COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Fin de la saison IV (12/12)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Fin de la saison IV (12/12) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Fin de la saison IV (12/12)
Je viens de franchir ce que certains diraient l’irréparable.
Non, c’est trop fort, je dirais plutôt l’impensable.
Je viens de me faire pénétrer par la grosse verge de Pierre, prêtre de son état.
Je savais que c’était un ecclésiastique, car lorsque nous l’avons rencontré avec Yoko la petite Japonaise à l’intérieur de la basilique de Rome où réside le pape François, son col blanc nous l’avait montré.
Ce sont des moines en procession qui m’ont séparé de Gilles mon mari et de Rose, ma fille.
C’est un peu de ma faute, car les voyant défiler en rangs par deux devant moi, je me suis mise à rêver que sous leur robe de bure, ils avaient la queue à l’air.
Une véritable obsédée depuis que mes enfants nous ont offerts cette croisière faisant de moi une libertine à 40 ans et 20 ans de mariage.
Pourtant, j’avais moi-même mis ma petite culotte rose alors que je me suis longtemps posé la question s’il serait décent de déambuler dans le Vatican la chatte à l’air.
Ma petite culotte, je l’ai ôtée, elle repose près de moi sur le lit de Pierre qui me démonte la chatte.
Un de plus, pour mon plus grand plaisir depuis le départ de Venise.
Yoko semble piaffer d'impatience de prendre ma place, elle s’est dénudée et montant sur le lit, me présente sa vulve dégoulinante de cyprine.
J’y fourre ma langue, pendant que Pierre me donne de grands coups avec sa bite.
La situation semble ubuesque se faire baiser par un curé, permettant à Aliza d’avoir eu raison lorsqu’elle a insinué que j’allais me faire des ecclésiastiques en descendant la passerelle.
Ma langue est vite accompagnée de la main de Pierre qui glisse sa main dans sa fente.
Une langue, trois doigts, la petite se met à chanter comme moi je le fais aussi.
Je sens l’orgasme monter et c’est moi qui l’accélère en me caressant le clito en feu trop de foi depuis que le bateau a largué les amarres.
Il m’arrive de me caresser le clito dans notre lit chez nous pour accélérer mon plaisir, mais c’est lorsque Gilles a envie de moi et que, pour ma part, j'ai plutôt besoin de sommeil.
Depuis 20 ans, ma chatte a toujours été à sa disposition lorsqu’il veut de moi.
Comme on dit, mes 20 ans sont loin et je m’écroule traversée par des ondes de plaisirs.
Yoko profite de la place libre pour, à son tour, se laisser tomber face à Pierre qui lui semble savoir résister à son plaisir.
Il est impossible que ce garçon ait des pratiques sexuelles seulement faites d’onanisme, la pratique de petite chatte baveuse semble trop évidente.
Aurait-il aussi une gouvernante chez lui en Bretagne qu’il a quitté pour quelques mois ?
C’est à ce moment que la musique du portable de Yoko se met en marche dans son sac à main, par chance je peux l’attraper sans me lever.
Son sac est posé au sol près de ses affaires lorsqu’elle s’est dénudée.
Je l’attrape, pour lui passer, j’ai le temps de voir « Hiro » comme le début de l’ancien empereur du Japon.
Hiro chez eux, semble être Jean, Michel ou Pierre en France.
Comment retranscrire ce qu’elle dit certainement à son vieux mari, sa conversation est en Anglais ?
Ce que je vois, est extraordinaire, elle accélère de plus en plus lâchant des flots de paroles incompréhensives jusqu’à exploser inondant le lit et la queue de Pierre en geyser de cyprine.
Elle finit par s'écrouler sur le corps de Pierre, j’ai eu le temps de voir qu’elle appuyait sur le bouton arrêt mettant fin à la conversation.
Je suis folle, Pierre a la bite tendue ayant gardé toutes ses réserves.
C’est en léchant la cyprine évacuée en abondance et en le faisant entrer dans ma bouche, que je l’achève dans une bonne fellation jusqu’à avaler son sperme.
Nous finissons par reprendre pied sur terre.

• C’était Hirohito mon mari, il s’inquiétait, lorsque je lui ai dit ce que je faisais.
Il a voulu m’accompagner jusqu’à ma jouissance.
Si je vous traduisais ce qu’il me disait, car c’était la première fois que je le trompais depuis qu’il m’a épousé vierge, vous seriez choqué.
Ça nous a permis de nous éclater en nous promettant tout l’amour du monde éternellement.
• Lui as-tu demandé où ils étaient.
• Tu rigoles Jennifer, seul notre plaisir comptait, Pierre aurait été obligé de me confesser, mais comme j’ai baisé avec lui en entendant mon mari, il m’a dit que je respectais notre pacte d’amour même à distance.

Autre pays, autres mœurs, je me verrais mal me faire défoncer par un de mes amants mon téléphone à l’oreille en commentant nos actions.
Merde, Pierre recommence à bander, j’ai de nouveau de l’envie, je suis devenue une fifée salope.
C’est à ce moment que dans la poche de ma veste, c’est mon portable qui sonne.
Yoko, l’attrape, c’est Alexandre, le commandant de notre bateau et ami de ma fille qui m’appelle.
Je décroche.

• Alexandre, belle-maman, Anne m’a appelée, Gilles beau-papa s’inquiète de votre disparition.
Anne a fait une fausse manœuvre et a effacé votre numéro et Gilles, lui, a oublié son portable dans votre portable, c’est pour cela que c’est moi qui vous appelle.
• Ah !...

Je viens de laisser échapper un son de plaisir, sous une poussée de mon amant curé.

• Belle-maman, je vois que la croisière se poursuit à l’extérieur du bateau.
• Je vous laisse, excusez de vous avoir dérangé.
• Ah ! Ah !...
Oui, Alexandre tout va bien, je vais, ah ! essayer de les rejoindre aux arènes de Rome.

Je raccroche, inutile d’insister, il m’est impossible de parler, autant se concentrer sur l’homme que Yoko a fait basculer en se glissant sous la table où nous sommes venues.
Je finis par partir dans un autre monde, lorsqu’un nouvel orgasme me traverse.

Yoko semble avoir retrouvé ses esprits, ce bon moment de sexe a dû lui être utile.
Elle croise ses mains devant sa figure et fait cette déclaration à notre amant.

• Je m’excuse de vous avoir provoqué et de vous avoir entraîné dans mes débauches, c’est l’alcool qui en est la cause.
• Ma sœur pour ta pénitence, tu me diras deux Ave et trois Pater.
• Trois Pater et deux Ave ?
• C’est vrai Yoko, tu ignores nos pratiques dans notre religion.
Dans la basilique où si tu es entrée dans une autre église, tu as vu ce que l’on appelle des confessionnaux.
Le prêtre se met au milieu et écoute les confessions de ses fidèles, suivant la gravité de ces fautes, il leur inflige des pénitences comme des Pater et des Ave.
• Alors, j’en prends deux de chaque de plus !

Pierre après notre moment de plaisir s’est redressé calé dans ses oreillers.
Toujours aussi féline et surprenante, Yoko se redresse sur le lit, et avance sa chatte vers la bouche de notre curé.
J’ai le temps de voir sa langue la pénétrer avant qu’il lui empoigne fortement les fesses pour la plaquer plus fortement vers lui.
Mon amie semble aimer augmenter sa pénitence, car rapidement elle se tortille bien maintenue par Pierre.
Je me penche et moi aussi je reprends quelques prières supplémentaires en lui suçant la queue.
Quel homme ou quelle réserve accumulée en lui, il rebande de nouveau.
Mais moi, j’ai mon compte et l’heure avance, je veux retrouver mes amis.
Je tire Yoko à moi la faisant chuter.
Elle sens la queue tendue et avec mon aide s’empale à son tour.
Pendant que Pierre l’achève, je vais dans la salle de bain pour prendre une douche bien venue après de tels moments à forniquer avec notre curé.
J’entends les râles de plaisir des uns et des autres, avant qu’il me rejoigne au moment où je m’essuie.

• Pierre, je viens de voir ton bréviaire sur ton meuble de salle à manger, si Yoko et moi nous avons droit à des Pater et des Ave, toi aussi tu mérites pénitence.
Tu dis la messe, puisque tu es entré dans l’église voisine pour aller y chercher du vin de messe !
• Oui, nous sommes douze logés ici et chacun notre tour nous célébrons l’eucharistie, la première messe est à 6 heures, 14 et 18 heures.
• Yoko as-tu compris de quoi nous parlons ?
• Oui, quelle punition crois-tu que notre curée ayant détourné deux honnêtes femmes mariées mérite ?
• La messe de 6 heures, ce doit être la plus pénible !
• Vous avez raison, lorsqu’on est bien sous la couette et qu’à 4 heures votre réveil sonne c’est le plus terrible.
Surtout quand vous avez devant vous une ou deux vieilles femmes insomniaques à leur âge et qui pleurent leur mari.
Mais j’accepte la punition, même si ces femmes honnêtes sont de belles salopes.

Une fois, prête, Pierre fait signe à un taxi.
Il est sans son col, chemise blanche, jeans et baskets, chez moi, je l’aurais croisé dans la rue, je me serais dit, quel beau gosse, mais j’aurais passé mon chemin, fidèle à Gilles.

Dans le taxi, Pierre est au milieu de nous deux, sa main droite sur ma cuisse et sa gauche sur celle de Yoko.
Je vois que le chauffeur règle son rétro pour voir ce qu’il se passe.
J’écarte légèrement mes cuisses.
C’est au moment où ses doigts m’atteignent, que je me rends compte que ma petite culotte était absente de mon tas de vêtements.
Ayant pris l’habitude de vivre la chatte à l’air, j’ai complètement oublié de la récupérer.
Mais je pense que plus sûrement elle est dans la poche de notre curé qui dans les jours prochains aux sorties de ses messes la reniflera pour retrouver les effluves que ma chatte émet.
S’il est vrai que le matin, il nous a dit avoir des vieilles devant lui.
Je peux lui concéder, qu’en sirotant un petit coup de vin de messe, qu’il l’a senti afin de bander après avoir dit sa messe devant ces vieilles bigotes.
Pourquoi lui donner plus de pénitence ?

Nous arrivons dans un endroit, très spécial à ce que j’en vois.
Les monuments certainement sortis de fouilles sont mis en valeur par de grandes artères assez modernes.
Il faut aimer, devant nous je vois l’un des cars qui vont nous ramener au bateau si je retrouve mon groupe.
Le taxi ayant eu son pourboire en reluquant ma chatte nous dépose devant les arènes.
Pierre nous accompagne, dans le centre de l’arène, des ouvriers s’affairent.
Un concert doit avoir lieu ce soir, mais j’ignore qui ?
De toute façon, le bateau aura repris la mer en direction de Monte-Carlo.
Nous sommes à droite dans les tribunes de pierre.
En face de moi, je vois Serge, Aliza, ma fille et mon mari.
Je leur fais signe, mais il entre vers l’arrière des arènes, sans qu’il me voie.
Nous les retrouverons certainement dans la saison V de cette « Croisière surprise. »...

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Histoire sexe : Une rose rouge
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