COLLECTION LIBERTINAGES. L’amour libre (2/2)
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Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LIBERTINAGES. L’amour libre (2/2)
Ouf, me revoilà !
Je vous avais abandonné frappé pour la deuxième fois, mais loin d’être la dernière.
L’orgasme que la bouche de Jean vient de m’apporter comme la bouche de Christian mon premier amant depuis mon mariage avec Jean m’en avait apporté un en début d’après-midi.
Au moment où je reviens sur terre, Jean m’a fait énormément progresser dans ma sexualité de jeune fille sans grande connaissance du sexe.
Jean m’a fait progresser en me déposant devant chez Christian ce dimanche mille fois plus vite que la vingtaine d’années passées sur cette terre.
Il faut dire que parmi celle-là, une grande partie je les ai vécus dans un couvent pour jeunes filles de bonne famille où les sœurs aux trois quarts n’ont jamais vu de sexe mâle de leur vie.
Certaines comme sœur Madeleine, connaissent les sexes féminins en ayant des rapports avec quelques-unes de mes congénères, mais sans moi car à la différence d’elles, à ce jour j’ignorais le septième, « La Luxure. »
« À ce jour, » car Jean mon mari a décidé que notre mariage serait plein et entier si j’apprenais à assumer ma sexualité à partir d’aujourd’hui.
Pour lui, je suis une page blanche, qu’il a décidé de me faire remplir tout au long de ma vie, mais surtout celle de notre vie de couple.
Après l’après-midi passé dans les bras du premier amant qu’il m’a choisi, je suis trop timide pour en choisir un moi-même.
Christian m’a démontré que mon mari était dans le vrai, car je viens de perdre les pédales sous sa langue attaquant mon clito, comme cela m’est arrivé sous sa langue.
• Eh ! oh, je suis là, tu as tourné de l’œil, tu es la première femme qui a du mal à revenir sur terre sous une simple léchouille de sa chatte.
• Chérie, avec Christian ça a été pareil à un détail près, avec lui, c’était physique, avec toi, mon cœur en plus à failli explosé !
• Je suis pleinement satisfait de ces mots !
Tu ne les aurais pas prononcés, je t’aurais renvoyé définitivement dans les bras de cet amant d’une seule fois !
Bien que l’on verra si je te fais refaire une deuxième expérience avec lui.
• Je dis non, bébé, une seule fois, mes parents ont fini par se séparer, car ils avaient éteint la flamme qui brûlait en eux.
Il est vrai que papa et maman, n’ont certainement jamais connu, en presque trente ans de vie commune, ce que tu m’as fait vivre depuis que tu as demandé ma main à mon père.
• Ma puce, tu ignores tout de la vie de tes parents et de ce qui se passait dans leur alcôve.
Bien des couples, donnent l’impression d’être lisse comme une peau de bébé à ce qu’ils montrent à leurs proches ou leurs amis.
Mais dès la porte de leur chambre refermée, ils deviennent les pires salopards que la terre puisse porter.
Je vais t’apprendre quelque chose de tes parents, mon cœur.
Ton père a quitté ta mère, d’un commun accord après des années de vie commune, car chacun d’entre eux avait une maîtresse pour lui et un amant pour elle.
• Comment sais-tu tout cela, étais-tu l’amant de maman ?
• J’aurais pu, lorsque je les ai connus, j’ignorais qu’ils avaient une fille dans un couvent pour jeunes filles de bonne famille, belle comme un cœur et que je pourrais façonner comme je vais le faire.
Non, je sais qui était son amant et comme je t’ai promis de tout te dire et tout t’apprendre, c’est avec Lucien ton oncle qu’elle s’envoyait en l’air.
• Quelle horreur, mon tonton, mais pourquoi après sa séparation vit-elle avec Sofiane le fils de sa meilleure amie ?
• Amour et sexe, bébé, nous revenons toujours au même point de départ.
Adam et Ève, une pomme et le chemin que cette dernière a pris, nous renvoyant sur cette terre.
Ajoute à cela la crise de la quarantaine et tu as la parfaite image de la vie sur terre pour les couples qui vivent de façon conventionnelle.
• Heureusement que papa, lui, est resté seul après que maman l’ait quitté !
• Encore une autre erreur de ta part ainsi qu’une autre chose que tu devrais savoir !
• Le ton que tu prends m’inquiète, papa aurait-il une maladie que l’on me cache !
• Si se faire enculer par un homme est une maladie, il est sérieusement malade.
Te souviens-tu à notre mariage, la jeune femme qui a plusieurs fois dansé avec lui ?
• Oui, je ne voulais pas te le dire, mais j’aimerais bien qu’il m’annonce un jour qu’il refait sa vie avec elle !
• C’est déjà fait, il n’a simplement pas encore fait son « coming out. »
• Coming out, j’ai peur de ne pas comprendre !
• Ludivine, tu sais que c’est ainsi qu’elle se fait appeler !
• Se fait appeler, là encore tu me fais peur.
• Oui, c’est en réalité Ludo, un italien qui se travestit en femme, reconnaît que maquillé, c’est à s’y méprendre.
• Mon dieu, mon dieu, mon dieu.
• Non s’il te plait Sophie, laisse-le là où il est, je suis athée, profondément athée.
• Ça, bébé, je connais, tu as été instruit dans la foi catholique et tu refuses de reconnaitre que ça existe.
• Dans n’importe quelle croyance, mon cœur, je suis athée car je rejette toute ce que certains disent venir d’ailleurs.
Je crois en la bite de Christian qui t’a apporté une autre vision du monde que l’on a voulu te montrer depuis ta naissance.
Nous en étions à ton léchage de ta chatte, après que t’a-t-il fait, je suis impatient de connaitre la suite.
• Tu m’excuses, laisse-moi reprendre mon souffle après ta révélation que papa est un pédé, mon chéri.
• Un homosexuel, un pédé, racine de pédéraste, veut dire un homme aimant les petits garçons ou les petites filles encore enfants.
Ludivine ou Ludo, ou Ludovic, est majeur et je pense vacciné et ce qu’ils font ton père et lui doit rester à la porte de leur chambre.
• Tu as raison, nous verrons si un jour il nous apprenne toutes ces vérités.
Christian lorsque je suis revenue sur terre...
Un peu chamboulé par tant de découverte sur ma famille, je reprends le récit de ma visite chez Christian si j’ai bien compris la volonté de mon mari, mon premier amant.
Christian était sur moi sa verge à hauteur de ma bouche, celle de Jean se trouve au même endroit comme si je faisais l’amour avec des jumeaux.
• Je l’ai sucé comme je vais le faire, mais si je te rends dans ma bouche, je serais incapable de te dire ce que j’ai fait et ce que j’ai ressenti.
Bon je vais passer à l’étape suivante !
• Oui, la capote, tu vois la différence entre un mari ou un amant, avec le deuxième il faut le couvrir, avec moi, je peux plonger direct dans ta chatte qui ruisselle de m’attendre.
• Tu as raison, mais c’est Christian qui y a pensé, j’étais tellement près de toi par la pensée que je voyais cette bite bandée au maxi et j’ai failli m’empaler.
• Je suis heureux d’apprendre que Christian avait envie d’une beauté comme la tienne, sinon il aurait fait partie des copains de Ludivine et de ton père.
• Tu m’énerves à toujours m’interrompre, chaque fois, il faut que je fasse revenir mes souvenirs, c’était épuisant de me faire baiser, ça l’est aussi de te raconter.
Tu m’avais appris à la mettre avec ma bouche, je ne me suis pas privé de le faire avec lui, une fois que je me suis souvenue de ton conseil sur les risques sans.
• Et c’est comme cela qu’il t’a pris, il t’a planté au cœur de ta féminité !
• Tu y étais, tu es un affreux voyeur, c’est vrai, tu es sa bite et je suis tes yeux.
Oui, il m’a pris, mais je n’ai pas joui, il a déchargé dans la capote avant que je n’aie eu le temps de m’envoyer en l’air.
• Quel con, mais ça me rassure, tu l’as fait tellement bander qu’il a été incapable de te baiser longuement, tient, tient, tient.
• Ah ! ah ! ah ! ahhhhhh, je jouu.....
Il jouit, je jouis, nous jouissons.
Je viens de me réveiller après cet orgasme qui vient de me traverser et qui m’a fait perdre les pédales.
La bite de mon homme, mon Jean à moi, pas celui d’Emmanuel le film qu’il me montre lorsque je reviens parmi les hommes et même les femmes.
Les femmes, c’est huit jours plus tard qu’ils m’apprennent, Jean, Clotilde et Valentin à aimer les amours féminins.
La douceur de Clotilde, m’a appris et surtout démontré l’erreur faite de ne pas m’être rapprochée de sœur Sabine.
Elle était la jeune none qui nous faisait nos cours de math dans les dernières années avant de rejoindre la vie que Jean me réserve.
Elle me regardait souvent avec insistance lorsque nous étions en cours.
À ce moment de ma vie j’étais tellement conditionné dans la façon d’être que j’étais incapable de détecter les signaux que nos regards, de l’attitude de nos corps nous incitant à nos rencontrer.
Clotilde a été la première à me sucer lorsque je la suçais devant nos maris, semblant aux anges.
Bien que moi aussi je sois une athée profonde comme les bites de ces deux hommes, les premiers à me défoncer en double pénétration.
C’est Clotilde qui a mis sa capote à Valentin avant de conduire sa bite dans mon petit œillet.
J’ai eu un léger remords lorsqu’il m’a enculé, j’aurais voulu l’inverse, lui dans ma chatte et mon mari me prenant mon troisième pucelage.
Il avait déjà eu ma chatte, mais aussi ma bouche.
Depuis, j’aime partouzer avec lui, ainsi, il voit directement les hommes et les femmes qui me prennent ou que je prends, car j’ai appris à prendre des initiatives.
Le seul moment où je suis fidèle à mon voeu de mariage de fidélité, c’est lorsque par les détails je lui raconte mes incartades avec mes amants.
• Dis-moi Sophie, qu’est-ce que ça t’a fait de baiser avec une none, tu lui avais enlevé sa cornette où elle l’avait gardée sur sa tête.
C’est la seule fois, à ce jour, que j’ai gardé pour moi, ce détail, baisé avec sœur Sabine, ce fut l’un des meilleurs jours de ma vie.
J’étais retournée à ma pension pour jeunes filles tenues par des sœurs.
C’est elle qui est venue nous ouvrir lorsque j’ai fait sonner la cloche.
C’est elle qui m’a guidé jusqu’à sa cellule contente de retrouver une amie, du moins c’est l’impression que j’ai eue.
C’est moi qui dès la porte refermée, je l’ai prise dans mes bras, lui montrant le chemin que j’avais fait mon mari étant resté à l’hôtel en compagnie galante.
La serveuse nous ayant servis notre repas hier au soir.
Je reste deux jours, sur les lieux de ma jeunesse.
Je reste deux jours à montrer à sœur Sabine, les chemins que j’ai faits grâce à mon mari
Sur la route du retour chez nous, dans notre belle voiture anglaise, il me raconte comment la serveuse savait tortiller du cul et comment il l’a sauté.
Lorsqu’il a terminé, je lui raconte comment Solange, c’est le vrai nom de ma belle none, m’a confirmé qu’elle me faisait des appels du pied lorsque je n’étais encore qu’une oie blanche.
Des étapes encore dans ma vie, peut-être un gang bang avec une vingtaine de bites ou une vingtaine de chattes, restent à en trouver autant pour satisfaire, l’un de mes principaux fantasmes.
Le sexe, le sexe, rien que le sexe, non l’amour aussi de celui qui a su faire de moi cette femme libre de les choisir et si je le désire de les réaliser.
C’est con, Jean vient de réalisé le dernier à ce jour.
Je viens de me faire poser un piercing sur le clito, j’ai mal, mais qu’est-ce que c’est beau lorsque je me regarde dans ma glace de notre salle de bains.
Je vous avais abandonné frappé pour la deuxième fois, mais loin d’être la dernière.
L’orgasme que la bouche de Jean vient de m’apporter comme la bouche de Christian mon premier amant depuis mon mariage avec Jean m’en avait apporté un en début d’après-midi.
Au moment où je reviens sur terre, Jean m’a fait énormément progresser dans ma sexualité de jeune fille sans grande connaissance du sexe.
Jean m’a fait progresser en me déposant devant chez Christian ce dimanche mille fois plus vite que la vingtaine d’années passées sur cette terre.
Il faut dire que parmi celle-là, une grande partie je les ai vécus dans un couvent pour jeunes filles de bonne famille où les sœurs aux trois quarts n’ont jamais vu de sexe mâle de leur vie.
Certaines comme sœur Madeleine, connaissent les sexes féminins en ayant des rapports avec quelques-unes de mes congénères, mais sans moi car à la différence d’elles, à ce jour j’ignorais le septième, « La Luxure. »
« À ce jour, » car Jean mon mari a décidé que notre mariage serait plein et entier si j’apprenais à assumer ma sexualité à partir d’aujourd’hui.
Pour lui, je suis une page blanche, qu’il a décidé de me faire remplir tout au long de ma vie, mais surtout celle de notre vie de couple.
Après l’après-midi passé dans les bras du premier amant qu’il m’a choisi, je suis trop timide pour en choisir un moi-même.
Christian m’a démontré que mon mari était dans le vrai, car je viens de perdre les pédales sous sa langue attaquant mon clito, comme cela m’est arrivé sous sa langue.
• Eh ! oh, je suis là, tu as tourné de l’œil, tu es la première femme qui a du mal à revenir sur terre sous une simple léchouille de sa chatte.
• Chérie, avec Christian ça a été pareil à un détail près, avec lui, c’était physique, avec toi, mon cœur en plus à failli explosé !
• Je suis pleinement satisfait de ces mots !
Tu ne les aurais pas prononcés, je t’aurais renvoyé définitivement dans les bras de cet amant d’une seule fois !
Bien que l’on verra si je te fais refaire une deuxième expérience avec lui.
• Je dis non, bébé, une seule fois, mes parents ont fini par se séparer, car ils avaient éteint la flamme qui brûlait en eux.
Il est vrai que papa et maman, n’ont certainement jamais connu, en presque trente ans de vie commune, ce que tu m’as fait vivre depuis que tu as demandé ma main à mon père.
• Ma puce, tu ignores tout de la vie de tes parents et de ce qui se passait dans leur alcôve.
Bien des couples, donnent l’impression d’être lisse comme une peau de bébé à ce qu’ils montrent à leurs proches ou leurs amis.
Mais dès la porte de leur chambre refermée, ils deviennent les pires salopards que la terre puisse porter.
Je vais t’apprendre quelque chose de tes parents, mon cœur.
Ton père a quitté ta mère, d’un commun accord après des années de vie commune, car chacun d’entre eux avait une maîtresse pour lui et un amant pour elle.
• Comment sais-tu tout cela, étais-tu l’amant de maman ?
• J’aurais pu, lorsque je les ai connus, j’ignorais qu’ils avaient une fille dans un couvent pour jeunes filles de bonne famille, belle comme un cœur et que je pourrais façonner comme je vais le faire.
Non, je sais qui était son amant et comme je t’ai promis de tout te dire et tout t’apprendre, c’est avec Lucien ton oncle qu’elle s’envoyait en l’air.
• Quelle horreur, mon tonton, mais pourquoi après sa séparation vit-elle avec Sofiane le fils de sa meilleure amie ?
• Amour et sexe, bébé, nous revenons toujours au même point de départ.
Adam et Ève, une pomme et le chemin que cette dernière a pris, nous renvoyant sur cette terre.
Ajoute à cela la crise de la quarantaine et tu as la parfaite image de la vie sur terre pour les couples qui vivent de façon conventionnelle.
• Heureusement que papa, lui, est resté seul après que maman l’ait quitté !
• Encore une autre erreur de ta part ainsi qu’une autre chose que tu devrais savoir !
• Le ton que tu prends m’inquiète, papa aurait-il une maladie que l’on me cache !
• Si se faire enculer par un homme est une maladie, il est sérieusement malade.
Te souviens-tu à notre mariage, la jeune femme qui a plusieurs fois dansé avec lui ?
• Oui, je ne voulais pas te le dire, mais j’aimerais bien qu’il m’annonce un jour qu’il refait sa vie avec elle !
• C’est déjà fait, il n’a simplement pas encore fait son « coming out. »
• Coming out, j’ai peur de ne pas comprendre !
• Ludivine, tu sais que c’est ainsi qu’elle se fait appeler !
• Se fait appeler, là encore tu me fais peur.
• Oui, c’est en réalité Ludo, un italien qui se travestit en femme, reconnaît que maquillé, c’est à s’y méprendre.
• Mon dieu, mon dieu, mon dieu.
• Non s’il te plait Sophie, laisse-le là où il est, je suis athée, profondément athée.
• Ça, bébé, je connais, tu as été instruit dans la foi catholique et tu refuses de reconnaitre que ça existe.
• Dans n’importe quelle croyance, mon cœur, je suis athée car je rejette toute ce que certains disent venir d’ailleurs.
Je crois en la bite de Christian qui t’a apporté une autre vision du monde que l’on a voulu te montrer depuis ta naissance.
Nous en étions à ton léchage de ta chatte, après que t’a-t-il fait, je suis impatient de connaitre la suite.
• Tu m’excuses, laisse-moi reprendre mon souffle après ta révélation que papa est un pédé, mon chéri.
• Un homosexuel, un pédé, racine de pédéraste, veut dire un homme aimant les petits garçons ou les petites filles encore enfants.
Ludivine ou Ludo, ou Ludovic, est majeur et je pense vacciné et ce qu’ils font ton père et lui doit rester à la porte de leur chambre.
• Tu as raison, nous verrons si un jour il nous apprenne toutes ces vérités.
Christian lorsque je suis revenue sur terre...
Un peu chamboulé par tant de découverte sur ma famille, je reprends le récit de ma visite chez Christian si j’ai bien compris la volonté de mon mari, mon premier amant.
Christian était sur moi sa verge à hauteur de ma bouche, celle de Jean se trouve au même endroit comme si je faisais l’amour avec des jumeaux.
• Je l’ai sucé comme je vais le faire, mais si je te rends dans ma bouche, je serais incapable de te dire ce que j’ai fait et ce que j’ai ressenti.
Bon je vais passer à l’étape suivante !
• Oui, la capote, tu vois la différence entre un mari ou un amant, avec le deuxième il faut le couvrir, avec moi, je peux plonger direct dans ta chatte qui ruisselle de m’attendre.
• Tu as raison, mais c’est Christian qui y a pensé, j’étais tellement près de toi par la pensée que je voyais cette bite bandée au maxi et j’ai failli m’empaler.
• Je suis heureux d’apprendre que Christian avait envie d’une beauté comme la tienne, sinon il aurait fait partie des copains de Ludivine et de ton père.
• Tu m’énerves à toujours m’interrompre, chaque fois, il faut que je fasse revenir mes souvenirs, c’était épuisant de me faire baiser, ça l’est aussi de te raconter.
Tu m’avais appris à la mettre avec ma bouche, je ne me suis pas privé de le faire avec lui, une fois que je me suis souvenue de ton conseil sur les risques sans.
• Et c’est comme cela qu’il t’a pris, il t’a planté au cœur de ta féminité !
• Tu y étais, tu es un affreux voyeur, c’est vrai, tu es sa bite et je suis tes yeux.
Oui, il m’a pris, mais je n’ai pas joui, il a déchargé dans la capote avant que je n’aie eu le temps de m’envoyer en l’air.
• Quel con, mais ça me rassure, tu l’as fait tellement bander qu’il a été incapable de te baiser longuement, tient, tient, tient.
• Ah ! ah ! ah ! ahhhhhh, je jouu.....
Il jouit, je jouis, nous jouissons.
Je viens de me réveiller après cet orgasme qui vient de me traverser et qui m’a fait perdre les pédales.
La bite de mon homme, mon Jean à moi, pas celui d’Emmanuel le film qu’il me montre lorsque je reviens parmi les hommes et même les femmes.
Les femmes, c’est huit jours plus tard qu’ils m’apprennent, Jean, Clotilde et Valentin à aimer les amours féminins.
La douceur de Clotilde, m’a appris et surtout démontré l’erreur faite de ne pas m’être rapprochée de sœur Sabine.
Elle était la jeune none qui nous faisait nos cours de math dans les dernières années avant de rejoindre la vie que Jean me réserve.
Elle me regardait souvent avec insistance lorsque nous étions en cours.
À ce moment de ma vie j’étais tellement conditionné dans la façon d’être que j’étais incapable de détecter les signaux que nos regards, de l’attitude de nos corps nous incitant à nos rencontrer.
Clotilde a été la première à me sucer lorsque je la suçais devant nos maris, semblant aux anges.
Bien que moi aussi je sois une athée profonde comme les bites de ces deux hommes, les premiers à me défoncer en double pénétration.
C’est Clotilde qui a mis sa capote à Valentin avant de conduire sa bite dans mon petit œillet.
J’ai eu un léger remords lorsqu’il m’a enculé, j’aurais voulu l’inverse, lui dans ma chatte et mon mari me prenant mon troisième pucelage.
Il avait déjà eu ma chatte, mais aussi ma bouche.
Depuis, j’aime partouzer avec lui, ainsi, il voit directement les hommes et les femmes qui me prennent ou que je prends, car j’ai appris à prendre des initiatives.
Le seul moment où je suis fidèle à mon voeu de mariage de fidélité, c’est lorsque par les détails je lui raconte mes incartades avec mes amants.
• Dis-moi Sophie, qu’est-ce que ça t’a fait de baiser avec une none, tu lui avais enlevé sa cornette où elle l’avait gardée sur sa tête.
C’est la seule fois, à ce jour, que j’ai gardé pour moi, ce détail, baisé avec sœur Sabine, ce fut l’un des meilleurs jours de ma vie.
J’étais retournée à ma pension pour jeunes filles tenues par des sœurs.
C’est elle qui est venue nous ouvrir lorsque j’ai fait sonner la cloche.
C’est elle qui m’a guidé jusqu’à sa cellule contente de retrouver une amie, du moins c’est l’impression que j’ai eue.
C’est moi qui dès la porte refermée, je l’ai prise dans mes bras, lui montrant le chemin que j’avais fait mon mari étant resté à l’hôtel en compagnie galante.
La serveuse nous ayant servis notre repas hier au soir.
Je reste deux jours, sur les lieux de ma jeunesse.
Je reste deux jours à montrer à sœur Sabine, les chemins que j’ai faits grâce à mon mari
Sur la route du retour chez nous, dans notre belle voiture anglaise, il me raconte comment la serveuse savait tortiller du cul et comment il l’a sauté.
Lorsqu’il a terminé, je lui raconte comment Solange, c’est le vrai nom de ma belle none, m’a confirmé qu’elle me faisait des appels du pied lorsque je n’étais encore qu’une oie blanche.
Des étapes encore dans ma vie, peut-être un gang bang avec une vingtaine de bites ou une vingtaine de chattes, restent à en trouver autant pour satisfaire, l’un de mes principaux fantasmes.
Le sexe, le sexe, rien que le sexe, non l’amour aussi de celui qui a su faire de moi cette femme libre de les choisir et si je le désire de les réaliser.
C’est con, Jean vient de réalisé le dernier à ce jour.
Je viens de me faire poser un piercing sur le clito, j’ai mal, mais qu’est-ce que c’est beau lorsque je me regarde dans ma glace de notre salle de bains.
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