COLLECTION NUIT DE NOËL. Le SDF et le père Noël (1/4) - histoire érotique

COLLECTION NUIT DE NOËL. Le SDF et le père Noël (1/4)

Pour commencer et ne pas oublier, JOYEUX NOËL à tous.

• Bonjour monsieur, je m’excuse de vous déranger !
• Qu’est-ce que tu viens me casser les couilles, salope ?
• Loin de moi l’idée de vous casser ce que vous appeler vos couilles, mais j’ai une proposition à vous faire.
• Tu vas encore vouloir que je fasse le père Noël, si tu savais chaque année, c’est la même chose depuis que ma barbe est devenue blanche !
• L’an dernier nous avons fait venir un père Noël qui avait une fausse barbe, quand ma fille Babette a tirée dessus, elle a pleuré et dit que c’était un faux.
• Elle a quel âge ?
• Quatre ans et mon mari et moi, nous aimerions qu’elle y croie un an ou deux de plus, au moins jusqu’à ce qu’elle aille à la grande école.
Nous habitons dans l’immeuble juste au-dessus et je vous vois sur vos cartons sur cette bouche de métro depuis plusieurs jours.
Si vous acceptez, nous vous installerons dans notre chambre d’amis.
Nous vous fournirons un costume à vos mesures, vous êtes plus costaux que les autres pères Noël que nous avons eus.
Vous quitterez votre chambre à minuit et vous offrirez les cadeaux à notre enfant.
Lorsque nous aurons fait des photos, vous retournerez dans la chambre, jusqu’au matin.
Il serait amoral de vous faire partir pendant cette nuit de Noël.
Je vous aurais fait servir un repas par notre servante que vous pourrez prendre tranquillement dans votre chambre, vous serez au chaud pendant cette nuit de Noël !
• Que me proposez-vous au menu ?
• Foie gras, dinde farcie et buche de Noël.
• Non, je suis un défenseur des animaux et je refuse le gavage de ces petits volatiles.
• Je vous ferais servir du saumon fumé à la place du foie gras !
• C’est encore pire, en Norvège, ils les engraissent à l’huile de vidange, vous voulez me foutre un cancer.
Et comme boisson, je suis plus rouge que blanc.
De plus je préfère les bourgognes que la merde qu’ils mettent en fut dans le Bordelais.
• Vous verrez avec mon mari, pour les vins, c’est lui le spécialiste.
• Noël est dans trois jours, si je monte dès aujourd’hui, je dis banco.
Avant Noël, je me contenterais du menu du jour.
• Léon, mon mari, va me gronder, il veut prendre, seul, les initiatives de ce genre, mais je pense à Babette et je veux qu’elle croie, comme je vous l’ai dit au vrai père Noël.
Que faite vous, venez-vous ?
Non, non, prenez votre temps je m’excuse de ma question.

Il me regarde d’une telle façon que j’en frissonne, certes il gèle, mais cet homme a un regard encore plus glaçant.
Un baluchon sous le bras, il me suit et nous prenons l’ascenseur, il mesure 40 bons centimètres de plus que moi.

• Je m’appelle Hélène.
• Louis, la grosse Lulu, on la trouve sur la bouche du métro du Trocadéro, on n'est pas des bêtes, elle m’appelle Le roi soleil chaque fois qu’avec elle...
• Monsieur Louis, avec mon mari, nous sommes catholiques, on évite de parler de ces choses-là.
Sans vouloir vous vexer, vous êtes loin de sentir la rose.
• Dix ans de bouches de métro l’hiver et de parc l’été, je voudrais bien vous voir question rose.
• Pardon, j’aurais dû y penser.
• Entrez, notre appartement est en loft au dernier étage, lorsque notre fille sera absente, vous pourrez voir la vue de la terrasse d’été.
Voici votre chambre jusqu’au lendemain de Noël, hélas après, vous serez obligé de retourner à la rue !
Venez, je vous montre la salle de bains pour les amis, nous avons la nôtre près de notre chambre à mon mari et à moi.
Ma fille et Gladys notre baby-sitter et aussi servante, vive à l’étage, on y accède par cet escalier.

Je le fais entrer dans cette salle de bains, je lui sors un peignoir de bain, la plus grande taille.

• Quand vous aurez terminé retournez dans votre chambre, avec ce peignoir, vous avez vu il y a la télé.
Notre fille rentrant manger à midi, Gladys notre bonne vous apportera votre manger dans votre chambre.
Elle est partie conduire Taïa enfin nous l’appelons Babette, mon mari est incapable de me faire un enfant et nous avons adopté une petite thaïlandaise.
Gladys la conduit à la maternel et est allée au marché.
Laissez vos affaires au sol, elle les récupèrera pour les mettre à la machine à laver.
Je vais l’appeler, pour lui dire tout ça, nous lui fournissons un portable pour nous prévenir en cas qu’il y ait le moindre problème.
Mais avant qu’elle revienne, appelez-moi si vous avez un problème, je vais dans ma chambre ranger quelques affaires personnelles.
• Hélène, peux-tu me dire ce que ton mari et toi vous turbinez ?
• Turbinez !
• C’est vrai vous parler avec de beaux mots, que fais-tu comme boulot, votre taffe !
• Alfred et moi nous tenons une bijouterie Place Vendôme !
• Place Vendôme, sur la bouche il y a Berthe, elle suce...
• On a compris ce que Lulu vous fait alors Berthe !
Que faite vous, mais attendez que je sois sortie pour baisser votre pantalon.

Comme je l’ai dit, je vais dans ma chambre, mais pour refaire mon maquillage.
Lorsque Gladys sera là, elle reprendra cet homme en main, il est d’un vulgaire, le genre d’homme que j’exècre, ça me donne de l’urticaire.

• Hélène, Hélène, vient m’aider...
Hélène magne toi !

J’ai fait une connerie, je m’en aperçois trop tard, il va ameuter tous l’immeuble même si nous sommes au dernier, je rentre dans la salle d’eau, ouf il est dans le bain.

• Viens me laver le dos, tu pourrais avoir une brosse, ça existe ce genre de chose !
• Louis, il y en a une, regarde là sur le côté.
• Merde, je ne l’ai pas vu, tiens prend l’éponge, puisque tu es là, lave-moi le dos.

L’eau est crade, que dis-je boueuse, enfin presque.
Je commence à avoir peur, alors je prends l’éponge et lui frotte le dos, d’un coup il se relève.

• Mon dieu, c’est monstrueux !
• Monstrueux, non, j’ai été dans la légion cinq ans et en sortant j’ai fait trois pornos, Rocco pouvait bien se tenir.
J’en ai fait trois, car les filles se sont plaintes qu’elle était trop grosse.

Je laisse tomber l’éponge et je sors précipitamment de la salle de bains.
Quelques minutes après j’entends les portes claquer, il est retourné dans sa chambre, Gladys arrive.
Je la mets au parfum, enfin « parfum, » un peu dure lorsqu’elle va sentir ses affaires.

Je m’appelle Gladys, 22 ans, grande, au service de monsieur et madame S... excusez de cacher leur nom de famille.
J’ai été embauché comme l’on dit au père lorsque je suis sortie à mes dix-huit ans d’un orphelinat que j’avais intégré à mes dix ans, mes parents m’ayant quitté.
Je me suis retrouvé seule et l’État a trouvé cette solution d’un emploi dans cette maison bourgeoise.
J’ai eu vite fait de comprendre à qui j’avais affaire, madame Hélène coincé du cul et monsieur Léon, impuissant de naissance, enfin c’est tout comme.
Une fillette Taïa dont ils s’évertuent à l’appeler Babette.
Monsieur Léon donc, j’ai su, du moins j’ai vu dans des papiers dans une petite boîte que madame garde dans sa chambre, la clef étant comme un bijou pendu à son cou qu’il était dépourvu de spermatozoïde.
Lorsque l’on a vécu dans un orphelina, on sait se démerder de tout et sans qu’elle le remarque, la boîte en quelques secondes était ouverte.
Mariés sous la séparation de biens, Léon a nib, la rue pour lui si elle décide de le foutre dehors et donc aussi ce certificat d’un labo confirmant l’impuissance du monsieur.
Il m’arrive de descendre du loft où je vis avec Taïa que le couple côté sexe, c’est Waterloo morne plaine.
Quant à lui dès qu’il le peut, Léon c’est ses mains sur mes fesses.

• Monsieur Louis, c’est drôle de vous voir ici, je vous vois chaque matin et je me disais toujours qu’un tel homme, mériterait mieux que cette bouche de métro.
• Gladys, ta patronne, m’a dit que tu t’appelais ainsi, moi aussi j’avais remarqué ton joli petit cul, ça te dit !

Des bites, j’en ai vu peu, deux très exactement, un marin, c’est con en Normandie à des kilomètres de la mer un jour où j’avais fait le mur avec ma copine Sophie.
Il était en perme et il nous avait ramassés sur le bord de la route avec sa voiture.
J’avais dix-sept ans et il m’a appris à baiser comme une malade.
Ce jour-là, c’est la première fois que j’ai bouffé la chatte de Sophie pendant qu’il me dépucelait.
Nous étions dans un hôtel et c’est là que les flics sont venus pour nous ramener au pensionnat.
Là, le directeur du moins le mari de la directrice, prenant comme prétexte que je n’étais plus vierge m’a baisé jusqu’à ce que l’on me vire pour limite d’âge.
Heureusement en me plaçant chez ces bourges.

• Merde, Louis, tu crois que je vais pouvoir me faire défoncer par ta bite, j’en ai connu deux, bien moins imposante.

C’est ainsi qu’avant d’aller rechercher la petite à la maternel, j’ai commencé à sucer Papa Noël.

• Suce salope, tu vois, ta bouche est assez grande pour la faire entrer sur une bonne longueur, écarte tes jambes, petite pute...