COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Saison I (3/3) - histoire érotique

Quarante ans, vingt années de mariage, ça mérite bien une fête d’exception avec Gilles, mon mari, Rose ma fille et Alain mon fils.
Les enfants nous offrent une croisière en Méditerranée de Venise à Venise sur un petit ferry pouvant recevoir 400 personnes, cette croisière s’avère être libertine.

Aliza jeune femme de mon âge que nous avons rencontrée avec Serge son mari, m’annonce la nouvelle dans ma cabine.
Qui a-t-il de malsain à aimer baiser en groupe, après m’avoir fait connaître l’orgasme, elle se donne devant nous à William, notre garçon de cabine.
William, jeune black que je prends pour un travailleur étranger payé à coups de lance-pierre.
Il s’avère être réunionnais par son papa et de Belleville par sa maman.
Ce garçon de cabine, outre de nous apporter une bouteille de champagne, est à notre disposition pour plus de choses si affinités et à cet effet il est entré sein d’un paréo saumon dans la cabine.
C’est aussi le cas avec Aliza, je la vois se faire prendre en levrette sur notre couchette, avant qu’il remballe son matériel et quitte notre cabine.
Dans les fauteuils, moi venant de sucer une bite d’un autre que mon homme, je découvre qu’il est capable de se palucher avec Serge, j’ai un doute sur son homosexualité.

Retour à la salle d’eau pour Aliza.
Le spectacle étant terminé, je me demande ce qui va m’arriver et jusqu’où je vais découvrir des choses nouvelles pour moi.
Une chose me trotte dans la tête.
Où sont Rose et Alain mes enfants ?
Pourquoi nous offrent-ils cette croisière naturiste surprenante pour moi, plus que pour Gilles, mon mari qui semble s’accommoder de la situation.

• Les amis, c’est l’heure de l’apéritif, je vous offre un verre au bar, nous avons déjà fini le Moët et Chandon.
Jennifer, veux-tu te faire servir dans ta cabine ou es-tu prête à affronter l’intérieur de ce bateau ?
• Je suppose qu’il va falloir sortir nue ou au moins recouvert d’un de ces voiles transparents, ce qui est plus érotique que notre nudité ?
• Tu apprends vite, si tu veux mon avis, ta quarantaine flamboyante mérite que tu apprennes à te montrer nue.
Tes seins en forme de poire m’ont fait envie dès que je les ai vus, je les stimulerais bien, mais mon estomac crie famine, venez !

C’est Serge, qui vient d’émettre son avis sur mes seins, il est vrai qu'ils sont denses, tendus même s'ils sont un peu lourds.
Il se lève ainsi que Gilles, suivi d’Aliza qui récupère son paréo jaune et qui le noue simplement à sa taille.
Je me sens obligée de suivre, quitte à montrer ma chatte à travers un bout de tissu, j’en choisis un dans l'armoire, le plus foncé possible, ce violet fera l’affaire.

• Jennifer, je me garderais bien de mettre un paréo de cette couleur, le violet dans nos codes veut dire pucelle du libertinage, messieurs passez votre chemin.
Prends plutôt celui-là, blanc immaculé, il veut dire, je suis vierge de libertinage là encore, mais je suis disponible messieurs-dames pour passer un moment avec vous.
• Et le jaune que tu portes Aliza.
• Je suis une vieille salope, j’aime me faire baiser par tous, ce qui bouge et je suis prête à recommencer.
• Chérie, Aliza à raison prend le paréo blanc, il ira parfaitement avec ta toison brune.

Incroyable, comment puis-je si mal connaître mon mari, il m’offre carrément à tous les hommes ou à toutes les femmes qui voudront de moi, si je suis consentante, ça je l’ai compris.
Je suis son conseil et fière de ma poitrine, je le noue à ma taille, je suis coquine, je suis obligée de le doubler, et ma chatte est cachée par deux épaisseurs de tissu, la rendant plus opaque.

• Bien joué Jennifer, dans notre monde, ce que tu viens de faire, en doublant le tissu sur ton intimité est du plus mauvais effet.
Tu nous dis, assumer, regarde, comment tu fais, là tu es une femme libérée.

Elle défait et renoue le paréo, une seule épaisseur de tissu couvrant ma pilosité.

• Une dernière chose, nœud à droite pour les femmes, veut dire, je suis en couple et vous pouvez passer votre chemin.
Il est possible que j’aie un rapport avec vous, mais messieurs demandez à mon mari et ce sera toujours en sa présence.
À gauche, je suis célibataire ou mariée, messieurs, mesdames tenter votre chance.

Elle noue son paréo comme elle m’est apparue sous les seins le nœud à droite.
Pour le mien, elle a mis le nœud du même côté, je regarde Gilles et je le fais tourner, le nœud venant à gauche.

• Tu as compris ce que cela veut dire, tu t’offres à tous, ce qui bouge sur ce bateau ma chérie !
J’aime ton audace, je vais nouer le mien du même côté que toi.
• Vous allez vite, mes amis, mais si tel est votre désir, je m’incline.
Moi, je reste fidèle à notre pratique de l’échangisme, Aliza devra attendre que je sois là pour copuler avec un autre mec que moi.

Incroyable, qui m’aurait dit hier que je sortirais d’une cabine avec presque rien sur moi !

• Mes amis, attendez, inutile de dire que nous apparaissons comme de vieux ringards dans notre échangisme.
Aliza, je t’avais dit au moment de notre relation où tu m’as appris l’échangisme, qu’un jour je te libèrerais de notre serment.
Le jour est venu, fais comme Jennifer, change ton nœud de côté.
• Gilles, je crois que tu seras le premier homme à profiter de ma liberté retrouvée.
• Je te connais ma salope, tu nous dis ça pour me punir de ma prise d’initiative.
Tu sais que lorsque j’aurai le dos tourné, je saurai ce que tu fais et avec qui tu le fais.
• J’aime te taquiner.

Ma nouvelle amie détache son paréo, le fait tomber au sol nous montrant de nouveau ses seins moins bien proportionnés que les miens.

• Je peux t’emprunter un paréo !
• Oui, pourquoi ?
• Tu vois le noir qui est là, lors d’une de nos deux croisières les années précédentes, je l’ai vu porté une fois.
Il veut dire que je suis prête à me farcir les passagers du 3e pont sans en refuser aucun.
• Que s'est-il passé avec cette passagère ?
• Mémère, car s’en était une, a fini en gang bang dans la salle de spectacle.
Tous les hommes du 3e pont sont passés dessus le dernier soir, je ferai de même lors de cette croisière.
• Oui, mais ton homme sera là et vous reviendrez au point de départ !
• Non, l’équipage devra le retenir dans notre cabine comme celui de la mémère l’a été.
À la fin de sa nuit de débauche, plusieurs hommes l’ont raccompagnée.
Elle était tellement défoncée que c’est son mari qui l’a couché après l’avoir lavé, tellement elle était couverte de sperme.

L’an passé, ils ont brillé par leur absence.
Comme elle avait de l’embonpoint, nous avons pensé qu’elle s’est fait ce dernier voyage avant d’arrêter l’échangisme.

Nous sortons, Serge me prend le bras.
Aliza fier de son paréo noir, nous suit au bras de Gilles.
Dès le premier couple que nous croisons, je vois le regard concupisçant de l’homme qui parle à l’oreille de sa femme.
Je dis sa femme ou sa compagne de jeux sur ce bateau, cet homme la soixantaine doit être avec sa maîtresse, car question de son âge, ces certainement celui de notre fille.
Notre fille et notre fils, sont-ils sur ce bateau ?
Où le pont N°1 était-il un subterfuge pour nous engager dans la voix suivie depuis que notre bateau a levé les amarres ?

Nous nous installons dans le bar, dans de profonds fauteuils en velours rouge, très agréable pour mes fesses, le paréo étant si fin.

• Sergio, sers-nous une bouteille de champagne pour l’apéritif, mets-la sur la cabine 2.
• Hors de question, sur la cabine 1, mettez en plus 100 jetons pour les machines à sous, je vais faire voir à notre ami, comment on récupère cette bouteille.
• Bien monsieur, signez là.

Gilles signe, sur la planchette que le dénommé Sergio lui tend après avoir amené une bouteille de champagne.
Ce serveur a dû les voir au bar au moment où je découvrais ce que cette croisière avait comme surprise !
Il l'ouvre, sert quatre coupes et donne deux paquets de jetons à chacun des deux hommes.

● À notre croisière, on vous laisse mesdames, papoter ensemble, dites du mal de nous.
Soyez sympa, évitez de disparaître toute la nuit.

C’est Serge qui sort cette tirade avant de vider sa coupe et de se lever suivi de Gilles se dirigeant vers la salle attenante dépenser notre argent aux machines à sous.

• Dis-moi Aliza, on est entre femmes, depuis que tu as épousé Serge, dans les divers endroits où tu t’es fait sauter, aucun coup de canif dans ce contrat moral ?
• Entre amies, la confiance doit être de mise, je l’ai trompé une fois, dans un club échangiste de la région parisienne.
Il baisait une jolie blonde devant moi, elle avait de vraies mamelles, il la prenait en levrette, il adore tirer sur les seins des femmes que je lui accepte.
J’ai senti quelqu’un derrière moi, c’était le genre d’homme qu’il aurait refusé que je me donne, vieux, gros et laid.
J’ai senti sa verge caresser ma chatte, car j’étais mollement allongée, sa pine est entrée directement en moi.
Nous avons baissé quelques minutes, crois le si tu veux, ce fut l’un des plus gros orgasmes avant qu’il décharge.
Il venait de partir, quand Serge s'est retourné, il l’a toujours ignoré.
Et toi, j’ai été franche, as-tu déjà trompé Gilles ?
• Confidence pour confidence, oui, comme toi, c’est un des plus merveilleux moments de ma vie de femme, il m’a fait avoir des orgasmes tout l’après-midi.
• C’était qui ?
• C’était le fils d’un de ses collègues de travail, un chirurgien comme lui, il venait d’avoir 18 ans, j’en avais trente, ça fait dix ans.
Gilles avait un congrès sur les méthodes d’opération modernes des prostates, ce congrès se tenait à Biarritz pendant quatre jours.
Antoine, son collègue était venu avec son fils pour le récompenser d’avoir eu son bac.
Présentation faite, ils m’ont demandé de garder le petit et de l’emmener à la plage pour qu’il se baigne.
C’est le premier jour que je me suis fait littéralement piéger, le changement d’heure venait d'avoir lieu, j’ai demandé à Hugo de venir me prendre dans ma chambre.
Nous avions convenu de 14 heures, j’étais sous la douche, quand il est entré dans notre chambre.
Il est venu derrière moi et avant que j’accepte, il avait baissé son slip de bain et m’avait pris en me plaquant dans la douche.
Il m’a déchiré comme jamais avec Gilles.
Il devait m’avouer alors que j’avais rejoint sa chambre, pour éviter de nous faire prendre que je venais de le dépuceler.
Nous avons baisé les trois jours, c’est la seule fois où mon mari a été cocu.

Gilles revient vers nous avec Serge tout guilleret.

• Dites, les filles, j’ai une chance de cocu, je viens de gagner 1 620 €.

Le monde est petit, même si c’est avec délai différé que je l’avais cocufié.

• Il est temps d’aller à la salle du restaurant de notre pont, je vous conduis !

L’autre cocu veut sa part, bien que je sois fière, Aliza, c’était déjà au sein d’un club libertin, moi c’était un jeune puceau…

Ici ce fini la saison I, la saison II est en fin d’écriture.
Je commence immédiatement, moi aussi, je veux voir comment cette croisière va entrainer Jennifer sur la pente du libertinage.