COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Saison V (14/15)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Saison V (14/15)
Merde, c’est ce que je pense quand aidant Moussa le passager clandestin à se dénuder, je vois ce que j’avais souvent entendu dire.
Loin d’être un poncif, la longueur de sa verge est impressionnante.
Alex en a une énorme en diamètre, celle que me présente mon immigré, dépasse tout ce que j’ai vu.
45 ou 50, heureusement que son short est un trois-quarts, sinon elle dépasserait de 10 bons centimètres.
• Allez, dans la douche, tiens regarde !
J’ouvre le hublot et au lieu que ce soit lui qui le jette, c’est moi qui balance short et paire de tongs entièrement éculées.
L’eau coule sur son corps bronzé naturellement quand j’entends la porte s’ouvrir.
• Chérie, tu es sous la douche, l’eau coule, sais-tu ce qu’il se passe à bord !
C’est l’effervescence, un passager...
Merde, c’est toi, tu le caches, tu es vraiment surprenante, dans quelle embrouille vas-tu encore te fourrer ?
• C’est toi le jour de notre mariage qui m’a dit que tu m’épousais, car j’étais une femme pleine de ressources.
Et si je suis là avec ton accord avec tes enfants, c’est, car tu savais que j’étais pleine de ressources !
• Monsieur, écoutez votre femme, je vais rester dans cette cabine de douche jusqu’à Monaco ou je vais descendre pour rejoindre l’Angleterre.
• Chérie, c’est faisable, je vais appeler Jessica, mon amie qui s’est installée à Nice après son divorce.
Elle me doit sa rencontre avec son nouveau mec comme elle dit et je vais lui demander de le conduire.
Tu vois que mon côté vouloir se mêler de tous a du bon, elle va lui faire traverser la France jusqu’en Angleterre.
Elle est aussi maligne que moi, elle trouvera bien un moyen de le faire traverser par le tunnel avec sa voiture.
C’est à ce moment alors que parlant à Gilles, je tiens sans m’en rende compte la verge de Moussa dans ma main, qu’en même temps que les moteurs commencent à chauffer que l’on frappe à la porte.
• C’est Kessy, elle vient apporter à manger à Moussa notre amie.
• C’est incroyable, chéri, tu as déjà mouillé notre jeune amie dans tes turpitudes, tu m’étonneras toujours.
• Au pardon.
Je viens de me rendre compte qu’en parlant, sans le regarder, j’ai astiqué la verge de Moussa avec mes mains savonneuses.
Gilles va ouvrir, j’ai lâché la bite noire comme si je m’étais brûlée et je m’essuie les mains avant d’entrer dans la chambre.
Je comprends que Moussa avait les yeux écarquillés lorsque Kessy est rentrée dans la cabine, quel morceau de choix, caché par le paréo, mais tellement suggestif.
Surtout les pointes de ses seins qui pointent sous le voile de tissu.
Elle a un plateau avec elle.
L’eau a cessé de couler, Moussa entre dans la chambre, la verge encore à moitié bandée la serviette que j’avais nouée sous mes seins lui servant à s’essuyer.
• Poulet avec des frites belges et de la mayonnaise...
Là encore, les mots s’arrêtent dans la gorge de Kessy, je prends le plateau que je pose sur la table du petit salon.
Moussa, lâchant sa serviette se jette littéralement dessus, déchirant la viande prise à pleines mains nous ramenant quelques milliers d’années en arrière lorsque Cro-Magnon devait en faire de même après qu’ils aient conquis le feu !
J’ignore si Cro-Magnon avait déjà le feu, les études de la terre et de ses habitants l’étant passé par-dessus la tête, mais j’aime à y penser.
Le poulet d’une main, les frites de l’autre, j’ai rarement vu quelqu’un manger aussi gloutonnement.
Même la mayo y passe attrapé par un doigt agile et qu’il suce dans sa bouche.
Moussa va être bon pour retourner se doucher.
• Kessy, tu vas devoir te débrouiller pour amener notre dîner dans notre cabine.
Je pensais aller manger avant d’emmener Jennifer au théâtre voir Balou et Pierre, les comiques de service, mais nous devrons rester ici pour garder le nouvel ami de ma femme !
• Gilles, vous avez tellement été bon pour moi, je vais vous aider, j’ai fini mon service, je vous propose de rester avec Moussa.
Sors Jennifer, elle mérite bien une soirée où elle va s’amuser.
J’ai vu le spectacle hier, ils sont hilarants, j’en avais mal au ventre à me tordre dans mon fauteuil.
Vu ce que regarde la petite salope, je vois qu’elle essaye de me couper l’herbe sous le pied, mais une soirée à rire avec mon mari, ça me plait énormément.
D’autres diraient que je vais m’habiller, j’ouvre mon paréo pour le resserrer, c’est au tour de Moussa d’avoir les yeux lui sortant de la tête, il recommence à bander.
25 ans, Moussa doit avoir environ cet âge et voir sa queue qui était retombée se gorger de nouveau de sang, ça me donne envie de la sucer.
Gilles enlève ses vêtements de ville et va à la douche.
Il me rejoint prend un paréo bleu dans l’armoire comme celui que je donne à Moussa et nous quittons la cabine.
Perfide, je lâche.
• Bonne soirée les enfants.
Et je ferme la porte.
Au restaurant le service commencera dans une demi-heure, nous allons au bar, un jeune homme, avec un certain embonpoint boit un coca.
Contrairement à nous et aux employés, il est vêtu avec un peignoir blanc comme on en trouve dans les hôtels.
Nous nous installons, je commande un verre de Martini, Gilles un whisky.
Un autre homme rejoint le gros jeune homme et ensemble ils prennent un coca.
Lui aussi revêt un peignoir blanc.
Qu’elle sans gêne, ils nous regardent et semblent se raconter des blagues sur notre dos en riant plus que de bon cœur.
• Chéri, fais-moi voir comment fonctionnent les machines à sous, j’aimerais gagner cette cagnotte de plus de 3 millions d’euros.
• Ma chérie, si je t’aime, c’est que tu es impayable.
Ce chiffre que tu vois augmenter régulièrement est relié à un ordinateur qui enregistre tous les gains de tous les casinos du même groupe.
Ce chiffre est le même dans tous les casinos pour le gagner, il faut croire au père Noël, tu as autant de chance que ce soit toi que l’ordinateur choisisse, que de chance de rajeunir de 20 ans.
• Dis-moi que je suis vieille et que c’est pour ça que tu m’as entraîné dans tes débauches.
Ça te permet de te trouver des salopes comme Aliza, même si je dois me louer d’avoir fait sa rencontre.
Gilles m’embrasse, nos courroux depuis que nous sommes mariés sont de courte durée.
• Chérie, te souviens-tu de ce que je t’ai promis lorsque je t’ai fait entrer dans notre chambre pour notre lit de noces ?
• Lors de notre nuit de noces, je crois que j’ai dû oublier.
• Fait l’âne pour avoir du son, Jennifer, tu me reprochais d’avoir dansé avec ta meilleure amie de façon trop serrée.
Je t’avais promis la fesser si tu continuais à m’exaspérer.
• La fessée, je voudrais bien voir ça, satire.
• Mademoiselle, donnez-moi pour 50 € de pièces pour que ma femme gagne les 3 millions d’euros de la cagnotte.
Comme au bar, je vois Gilles signer le bordereau qui sera totalisé pour chacun à la fin de la croisière.
Comme dirait un vieil oncle de ma famille, avec ses paréos hors leur bite, pas la moindre poche pour y ranger leur couteau.
Pour ma part pour la soirée, j’ai mon petit sac à main doré, nous les femmes, il nous faut nous repoudrer le nez et un bâton de rouge pour les lèvres.
Je vais vous faire une confidence, neuf sacs à main sur dix de ces dames contiennent un tampon, il faut toujours savoir prévoir surtout sur ce bateau avec nos chattes à l’air.
Nous finissons par nous embrasser, je tire sur le bandit manchot et rapidement les 50 € viennent grossir le chiffre de la cagnotte.
Après le repas pris rapidement, Alexandre et Rose sont à une table où ça rit fort, ce sont des Italiens.
Dans le théâtre où se produiront Aliza et Béatrice lors du grand gang bang de fin de croisière, nous nous installons au deuxième rang à côté de Serge, Aliza, Béatrice et Augustin.
Le duo comique arrive sur scène.
Ce sont les deux garçons qui buvaient au bar un coca, je comprends pourquoi sur l’un s’appelle Balou,
• Bonsoir, Balou, il semble y avoir du beau monde ce soir.
• Dans certaines salles où nous produisons, on dirait du beau linge, dans cette croisière on dit ho ! quel joli cul ou quelle belle chatte.
• Comment parles-tu Balou, tu vas vexer une nouvelle fois cette dame au deuxième rang ?
Aliza se redresse persuadé que les comiques vont la faire monter sur la scène et être la vedette de la soirée.
• Pas toi, celle d’a coté, celle qui buvait du Martini au bar tout à l’heure.
Ça y est, je vais être la tête de turc du duo toute la soirée.
C’est exact nous avons éclaté de rire, les deux garçons la quarantaine sont hilarants.
L’histoire qu’il raconte Balou habillé en gendarme, à l’ancienne, genre ceux de Saint-Tropez, lui avec son embonpoint ressemblant à Galabru au meilleur de sa forme.
• Il manque quelqu’un dans notre orchestre, madame, nous vous avons embêté toute la soirée et vous avez parfaitement joué le jeu.
Une volontaire désignée au hasard pour venir compléter notre orchestre.
• Non, Alizé tu y va !
Sous la poussée des spectateurs, dont certains scandent mon nom « Jennifer », « Jennifer », « Jennifer », je finis par céder.
• Applaudissez Jennifer, elle va jouer de l’ocarina Écossais dans notre orchestre.
Je vais jouer de la batterie pour vous accompagner.
Pierre montre lui.
Sur scène, dans les lumières des projecteurs, je me sens plus nu que dans le bateau.
Je dois être rouge de partout.
• Je voudrais bien jouer de votre instrument.
• Madame, parlez sur ce bateau de mon instrument, Pierre va me chercher : un carré blanc...
Loin d’être un poncif, la longueur de sa verge est impressionnante.
Alex en a une énorme en diamètre, celle que me présente mon immigré, dépasse tout ce que j’ai vu.
45 ou 50, heureusement que son short est un trois-quarts, sinon elle dépasserait de 10 bons centimètres.
• Allez, dans la douche, tiens regarde !
J’ouvre le hublot et au lieu que ce soit lui qui le jette, c’est moi qui balance short et paire de tongs entièrement éculées.
L’eau coule sur son corps bronzé naturellement quand j’entends la porte s’ouvrir.
• Chérie, tu es sous la douche, l’eau coule, sais-tu ce qu’il se passe à bord !
C’est l’effervescence, un passager...
Merde, c’est toi, tu le caches, tu es vraiment surprenante, dans quelle embrouille vas-tu encore te fourrer ?
• C’est toi le jour de notre mariage qui m’a dit que tu m’épousais, car j’étais une femme pleine de ressources.
Et si je suis là avec ton accord avec tes enfants, c’est, car tu savais que j’étais pleine de ressources !
• Monsieur, écoutez votre femme, je vais rester dans cette cabine de douche jusqu’à Monaco ou je vais descendre pour rejoindre l’Angleterre.
• Chérie, c’est faisable, je vais appeler Jessica, mon amie qui s’est installée à Nice après son divorce.
Elle me doit sa rencontre avec son nouveau mec comme elle dit et je vais lui demander de le conduire.
Tu vois que mon côté vouloir se mêler de tous a du bon, elle va lui faire traverser la France jusqu’en Angleterre.
Elle est aussi maligne que moi, elle trouvera bien un moyen de le faire traverser par le tunnel avec sa voiture.
C’est à ce moment alors que parlant à Gilles, je tiens sans m’en rende compte la verge de Moussa dans ma main, qu’en même temps que les moteurs commencent à chauffer que l’on frappe à la porte.
• C’est Kessy, elle vient apporter à manger à Moussa notre amie.
• C’est incroyable, chéri, tu as déjà mouillé notre jeune amie dans tes turpitudes, tu m’étonneras toujours.
• Au pardon.
Je viens de me rendre compte qu’en parlant, sans le regarder, j’ai astiqué la verge de Moussa avec mes mains savonneuses.
Gilles va ouvrir, j’ai lâché la bite noire comme si je m’étais brûlée et je m’essuie les mains avant d’entrer dans la chambre.
Je comprends que Moussa avait les yeux écarquillés lorsque Kessy est rentrée dans la cabine, quel morceau de choix, caché par le paréo, mais tellement suggestif.
Surtout les pointes de ses seins qui pointent sous le voile de tissu.
Elle a un plateau avec elle.
L’eau a cessé de couler, Moussa entre dans la chambre, la verge encore à moitié bandée la serviette que j’avais nouée sous mes seins lui servant à s’essuyer.
• Poulet avec des frites belges et de la mayonnaise...
Là encore, les mots s’arrêtent dans la gorge de Kessy, je prends le plateau que je pose sur la table du petit salon.
Moussa, lâchant sa serviette se jette littéralement dessus, déchirant la viande prise à pleines mains nous ramenant quelques milliers d’années en arrière lorsque Cro-Magnon devait en faire de même après qu’ils aient conquis le feu !
J’ignore si Cro-Magnon avait déjà le feu, les études de la terre et de ses habitants l’étant passé par-dessus la tête, mais j’aime à y penser.
Le poulet d’une main, les frites de l’autre, j’ai rarement vu quelqu’un manger aussi gloutonnement.
Même la mayo y passe attrapé par un doigt agile et qu’il suce dans sa bouche.
Moussa va être bon pour retourner se doucher.
• Kessy, tu vas devoir te débrouiller pour amener notre dîner dans notre cabine.
Je pensais aller manger avant d’emmener Jennifer au théâtre voir Balou et Pierre, les comiques de service, mais nous devrons rester ici pour garder le nouvel ami de ma femme !
• Gilles, vous avez tellement été bon pour moi, je vais vous aider, j’ai fini mon service, je vous propose de rester avec Moussa.
Sors Jennifer, elle mérite bien une soirée où elle va s’amuser.
J’ai vu le spectacle hier, ils sont hilarants, j’en avais mal au ventre à me tordre dans mon fauteuil.
Vu ce que regarde la petite salope, je vois qu’elle essaye de me couper l’herbe sous le pied, mais une soirée à rire avec mon mari, ça me plait énormément.
D’autres diraient que je vais m’habiller, j’ouvre mon paréo pour le resserrer, c’est au tour de Moussa d’avoir les yeux lui sortant de la tête, il recommence à bander.
25 ans, Moussa doit avoir environ cet âge et voir sa queue qui était retombée se gorger de nouveau de sang, ça me donne envie de la sucer.
Gilles enlève ses vêtements de ville et va à la douche.
Il me rejoint prend un paréo bleu dans l’armoire comme celui que je donne à Moussa et nous quittons la cabine.
Perfide, je lâche.
• Bonne soirée les enfants.
Et je ferme la porte.
Au restaurant le service commencera dans une demi-heure, nous allons au bar, un jeune homme, avec un certain embonpoint boit un coca.
Contrairement à nous et aux employés, il est vêtu avec un peignoir blanc comme on en trouve dans les hôtels.
Nous nous installons, je commande un verre de Martini, Gilles un whisky.
Un autre homme rejoint le gros jeune homme et ensemble ils prennent un coca.
Lui aussi revêt un peignoir blanc.
Qu’elle sans gêne, ils nous regardent et semblent se raconter des blagues sur notre dos en riant plus que de bon cœur.
• Chéri, fais-moi voir comment fonctionnent les machines à sous, j’aimerais gagner cette cagnotte de plus de 3 millions d’euros.
• Ma chérie, si je t’aime, c’est que tu es impayable.
Ce chiffre que tu vois augmenter régulièrement est relié à un ordinateur qui enregistre tous les gains de tous les casinos du même groupe.
Ce chiffre est le même dans tous les casinos pour le gagner, il faut croire au père Noël, tu as autant de chance que ce soit toi que l’ordinateur choisisse, que de chance de rajeunir de 20 ans.
• Dis-moi que je suis vieille et que c’est pour ça que tu m’as entraîné dans tes débauches.
Ça te permet de te trouver des salopes comme Aliza, même si je dois me louer d’avoir fait sa rencontre.
Gilles m’embrasse, nos courroux depuis que nous sommes mariés sont de courte durée.
• Chérie, te souviens-tu de ce que je t’ai promis lorsque je t’ai fait entrer dans notre chambre pour notre lit de noces ?
• Lors de notre nuit de noces, je crois que j’ai dû oublier.
• Fait l’âne pour avoir du son, Jennifer, tu me reprochais d’avoir dansé avec ta meilleure amie de façon trop serrée.
Je t’avais promis la fesser si tu continuais à m’exaspérer.
• La fessée, je voudrais bien voir ça, satire.
• Mademoiselle, donnez-moi pour 50 € de pièces pour que ma femme gagne les 3 millions d’euros de la cagnotte.
Comme au bar, je vois Gilles signer le bordereau qui sera totalisé pour chacun à la fin de la croisière.
Comme dirait un vieil oncle de ma famille, avec ses paréos hors leur bite, pas la moindre poche pour y ranger leur couteau.
Pour ma part pour la soirée, j’ai mon petit sac à main doré, nous les femmes, il nous faut nous repoudrer le nez et un bâton de rouge pour les lèvres.
Je vais vous faire une confidence, neuf sacs à main sur dix de ces dames contiennent un tampon, il faut toujours savoir prévoir surtout sur ce bateau avec nos chattes à l’air.
Nous finissons par nous embrasser, je tire sur le bandit manchot et rapidement les 50 € viennent grossir le chiffre de la cagnotte.
Après le repas pris rapidement, Alexandre et Rose sont à une table où ça rit fort, ce sont des Italiens.
Dans le théâtre où se produiront Aliza et Béatrice lors du grand gang bang de fin de croisière, nous nous installons au deuxième rang à côté de Serge, Aliza, Béatrice et Augustin.
Le duo comique arrive sur scène.
Ce sont les deux garçons qui buvaient au bar un coca, je comprends pourquoi sur l’un s’appelle Balou,
• Bonsoir, Balou, il semble y avoir du beau monde ce soir.
• Dans certaines salles où nous produisons, on dirait du beau linge, dans cette croisière on dit ho ! quel joli cul ou quelle belle chatte.
• Comment parles-tu Balou, tu vas vexer une nouvelle fois cette dame au deuxième rang ?
Aliza se redresse persuadé que les comiques vont la faire monter sur la scène et être la vedette de la soirée.
• Pas toi, celle d’a coté, celle qui buvait du Martini au bar tout à l’heure.
Ça y est, je vais être la tête de turc du duo toute la soirée.
C’est exact nous avons éclaté de rire, les deux garçons la quarantaine sont hilarants.
L’histoire qu’il raconte Balou habillé en gendarme, à l’ancienne, genre ceux de Saint-Tropez, lui avec son embonpoint ressemblant à Galabru au meilleur de sa forme.
• Il manque quelqu’un dans notre orchestre, madame, nous vous avons embêté toute la soirée et vous avez parfaitement joué le jeu.
Une volontaire désignée au hasard pour venir compléter notre orchestre.
• Non, Alizé tu y va !
Sous la poussée des spectateurs, dont certains scandent mon nom « Jennifer », « Jennifer », « Jennifer », je finis par céder.
• Applaudissez Jennifer, elle va jouer de l’ocarina Écossais dans notre orchestre.
Je vais jouer de la batterie pour vous accompagner.
Pierre montre lui.
Sur scène, dans les lumières des projecteurs, je me sens plus nu que dans le bateau.
Je dois être rouge de partout.
• Je voudrais bien jouer de votre instrument.
• Madame, parlez sur ce bateau de mon instrument, Pierre va me chercher : un carré blanc...
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