COLLECTION LIBERTINAGES. Enfin, je quitte ma femme (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGES. Enfin, je quitte ma femme (1/3)
• Bonjour monsieur dame, que me voulez-vous ?
• À la demande de votre mari, nous venons faire une estimation de votre pavillon.
• Vous devez vous tromper de numéro de maison.
• Le 102 rue des oiseaux, vous êtes bien madame Janine.
• Oui.
• Votre mari s’appelle bien Ludovic !
• Oui.
• Alors c’est bien votre pavillon qu’il souhaite mettre en vente.
• Je refuse de vous faire entrer.
• Voyez avec lui, à ce qu’il nous a dit, il souhaite divorcer !
Bonne journée, je pense que nous reviendrons lorsqu’il sera là.
Le ciel me tombe sur la tête, j’essaye d’appeler mon mari sur son portable, mais j’ai son répondeur.
Il rentre à 18 heures.
• J’ai oublié de te dire.
Je te quitte alors j’ai fait demander une estimation de notre principal bien, notre pavillon.
Pour nos meubles, je vais faire organiser une journée porte ouverte par un copain qui gère ce genre de chose.
• As-tu rencontré une autre femme ?
• Non, pourquoi, mais j’espère rencontrer une femme me comblant par rapport à toi.
• Que dis-tu, combler, je pensais que je te comblais ?
• Depuis combien de temps toi et moi avons-nous eu un moment d’intimité ?
• Euh !
Il y a peu.
• Pour tes 50 ans, ça fait combien de temps ?
• À oui, quand même, trois mois.
Mais tu sais, j’ai mal à un genou.
• Ce coup-ci c’est le genou.
Dans le temps, c’étaient tes règles douloureuses !
• Ça me donnait des migraines.
• Huit jours avant et quinze après.
J’ai 50 ans comme toi, je suis encore vert et si aujourd’hui je suis un homme seul, j’espère rencontrer une femme un peu plus salope que toi.
• Que veux-tu dire par salope ?
Une femme prenant des initiatives.
• Depuis notre mariage, j’ai toujours eu les mêmes rapports avec toi.
• Justement, c’est là où le bât blesse, nous nous sommes embourgeoisés à part notre épargne-logement rien d’autre pour nous passionner.
• Mais ce sont pour nos vieux jours.
• C’est bien là une grande part de mes reproches, on vit pour le futur et on oublie le présent et l’avenir.
Je souhaite aller le trouver ailleurs.
• Mais je t’aime, je veux finir ma vie avec toi.
• Voilà encore un grief, que fais-tu pour entretenir la flamme entre nous à part tes petits plats.
Il y a bien des salopes qui baisent en prenant des initiatives, tout en faisant des bons petits plats !
• Encore tes salopes, tu vois que c’est une histoire de femme.
• Je vais aller faire ma valise si tu refuses d’aller me la faire.
Je savais que si je cédais à Janine, je finirais ma vie en me faisant un nœud au sexe et que je serais toujours à la remorque de celle que j’ai épousée pour nos 20 ans.
Nous étions vierges tous les deux et je manquais de connaissances sur le sexe.
Je l’ai dépucelée, pardons nous nous sommes dépucelés et depuis la routine s’est installée.
J’arrive à la porte de notre pavillon.
Elle est en larmes, elle se jette au sol m’attrapant le pied.
Je me retourne pour la faire lâcher, c’est la première fois que je vois ma femme dans une position lubrique.
Sa jupe est remontée et sa petite culotte en coton lui rentre dans la chatte.
Je suis à deux doigts de craquer, mais j’ai enfin décidé de m’émanciper et je tiens à aller jusqu’au bout.
C’est quand Martin mon comptable et ami m’a demandé de prendre soin de ses poissons exotiques que l’idée a pris corps.
Il a un aquarium de 300 litres avec des centaines de poissons de toutes formes et de toutes couleurs.
Une mauvaise expérience l’année dernière pendant ses vacances d’été.
Le distributeur de nourriture s’était emballé, entraînant des dizaines de morts.
Ça l’avait vacciné de recommencer.
Il m’a demandé de venir m’en occuper pendant ces quinze jours de vacances en famille sur la côte bordelaise.
Ayant les clefs de chez lui et une chambre d’amis, j’ai quinze jours pour voir si celle que j’aime est capable de changer pour comme je l’ai dit être un petit peu plus salope.
Le lendemain, je suis à deux doigts de craquer.
Il faut toujours que je sois impeccable étant chef d’entreprise et il a fallu que je trouve le fer à repasser pour que ma chemise soit aussi impeccable que celle que je mets tous les jours.
Mais j’y arrive avec simplement dix minutes de retard.
C’est la première fois depuis que j’ai tourné la clef de mon bureau et que j’ai fait faire démarrer ma première presse hydraulique.
Problème de chemise a repassé, mais aussi pendant la soirée.
Martin refuse que ses enfants deviennent accros à la télé, il l’a laissé chez le marchand.
« Les hauts de hurlevent » d’Émilie Brontë ma tenue compagnie, mais c’était chiant au possible, qui peut lire ce genre de livre.
Sortir, j’ai failli me laisser tenter, mais j’ai fini par m’endormir sur le canapé le livre sur ma figure.
Ça fait drôle d’émerger dans un lieu où il vous faut quelques minutes pour remettre les pieds sur terre.
Il faut dire pour ma défense que la bouteille de whisky que j’ai achetée m’a bien aidée.
Une nouvelle fois devant le café soluble que j’ingurgite, je suis à deux doigts de courir chez Janine boire son café du matin avec mes petites tartines.
Certes, j’ai un manque de sexe avec elle, mais certains côtés de notre vie commune m’apparaissent comme des moments de plaisir d’un autre genre.
• Allo, Ludovic revient, j’ai compris.
Ça fait trois jours que Ludovic m’a quittés.
Quand ces gens de l’agence immobilière sont venus pour estimer notre pavillon, j’ai cru à une blague.
Mais quand Ludovic est arrivé et qu’il m’a confirmé son envie de me quitter, car je le décevais sexuellement, j’ai réfléchi à ce que je pourrais faire pour le reconquérir.
Depuis notre mariage et l’ouverture de notre entreprise, il est vrai que nous baisons vieille France.
Un petit coup pour l’hygiène de temps en temps.
Dès qu’il a tourné le coin avec notre voiture allant certainement dans un hôtel où des prostituées vont le combler sexuellement, je me suis remise en question.
« Qu’est-ce qu’une salope ? »
Je fais des recherches sur Internet.
Je sais me service de cet engin moderne inexistant dans notre jeunesse.
« Comment garder son mari ? »
C’est là que je trouve quelques conseils.
Vestimentaire pour commencer.
Ils montrent des tenues plus ou moins suggestive tout au long de la vie.
On est moins salope par les vêtements à 50 qu’à 20.
Mais une chose est commune les sous-vêtements même si en vieillissant votre cul s’est légèrement arrondi ainsi que vos seins plus volumineux après avoir eu deux enfants de 29 et 25 ans.
Le travail de Ludovic m’a permis de les élever et après, l’habitude étant prise, j’ai continué à m’occuper de notre foyer.
Mon mari a raison, je l’ai trop délaissé, aussi dès le lendemain, je fais chauffer la carte bleue et je change mon look.
Coiffeur, cheveux plus courts et vêtements.
Deux boutiques, l’une ou je choisis quatre sous-vêtements affriolants dont une guêpière rouge sang, mettant ma poitrine en valeur.
Enfin, une deuxième où j’achète trois tenues du genre préconisé pour une femme de 50 ans.
J’ai un peu de mal avec ces dernières, mais il faut ce qu’il faut, si je veux le reconquérir.
Enfin, je prends conseil de ce que les hommes de son âge aiment !
Vais-je être capable de mettre en pratique le seul point numéro un, moi qui depuis 30 ans je me contente d’écarter mes cuisses et qu’il finisse de se vider en moi ?
• Allo Ludovic revient, j’ai compris.
Ce coup de fil au troisième jour me comble de bonheur.
Que veut dire, « j’ai compris. »Il est 18 heures quand je gare ma voiture devant notre pavillon.
Demain, les gens de l’agence doivent revenir l’estimer.
La porte est fermée, mais sans être close.
Je la pousse, le sol couvert de pétales de roses semblant faire un chemin.
Ils me conduisent dans le salon où elle est là magnifique dans une guêpière rouge sang avec des talons hauts que je vois, eux aussi, pour la première fois.
Mon regard se pose sur sa chatte.
Elle s’est fait épiler sacrifiant sa toison brune lui couvrant presque tout le bas-ventre.
J’ai quitté une mémère à son toutou pleurant sur la misère du monde me tenant le pied me montrant sa culotte en coton et je retrouve Greta Garbo, le long fume-cigarette en moins dans « l’ange bleu ».
• Avance, j’espère que je vais être ta parfaite salope.
Je m’agenouille devant celui que je souhaite reconquérir.
J’ai fait tout bien comme ils le disaient.
Je dégraphe son pantalon et je sors sa bite.
Petit moment d’hésitation et je le fais entrer dans ma bouche.
À oui, le masturber d’une main pendant que je le pompe avec mes lèvres.
Faire tourner ma langue sur ce qu’ils appellent le méat ou le gland, c’est selon.
Je dois avouer que j’aime bien.
J'aime surtout nettoyer les gouttes de sperme qui perle sous l’excitation que je lui procure.
Non d’un chien que c’est bon, quelle salope surtout quand elle me lèche les couilles…
• À la demande de votre mari, nous venons faire une estimation de votre pavillon.
• Vous devez vous tromper de numéro de maison.
• Le 102 rue des oiseaux, vous êtes bien madame Janine.
• Oui.
• Votre mari s’appelle bien Ludovic !
• Oui.
• Alors c’est bien votre pavillon qu’il souhaite mettre en vente.
• Je refuse de vous faire entrer.
• Voyez avec lui, à ce qu’il nous a dit, il souhaite divorcer !
Bonne journée, je pense que nous reviendrons lorsqu’il sera là.
Le ciel me tombe sur la tête, j’essaye d’appeler mon mari sur son portable, mais j’ai son répondeur.
Il rentre à 18 heures.
• J’ai oublié de te dire.
Je te quitte alors j’ai fait demander une estimation de notre principal bien, notre pavillon.
Pour nos meubles, je vais faire organiser une journée porte ouverte par un copain qui gère ce genre de chose.
• As-tu rencontré une autre femme ?
• Non, pourquoi, mais j’espère rencontrer une femme me comblant par rapport à toi.
• Que dis-tu, combler, je pensais que je te comblais ?
• Depuis combien de temps toi et moi avons-nous eu un moment d’intimité ?
• Euh !
Il y a peu.
• Pour tes 50 ans, ça fait combien de temps ?
• À oui, quand même, trois mois.
Mais tu sais, j’ai mal à un genou.
• Ce coup-ci c’est le genou.
Dans le temps, c’étaient tes règles douloureuses !
• Ça me donnait des migraines.
• Huit jours avant et quinze après.
J’ai 50 ans comme toi, je suis encore vert et si aujourd’hui je suis un homme seul, j’espère rencontrer une femme un peu plus salope que toi.
• Que veux-tu dire par salope ?
Une femme prenant des initiatives.
• Depuis notre mariage, j’ai toujours eu les mêmes rapports avec toi.
• Justement, c’est là où le bât blesse, nous nous sommes embourgeoisés à part notre épargne-logement rien d’autre pour nous passionner.
• Mais ce sont pour nos vieux jours.
• C’est bien là une grande part de mes reproches, on vit pour le futur et on oublie le présent et l’avenir.
Je souhaite aller le trouver ailleurs.
• Mais je t’aime, je veux finir ma vie avec toi.
• Voilà encore un grief, que fais-tu pour entretenir la flamme entre nous à part tes petits plats.
Il y a bien des salopes qui baisent en prenant des initiatives, tout en faisant des bons petits plats !
• Encore tes salopes, tu vois que c’est une histoire de femme.
• Je vais aller faire ma valise si tu refuses d’aller me la faire.
Je savais que si je cédais à Janine, je finirais ma vie en me faisant un nœud au sexe et que je serais toujours à la remorque de celle que j’ai épousée pour nos 20 ans.
Nous étions vierges tous les deux et je manquais de connaissances sur le sexe.
Je l’ai dépucelée, pardons nous nous sommes dépucelés et depuis la routine s’est installée.
J’arrive à la porte de notre pavillon.
Elle est en larmes, elle se jette au sol m’attrapant le pied.
Je me retourne pour la faire lâcher, c’est la première fois que je vois ma femme dans une position lubrique.
Sa jupe est remontée et sa petite culotte en coton lui rentre dans la chatte.
Je suis à deux doigts de craquer, mais j’ai enfin décidé de m’émanciper et je tiens à aller jusqu’au bout.
C’est quand Martin mon comptable et ami m’a demandé de prendre soin de ses poissons exotiques que l’idée a pris corps.
Il a un aquarium de 300 litres avec des centaines de poissons de toutes formes et de toutes couleurs.
Une mauvaise expérience l’année dernière pendant ses vacances d’été.
Le distributeur de nourriture s’était emballé, entraînant des dizaines de morts.
Ça l’avait vacciné de recommencer.
Il m’a demandé de venir m’en occuper pendant ces quinze jours de vacances en famille sur la côte bordelaise.
Ayant les clefs de chez lui et une chambre d’amis, j’ai quinze jours pour voir si celle que j’aime est capable de changer pour comme je l’ai dit être un petit peu plus salope.
Le lendemain, je suis à deux doigts de craquer.
Il faut toujours que je sois impeccable étant chef d’entreprise et il a fallu que je trouve le fer à repasser pour que ma chemise soit aussi impeccable que celle que je mets tous les jours.
Mais j’y arrive avec simplement dix minutes de retard.
C’est la première fois depuis que j’ai tourné la clef de mon bureau et que j’ai fait faire démarrer ma première presse hydraulique.
Problème de chemise a repassé, mais aussi pendant la soirée.
Martin refuse que ses enfants deviennent accros à la télé, il l’a laissé chez le marchand.
« Les hauts de hurlevent » d’Émilie Brontë ma tenue compagnie, mais c’était chiant au possible, qui peut lire ce genre de livre.
Sortir, j’ai failli me laisser tenter, mais j’ai fini par m’endormir sur le canapé le livre sur ma figure.
Ça fait drôle d’émerger dans un lieu où il vous faut quelques minutes pour remettre les pieds sur terre.
Il faut dire pour ma défense que la bouteille de whisky que j’ai achetée m’a bien aidée.
Une nouvelle fois devant le café soluble que j’ingurgite, je suis à deux doigts de courir chez Janine boire son café du matin avec mes petites tartines.
Certes, j’ai un manque de sexe avec elle, mais certains côtés de notre vie commune m’apparaissent comme des moments de plaisir d’un autre genre.
• Allo, Ludovic revient, j’ai compris.
Ça fait trois jours que Ludovic m’a quittés.
Quand ces gens de l’agence immobilière sont venus pour estimer notre pavillon, j’ai cru à une blague.
Mais quand Ludovic est arrivé et qu’il m’a confirmé son envie de me quitter, car je le décevais sexuellement, j’ai réfléchi à ce que je pourrais faire pour le reconquérir.
Depuis notre mariage et l’ouverture de notre entreprise, il est vrai que nous baisons vieille France.
Un petit coup pour l’hygiène de temps en temps.
Dès qu’il a tourné le coin avec notre voiture allant certainement dans un hôtel où des prostituées vont le combler sexuellement, je me suis remise en question.
« Qu’est-ce qu’une salope ? »
Je fais des recherches sur Internet.
Je sais me service de cet engin moderne inexistant dans notre jeunesse.
« Comment garder son mari ? »
C’est là que je trouve quelques conseils.
Vestimentaire pour commencer.
Ils montrent des tenues plus ou moins suggestive tout au long de la vie.
On est moins salope par les vêtements à 50 qu’à 20.
Mais une chose est commune les sous-vêtements même si en vieillissant votre cul s’est légèrement arrondi ainsi que vos seins plus volumineux après avoir eu deux enfants de 29 et 25 ans.
Le travail de Ludovic m’a permis de les élever et après, l’habitude étant prise, j’ai continué à m’occuper de notre foyer.
Mon mari a raison, je l’ai trop délaissé, aussi dès le lendemain, je fais chauffer la carte bleue et je change mon look.
Coiffeur, cheveux plus courts et vêtements.
Deux boutiques, l’une ou je choisis quatre sous-vêtements affriolants dont une guêpière rouge sang, mettant ma poitrine en valeur.
Enfin, une deuxième où j’achète trois tenues du genre préconisé pour une femme de 50 ans.
J’ai un peu de mal avec ces dernières, mais il faut ce qu’il faut, si je veux le reconquérir.
Enfin, je prends conseil de ce que les hommes de son âge aiment !
Vais-je être capable de mettre en pratique le seul point numéro un, moi qui depuis 30 ans je me contente d’écarter mes cuisses et qu’il finisse de se vider en moi ?
• Allo Ludovic revient, j’ai compris.
Ce coup de fil au troisième jour me comble de bonheur.
Que veut dire, « j’ai compris. »Il est 18 heures quand je gare ma voiture devant notre pavillon.
Demain, les gens de l’agence doivent revenir l’estimer.
La porte est fermée, mais sans être close.
Je la pousse, le sol couvert de pétales de roses semblant faire un chemin.
Ils me conduisent dans le salon où elle est là magnifique dans une guêpière rouge sang avec des talons hauts que je vois, eux aussi, pour la première fois.
Mon regard se pose sur sa chatte.
Elle s’est fait épiler sacrifiant sa toison brune lui couvrant presque tout le bas-ventre.
J’ai quitté une mémère à son toutou pleurant sur la misère du monde me tenant le pied me montrant sa culotte en coton et je retrouve Greta Garbo, le long fume-cigarette en moins dans « l’ange bleu ».
• Avance, j’espère que je vais être ta parfaite salope.
Je m’agenouille devant celui que je souhaite reconquérir.
J’ai fait tout bien comme ils le disaient.
Je dégraphe son pantalon et je sors sa bite.
Petit moment d’hésitation et je le fais entrer dans ma bouche.
À oui, le masturber d’une main pendant que je le pompe avec mes lèvres.
Faire tourner ma langue sur ce qu’ils appellent le méat ou le gland, c’est selon.
Je dois avouer que j’aime bien.
J'aime surtout nettoyer les gouttes de sperme qui perle sous l’excitation que je lui procure.
Non d’un chien que c’est bon, quelle salope surtout quand elle me lèche les couilles…
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