COLLECTION LIBERTINAGES. Les chambres d’hôtes. (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGES. Les chambres d’hôtes. (2/2)
Nous venons de créer une maison d’hôte qui démarre très mal car nous n’avons pas eu le budget nécessaire pour faire de la publicité.
C’est la route que nous avons dû goudronner et que nous n’avions pas prévu dans les budgets qui ont plombé notre ouverture.
Jusqu’à ce qu’un week-end nous ayons quatre réservations.
Deux couples qui rapidement s’avèrent être libertins, nous qui avons un couple proche des principes que nous avons appris depuis notre plus tendre enfance par nos parents et les curés.
Deux sont dans la piscine faisant l’amour alors que l’autre couple tout autant adultérins se mélange sur l’un des transats.
Les deux dans l’eau sortent et je vois que Florentin à une queue comme l’a dit Odile la brune qui est bien plus grande que celle de Paul.
Il est à noter que ce sont les deuxièmes que je vois depuis ma naissance et surtout mon mariage.
Je regarde mon mari pour qu’il réprimande nos clients qui créent une situation intenable et immorale pour moi.
- Je crois que vous vous appelez Émily, je voudrais vous demander si pour les quatre jours du pont du 14 juillet vos six chambres sont libres !
- Oui pourquoi ?
- Nous avons des amis qui seraient enchantés de venir passer ces quatre jours dans votre gîte.
Je dis bien les six chambres car nous sommes un groupe de libertin et nous voudrions avoir la même liberté que vous nous permettez ce soir.
Je pense que vous êtes aussi libre que nous, nous venons de vous voir faire l’amour à votre fenêtre en nous regardant nous éclater comme nous aimons le faire régulièrement.
- Vous pouvez venir sans problème, Émily et moi nous avions prévu de faire le pont pour nous reposer de ce début de saison qui marche du tonnerre mais si vous prenez les six chambres nous partirons plus tard nous reposer.
- Alors nous sommes d'accord.
Prévoyez quelques caisses de champagne ce sont de gros baiseurs mais aussi de gros buveurs.
Je crois que nous avons trouvé ce que nous cherchions depuis longtemps à deux doigts de Paris.
Je suis outré Paul rentré dans le jeu de ces couples qui sont sans morale.
Nous buvons avec eux et je dois reconnaître que j’ai de plus en plus de mal à détourner mon regard des pieux des deux garçons qui sont comme leurs femmes entièrement épilées.
Quatre jours six couples, Paul une nouvelle fois à raison.
Il vaut mieux tenir que courir et après ces quatre jours je lui demanderais de leur dire que c’est la dernière fois.
Recevoir des libertins pendant ces quatre jours le 14 Juillet, même si ce n’est pas une fête catholique, impossible à envisager après l’éducation que j’ai reçue.
Ce soir je fais faire un cauchemar duquel je vais me réveiller et retrouver ma vie dure car sans argent mais riche de la maison dont nous avons hérité et que nous venons de finir de la transformer en chambres d’hôtes après restauration.
J’ouvre grand les yeux mais je suis bien réveillé, la verge plus longue que celle de Paul qui pend entre les jambes d’André le mari d’Odile est bien là devant mes yeux.
Il me suffit de tourner légèrement la tête et celle plus épaisse de Florentin me nargue elle aussi.
Que dire de Clarisse la blonde et d’Odile la brune entièrement épilées, si elle voyait ma toison très fournie elles se moqueraient certainement de moi ?
J’en suis à ma deuxième coupe moi qui bois rarement et je flotte dans une douce torpeur assise pour la première fois sous ma tonnelle pendant que le jour tombe.
- Allons-nous baigner, ça nous rafraîchira.
Dans un même mouvement les deux garçons se lèvent et plongent suivis après quelles secondes par leurs deux femmes.
- Émily, Paul venez profiter de votre piscine nous louons mais on serait bête de vous empêcher d’en profiter.
Moi qui aie dit à Paul de leur faire comprendre que notre maison sera consacrée aux personnes voulant vivre un moment de calme me voilà confronté à un vrai dilemme me déshabiller et plonger ou les vexer.
À mon côté je sens que mon mari a les mêmes scrupules mais qu’il meure d’envie d’aller se tremper et les retrouver.
Aurait-il le projet de me donner à ces hommes pour mieux s’occuper de leur femme ?
Les flammes de l’enfer si souvent promises par notre curé sont à ma portée mais je vais lutter et nous allons aller nous coucher sagement après un tendre baisé comme à notre habitude.
Paul non pas cela, pourquoi te lèves-tu et commences-tu à enlever ta chemisette puis ton short, ouf tu t’arrêtes là et tu sautes à l’eau.
Comme un film au ralenti je me lève à mon tour.
Mince, elle est nue, pour travailler en cuisine, souvent lorsqu’il fait chaud je n’en porte pas.
Ma jupe noire suit le même chemin et c’est sans m’en rendre compte que je descends les marches de notre piscine avec mon tablier de soubrette que j’ai oubliée d’enlever.
- Bien jouer Émily, garder son tablier je vois que tu aimes nous provoquer.
C’est le blond qui a parlé ce qui doit me réveiller de ce cauchemar ce qui me fait perdre l’équilibre et atterrir dans les bras de Florentin.
- Eh ! Beauté fatale, je sais bien que je suis un homme irrésistible mais prends ton temps avant que nous fassions connaissance.
Il faut que je demande à ma femme cela fait partie de nos conventions.
- Je te le permets mon amour surtout que le pieu que Paul me laisse prendre dans ma main va me satisfaire pleinement.
Bas les pattes Clarisse, c’est vers moi, qu’il est venu, mais tu sais qu’avec moi quand il y en a pour une il y en a pour deux.
Ce qui nous arrive est pire qu’un cauchemar, c’est un tremblement de terre surtout que le bras de Florentin entoure ma poitrine et vient se poser sur mon sein droit.
Comment a-t-il fait mais je sens l’eau directement sur mes seins les doigts de la main titillant la pointe qui se dresse de plaisir.
Je voudrais voir ce qu’il se passe entre Paul et les filles.
Mais les deux mains qui viennent enserrer mon visage et la bouche qui s’approche de ma bouche devrait me donner un mouvement de répulsion.
Hélas dans l’état où je me trouve c’est avec avidité qu’elle s’ouvre et que la langue vient s’entourer à la mienne.
Deux hommes s’occupent de moi et un petit coup d’œil sur le côté me montre Paul sa langue dans la bouche de la brune alors que la blonde est dans son dos elle aussi et que sa main plonge dans l’eau.
À cette hauteur elle doit être posée sur la verge de mon homme sans qu’il ne réagisse.
De mon côté moi aussi je sens une main sur mon intimité.
C’est bizarre, des doigts pénètrent mon intimité mais le sens opposé les unes aux autres n’ont qu’une explication Florentin et André m’ont mis deux doigts chacun dans le vagin.
Je me tords de plaisir et c’est sans m’en rendre compte que je sors de l’eau pour qu’ils viennent m’allonger sur un des matelas à leur disposition.
Je raconte mal, ce doit être l’alcool dans le champagne.
C’est Florentin le blond qui s’allonge sur nos transats.
Il me tire à moi et en même temps qu’il m’embrasse, je sens qu’il me met son pieu dans ma chatte.
Aussi bien qu’avec Paul derrière notre fenêtre tout à l’heure.
Paul que je ne vois pas mais qui doit s’occuper des deux femmes dans notre piscine.
C’est à ce moment que je sens sur mes arrières une autre verge qui cherche son chemin.
Monsieur le curé au catéchisme et dans certains de ses sermons nous a parlé de Sodome et Gomorrhe.
Ce pays de dépravés où tout leur était permis.
Sodome, sodomie, il en a parlé sans nous expliquer, mais c’est plus tard qu’étant marié, en voyant un film à la télé que Paul m’a expliquée ce que je n’avais pas compris à l’église.
Les habitants de ces villes étaient des dépravés qui se servaient aussi bien des chattes de leurs femmes que de leur rectum.
Mieux informée, j’en avais déduit que tout au long de ma vie, mon cul ne serait qu’à moi.
Ouf, je respecte ma volonté, je sens qu’André glisse sa verge dans mon vagin à côté de celle de son ami.
Je quitte la bouche du premier pour en tournant la tête me donne à celle du deuxième.
Je devrais apprendre plus tard que prise comme je le suis, ces deux garçons me font un double vaginal.
Alors excuse-moi Paul, tu as brisé notre serment, je brise le mien.
- Oui, oui, oui, ouiiiiii.
Quand je reprends pied, j’écris six « i » dans ce « oui » alors qu’il y en a peut-être eu dix, vingt, cent.
Mes oreilles retrouvant pourquoi le bon Dieu me les a donnés, j’entends que Paul et Clarisse la blonde eut aussi savent que le mot « oui » existe.
À non, je dois me tromper, la voix à changer, c’est Odile qui à son tour émet ce « oui » le même que nous nous sommes échangés devant le maire et dans l’église de notre village.
- Émily, c’est parfait, excuse-nous de t’avoir un peu brusquée, nous sentions avec Paul que vous étiez un couple ne s’assumant pas.
Je ne serais pas étonné que vous fassiez partie du troupeau de ceux qui ont été intoxiqués par des mensonges en tous genres.
Nous sommes des protéines sur la terre, comme tous les êtres qui la peuplent jusqu’au plus profond du sol.
La vie est courte et si vous voulez vous en sortir, il faut la croquer à pleines dents.
C’est ce que nous faisons avec nos femmes, et les femmes de nos amis.
Émily et Paul, nous avons faim !
Pendant que vous nous dresserez la table, nous allons passer des coups de fil à nos amis.
En plus du week-end du 14 juillet où nous seront là, je pense que nous allons vous remplir votre gîte jusqu’à la date de la fin de la saison.
Nous nous sommes regardés avec Paul.
Au prix de nos convictions apprises depuis notre plus jeune âge.
Ajouté au plaisir que j’ai eu à avoir deux verges en moi alors que Paul prenait ces deux salopes en levrette l’une après l’autre sur les marches de notre piscine.
Ayant couché maman, étant restés entièrement nue aidée par Clarisse et Odile dans la même tenue d’Ève, nous nous sommes mis à table au bord de notre piscine.
J’ai apporté les tourtes que j’avais confectionnées cet après-midi et que j’avais mis au four au moment d’apporter le champagne.
Champagne que nos amis, j’allais dire clients, nous offre allongeant la facture de leur séjour.
Fin des deux premiers chapitres.
Inutile de me demander d’écrire une suite, j’ai déjà écrit le titre.
COLLECTION LIBERTINAGES. Les chambres d’hôtes, la suite (1/x)
C’est la route que nous avons dû goudronner et que nous n’avions pas prévu dans les budgets qui ont plombé notre ouverture.
Jusqu’à ce qu’un week-end nous ayons quatre réservations.
Deux couples qui rapidement s’avèrent être libertins, nous qui avons un couple proche des principes que nous avons appris depuis notre plus tendre enfance par nos parents et les curés.
Deux sont dans la piscine faisant l’amour alors que l’autre couple tout autant adultérins se mélange sur l’un des transats.
Les deux dans l’eau sortent et je vois que Florentin à une queue comme l’a dit Odile la brune qui est bien plus grande que celle de Paul.
Il est à noter que ce sont les deuxièmes que je vois depuis ma naissance et surtout mon mariage.
Je regarde mon mari pour qu’il réprimande nos clients qui créent une situation intenable et immorale pour moi.
- Je crois que vous vous appelez Émily, je voudrais vous demander si pour les quatre jours du pont du 14 juillet vos six chambres sont libres !
- Oui pourquoi ?
- Nous avons des amis qui seraient enchantés de venir passer ces quatre jours dans votre gîte.
Je dis bien les six chambres car nous sommes un groupe de libertin et nous voudrions avoir la même liberté que vous nous permettez ce soir.
Je pense que vous êtes aussi libre que nous, nous venons de vous voir faire l’amour à votre fenêtre en nous regardant nous éclater comme nous aimons le faire régulièrement.
- Vous pouvez venir sans problème, Émily et moi nous avions prévu de faire le pont pour nous reposer de ce début de saison qui marche du tonnerre mais si vous prenez les six chambres nous partirons plus tard nous reposer.
- Alors nous sommes d'accord.
Prévoyez quelques caisses de champagne ce sont de gros baiseurs mais aussi de gros buveurs.
Je crois que nous avons trouvé ce que nous cherchions depuis longtemps à deux doigts de Paris.
Je suis outré Paul rentré dans le jeu de ces couples qui sont sans morale.
Nous buvons avec eux et je dois reconnaître que j’ai de plus en plus de mal à détourner mon regard des pieux des deux garçons qui sont comme leurs femmes entièrement épilées.
Quatre jours six couples, Paul une nouvelle fois à raison.
Il vaut mieux tenir que courir et après ces quatre jours je lui demanderais de leur dire que c’est la dernière fois.
Recevoir des libertins pendant ces quatre jours le 14 Juillet, même si ce n’est pas une fête catholique, impossible à envisager après l’éducation que j’ai reçue.
Ce soir je fais faire un cauchemar duquel je vais me réveiller et retrouver ma vie dure car sans argent mais riche de la maison dont nous avons hérité et que nous venons de finir de la transformer en chambres d’hôtes après restauration.
J’ouvre grand les yeux mais je suis bien réveillé, la verge plus longue que celle de Paul qui pend entre les jambes d’André le mari d’Odile est bien là devant mes yeux.
Il me suffit de tourner légèrement la tête et celle plus épaisse de Florentin me nargue elle aussi.
Que dire de Clarisse la blonde et d’Odile la brune entièrement épilées, si elle voyait ma toison très fournie elles se moqueraient certainement de moi ?
J’en suis à ma deuxième coupe moi qui bois rarement et je flotte dans une douce torpeur assise pour la première fois sous ma tonnelle pendant que le jour tombe.
- Allons-nous baigner, ça nous rafraîchira.
Dans un même mouvement les deux garçons se lèvent et plongent suivis après quelles secondes par leurs deux femmes.
- Émily, Paul venez profiter de votre piscine nous louons mais on serait bête de vous empêcher d’en profiter.
Moi qui aie dit à Paul de leur faire comprendre que notre maison sera consacrée aux personnes voulant vivre un moment de calme me voilà confronté à un vrai dilemme me déshabiller et plonger ou les vexer.
À mon côté je sens que mon mari a les mêmes scrupules mais qu’il meure d’envie d’aller se tremper et les retrouver.
Aurait-il le projet de me donner à ces hommes pour mieux s’occuper de leur femme ?
Les flammes de l’enfer si souvent promises par notre curé sont à ma portée mais je vais lutter et nous allons aller nous coucher sagement après un tendre baisé comme à notre habitude.
Paul non pas cela, pourquoi te lèves-tu et commences-tu à enlever ta chemisette puis ton short, ouf tu t’arrêtes là et tu sautes à l’eau.
Comme un film au ralenti je me lève à mon tour.
Mince, elle est nue, pour travailler en cuisine, souvent lorsqu’il fait chaud je n’en porte pas.
Ma jupe noire suit le même chemin et c’est sans m’en rendre compte que je descends les marches de notre piscine avec mon tablier de soubrette que j’ai oubliée d’enlever.
- Bien jouer Émily, garder son tablier je vois que tu aimes nous provoquer.
C’est le blond qui a parlé ce qui doit me réveiller de ce cauchemar ce qui me fait perdre l’équilibre et atterrir dans les bras de Florentin.
- Eh ! Beauté fatale, je sais bien que je suis un homme irrésistible mais prends ton temps avant que nous fassions connaissance.
Il faut que je demande à ma femme cela fait partie de nos conventions.
- Je te le permets mon amour surtout que le pieu que Paul me laisse prendre dans ma main va me satisfaire pleinement.
Bas les pattes Clarisse, c’est vers moi, qu’il est venu, mais tu sais qu’avec moi quand il y en a pour une il y en a pour deux.
Ce qui nous arrive est pire qu’un cauchemar, c’est un tremblement de terre surtout que le bras de Florentin entoure ma poitrine et vient se poser sur mon sein droit.
Comment a-t-il fait mais je sens l’eau directement sur mes seins les doigts de la main titillant la pointe qui se dresse de plaisir.
Je voudrais voir ce qu’il se passe entre Paul et les filles.
Mais les deux mains qui viennent enserrer mon visage et la bouche qui s’approche de ma bouche devrait me donner un mouvement de répulsion.
Hélas dans l’état où je me trouve c’est avec avidité qu’elle s’ouvre et que la langue vient s’entourer à la mienne.
Deux hommes s’occupent de moi et un petit coup d’œil sur le côté me montre Paul sa langue dans la bouche de la brune alors que la blonde est dans son dos elle aussi et que sa main plonge dans l’eau.
À cette hauteur elle doit être posée sur la verge de mon homme sans qu’il ne réagisse.
De mon côté moi aussi je sens une main sur mon intimité.
C’est bizarre, des doigts pénètrent mon intimité mais le sens opposé les unes aux autres n’ont qu’une explication Florentin et André m’ont mis deux doigts chacun dans le vagin.
Je me tords de plaisir et c’est sans m’en rendre compte que je sors de l’eau pour qu’ils viennent m’allonger sur un des matelas à leur disposition.
Je raconte mal, ce doit être l’alcool dans le champagne.
C’est Florentin le blond qui s’allonge sur nos transats.
Il me tire à moi et en même temps qu’il m’embrasse, je sens qu’il me met son pieu dans ma chatte.
Aussi bien qu’avec Paul derrière notre fenêtre tout à l’heure.
Paul que je ne vois pas mais qui doit s’occuper des deux femmes dans notre piscine.
C’est à ce moment que je sens sur mes arrières une autre verge qui cherche son chemin.
Monsieur le curé au catéchisme et dans certains de ses sermons nous a parlé de Sodome et Gomorrhe.
Ce pays de dépravés où tout leur était permis.
Sodome, sodomie, il en a parlé sans nous expliquer, mais c’est plus tard qu’étant marié, en voyant un film à la télé que Paul m’a expliquée ce que je n’avais pas compris à l’église.
Les habitants de ces villes étaient des dépravés qui se servaient aussi bien des chattes de leurs femmes que de leur rectum.
Mieux informée, j’en avais déduit que tout au long de ma vie, mon cul ne serait qu’à moi.
Ouf, je respecte ma volonté, je sens qu’André glisse sa verge dans mon vagin à côté de celle de son ami.
Je quitte la bouche du premier pour en tournant la tête me donne à celle du deuxième.
Je devrais apprendre plus tard que prise comme je le suis, ces deux garçons me font un double vaginal.
Alors excuse-moi Paul, tu as brisé notre serment, je brise le mien.
- Oui, oui, oui, ouiiiiii.
Quand je reprends pied, j’écris six « i » dans ce « oui » alors qu’il y en a peut-être eu dix, vingt, cent.
Mes oreilles retrouvant pourquoi le bon Dieu me les a donnés, j’entends que Paul et Clarisse la blonde eut aussi savent que le mot « oui » existe.
À non, je dois me tromper, la voix à changer, c’est Odile qui à son tour émet ce « oui » le même que nous nous sommes échangés devant le maire et dans l’église de notre village.
- Émily, c’est parfait, excuse-nous de t’avoir un peu brusquée, nous sentions avec Paul que vous étiez un couple ne s’assumant pas.
Je ne serais pas étonné que vous fassiez partie du troupeau de ceux qui ont été intoxiqués par des mensonges en tous genres.
Nous sommes des protéines sur la terre, comme tous les êtres qui la peuplent jusqu’au plus profond du sol.
La vie est courte et si vous voulez vous en sortir, il faut la croquer à pleines dents.
C’est ce que nous faisons avec nos femmes, et les femmes de nos amis.
Émily et Paul, nous avons faim !
Pendant que vous nous dresserez la table, nous allons passer des coups de fil à nos amis.
En plus du week-end du 14 juillet où nous seront là, je pense que nous allons vous remplir votre gîte jusqu’à la date de la fin de la saison.
Nous nous sommes regardés avec Paul.
Au prix de nos convictions apprises depuis notre plus jeune âge.
Ajouté au plaisir que j’ai eu à avoir deux verges en moi alors que Paul prenait ces deux salopes en levrette l’une après l’autre sur les marches de notre piscine.
Ayant couché maman, étant restés entièrement nue aidée par Clarisse et Odile dans la même tenue d’Ève, nous nous sommes mis à table au bord de notre piscine.
J’ai apporté les tourtes que j’avais confectionnées cet après-midi et que j’avais mis au four au moment d’apporter le champagne.
Champagne que nos amis, j’allais dire clients, nous offre allongeant la facture de leur séjour.
Fin des deux premiers chapitres.
Inutile de me demander d’écrire une suite, j’ai déjà écrit le titre.
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