit corps peut-il avoir autant de réserve pour satisfaire une femme ?
A-t-il voulu m’impressionner, mais la jeune Nipponne exulte, elle aussi de plaisir.
Son vieux mari vient de remplacer sa bite par son point la défonçant littéralement.
Une nouvelle fois au moment où nous quittons leur cabine, la croisière vient de me réserver de nouvelles surprises.
• Maman, tu as retrouvé Ylva, mais pourquoi as-tu un paréo saumon, à quel jeu jouez-vous.
Mon fils que je vois de prêt depuis le début de la croisière.
J’ai eu le temps de voir la tête de l’Australienne, mon fils semble avoir sauté une centenaire !
Mais au moins une septuagénaire, il y en a quelqu’une à bord, j’en ai croisé à la piscine ou aux machines à sous.
• Je vous laisse, je vais rejoindre votre père, Ylva t’expliquera.
Je les quitte sans plus d’explication, je voyais la bite de mon fil au travers de son paréo et cette vision m’était insoutenable.
Aurais-je eu la même réaction avec Ylva lorsqu’elle m’a interpellée dans la cabine, si je l’avais connu depuis plus longtemps, sachant que c’était la meuf de mon fils comme disent les jeunes ?
Je remonte jusqu’à notre pont, et je rejoins notre cabine.
Si ça faisait la fête chez les bridés, il en va de même chez nous.
Aliza, Béatrice, Sandrine et bien sûr Kessy sont là.
Les mâles aussi, Gilles, Serge, Alex avec sa grosse verge, bien plus grosse que celle que je viens de voir décharger comme pourrait le faire une mitraillette.
Bien sûr, Béatrice est là et Augustin aussi, bref toute la petite bande que nous avons constituée depuis le début est là.
• Jennifer, Gilles nous a dit pour ton remplacement de la petite qu’il a prise sous son aile.
Dommage que nous t’ayons attendu au spectacle, ou tu devais nous rejoindre.
Tu as bien fait de changer tes plans, tu aurais modérément apprécié les acteurs que nous avons vus dans cette pièce érotique.
• Ils étaient mauvais.
• Non, amateurs, c’était une parodie du petit chaperon rouge.
Les acteurs avaient des masques, mais nous avons bien reconnu, car nous la connaissons bien, Rose en petit chaperon rouge.
• Alexandre, le commandant en grand méchant loup.
• Tu nous as cachés ça, y étais-tu sans que l’on te voit ?
• Non, mais si Rose faisait partie de la pièce, objectivement son futur en faisait partie !
Et la grand-mère ?
• Après avoir baisé le petit chaperon rouge dans un décor de forêt, une maison a été le tableau suivant, la grand-mère entrait et sortait de la chambre où le loup était attaché au lit.
Entre Rose qui le suçait et la grand-mère, le loup a fini par avoir la langue pendante, mort de plaisir.
Les acteurs sont venus saluer, c’est à ce moment que nous avons vu que les grand-mères étaient cinq à se relayer, parmi l’une d’elles, Alice la jeune femme qui aide ta fille pour les VIP.
• Elle a ôté son masque !
• Non, disons que j’ai eu l’occasion de connaitre le grain de beauté sous son sein droit.
• Inutile de te demander où tu l’as rencontré, Aliza, je te fais confiance.
Et toi Kessy, comment c’est passé ton dépucelage avec Gilles ?
Je vois la jeune anglaise se troubler.
● Je croyais que j’étais vierge !
Être vierge ou non comme le disait Shakespeare, « être ou ne pas être, telle est la question ? »
La saison III est arrivée à son terme, que cache Kessy, nous l’apprendrons dans la saison IV de « la croisière qui m’a déjà apporté tant de surprises ?
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