COLLECTION LIBERTINAGES. Mariage libertin (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGES. Mariage libertin (1/1)
• Mes chers amis, c’est avec joie que je reçois ce soir à la maison du peuple notre sympathique couple d’amis Josselyne et Franck pour célébrer leur union.
Il est rare que dans notre commune Serge le maire que je suis, reçoive les jeunes futurs mariés simplement sein de mon écharpe tricolore.
Lorsque Franck dans notre club échangiste favori m’a demandé de t’unir à toi Josselyne, j’ai cru à une blague.
Il parait que c’était ta volonté Josselyne et je suis fière même si cela restera entre nous et vos invités de vous recevoir tous nu dans la salle de notre conseil municipal.
• Merci, Serge de ces quelques mots, Josselyne refusait de se marier si cette cérémonie ne se passait pas comme ça se passe depuis que nous avons tous déposé nos affaires dans le secrétariat tenu par ta femme Ludhiana, mon cher Serge.
• Tu as raison Franck, heureux qu’après le départ de Martha en retraite, Ludhiana ait repris le secrétariat de notre mairie.
J’aurais mal vu les seins certainement pendant de cette vieille Martha au lieu de ceux de ma femme qui sont magnifiques.
J’ajouterais que je vais être très fière de te marier Josselyne, lorsque l’on sait si tu m’as dit la vérité, dans ce temps-là que j’ai été le premier à te sauter dans notre club.
C’était la première fois que Magali, ta copine et aujourd’hui ta demoiselle d’honneur, t’avait trainée contre ta volonté dans notre club échangiste.
Franck, tu te souviens, tu t’intéressais à Ludhiana, qui t’a mis un râteau, j’ai baisé Josselyne et en fin de soirée celle qui quelques mois plus tard devait devenir madame la femme du maire.
• Ludhiana, il est temps de dire la vérité à Serge ou on le laisse mourir idiot !
• Je le laisserais bien mourir idiot, mais je te permets de lui révéler la réalité, il y a trop longtemps que je l’entends dire des conneries sur Josselyne et moi qu’il aurait baisé le même soir.
• Tu as raison, mais ne crois-tu pas que je risque qu’il prenne la mouche et refuse de nous unir avec l’amour de ma vie !
• Il aura l’air con cinq minutes, mais il s’en remettra et ça rétablira la réalité.
• Tant py, je prends le risque, Serge ou avez-vous été baisé ce soir-là, Josselyne et toi ?
• C’est bien loin, je me souviens qu’à cette époque, je préférais les alcôves à la piscine, je me battais pour que Louis le patron monte de deux ou trois degrés la température de l’eau.
C’est ça, ou, dans une alcôve.
• Tu te souviens bien, une alcôve et nous ou étions-nous Ludhiana et moi ?
• Ça je me souviens, vous barbotiez dans la piscine.
• Merde, pardon, il y a du monde, à poil mais du monde, vos invités.
Dit-moi que vous avez baisé dans la piscine !
Tu déconnes lorsque nous sommes revenus, vous buviez une coupe au bar en parlant avec Louis.
• Et de quoi parlions-nous ?
• Je l’ignore, vous avez arrêté de parer à notre arrivée.
• Je vais te le dire, de la façon dont Ludhiana est venue se pendre à mon cou et la façon dont elle s’est empalée sur ma bite alors que nous étions dans l’eau.
Tu baisais celle qui va devenir ma femme, pendant que je baisais celle qu’y l’est devenu huit mois plus tard.
• Attends, vous étiez dans l’eau, vous avez baisé sans capote, j’ai dû épouser Ludhiana lorsqu’elle a dit qu’elle était enceinte de nos rapports ce soir-là.
• Sois sans crainte, ton fils est bien de toi, car Josselyne sait que nous n’aurons pas d’enfant, j’ai eu les oreillons quelques mois avant cette soirée et je suis dans l’impossibilité de procréer.
• Bon ce n’est pas le tout, j’aime ces vieux souvenirs, mais tous vos invités s’impatientent, à parler de cul, je vois des queues qui commencent à se redresser.
• Sonia, arrête de branler ton voisin, Georgette sa femme va finir par être jalouse, mais vous avez raison, la vérité étant dite et je le prends très bien.
Il est tant de te marier espèce de bel enculé.
• Enculé, je demande à voir.
Josselyne s’est placée face à moi, elle était magnifique avec simplement son voile blanc sur la tête, un porte-jarretelle attachant des bas tout ceci étant blanc, comme les hauts talons.
• Josselyne, veux-tu prendre Franck pour époux, dans le plaisir et la douleur jusqu’à la fin de tes jours ?
• Oui, je le veux, mais à une seule solution, je veux un mouflet et après ce qu’a dit Franck une fois unis, je veux que tous les mâles de la soirée me baisent espérant me retrouver enceinte.
Tous nos invités se mettent à applaudir, autant les mâles que les femelles, ça s’appelle de l’entraide pour un jeune couple dans la difficulté.
• Et toi Franck, avec la demande que Josseline nous appartienne afin qu’on la remplisse de spermatozoïde, nous avions choisi la date de cette soirée afin qu’elle soit dans sa période d’ovulation.
Prends-tu Josseline pour épouse, dans tous les bons moments que nous allons passer dès que tu auras dit oui ?
• Bien sûr que je le veux ma chère amie, Josseline, je te prends pour épouse et je te promets que le plus souvent possible, nous irons voir Louis, qui se cache au fond de la salle.
Pardon, on me cachait Jennifer la sœur de Josseline, qui te suce déjà la queue.
Elle a toujours été pressée, déjà à leur naissance, elle s’est battue pour être reconnue ainé des jumelles.
Ôtez-moi d’un doute, je les connais ces deux cochonnes, qui des mâles ici présents à baiser Jennifer persuadée que c'était Josseline et vice versa.
Une dizaine de mains, se lèvent, ayant baisé l’une alors qu’ils croyaient baisé l’autre.
• Franck, dis-moi oui ou merde, mais tu peux sans souci me dire oui, tous ici, au moins les mâles nous savions que Josseline a un grain de beauté au bout de son nez.
• La mienne qui me suce n’en as pas, dépêche Franck, je vais lâcher la purée.
• Oui, je te prends pour épouse, Josseline chérie.
Que la baise, commence, monsieur le maire, à vous l’honneur, je me souviens d’un de vos fantasmes au bar de notre club, tu voulais baiser unes de tes administrés sur la table du conseil municipale.
Baise la mariée, je vais te suivre à tes côtés avec la secrétaire de mairie, je la sais partante à tous les coups.
• Franck, tu as vu juste, je voudrais simplement que Jennifer où une autre vienne me donner leur chatte à sucer.
Vous savez tous, que j’aime mon mari, vous les garçons qui baisées avec moi depuis des années, mais aussi partouzées avec vous, mesdames.
Une dernière chose, maintenant que les « oui » son prononcé et les bagues échangées, nous vous avons préparé un buffet, attention offerte par les mariés.
Vous pourrez reprendre des forces chaque fois que les unes et les autres vous vous serez éclaté.
J’ai baisé Ludhiana pendant que Jennifer, puis Olga une autre rousse et enfin Wafae la Marocaine de notre club se faisait brouter par ma partenaire, jusqu’à lui décharger dans la chatte.
Je me suis rapproché du buffet, je suis un peu, même beaucoup candaulisme et j’ai beaucoup adoré celle qui venait de me dire « oui » pour toute notre vie de libertin.
Quand tous son passé dessus, chaque fois la faisant jour, Josseline est de nature facile pour atteindre l’orgasme, je l’ai aidé à remettre un imper afin que je la ramène à l’hôtel voisin.
Je l’ai lavé, évitant sa chatte rougie de toutes les pénétrations.
Je dois reconnaitre que je l’ai un peu violenté lorsque la plaçant recroqueviller sur notre lit de noce dans les pétales de roses, je l’ai enculé.
C’était prévu comme ça.
Je lui disais oui, elle me disait oui et pour la première fois, elle si prompte à se faire baiser, j’avais le droit de la sodomiser ce dont je ne me suis pas privé.
• Ouin, ouin, ouin.
Ça, c’est Jules après sa naissance neuf mois plus tard.
• Ouiin, ouiin, ouiin.
Sur un autre rythme, Gladys, notre première fille un an après.
Je pourrais recommencer, quatre fois, famille nombreuse, six enfants, un garçon et cinq filles.
Certains vont dire qu’à cause de mes oreillons et du club échangiste que nous pratiquons toujours chaque fois que nous sommes disponibles, les mâles m’ont aidé à procréer.
Que nénies, Josseline a tenu à savoir sans me le dire avant de savoir, et j’ai fait un sans-faute sauf un.
Le premier notre fils, mes filles sont bien de leur père.
Le plus drôle dans cette histoire, c’est que Serge père d’une fille aura toujours le doute si c’est bien lui le père alors que moi je sas que mes filles sont les miennes.
On ne peut pas tout avoir lorsque l’on est maire !
Passer le premier avec la jeune mariée sur la table du conseil municipal et savoir si ce garçon est de vous ou de tous les autres qui ont sauté mon épouse le soir de nos noces.
Il en va de même pour son propre fils, ayant baisé Ludhiana dans la piscine avant lui.
Ainsi va la vie dans une petite commune de France, non loin d’un club échangiste tenu par Louis.
Un dernier point, Serge a une tendance politique, moi dans l’opposition.
Je viens de reprendre mon siège de maire comme nous le faisons chaque fois tous les six ans, comme pour le cul, un coup c’est lui, un coup c’est moi.
Il est rare que dans notre commune Serge le maire que je suis, reçoive les jeunes futurs mariés simplement sein de mon écharpe tricolore.
Lorsque Franck dans notre club échangiste favori m’a demandé de t’unir à toi Josselyne, j’ai cru à une blague.
Il parait que c’était ta volonté Josselyne et je suis fière même si cela restera entre nous et vos invités de vous recevoir tous nu dans la salle de notre conseil municipal.
• Merci, Serge de ces quelques mots, Josselyne refusait de se marier si cette cérémonie ne se passait pas comme ça se passe depuis que nous avons tous déposé nos affaires dans le secrétariat tenu par ta femme Ludhiana, mon cher Serge.
• Tu as raison Franck, heureux qu’après le départ de Martha en retraite, Ludhiana ait repris le secrétariat de notre mairie.
J’aurais mal vu les seins certainement pendant de cette vieille Martha au lieu de ceux de ma femme qui sont magnifiques.
J’ajouterais que je vais être très fière de te marier Josselyne, lorsque l’on sait si tu m’as dit la vérité, dans ce temps-là que j’ai été le premier à te sauter dans notre club.
C’était la première fois que Magali, ta copine et aujourd’hui ta demoiselle d’honneur, t’avait trainée contre ta volonté dans notre club échangiste.
Franck, tu te souviens, tu t’intéressais à Ludhiana, qui t’a mis un râteau, j’ai baisé Josselyne et en fin de soirée celle qui quelques mois plus tard devait devenir madame la femme du maire.
• Ludhiana, il est temps de dire la vérité à Serge ou on le laisse mourir idiot !
• Je le laisserais bien mourir idiot, mais je te permets de lui révéler la réalité, il y a trop longtemps que je l’entends dire des conneries sur Josselyne et moi qu’il aurait baisé le même soir.
• Tu as raison, mais ne crois-tu pas que je risque qu’il prenne la mouche et refuse de nous unir avec l’amour de ma vie !
• Il aura l’air con cinq minutes, mais il s’en remettra et ça rétablira la réalité.
• Tant py, je prends le risque, Serge ou avez-vous été baisé ce soir-là, Josselyne et toi ?
• C’est bien loin, je me souviens qu’à cette époque, je préférais les alcôves à la piscine, je me battais pour que Louis le patron monte de deux ou trois degrés la température de l’eau.
C’est ça, ou, dans une alcôve.
• Tu te souviens bien, une alcôve et nous ou étions-nous Ludhiana et moi ?
• Ça je me souviens, vous barbotiez dans la piscine.
• Merde, pardon, il y a du monde, à poil mais du monde, vos invités.
Dit-moi que vous avez baisé dans la piscine !
Tu déconnes lorsque nous sommes revenus, vous buviez une coupe au bar en parlant avec Louis.
• Et de quoi parlions-nous ?
• Je l’ignore, vous avez arrêté de parer à notre arrivée.
• Je vais te le dire, de la façon dont Ludhiana est venue se pendre à mon cou et la façon dont elle s’est empalée sur ma bite alors que nous étions dans l’eau.
Tu baisais celle qui va devenir ma femme, pendant que je baisais celle qu’y l’est devenu huit mois plus tard.
• Attends, vous étiez dans l’eau, vous avez baisé sans capote, j’ai dû épouser Ludhiana lorsqu’elle a dit qu’elle était enceinte de nos rapports ce soir-là.
• Sois sans crainte, ton fils est bien de toi, car Josselyne sait que nous n’aurons pas d’enfant, j’ai eu les oreillons quelques mois avant cette soirée et je suis dans l’impossibilité de procréer.
• Bon ce n’est pas le tout, j’aime ces vieux souvenirs, mais tous vos invités s’impatientent, à parler de cul, je vois des queues qui commencent à se redresser.
• Sonia, arrête de branler ton voisin, Georgette sa femme va finir par être jalouse, mais vous avez raison, la vérité étant dite et je le prends très bien.
Il est tant de te marier espèce de bel enculé.
• Enculé, je demande à voir.
Josselyne s’est placée face à moi, elle était magnifique avec simplement son voile blanc sur la tête, un porte-jarretelle attachant des bas tout ceci étant blanc, comme les hauts talons.
• Josselyne, veux-tu prendre Franck pour époux, dans le plaisir et la douleur jusqu’à la fin de tes jours ?
• Oui, je le veux, mais à une seule solution, je veux un mouflet et après ce qu’a dit Franck une fois unis, je veux que tous les mâles de la soirée me baisent espérant me retrouver enceinte.
Tous nos invités se mettent à applaudir, autant les mâles que les femelles, ça s’appelle de l’entraide pour un jeune couple dans la difficulté.
• Et toi Franck, avec la demande que Josseline nous appartienne afin qu’on la remplisse de spermatozoïde, nous avions choisi la date de cette soirée afin qu’elle soit dans sa période d’ovulation.
Prends-tu Josseline pour épouse, dans tous les bons moments que nous allons passer dès que tu auras dit oui ?
• Bien sûr que je le veux ma chère amie, Josseline, je te prends pour épouse et je te promets que le plus souvent possible, nous irons voir Louis, qui se cache au fond de la salle.
Pardon, on me cachait Jennifer la sœur de Josseline, qui te suce déjà la queue.
Elle a toujours été pressée, déjà à leur naissance, elle s’est battue pour être reconnue ainé des jumelles.
Ôtez-moi d’un doute, je les connais ces deux cochonnes, qui des mâles ici présents à baiser Jennifer persuadée que c'était Josseline et vice versa.
Une dizaine de mains, se lèvent, ayant baisé l’une alors qu’ils croyaient baisé l’autre.
• Franck, dis-moi oui ou merde, mais tu peux sans souci me dire oui, tous ici, au moins les mâles nous savions que Josseline a un grain de beauté au bout de son nez.
• La mienne qui me suce n’en as pas, dépêche Franck, je vais lâcher la purée.
• Oui, je te prends pour épouse, Josseline chérie.
Que la baise, commence, monsieur le maire, à vous l’honneur, je me souviens d’un de vos fantasmes au bar de notre club, tu voulais baiser unes de tes administrés sur la table du conseil municipale.
Baise la mariée, je vais te suivre à tes côtés avec la secrétaire de mairie, je la sais partante à tous les coups.
• Franck, tu as vu juste, je voudrais simplement que Jennifer où une autre vienne me donner leur chatte à sucer.
Vous savez tous, que j’aime mon mari, vous les garçons qui baisées avec moi depuis des années, mais aussi partouzées avec vous, mesdames.
Une dernière chose, maintenant que les « oui » son prononcé et les bagues échangées, nous vous avons préparé un buffet, attention offerte par les mariés.
Vous pourrez reprendre des forces chaque fois que les unes et les autres vous vous serez éclaté.
J’ai baisé Ludhiana pendant que Jennifer, puis Olga une autre rousse et enfin Wafae la Marocaine de notre club se faisait brouter par ma partenaire, jusqu’à lui décharger dans la chatte.
Je me suis rapproché du buffet, je suis un peu, même beaucoup candaulisme et j’ai beaucoup adoré celle qui venait de me dire « oui » pour toute notre vie de libertin.
Quand tous son passé dessus, chaque fois la faisant jour, Josseline est de nature facile pour atteindre l’orgasme, je l’ai aidé à remettre un imper afin que je la ramène à l’hôtel voisin.
Je l’ai lavé, évitant sa chatte rougie de toutes les pénétrations.
Je dois reconnaitre que je l’ai un peu violenté lorsque la plaçant recroqueviller sur notre lit de noce dans les pétales de roses, je l’ai enculé.
C’était prévu comme ça.
Je lui disais oui, elle me disait oui et pour la première fois, elle si prompte à se faire baiser, j’avais le droit de la sodomiser ce dont je ne me suis pas privé.
• Ouin, ouin, ouin.
Ça, c’est Jules après sa naissance neuf mois plus tard.
• Ouiin, ouiin, ouiin.
Sur un autre rythme, Gladys, notre première fille un an après.
Je pourrais recommencer, quatre fois, famille nombreuse, six enfants, un garçon et cinq filles.
Certains vont dire qu’à cause de mes oreillons et du club échangiste que nous pratiquons toujours chaque fois que nous sommes disponibles, les mâles m’ont aidé à procréer.
Que nénies, Josseline a tenu à savoir sans me le dire avant de savoir, et j’ai fait un sans-faute sauf un.
Le premier notre fils, mes filles sont bien de leur père.
Le plus drôle dans cette histoire, c’est que Serge père d’une fille aura toujours le doute si c’est bien lui le père alors que moi je sas que mes filles sont les miennes.
On ne peut pas tout avoir lorsque l’on est maire !
Passer le premier avec la jeune mariée sur la table du conseil municipal et savoir si ce garçon est de vous ou de tous les autres qui ont sauté mon épouse le soir de nos noces.
Il en va de même pour son propre fils, ayant baisé Ludhiana dans la piscine avant lui.
Ainsi va la vie dans une petite commune de France, non loin d’un club échangiste tenu par Louis.
Un dernier point, Serge a une tendance politique, moi dans l’opposition.
Je viens de reprendre mon siège de maire comme nous le faisons chaque fois tous les six ans, comme pour le cul, un coup c’est lui, un coup c’est moi.
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