COLLECTION NUIT DE NOËL. Le SDF et le père Noël (2/4)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION NUIT DE NOËL. Le SDF et le père Noël (2/4)
• Bonjour monsieur, je m’excuse de vous déranger !
En prononçant cette phrase à un SDF désirant en faire mon père Noël, pardon, notre père Noël principalement pour Babette ma fille, j’ignorais que j’allais bouleverser ma propre vie.
Je l’ai senti dès les premiers mots que nous sommes échangés, Louis et moi, son regard glaçant m’ayant chamboulé.
Encore plus lorsque j’ai vu sa verge.
Oh ! que cette pensée est impure, moi Hélène qui depuis des années suis les préceptes que ma famille m’a inculqués de fidélité et d’amour pour mon mari.
Léon, impuissant notoire, du moins j’en ai eu la preuve après quelques analyses me montrant qu’il était dépourvu de spermatozoïde me comble, mais hors du sexe.
Mon dieu que j’ai du mal à faire sortir certains vilains mots de ma bouche.
Pour les spermatozoïdes, ce secret je le garde précieusement dans un coffret dans mon armoire avec notre contrat de mariage stipulant qu’il serait démuni de tout ce qui nous appartient si je décide de le jeter.
Je le garde non pas pour le sexe (mon dieu pardonné moi de cette pensée impure) mais car c’est un très bon administrateur de notre bijouterie que ma famille possède place Vendôme et dont j’ai hérité.
• Chérie, je vous sens soucieuse, la rareté des clients pendant cette période de crise vous contrarie-t-il ?
• Non, Léon avec la bague de fiançailles que nous avons vendue hier à 90 000 € cela nous permet de voir venir.
Je crois que j’ai fait une bêtise !
• Dites-moi ma mie, vous, faire une bêtise, ça se saurait.
• J’ai installé le père Noël dans notre chambre d’amis.
C’est presque hilare qu’il me dit les mots suivants.
• Ma chère Hélène, j’ignorais que le père Noël venait en France et plus spécifiquement à Paris trois jours avant la nuit où il distribuera les cadeaux aux enfants du monde entier.
Ne me dite pas qu’il vient voir les petites femmes de Pigalle.
Je lui fais un concentré de ce que je pense être l’erreur d’avoir installé cet homme à la barbe blanche, en omettant bien sûr de lui parler de la scène de la verge.
De toute façon, je serais dans l’impossibilité de lui parler de certains mots, que j’ai du mal à les retranscrire.
• Je le verrais ce soir et nous mettrons les choses au point, chaque homme est gérable s’il comprend qui dirige notre maison.
La sonnette de la porte d’entrée se met à tintinnabuler, une femme demande à entrer.
Léon, appuie sur l’ouverture du sas de sécurité.
• Madame Maria Lopez, vous êtes à Paris, c’est vrai, j’ai vu des affiches annonçant votre seul récital à l’Opéra la nuit de Noël.
Vous venez revoir le bracelet qui vous avait tellement plu lors de votre dernier passage, il y a plus de six mois je crois.
• Presque sept, mais je suis venue vous voir pour tout autre chose.
Le bracelet que vous m’aviez proposé, il me plaisait, mais comme vous pouvez le penser, j’avais un doute que ce bijou correspondait intégralement avec celui que j’avais dans la tête.
J’étais à New York quelques jours plus tard et passant chez Cartier, en devanture, j’ai remarqué un bracelet concordant exactement à ce que je souhaitais, je l’ai acheté, tenez le voilà.
De mon bureau derrière la vitre sans teint, je vois cette cliente qui nous achète régulièrement des pièces de grande valeur, montrer son bracelet à mon mari.
• Très belle pièce, mais un bijou de chez Cartier, il serait étonnant qu’il en soit autrement.
Vous avez bien fait de suivre votre envie, ma femme est comme vous, elle aime, elle achète ou elle invite, sinon elle passe à autre chose.
Que nous vaut votre visite ?
• Je vais convoler dans quelques jours et mon futur, m’offre une rivière de diamants qu’il a vu et qu’il désire que je voie avant de me l’offrir.
Il est venu il y a trois jours et vous l’avez sorti du coffre sa valeur pouvant inciter quelques voleurs à vous cambrioler pour vous la subtiliser.
• Je me souviens de ce monsieur.
Avec ma femme, nous avions été étonnés de cette visite, sans qu’il nous en dise plus.
Maintenant je comprends mieux, je lui en avais montré trois.
Attendez, je mets la sécurité générale, on n’est pas trop prudent, vous avez dû entendre parler de l’attaque d’un de nos concurrents, même place vendôme.
• Oui, j’étais à Dubaï, d’ailleurs c’est là que j’ai rencontré Abdallah et que j’en suis tombé follement amoureuse.
Pourtant après trois mariages loupés, je m’étais dit, plus jamais ça.
À l’annonce de ce cambriolage en plein jour, j’ai eu très peur pour vous et votre femme.
Lorsque j’ai su que c’était un de vos concurrents, j’ai soufflé un grand coup.
La salope, une nouvelle fois, pardons mon dieu, j’étais à ma place lorsque ce jeune homme est venu, la Lopez doit avoir pas loin de soixante ans et le beau basané à peine vingt ans.
Léon vient au coffre à côté de moi.
• Ma mie, je crois que c’est notre jour de chance, 350 000 €, la rivière qui plaisait à Abdallah.
Si elle plait à madame Lopez, cela sera notre vente de l’année, sans compter ses amis qui voudront avoir le même genre sortant de notre boutique.
Léon ouvre le coffre et en retire, la pièce qui je l’espère nous ferons livrer à son hôtel dans les heures qui suivent.
• Mon dieu, il est magnifique, si j’avais un doute sur le bracelet, je suis emballé de porter cette merveille sur la scène de l’Opéra dans quelques heures.
Je laisse à Léon, le soin de finaliser la vente, j’ai d’autre chose à penser, la verge de Louis, qui me hante, mon dieu qu’elle était grosse.
Notre cliente partie, le collier que Léon s’occupera de livrer demain remis au coffre nous fermons boutique.
Nous rejoignions notre taxi, nous attendant tous les jours pour nous ramener à la porte de Saint-Cloud, c’est là que nous avons acheté ce loft très emballé lorsque nous l’avons vue.
• Une petite pièce madame, pour une pauvre femme dans la misère.
La femme qui me sollicite, je suis sûr que c’est Berthe, la copine de Louis, celle dont j’ai été obligé de le couper avant qu’il me raconte des horreurs sur ce qu’ils font lorsqu’il la rencontre.
• Êtes-vous malade ma mie ?
• Non, pourquoi ?
• Vous venez de donner cent euros à cette clocharde, est-ce la vente qui vous met en joie ?
• Vous êtes sûr, je crois plutôt que c’était dix !
• Si vous le dite, je vous crois, vous vous trompez rarement sur la valeur de l’argent.
Je sais trop bien que je lui ai donné un billet de 100, j’ai pris 300 € en billets de 100 dans la caisse, pour donner à notre bonne afin qu’elle achète le repas de Noël.
Je sais du liquide pris dans les comptes de notre bijouterie, Léon lorsqu’il fera la caisse sait très bien se débrouiller pour calfeutrer ces petits écarts de caisse.
Comment croyez-vous que ma famille est devenue riche et a réussi à se payer cette bijouterie place Vendôme ?
• Ma mie, je vais voir votre père Noël dans sa chambre, je vais régler notre affaire, ça ne va pas trainer après ce que Gladys vient de me dire.
Je vois Léon se rendre vers la chambre d’ami.
• Monsieur Louis, permettez que je rentre et que je vous entretienne de quelques mesures que je me dois dans l’obligation de prendre.
• J’ai horreur d’être dérangé pendant des chiffres et des lettres, je les regardais dans la légion en Guyane lorsque j’étais légionnaire.
Qu’est-ce que tu veux ?
• Sans vous déranger, je venais vous dire que nous n’avions plus besoin de vous.
Gladys notre baby-sitter vient de nous dire que pour ce dernier jour d’école avant les vacances de Noël et du jour de l’an, Babette lui avait dit que le père Noël n’existait pas.
Elle avait des doutes l’an passé, elle avait tiré sur la barbe et c’est pour cela que cette année Hélène vous avait engagé.
Rester ce soir, notre bonne vous amènera à diner et demain matin vous quitterez notre chambre d’ami.
• Tu es sur Pépère, je demande à voir !
• Que voulez-vous dire par là, allez-vous m’obliger à faire appel à la maréchaussée ?
• Léon, sais-tu ce que la trêve hivernale veut dire ?
• La trêve hivernale c’est pour les pauvres qui ne payent pas leur loyer et qui sont inexpulsables pendant cette trêve jusqu’à fin mars.
• Vous voulez dire, que vous allez rester chez moi, jusqu’à la fin de la trêve.
• Fais-moi un procès avec la lenteur de la justice, dans deux ans je serais encore là, bien au chaud à regarder ma télé.
« Salopards » au pluriel !
• Pardon.
• J’ai trouvé un mot en huit lettres « salopards » au pluriel sinon ça ne fait que sept lettres et il y a deux « s. »
• Salopards, c’est un mot ordurier, en plus ça fait neuf lettres avec un « s » !
• Mais qui est au dictionnaire, bon allé tire-toi, dit à Gladys de mettre un couvert en plus, je dinerais avec vous ce soir.
Léon mon mari est ressorti de la chambre de Louis la queue entre les jambes.
C’est drôle depuis que j’ai fait monter chez moi le père Noël, ce que je peux employer comme mot ou expression grossière.
Nous avons dîner, Louis avait remis son pantalon et sa chemise que Gladys avait lavés et repassés.
Louis nous a parlé du temps ou dans la légion, il crapahutait comme il dit sur l’île du diable dans l’ancien bagne de Guyane.
Il nous expliquait qu’avec des copains aussi balaises que lui, ils s’amusaient à faire éclater des noix de coco avec une seule main.
Je regardais ses battoirs et j’en frissonnais, les noix de coco avaient presque de la taille de la tête de Léon.
• Que venez-vous faire dans notre chambre, vous allez réveiller Léon ?...
Encore joyeux Noël...
En prononçant cette phrase à un SDF désirant en faire mon père Noël, pardon, notre père Noël principalement pour Babette ma fille, j’ignorais que j’allais bouleverser ma propre vie.
Je l’ai senti dès les premiers mots que nous sommes échangés, Louis et moi, son regard glaçant m’ayant chamboulé.
Encore plus lorsque j’ai vu sa verge.
Oh ! que cette pensée est impure, moi Hélène qui depuis des années suis les préceptes que ma famille m’a inculqués de fidélité et d’amour pour mon mari.
Léon, impuissant notoire, du moins j’en ai eu la preuve après quelques analyses me montrant qu’il était dépourvu de spermatozoïde me comble, mais hors du sexe.
Mon dieu que j’ai du mal à faire sortir certains vilains mots de ma bouche.
Pour les spermatozoïdes, ce secret je le garde précieusement dans un coffret dans mon armoire avec notre contrat de mariage stipulant qu’il serait démuni de tout ce qui nous appartient si je décide de le jeter.
Je le garde non pas pour le sexe (mon dieu pardonné moi de cette pensée impure) mais car c’est un très bon administrateur de notre bijouterie que ma famille possède place Vendôme et dont j’ai hérité.
• Chérie, je vous sens soucieuse, la rareté des clients pendant cette période de crise vous contrarie-t-il ?
• Non, Léon avec la bague de fiançailles que nous avons vendue hier à 90 000 € cela nous permet de voir venir.
Je crois que j’ai fait une bêtise !
• Dites-moi ma mie, vous, faire une bêtise, ça se saurait.
• J’ai installé le père Noël dans notre chambre d’amis.
C’est presque hilare qu’il me dit les mots suivants.
• Ma chère Hélène, j’ignorais que le père Noël venait en France et plus spécifiquement à Paris trois jours avant la nuit où il distribuera les cadeaux aux enfants du monde entier.
Ne me dite pas qu’il vient voir les petites femmes de Pigalle.
Je lui fais un concentré de ce que je pense être l’erreur d’avoir installé cet homme à la barbe blanche, en omettant bien sûr de lui parler de la scène de la verge.
De toute façon, je serais dans l’impossibilité de lui parler de certains mots, que j’ai du mal à les retranscrire.
• Je le verrais ce soir et nous mettrons les choses au point, chaque homme est gérable s’il comprend qui dirige notre maison.
La sonnette de la porte d’entrée se met à tintinnabuler, une femme demande à entrer.
Léon, appuie sur l’ouverture du sas de sécurité.
• Madame Maria Lopez, vous êtes à Paris, c’est vrai, j’ai vu des affiches annonçant votre seul récital à l’Opéra la nuit de Noël.
Vous venez revoir le bracelet qui vous avait tellement plu lors de votre dernier passage, il y a plus de six mois je crois.
• Presque sept, mais je suis venue vous voir pour tout autre chose.
Le bracelet que vous m’aviez proposé, il me plaisait, mais comme vous pouvez le penser, j’avais un doute que ce bijou correspondait intégralement avec celui que j’avais dans la tête.
J’étais à New York quelques jours plus tard et passant chez Cartier, en devanture, j’ai remarqué un bracelet concordant exactement à ce que je souhaitais, je l’ai acheté, tenez le voilà.
De mon bureau derrière la vitre sans teint, je vois cette cliente qui nous achète régulièrement des pièces de grande valeur, montrer son bracelet à mon mari.
• Très belle pièce, mais un bijou de chez Cartier, il serait étonnant qu’il en soit autrement.
Vous avez bien fait de suivre votre envie, ma femme est comme vous, elle aime, elle achète ou elle invite, sinon elle passe à autre chose.
Que nous vaut votre visite ?
• Je vais convoler dans quelques jours et mon futur, m’offre une rivière de diamants qu’il a vu et qu’il désire que je voie avant de me l’offrir.
Il est venu il y a trois jours et vous l’avez sorti du coffre sa valeur pouvant inciter quelques voleurs à vous cambrioler pour vous la subtiliser.
• Je me souviens de ce monsieur.
Avec ma femme, nous avions été étonnés de cette visite, sans qu’il nous en dise plus.
Maintenant je comprends mieux, je lui en avais montré trois.
Attendez, je mets la sécurité générale, on n’est pas trop prudent, vous avez dû entendre parler de l’attaque d’un de nos concurrents, même place vendôme.
• Oui, j’étais à Dubaï, d’ailleurs c’est là que j’ai rencontré Abdallah et que j’en suis tombé follement amoureuse.
Pourtant après trois mariages loupés, je m’étais dit, plus jamais ça.
À l’annonce de ce cambriolage en plein jour, j’ai eu très peur pour vous et votre femme.
Lorsque j’ai su que c’était un de vos concurrents, j’ai soufflé un grand coup.
La salope, une nouvelle fois, pardons mon dieu, j’étais à ma place lorsque ce jeune homme est venu, la Lopez doit avoir pas loin de soixante ans et le beau basané à peine vingt ans.
Léon vient au coffre à côté de moi.
• Ma mie, je crois que c’est notre jour de chance, 350 000 €, la rivière qui plaisait à Abdallah.
Si elle plait à madame Lopez, cela sera notre vente de l’année, sans compter ses amis qui voudront avoir le même genre sortant de notre boutique.
Léon ouvre le coffre et en retire, la pièce qui je l’espère nous ferons livrer à son hôtel dans les heures qui suivent.
• Mon dieu, il est magnifique, si j’avais un doute sur le bracelet, je suis emballé de porter cette merveille sur la scène de l’Opéra dans quelques heures.
Je laisse à Léon, le soin de finaliser la vente, j’ai d’autre chose à penser, la verge de Louis, qui me hante, mon dieu qu’elle était grosse.
Notre cliente partie, le collier que Léon s’occupera de livrer demain remis au coffre nous fermons boutique.
Nous rejoignions notre taxi, nous attendant tous les jours pour nous ramener à la porte de Saint-Cloud, c’est là que nous avons acheté ce loft très emballé lorsque nous l’avons vue.
• Une petite pièce madame, pour une pauvre femme dans la misère.
La femme qui me sollicite, je suis sûr que c’est Berthe, la copine de Louis, celle dont j’ai été obligé de le couper avant qu’il me raconte des horreurs sur ce qu’ils font lorsqu’il la rencontre.
• Êtes-vous malade ma mie ?
• Non, pourquoi ?
• Vous venez de donner cent euros à cette clocharde, est-ce la vente qui vous met en joie ?
• Vous êtes sûr, je crois plutôt que c’était dix !
• Si vous le dite, je vous crois, vous vous trompez rarement sur la valeur de l’argent.
Je sais trop bien que je lui ai donné un billet de 100, j’ai pris 300 € en billets de 100 dans la caisse, pour donner à notre bonne afin qu’elle achète le repas de Noël.
Je sais du liquide pris dans les comptes de notre bijouterie, Léon lorsqu’il fera la caisse sait très bien se débrouiller pour calfeutrer ces petits écarts de caisse.
Comment croyez-vous que ma famille est devenue riche et a réussi à se payer cette bijouterie place Vendôme ?
• Ma mie, je vais voir votre père Noël dans sa chambre, je vais régler notre affaire, ça ne va pas trainer après ce que Gladys vient de me dire.
Je vois Léon se rendre vers la chambre d’ami.
• Monsieur Louis, permettez que je rentre et que je vous entretienne de quelques mesures que je me dois dans l’obligation de prendre.
• J’ai horreur d’être dérangé pendant des chiffres et des lettres, je les regardais dans la légion en Guyane lorsque j’étais légionnaire.
Qu’est-ce que tu veux ?
• Sans vous déranger, je venais vous dire que nous n’avions plus besoin de vous.
Gladys notre baby-sitter vient de nous dire que pour ce dernier jour d’école avant les vacances de Noël et du jour de l’an, Babette lui avait dit que le père Noël n’existait pas.
Elle avait des doutes l’an passé, elle avait tiré sur la barbe et c’est pour cela que cette année Hélène vous avait engagé.
Rester ce soir, notre bonne vous amènera à diner et demain matin vous quitterez notre chambre d’ami.
• Tu es sur Pépère, je demande à voir !
• Que voulez-vous dire par là, allez-vous m’obliger à faire appel à la maréchaussée ?
• Léon, sais-tu ce que la trêve hivernale veut dire ?
• La trêve hivernale c’est pour les pauvres qui ne payent pas leur loyer et qui sont inexpulsables pendant cette trêve jusqu’à fin mars.
• Vous voulez dire, que vous allez rester chez moi, jusqu’à la fin de la trêve.
• Fais-moi un procès avec la lenteur de la justice, dans deux ans je serais encore là, bien au chaud à regarder ma télé.
« Salopards » au pluriel !
• Pardon.
• J’ai trouvé un mot en huit lettres « salopards » au pluriel sinon ça ne fait que sept lettres et il y a deux « s. »
• Salopards, c’est un mot ordurier, en plus ça fait neuf lettres avec un « s » !
• Mais qui est au dictionnaire, bon allé tire-toi, dit à Gladys de mettre un couvert en plus, je dinerais avec vous ce soir.
Léon mon mari est ressorti de la chambre de Louis la queue entre les jambes.
C’est drôle depuis que j’ai fait monter chez moi le père Noël, ce que je peux employer comme mot ou expression grossière.
Nous avons dîner, Louis avait remis son pantalon et sa chemise que Gladys avait lavés et repassés.
Louis nous a parlé du temps ou dans la légion, il crapahutait comme il dit sur l’île du diable dans l’ancien bagne de Guyane.
Il nous expliquait qu’avec des copains aussi balaises que lui, ils s’amusaient à faire éclater des noix de coco avec une seule main.
Je regardais ses battoirs et j’en frissonnais, les noix de coco avaient presque de la taille de la tête de Léon.
• Que venez-vous faire dans notre chambre, vous allez réveiller Léon ?...
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On avance Louis s'installe et prend l’ascendance sur le mari et je pense qu’il va baiser Gladys et peut-être enfanter Hélène

