COLLECTION LIBERTINAGES. L’amour libre (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGES. L’amour libre (1/2)
• Quelle chance de t’avoir rencontré, une jeune fille aussi pure que toi, c’est très rare à notre époque !
• Tu te trompes Jean, je manque d’expérience ayant grandi dans un couvent avec des sœurs, mais, elles m’ont appris la nature humaine !
Lorsque je t’ai vu, j’ai tout de suite su que tu étais l’homme de ma vie.
• Des mots ma chérie, dès que je le peux, je vais te prouver que tu t’appartiens et que tu peux faire tout ce que tu veux pour ton seul plaisir, même si tu m’en apporte beaucoup.
• Mais, je t’ai juré fidélité devant monsieur le curé François et les deux cents invités présent à notre noce.
• Convention, ceci n’est qu’une question de convention.
Je te le répète, rapidement je veux que tu connaisses autre chose de la vie, que simplement mon propre sexe.
• Comment dois-je prendre ces mots ?
• Lesquels ?
• Sexe et mon propre sexe, ton sexe ou celui d’une autre femme, je sais que l’amour entre deux femmes existe, j’en ai eu la preuve au couvent.
Sœur Madeleine, avait des penchants pour les jeunes filles que nous étions.
• As-tu succombé ?
• Quelle horreur, avec mon propre sexe ?
Depuis notre nuit de noces et ta verge qui est entrée en moi, même si cette première fois, j’ai eue mal, je n’aspirais qu’à ce que tu recommences.
Nous l’avons refait et depuis je suis la femme la plus heureuse au monde.
C’est à ce moment que le portable de Jean a sonné et qu’il a décroché.
• Christian, je suis heureux de t’entendre, je pensais justement à toi et tu m’appelles.
Dit moi, lorsque l’autre soir, tu m’as dit que j’avais de la chance d’épouser Sophie, avais-tu des envies de coucher avec elle ?
Mon mari est fou, c’est vrai que Christian est beau, comparé à Jean, du moins plus beau physiquement, mais de là à me donner à lui, il y a un monde infranchissable pour moi petite fille modèle.
• Tu me confirmes, que la pensée de passer un moment avec elle, t’as traversé l’esprit !
J’en suis satisfait, dimanche à 14 heures, seras-tu disponible ?
Pourquoi, mais pour que ma femme te rejoigne chez toi et que vous fassiez l’amour, je te la déposerais et elle sera à toi si elle le désire ?
Elle seule a le droit de se donner à toi.
Oui, elle est là, veux-tu que je te la passe, elle te confirmera que je suis d’accord pour qu’elle vive ses moments de plaisir comme toi ou moi, nous vivons les nôtres.
Elle me fait les gros yeux, mais au fond d’elle, je suis sûr qu’elle comprendra la vie que je veux qu’elle vive et que je vive par son intermédiaire.
Dimanche 14 heures, Jean m’a choisi mes vêtements, un peu osés, mais qui vont exciter Christian lorsque je descends de notre voiture et que je frappe à sa porte.
J’ai un peu peur, mais alors que j’entends que la porte va s’ouvrir, je me retourne et je fais un petit geste de ma main à celui que j’avais juré fidélité.
Il me répond par le même petit geste avant de redémarrer notre voiture.
• Ma chérie, dit moi tout dans les moindres détails.
• Mais, c’est malsain si je te disais qu’il m’a fait entrer, qu’il m’a semblé plus intimidé que moi.
• C’est toi ou lui qui a déboutonné la blouse que je t’avais préparée sans te faire porter de soutien-gorge ?
Je voulais que tes seins lui sautent à la main comme je le fais en ce moment.
• Il me les a caressés longuement, sa bouche est venue prendre mon téton.
• Comme cela ?
• Oui, il m’a même mordillé le droit, je me sentais toute chaude.
• C’est normal, tu es une jeune fille faite pour l’amour.
• J’ai eu un léger souci à ce moment, il aurait dû avoir deux bouches.
• Une pour tes seins et l’autre déjà pour ton clitoris ?
• Non, Jean, tu vas trop vite, avec sa bouche, il titillait mon sein alors qu’en même temps j’aurais voulu qu’elle soit sur la mienne et que nos langues jouent entre elles.
• Qu’a-t-il fait ?
• J’ai senti sa main chercher le bouton pour défaire ma jupe.
• A-t-il été assez adroit ?
• Non, c’est moi qui ai été obligée de le défaire, je sentais sa main trembler.
• Aurais-tu à un moment donné eu envie d’arrêter et de revenir ici en courant ?
• Tu aurais aimé que je le quitte et qu’ainsi je te prouve tout mon amour !
• Oh que non, j’aurais été déçu, je te l’ai dit, tu es faite pour l’amour et surement pas pour un amour exclusif avec moi.
Une question, qui me vient à l’esprit ?
• Dis mon amour, je vais te répondre avec franchise !
• Puis que tu as libéré ta robe, a-t-il apprécié ton porte jarretelle et tes bas ainsi que tes longues jambes perchées sur tes hauts talons !
• Je l’ignore, il était en train de descendre tout le long de mon corps et de me lécher le nombril au passage.
Sa queue m’était cachée, tu vois mon amour depuis que tu as fait de moi une femme, j’avais du mal à parler de queue !
Là c’est sorti très naturellement, deviendrais-je la cochonne que tu voudrais que je sois.
• Tu es en bonne voie, mais il faut m’en dire plus !
A-t-il apprécié que comme pour tes seins ta chatte soit libre de toute entrave ?
• Comme fou, chérie, il frottait sa joue sur mon triangle pubien que tu avais personnellement taillé ce matin lorsque tu m’as aidé à me préparer.
• Qu’a-t-il dit, sa bouche étant libre ?
• Il a parlé, il disait que mon vagin était un océan qu’il aurait plaisir à naviguer dessus, là j’ai eu un moment de panique !
• T’a-t-il fait mal ?
• Pas du tout, j’ai failli hurler lorsque ses lèvres mon embrasser ma petite excroissance.
• Tu as toujours autant de mal à parler de ton clitoris.
Je t’ai cent fois expliqué que ton clitoris était le centre de ta féminité qui te donnait le droit comme pour nous les hommes à ta propre jouissance.
Nous c’est notre verge, vous c’est principalement votre clito.
• Clitoris, clitoris, clitoris, il faut que je m’habitue à ces mots bannis de mon vocabulaire tout le temps ou j’ai été au couvent.
• Qu’a-t-il fait après ?
• Ses doigts sont venus à la recousse de ses lèvres et de sa langue.
J’ai écarté légèrement mes jambes et ses doigts ont écarté les grandes lèvres de ma chatte.
• C’est bien ma chérie, tu vois, c’est facile de prononcer ces mots, tu verras rapidement, ça deviendra un langage tellement familier après toutes les expériences que je vais te faire vivre.
• Il y en aura d’autres !
• Oui, même avec des filles, je connais quelques-unes d’entre elles qui saurons t’apprendre à devenir une bonne lesbienne !
• Une gouine ?
• Non, Sophie, gouine dans ta bouche c’est comme si je disais pédé pour tes amants lorsqu’ils te sodomiseront.
• Sodomiser, Jean, je crois que c’est prendre une bite dans le cul, je trouve ça dégueulasse !
• Toujours outrancière mon bébé, après que tu aies terminé de me raconter ta première expérience avec un autre homme, je vais te prendre par le petit et faire de toi une sodomite.
• Quel vocabulaire plus difficile à apprendre que les livres de Victor Hugo ou autre Baudelaire.
• Je vais te faire lire les onze mille verges de Guillaume Apollinaire et quelques autres ouvrages libertins que je possède dans ma bibliothèque.
Je pense que petite tu lisais la collection rose, moi, c’était les livres érotiques que mes parents possédaient, histoire d’O ou Emmanuelle le roman écrit par Emmanuelle Arsan.
Mais continue, tu l’as aidé à ouvrir ta chatte, y a-t-il mis sa langue ?
• Bien sûr, mon sexe dégoulinait dans sa bouche, j’ai été à deux doigts de tomber.
Il m’a aidé à me poser sur ce lit qui allait devenir notre lieu de plaisir.
• Lieu de plaisir, Sophie, tu y es !
Un lit a deux fonctions, récupération de la fatigue que le travail et nos autres activités nous apportent.
Mais aussi jeux de sexe, bien que tu aies beaucoup aimé lorsque nous avons fait l’amour, toi venant t’empaler sur mon pieu sur l’une des chaises de notre salle à manger.
• Tu m’as surprise cette fois-là, je découvrais cette façon de me faire prendre et j’en ai tiré un immense plaisir, mais lorsque tu as déchargé, j’ai bien senti que tu aimais beaucoup ça.
• Mon plaisir a été décuplé car je savais que je t’avais fait franchir une nouvelle étape de notre vie de couple.
• Apprends-moi encore beaucoup de choses mon bébé.
• Sois sûr, mais avant une fois allongée, il t’a baisé !
• Tu voudrais bien que je passe les autres étapes, encore une fois, non, tu vas trop vite, il est de nouveau retourné vers ma fente qui dégoulinait encore plus.
Lorsque mes lèvres vaginales ont été ouvertes une nouvelle fois par sa langue, je me suis tortillé de droite à gauche et j’ai joui pour la première fois de la soirée.
• Comme ça ?
• J’ai l’impression que tu étais là... rah, rah, rahh...
• C’est sur ma belle petite salope tu démarres au quart de tour, tu vois, je te fais jouir avec ma langue, et Christian lui aussi l’a pu.
Mon amour est-il pour autant entamé ?
• Oufffff ! attend un peu que je redescende, il en a été de mêmeeee avec lui.
Mais continu, oui continu, oui continu, ouiiiiii.
• Eh ! bébé, ou, ou, je suis là, redescends sur terre, avec lui aussi sa simple langue t’a apporté ton premier orgasme !
Dans l’état et où je suis partie, je suis dans l’impossibilité de lui répondre, je l’entends, mais j’entends aussi les battements sourds de mon cœur.
Jean avait raison, j’ai joui aussi fort avec l’un qu’avec l’autre un premier orgasme ma frappée avec Christian comme il vient de me frapper avec mon mari.
Chacun, l’un comme l’autre se sont accrochés à mes hanches pendant que leur langue continuait à s’activer.
L’un comme l’autre ont fait remonter leurs mains sur mes seins.
• Ah ! ah ! ah ! ahhhhhhh...
• Tu te trompes Jean, je manque d’expérience ayant grandi dans un couvent avec des sœurs, mais, elles m’ont appris la nature humaine !
Lorsque je t’ai vu, j’ai tout de suite su que tu étais l’homme de ma vie.
• Des mots ma chérie, dès que je le peux, je vais te prouver que tu t’appartiens et que tu peux faire tout ce que tu veux pour ton seul plaisir, même si tu m’en apporte beaucoup.
• Mais, je t’ai juré fidélité devant monsieur le curé François et les deux cents invités présent à notre noce.
• Convention, ceci n’est qu’une question de convention.
Je te le répète, rapidement je veux que tu connaisses autre chose de la vie, que simplement mon propre sexe.
• Comment dois-je prendre ces mots ?
• Lesquels ?
• Sexe et mon propre sexe, ton sexe ou celui d’une autre femme, je sais que l’amour entre deux femmes existe, j’en ai eu la preuve au couvent.
Sœur Madeleine, avait des penchants pour les jeunes filles que nous étions.
• As-tu succombé ?
• Quelle horreur, avec mon propre sexe ?
Depuis notre nuit de noces et ta verge qui est entrée en moi, même si cette première fois, j’ai eue mal, je n’aspirais qu’à ce que tu recommences.
Nous l’avons refait et depuis je suis la femme la plus heureuse au monde.
C’est à ce moment que le portable de Jean a sonné et qu’il a décroché.
• Christian, je suis heureux de t’entendre, je pensais justement à toi et tu m’appelles.
Dit moi, lorsque l’autre soir, tu m’as dit que j’avais de la chance d’épouser Sophie, avais-tu des envies de coucher avec elle ?
Mon mari est fou, c’est vrai que Christian est beau, comparé à Jean, du moins plus beau physiquement, mais de là à me donner à lui, il y a un monde infranchissable pour moi petite fille modèle.
• Tu me confirmes, que la pensée de passer un moment avec elle, t’as traversé l’esprit !
J’en suis satisfait, dimanche à 14 heures, seras-tu disponible ?
Pourquoi, mais pour que ma femme te rejoigne chez toi et que vous fassiez l’amour, je te la déposerais et elle sera à toi si elle le désire ?
Elle seule a le droit de se donner à toi.
Oui, elle est là, veux-tu que je te la passe, elle te confirmera que je suis d’accord pour qu’elle vive ses moments de plaisir comme toi ou moi, nous vivons les nôtres.
Elle me fait les gros yeux, mais au fond d’elle, je suis sûr qu’elle comprendra la vie que je veux qu’elle vive et que je vive par son intermédiaire.
Dimanche 14 heures, Jean m’a choisi mes vêtements, un peu osés, mais qui vont exciter Christian lorsque je descends de notre voiture et que je frappe à sa porte.
J’ai un peu peur, mais alors que j’entends que la porte va s’ouvrir, je me retourne et je fais un petit geste de ma main à celui que j’avais juré fidélité.
Il me répond par le même petit geste avant de redémarrer notre voiture.
• Ma chérie, dit moi tout dans les moindres détails.
• Mais, c’est malsain si je te disais qu’il m’a fait entrer, qu’il m’a semblé plus intimidé que moi.
• C’est toi ou lui qui a déboutonné la blouse que je t’avais préparée sans te faire porter de soutien-gorge ?
Je voulais que tes seins lui sautent à la main comme je le fais en ce moment.
• Il me les a caressés longuement, sa bouche est venue prendre mon téton.
• Comme cela ?
• Oui, il m’a même mordillé le droit, je me sentais toute chaude.
• C’est normal, tu es une jeune fille faite pour l’amour.
• J’ai eu un léger souci à ce moment, il aurait dû avoir deux bouches.
• Une pour tes seins et l’autre déjà pour ton clitoris ?
• Non, Jean, tu vas trop vite, avec sa bouche, il titillait mon sein alors qu’en même temps j’aurais voulu qu’elle soit sur la mienne et que nos langues jouent entre elles.
• Qu’a-t-il fait ?
• J’ai senti sa main chercher le bouton pour défaire ma jupe.
• A-t-il été assez adroit ?
• Non, c’est moi qui ai été obligée de le défaire, je sentais sa main trembler.
• Aurais-tu à un moment donné eu envie d’arrêter et de revenir ici en courant ?
• Tu aurais aimé que je le quitte et qu’ainsi je te prouve tout mon amour !
• Oh que non, j’aurais été déçu, je te l’ai dit, tu es faite pour l’amour et surement pas pour un amour exclusif avec moi.
Une question, qui me vient à l’esprit ?
• Dis mon amour, je vais te répondre avec franchise !
• Puis que tu as libéré ta robe, a-t-il apprécié ton porte jarretelle et tes bas ainsi que tes longues jambes perchées sur tes hauts talons !
• Je l’ignore, il était en train de descendre tout le long de mon corps et de me lécher le nombril au passage.
Sa queue m’était cachée, tu vois mon amour depuis que tu as fait de moi une femme, j’avais du mal à parler de queue !
Là c’est sorti très naturellement, deviendrais-je la cochonne que tu voudrais que je sois.
• Tu es en bonne voie, mais il faut m’en dire plus !
A-t-il apprécié que comme pour tes seins ta chatte soit libre de toute entrave ?
• Comme fou, chérie, il frottait sa joue sur mon triangle pubien que tu avais personnellement taillé ce matin lorsque tu m’as aidé à me préparer.
• Qu’a-t-il dit, sa bouche étant libre ?
• Il a parlé, il disait que mon vagin était un océan qu’il aurait plaisir à naviguer dessus, là j’ai eu un moment de panique !
• T’a-t-il fait mal ?
• Pas du tout, j’ai failli hurler lorsque ses lèvres mon embrasser ma petite excroissance.
• Tu as toujours autant de mal à parler de ton clitoris.
Je t’ai cent fois expliqué que ton clitoris était le centre de ta féminité qui te donnait le droit comme pour nous les hommes à ta propre jouissance.
Nous c’est notre verge, vous c’est principalement votre clito.
• Clitoris, clitoris, clitoris, il faut que je m’habitue à ces mots bannis de mon vocabulaire tout le temps ou j’ai été au couvent.
• Qu’a-t-il fait après ?
• Ses doigts sont venus à la recousse de ses lèvres et de sa langue.
J’ai écarté légèrement mes jambes et ses doigts ont écarté les grandes lèvres de ma chatte.
• C’est bien ma chérie, tu vois, c’est facile de prononcer ces mots, tu verras rapidement, ça deviendra un langage tellement familier après toutes les expériences que je vais te faire vivre.
• Il y en aura d’autres !
• Oui, même avec des filles, je connais quelques-unes d’entre elles qui saurons t’apprendre à devenir une bonne lesbienne !
• Une gouine ?
• Non, Sophie, gouine dans ta bouche c’est comme si je disais pédé pour tes amants lorsqu’ils te sodomiseront.
• Sodomiser, Jean, je crois que c’est prendre une bite dans le cul, je trouve ça dégueulasse !
• Toujours outrancière mon bébé, après que tu aies terminé de me raconter ta première expérience avec un autre homme, je vais te prendre par le petit et faire de toi une sodomite.
• Quel vocabulaire plus difficile à apprendre que les livres de Victor Hugo ou autre Baudelaire.
• Je vais te faire lire les onze mille verges de Guillaume Apollinaire et quelques autres ouvrages libertins que je possède dans ma bibliothèque.
Je pense que petite tu lisais la collection rose, moi, c’était les livres érotiques que mes parents possédaient, histoire d’O ou Emmanuelle le roman écrit par Emmanuelle Arsan.
Mais continue, tu l’as aidé à ouvrir ta chatte, y a-t-il mis sa langue ?
• Bien sûr, mon sexe dégoulinait dans sa bouche, j’ai été à deux doigts de tomber.
Il m’a aidé à me poser sur ce lit qui allait devenir notre lieu de plaisir.
• Lieu de plaisir, Sophie, tu y es !
Un lit a deux fonctions, récupération de la fatigue que le travail et nos autres activités nous apportent.
Mais aussi jeux de sexe, bien que tu aies beaucoup aimé lorsque nous avons fait l’amour, toi venant t’empaler sur mon pieu sur l’une des chaises de notre salle à manger.
• Tu m’as surprise cette fois-là, je découvrais cette façon de me faire prendre et j’en ai tiré un immense plaisir, mais lorsque tu as déchargé, j’ai bien senti que tu aimais beaucoup ça.
• Mon plaisir a été décuplé car je savais que je t’avais fait franchir une nouvelle étape de notre vie de couple.
• Apprends-moi encore beaucoup de choses mon bébé.
• Sois sûr, mais avant une fois allongée, il t’a baisé !
• Tu voudrais bien que je passe les autres étapes, encore une fois, non, tu vas trop vite, il est de nouveau retourné vers ma fente qui dégoulinait encore plus.
Lorsque mes lèvres vaginales ont été ouvertes une nouvelle fois par sa langue, je me suis tortillé de droite à gauche et j’ai joui pour la première fois de la soirée.
• Comme ça ?
• J’ai l’impression que tu étais là... rah, rah, rahh...
• C’est sur ma belle petite salope tu démarres au quart de tour, tu vois, je te fais jouir avec ma langue, et Christian lui aussi l’a pu.
Mon amour est-il pour autant entamé ?
• Oufffff ! attend un peu que je redescende, il en a été de mêmeeee avec lui.
Mais continu, oui continu, oui continu, ouiiiiii.
• Eh ! bébé, ou, ou, je suis là, redescends sur terre, avec lui aussi sa simple langue t’a apporté ton premier orgasme !
Dans l’état et où je suis partie, je suis dans l’impossibilité de lui répondre, je l’entends, mais j’entends aussi les battements sourds de mon cœur.
Jean avait raison, j’ai joui aussi fort avec l’un qu’avec l’autre un premier orgasme ma frappée avec Christian comme il vient de me frapper avec mon mari.
Chacun, l’un comme l’autre se sont accrochés à mes hanches pendant que leur langue continuait à s’activer.
L’un comme l’autre ont fait remonter leurs mains sur mes seins.
• Ah ! ah ! ah ! ahhhhhhh...
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