COLLECTION LUCIE : Épisode 5 partie 1/2 : Le début des regrets.
Récit érotique écrit par Alexcoquin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-06-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LUCIE : Épisode 5 partie 1/2 : Le début des regrets.
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Samedi, Patrick m’a humilié avec cette inconnu. J’ai énormément de mal à m’en remettre, j’ai essayé de faire bonne figure devant Renaud toute la soirée, mais cela était vraiment dur. J’ai beaucoup pleuré sous la douche ou pendant la nuit.
Je pense que ma relation avec Patrick, devient néfaste pour moi et pour la vie. Malgré mes sentiments exacerbés pour lui, il va falloir que je le quitte.
Aujourd’hui, nous sommes lundi et comme tous les lundis, je ne travaille pas. Je vais pouvoir me reposer mais surtout en profiter pour mettre fin à ma relation avec Patrick. Renaud travaille de 8h à 19h.
Quand je me lève à 9h20, Renaud est déjà parti. Je me réveille triste, je descend dans le salon, allume la télé et je me jette sur le canapé. Je n’ai pas envie de déjeuner, je me sens mal, triste et perdue. Je n’arrête pas de revoir ce mec se branler devant mon visage et décharger son sperme sur ma figure.
Quelle horreur !
Rien, qu’en y repensant, j’ai envie de pleurer.
Je prends mon téléphone, j’envoie un sms à Patrick.
« Bonjour Patrick, il faut que l’on parle, peux-tu passer chez moi dans la journée ? »
Je pose mon téléphone, me rallonge sur le canapé. Je n’arrête pas d’y penser, cette relation devient nuisible pour moi. Je finis par me rendormir quand vers 11h00, là sonnette finit par me réveiller.
Je me lève, je comprends immédiatement qu’il s’agit de Patrick. Je sui en jogging gris avec un sweat à capuche noir. Mes cheveux sont attachés.
Je m’avance vers la porte, regarde par la baie vitré et je vois Patrick, devant le portail en jeans et pull. J’ouvre.
Il s’avance vers l’entrée, j’ouvre la porte:_ Bonjour Patrick, lui dis-je d’un air triste.
_ Ça va ma belle ? Me dit Patrick en s’approchant de moi pour m’embrasser.
Je recule ma tête pour qu’il comprenne que je ne veux plus.
_ Oh la, qu’est ce qui se passe Lucie ?
_ Entre et assieds-toi lui dis-je en ouvrant la porte et me positionnant sur le côté.
_ Ok.
Patrick, entre et s’assied directement sur le canapé.
Je ferme la porte et je le rejoint. Je reste debout.
_ Patrick, je veux arrêter notre relation, ce qu’il s’est passé samedi m’a... je me mets à pleurer et je n’arrive pas à finir ma phrase.
Patrick se lève et s’approche de moi et m’enlace.
_ Écoute Lucie, c’est normal, c’était la première fois pour toi. Tu verras...
_ Non ! Lui dis-je en le poussant, « il n’y aura pas de prochaine fois, je ne suis pas une pute et nous deux, c’est terminé! »_Lucie, calme toi, la première fois, c’est toujours délicat, il suffit...
_Mais tu ne comprends pas ce que je te dis ? Nous deux, c’est terminé, tu oublies mon numéro, mon adresse, tout, sinon...
_ Sinon quoi ? Me dit Patrick en s’approchant de moi, « tu vas tout dire à ton petit mari ? Tu vas lui expliquer comment tu m’as sucé dans mon fourgon pour éviter un constat ? Tu vas lui dire que tu m’as appelé pour que je vienne te baiser comme une salope chez toi ? Tu vas lui raconter le midi sur mon chantier ? Tu vas lui raconter la pipe dans les toilettes de Leclerc ?
Je reste bouche bée et pleure à chaque énoncée. Je balbutie et lui dit:_ Tututu tu ne ne peux pas me me faire ça ? Tu n’as pas le droit !
_ Le droit? me dit-Il en m’attrapant à la taille, « je fais ce que je veux de toi, tu es à moi et il est hors de question que tu me quittes »
Je ne réagis pas, je me sens prise au piège.
_ Je sais ce que tu veux en fait ? Me dit-il en me collant à son corps maigrelet. « Tu veux ma bite et que je te baise ».
_ Non, je ne veux plus.
Je sens ses mains palper mon cul et son souffle sur la joue.
_ Ne t’inquiète pas, je n’ai pas beaucoup de temps Lucie mais suffisamment pour me faire sucer.
Il me relâche et commence à déboutonner son pantalon. Je le regarde et lui dit:_ Patrick, arrête ! Je ne veux plus de rapport avec toi. Tout est finit entre nous ! Lui dis-je en me levant et me dirigeant vers la porte pour qu’il parte.
Il me regarde m’avancer vers l’entrée. Son visage est froid, dur, en colère.
_ Lucie, je sais que tu es amoureuse de moi mais là n’est pas la question. Est ce que tu crois que tu as vraiment le choix ? me dit-il en baissant son pantalon, laissant place à sa queue, mi molle.
_ Bien sur que j’ai le choix et je décide de sauver mon couple et d’arrêter notre relation. QUE ÇA TE PLAISE OU NON !
Il se rapproche de moi, la queue à l’air. Arrive à la hauteur, il saisit ma mâchoire mettant ma bouche en cul de poule.
_ Écoute moi bien Lucie, moi, on ne me quitte pas. Surtout quand la leur que je baise est mariée et que je connais tout d’elle. Je peux faire de ta vie un enfer.
Je me débat pour qu’il me lache mais il sert encore plus fort.
_ Alors maintenant tu vas faire ce que je te dis et tu vas me sucer la bite. C’est bien compris ? Me dit-il en me relâchant.
_Non, mais...
_ FERME LA ! si tu ne m’obéis pas, je passe voir Renaud ce soir puis tes parents et ta sœur pour leur raconter la salope que tu es.
Des larmes commencent à couler, je suis prise au piège.
_ Mets-toi à genoux ! Dépêche toi.
_Patrick, s’il te plaît je...
_Il n’y a pas de Patrick, dépêche toi ou tout le monde découvrira la vérité sur toi !
Je m’exécute et m’agenouille.
_ »C’est bien », me dit-il en s’avançant vers mon visage. « ouvre la bouche et suce moi ».
Tout en tremblant je saisis sa vite dans ma main et commence à le branler. J’ouvre ma bouche et laisse son gland pénétrer mon gosier.
_ AH ouais, ça s’est bon ! Me dit-il en tenant mes cheveux avec sa main droite.
Ma langue tourne autour de son gland, je sens Patrick satisfait de mon activité sur sa bite.
Il pousse des petits cris de gémissement.
_ Vas plus vite Lucie ! Frotte bien ta petite langue sur mon gland.
Sa main guide ma tête. Il me fait aller de plus en plus loin.
_Oh ouais vas y, comme ça ça vient ! Je vais bientôt jouir.
Il saisit mes cheveux avec sa deuxième main et enfonce sa queue au fond de ma gorge. J’essaye de reculer mes sa pression sur ma tête est trop forte.
_ AAAAAAARGHGGGG ! Oui ! Aaaaaaaarg !
Il jouit dans la gorge. J’avale directement son sperme sans avoir le choix. Il sort doucement sa queue de ma bouche. Je tombe sur mes fesses en arrière. Toussant durement pour essayer d’évacuer quelques gouttes de sperme coincée.
Il secoue sa queue proche de mon visage pour retirer les dernières gouttes qui se collent à mon menton.
_ C’était trop bon ! Nettoie la avec ta langue.
Je me remets sur mes genoux, lèche son gland et saisit son membre une dernière fois dans ma bouche.
Il se retire, range sa queue et se rhabille. Je le relève, passe le dos de ma main sur mon menton pour nettoyer le sperme. Je refais ma queue de cheval.
_ « Allez j’y vais ma chérie », me dit Patrick. « N’oublie pas de me prévenir pour samedi soir à quelle heure je viens. »_Oui.
Je suis sans voix et sans âme. Je ne sais pas quoi dire et faire.
Il m’embrasse et passe la porte puis me dit:_ Merci de m’avoir sucer et oublie ses histoires de séparation. Tu es à moi !
Il s’en va, je le regarde partir. Je ferme la porte retourne sur le canapé m’allonger. Je ne pleure pas, je suis comme « zombifié ».
A suivre...
Samedi, Patrick m’a humilié avec cette inconnu. J’ai énormément de mal à m’en remettre, j’ai essayé de faire bonne figure devant Renaud toute la soirée, mais cela était vraiment dur. J’ai beaucoup pleuré sous la douche ou pendant la nuit.
Je pense que ma relation avec Patrick, devient néfaste pour moi et pour la vie. Malgré mes sentiments exacerbés pour lui, il va falloir que je le quitte.
Aujourd’hui, nous sommes lundi et comme tous les lundis, je ne travaille pas. Je vais pouvoir me reposer mais surtout en profiter pour mettre fin à ma relation avec Patrick. Renaud travaille de 8h à 19h.
Quand je me lève à 9h20, Renaud est déjà parti. Je me réveille triste, je descend dans le salon, allume la télé et je me jette sur le canapé. Je n’ai pas envie de déjeuner, je me sens mal, triste et perdue. Je n’arrête pas de revoir ce mec se branler devant mon visage et décharger son sperme sur ma figure.
Quelle horreur !
Rien, qu’en y repensant, j’ai envie de pleurer.
Je prends mon téléphone, j’envoie un sms à Patrick.
« Bonjour Patrick, il faut que l’on parle, peux-tu passer chez moi dans la journée ? »
Je pose mon téléphone, me rallonge sur le canapé. Je n’arrête pas d’y penser, cette relation devient nuisible pour moi. Je finis par me rendormir quand vers 11h00, là sonnette finit par me réveiller.
Je me lève, je comprends immédiatement qu’il s’agit de Patrick. Je sui en jogging gris avec un sweat à capuche noir. Mes cheveux sont attachés.
Je m’avance vers la porte, regarde par la baie vitré et je vois Patrick, devant le portail en jeans et pull. J’ouvre.
Il s’avance vers l’entrée, j’ouvre la porte:_ Bonjour Patrick, lui dis-je d’un air triste.
_ Ça va ma belle ? Me dit Patrick en s’approchant de moi pour m’embrasser.
Je recule ma tête pour qu’il comprenne que je ne veux plus.
_ Oh la, qu’est ce qui se passe Lucie ?
_ Entre et assieds-toi lui dis-je en ouvrant la porte et me positionnant sur le côté.
_ Ok.
Patrick, entre et s’assied directement sur le canapé.
Je ferme la porte et je le rejoint. Je reste debout.
_ Patrick, je veux arrêter notre relation, ce qu’il s’est passé samedi m’a... je me mets à pleurer et je n’arrive pas à finir ma phrase.
Patrick se lève et s’approche de moi et m’enlace.
_ Écoute Lucie, c’est normal, c’était la première fois pour toi. Tu verras...
_ Non ! Lui dis-je en le poussant, « il n’y aura pas de prochaine fois, je ne suis pas une pute et nous deux, c’est terminé! »_Lucie, calme toi, la première fois, c’est toujours délicat, il suffit...
_Mais tu ne comprends pas ce que je te dis ? Nous deux, c’est terminé, tu oublies mon numéro, mon adresse, tout, sinon...
_ Sinon quoi ? Me dit Patrick en s’approchant de moi, « tu vas tout dire à ton petit mari ? Tu vas lui expliquer comment tu m’as sucé dans mon fourgon pour éviter un constat ? Tu vas lui dire que tu m’as appelé pour que je vienne te baiser comme une salope chez toi ? Tu vas lui raconter le midi sur mon chantier ? Tu vas lui raconter la pipe dans les toilettes de Leclerc ?
Je reste bouche bée et pleure à chaque énoncée. Je balbutie et lui dit:_ Tututu tu ne ne peux pas me me faire ça ? Tu n’as pas le droit !
_ Le droit? me dit-Il en m’attrapant à la taille, « je fais ce que je veux de toi, tu es à moi et il est hors de question que tu me quittes »
Je ne réagis pas, je me sens prise au piège.
_ Je sais ce que tu veux en fait ? Me dit-il en me collant à son corps maigrelet. « Tu veux ma bite et que je te baise ».
_ Non, je ne veux plus.
Je sens ses mains palper mon cul et son souffle sur la joue.
_ Ne t’inquiète pas, je n’ai pas beaucoup de temps Lucie mais suffisamment pour me faire sucer.
Il me relâche et commence à déboutonner son pantalon. Je le regarde et lui dit:_ Patrick, arrête ! Je ne veux plus de rapport avec toi. Tout est finit entre nous ! Lui dis-je en me levant et me dirigeant vers la porte pour qu’il parte.
Il me regarde m’avancer vers l’entrée. Son visage est froid, dur, en colère.
_ Lucie, je sais que tu es amoureuse de moi mais là n’est pas la question. Est ce que tu crois que tu as vraiment le choix ? me dit-il en baissant son pantalon, laissant place à sa queue, mi molle.
_ Bien sur que j’ai le choix et je décide de sauver mon couple et d’arrêter notre relation. QUE ÇA TE PLAISE OU NON !
Il se rapproche de moi, la queue à l’air. Arrive à la hauteur, il saisit ma mâchoire mettant ma bouche en cul de poule.
_ Écoute moi bien Lucie, moi, on ne me quitte pas. Surtout quand la leur que je baise est mariée et que je connais tout d’elle. Je peux faire de ta vie un enfer.
Je me débat pour qu’il me lache mais il sert encore plus fort.
_ Alors maintenant tu vas faire ce que je te dis et tu vas me sucer la bite. C’est bien compris ? Me dit-il en me relâchant.
_Non, mais...
_ FERME LA ! si tu ne m’obéis pas, je passe voir Renaud ce soir puis tes parents et ta sœur pour leur raconter la salope que tu es.
Des larmes commencent à couler, je suis prise au piège.
_ Mets-toi à genoux ! Dépêche toi.
_Patrick, s’il te plaît je...
_Il n’y a pas de Patrick, dépêche toi ou tout le monde découvrira la vérité sur toi !
Je m’exécute et m’agenouille.
_ »C’est bien », me dit-il en s’avançant vers mon visage. « ouvre la bouche et suce moi ».
Tout en tremblant je saisis sa vite dans ma main et commence à le branler. J’ouvre ma bouche et laisse son gland pénétrer mon gosier.
_ AH ouais, ça s’est bon ! Me dit-il en tenant mes cheveux avec sa main droite.
Ma langue tourne autour de son gland, je sens Patrick satisfait de mon activité sur sa bite.
Il pousse des petits cris de gémissement.
_ Vas plus vite Lucie ! Frotte bien ta petite langue sur mon gland.
Sa main guide ma tête. Il me fait aller de plus en plus loin.
_Oh ouais vas y, comme ça ça vient ! Je vais bientôt jouir.
Il saisit mes cheveux avec sa deuxième main et enfonce sa queue au fond de ma gorge. J’essaye de reculer mes sa pression sur ma tête est trop forte.
_ AAAAAAARGHGGGG ! Oui ! Aaaaaaaarg !
Il jouit dans la gorge. J’avale directement son sperme sans avoir le choix. Il sort doucement sa queue de ma bouche. Je tombe sur mes fesses en arrière. Toussant durement pour essayer d’évacuer quelques gouttes de sperme coincée.
Il secoue sa queue proche de mon visage pour retirer les dernières gouttes qui se collent à mon menton.
_ C’était trop bon ! Nettoie la avec ta langue.
Je me remets sur mes genoux, lèche son gland et saisit son membre une dernière fois dans ma bouche.
Il se retire, range sa queue et se rhabille. Je le relève, passe le dos de ma main sur mon menton pour nettoyer le sperme. Je refais ma queue de cheval.
_ « Allez j’y vais ma chérie », me dit Patrick. « N’oublie pas de me prévenir pour samedi soir à quelle heure je viens. »_Oui.
Je suis sans voix et sans âme. Je ne sais pas quoi dire et faire.
Il m’embrasse et passe la porte puis me dit:_ Merci de m’avoir sucer et oublie ses histoires de séparation. Tu es à moi !
Il s’en va, je le regarde partir. Je ferme la porte retourne sur le canapé m’allonger. Je ne pleure pas, je suis comme « zombifié ».
A suivre...
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