COLLECTION NUIT DE NOËL. Le SDF et le père Noël (3/4)
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Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION NUIT DE NOËL. Le SDF et le père Noël (3/4)
Eh oui, le jour de Noël est passé pour 2024...
• Bonjour monsieur, je m’excuse de vous déranger !
Les choses se compliquent encore depuis que j’ai prononcé ces mots dans la rue au bas de notre immeuble.
Léon est allé dire à Louis qu’il pouvait partir demain matin, car Babette notre fille à dit à sa nounou que le père Noël c’était nous ses parents.
Enfin presque pour ses parents, Babette à sa naissance s’appelait Tahia et était thaïlandaise.
Après avoir découvert l’impuissance de Léon mon mari à me faire un enfant, nous étions allés dans ce pays, certains diront pour nous payer un bébé.
C’est possible, mais pour que je lui donne tout l’amour maternel possible.
Mais ils se trompent, nous sommes passés par une organisation gouvernementale et ça a mis presque un an avant qu’il nous la confie personnellement.
Il faut dire que le père Arsène, curé s’occupant de trouver des familles en France savait toute la probité que nous représentions Léon et moi.
Il en avait la preuve régulièrement, car nous allons tous les dimanches à la messe de dix heures et il savait tout de moi, car je me confessais régulièrement.
Lorsque je parle souvent à moi-même dans ma tête, Dieu est présent et je fulmine chaque fois qu’une mauvaise pensée vient me perturber.
Et que dire de la verge de Louis le SDF que j’ai cru bon de recruter pour être le père Noël avec sa barbe blanche alors qu’il se trouvait sur la bouche de métro au pied de notre immeuble.
Un monsieur sans gêne, mais que Léon a su recadrer du moins c’est ce qu’il m’a dit.
C’est à notre table que j’ai eu le plaisir de le voir manger ce soir.
Babette, c’est le petit nom français que nous avons donné à notre fille étant partie se coucher avec Gladys notre bonne faisant office de baby-sitter.
Ce soir ce sont les vacances de Noël et de fin d’année.
Grosse période dans notre travail, les gens peu touchés par la crise permanente depuis 1973 et le choc pétrolier venant dans notre bijouterie place Vendôme héritage de mes parents.
Pour exemple, Léon a finalisé la vente d’une rivière de diamants auprès de madame Lopez grande cantatrice.
Hélas, elle se produit à l’Opéra dans un concert unique la nuit de Noël alors que nous, ce sera messe de minuit à 22 heures.
Les messes de minuit sont terminées, nos curés comme nous préfèrent les ripailles de minuit et l’apparition du père Noël.
À la fin de notre repas, j’ai demandé à Léon s’il avait bien pris ses médicaments et ses gouttes pour dormir.
Il était insomniaque et Robert notre médecin, lui a prescrit un somnifère à dose de cheval pour que son corps puisse se reposer.
• Que venez-vous faire dans notre chambre, vous allez réveiller Léon ?
C’est incroyable le culot de cet homme, ce permettant d’entrer comme ça dans notre chambre sans le moindre scrupule.
• Ben merde, ce n’est pas un lit, c’est un paquebot, vous devez en faire des galipettes dans un machin aussi grand que large.
Ma compagnie de légionnaires pourrait tenir dedans avec notre pitaine aussi je le pense.
• Ce lit était là lorsque nous avons acheté cet appartement avec un loft pour qu,e Banette avec sa servante ait son chez-soi, elle va grandir.
Mais que faite-vous, vous êtes fou et Léon.
Dans la lumière tamisée diffusée par la veilleuse, depuis bébé j’ai toujours dormi avec une lampe de ce type, ce qui a déclenché les insomnies de Léon, je vois Louis nu.
Il se glisse sous le drap me cachant la monstruosité de sa verge.
Enfin presque, il se colle à moi et je la sens venir se frotter à ma hanche.
• Léon !
• Ferme là, il dort, c’est toi qui as compté les cinq gouttes que tu devais mettre dans son verre.
Je sais compter, tu en as mis quatre de plus, presque le double, c’était une invite à te rejoindre.
Enlève cette affreuse chemise de nuit, je veux que ma verge sente ton cul.
J’essaye de faire diversion, mais je m’exécute, je me souviens de son regard lorsque je l’ai contrarié en allant le chercher sur sa bouche de métro.
• J’ai vu Berthe ce soir en sortant de notre boutique, je lui ai donné 100 €, j’ignore pourquoi j’ai fait ça.
• Tu es conne ou quoi, à cette heure, elle a déjà tous bu au bistrot du coin.
Avec ce temps froid, elle risque de grever, elle finit souvent dans un caniveau depuis que son fils est mort.
Une nouvelle fois, je cherche à retarder l’échéance inéluctable de ma déchéance annoncée.
• Je vous dis que j’ai vu Léon bouger !
• Tu m’emmerdes, allez suce-moi, glisse-toi sous le drap, tu sais comment faire !
Est-ce par peur, je veux y croire.
Lorsque je me confesserais dans ma tête, les curés ayant arrêté les confesses que j’aimais tant dans ma jeunesse dans le confessionnal où nous avions mal au genou sur ce meuble en bois.
Dire au père Lucien que nous avions bavé devant une pâtisserie de chez Le Nôtre dans les jardins des Champs Élysées.
Mais le clou de mes confesses, c’est lorsque j’avais environ seize ans, je lui ai dit que j’avais surpris mon père avec notre bonne dans la cuisine.
Il voulait tout savoir comment il était, couché sur la bonne qui était sur le dos sans que j’en voie plus, de peur de me faire surprendre.
Plus il me posait de questions et plus par la grille du confessionnal je voyais sa soutane bouger.
J’ai un peu mieux compris pourquoi après mon mariage ou j’avais lors de ma nuit de noces, suivi tous les préceptes que maman m’avait appris.
Papa avec la bonne, cocufiait maman sans qu’elle semble s’en soucier.
• Oui, comme ça, lèche là sur toute sa longueur, je parie que c’est la première que tu suces !
Tu verras dans un mois, tu seras la meilleure suceuse de la porte de Saint-Cloud.
• Dans un mois, Léon m’a dit que tu partais demain matin !
Mon Dieu, pardonnez-moi en plus de le sucer, je viens de le tutoyer, il va croire que je me donne, mais aurait-il entièrement tord.
• Tu n’as pas compris que tu avais affaire à un pleutre, une tante, une tarlouse, je ne serais pas surpris qu’il aille se faire enculer au bois de Boulogne !
Sais-tu s’il y va de temps en temps ?
Que cet homme est pernicieux, Léon chaque dimanche avant la messe se lève et sous couvert de faire du sport va marcher dans les rues du moins, c’est ce qu’il me dit.
Il me met un doute en tête, le bois est si proche de chez nous.
Serais ce possible qu’il se fasse un travelo pour contrecarrer le manque de sexe qu’il y a entre nous !
Ou le travelo, n’est-ce pas lui qui offre son cul pour satisfaire là encore ses débordements sexuels qu’il me refuse ?
Pourquoi m’a-t-il menti lorsqu’il m’a dit que tout était réglé avec Louis ?
• Amène ton cul, tu m’as assez sucé, je vais te baiser, je pense que tu mouilles !
Que de mots grossiers, mais qu’elle bite, dans la nuit comment ma bouche l’a développé, je suis sûr qu’elle a la même longueur que mon avant-bras.
Je sens que je vais vivre l’expérience de ma vie, simplement par le faite de me faire baiser dans le même lit où dort mon mari.
Je suis sortie, de sous les draps, je tente une dernière manœuvre, afin de dire à Dieu.
« Tu as vu, j’ai tout fait pour résister. »
Quelle conne de vouloir résister, un moment j’essaye de me justifier au moment où je sens ma chatte être écartée par le gland que j’ai été incapable d’entrer dans ma bouche.
« Merci mon Dieu de m’offrir cette bite gigantesque. »
Comme si, il y était pour quelque chose que je sois descendue le récupérer sur sa bouche d’égout.
• Alors tu vois, ça n’était pas plus compliqué que ça, profite ma grosse salope, je vais t’envoyer au septième ciel.
Me faire monter au ciel, toujours des références au catéchisme de ma jeunesse, même Marie la vierge à ce que dit la Bible, elle est montée au septième ciel chaque fête à Marie, les 15 aout.
Et puis, ça force, mais ça frappe sur mon cul à chaque fois qu’il me pourfend.
Elle est entièrement en moi, j’ignorais que j’étais ce puits sans fond.
Oui, j’ai un fond, en science nat j’ai appris l’appareil génital de l’homme et de la femme.
Sa verge presse mon utérus, me faisant éclater de tout le corps.
• Putain, tu as eu un orgasme, la Lulu, en a aussi, mais moins puissant que celui que j’ai senti dans ma queue.
Lulu, je m’en carre, je me la mets au cul, je jouis.
Non, je devrais dire je découvre la jouissance, je hurle, Gladys, à son étage doit penser que l’on m’égorge, rien à foutre, je suis la salope de Louis mon père Noël, SDF.
Et ça repart autant que Louis résiste à m’envoyer la purée !
Je sais, ce sont les catins qui parlent comme je parle une nouvelle fois dans ma tête.
• Louis, demain Léon m’a dit que tu partais, c’est lui que je vais mettre à la porte.
• Enfin des mots sensés, prends ça dans ta chatte, je sens que nous allons passer un très joyeux Noël.
J’ai tellement joui, que lorsque le père Noël me prend dans ses bras, comme une poupée de son, je dore repus de son sexe toujours en moi.
• Ma chérie, je vais te dire !
• Oui Léon, qu’as-tu à me dire ?
• J’ai fait un rêve stupide vu la fidélité que tu m’as toujours montré que ton SDF venait dans notre lit et qu’il te baisait une grande partie de la nuit !
Louis, que faite-vous là, voulez-vous laisser ma femme ?...
• Bonjour monsieur, je m’excuse de vous déranger !
Les choses se compliquent encore depuis que j’ai prononcé ces mots dans la rue au bas de notre immeuble.
Léon est allé dire à Louis qu’il pouvait partir demain matin, car Babette notre fille à dit à sa nounou que le père Noël c’était nous ses parents.
Enfin presque pour ses parents, Babette à sa naissance s’appelait Tahia et était thaïlandaise.
Après avoir découvert l’impuissance de Léon mon mari à me faire un enfant, nous étions allés dans ce pays, certains diront pour nous payer un bébé.
C’est possible, mais pour que je lui donne tout l’amour maternel possible.
Mais ils se trompent, nous sommes passés par une organisation gouvernementale et ça a mis presque un an avant qu’il nous la confie personnellement.
Il faut dire que le père Arsène, curé s’occupant de trouver des familles en France savait toute la probité que nous représentions Léon et moi.
Il en avait la preuve régulièrement, car nous allons tous les dimanches à la messe de dix heures et il savait tout de moi, car je me confessais régulièrement.
Lorsque je parle souvent à moi-même dans ma tête, Dieu est présent et je fulmine chaque fois qu’une mauvaise pensée vient me perturber.
Et que dire de la verge de Louis le SDF que j’ai cru bon de recruter pour être le père Noël avec sa barbe blanche alors qu’il se trouvait sur la bouche de métro au pied de notre immeuble.
Un monsieur sans gêne, mais que Léon a su recadrer du moins c’est ce qu’il m’a dit.
C’est à notre table que j’ai eu le plaisir de le voir manger ce soir.
Babette, c’est le petit nom français que nous avons donné à notre fille étant partie se coucher avec Gladys notre bonne faisant office de baby-sitter.
Ce soir ce sont les vacances de Noël et de fin d’année.
Grosse période dans notre travail, les gens peu touchés par la crise permanente depuis 1973 et le choc pétrolier venant dans notre bijouterie place Vendôme héritage de mes parents.
Pour exemple, Léon a finalisé la vente d’une rivière de diamants auprès de madame Lopez grande cantatrice.
Hélas, elle se produit à l’Opéra dans un concert unique la nuit de Noël alors que nous, ce sera messe de minuit à 22 heures.
Les messes de minuit sont terminées, nos curés comme nous préfèrent les ripailles de minuit et l’apparition du père Noël.
À la fin de notre repas, j’ai demandé à Léon s’il avait bien pris ses médicaments et ses gouttes pour dormir.
Il était insomniaque et Robert notre médecin, lui a prescrit un somnifère à dose de cheval pour que son corps puisse se reposer.
• Que venez-vous faire dans notre chambre, vous allez réveiller Léon ?
C’est incroyable le culot de cet homme, ce permettant d’entrer comme ça dans notre chambre sans le moindre scrupule.
• Ben merde, ce n’est pas un lit, c’est un paquebot, vous devez en faire des galipettes dans un machin aussi grand que large.
Ma compagnie de légionnaires pourrait tenir dedans avec notre pitaine aussi je le pense.
• Ce lit était là lorsque nous avons acheté cet appartement avec un loft pour qu,e Banette avec sa servante ait son chez-soi, elle va grandir.
Mais que faite-vous, vous êtes fou et Léon.
Dans la lumière tamisée diffusée par la veilleuse, depuis bébé j’ai toujours dormi avec une lampe de ce type, ce qui a déclenché les insomnies de Léon, je vois Louis nu.
Il se glisse sous le drap me cachant la monstruosité de sa verge.
Enfin presque, il se colle à moi et je la sens venir se frotter à ma hanche.
• Léon !
• Ferme là, il dort, c’est toi qui as compté les cinq gouttes que tu devais mettre dans son verre.
Je sais compter, tu en as mis quatre de plus, presque le double, c’était une invite à te rejoindre.
Enlève cette affreuse chemise de nuit, je veux que ma verge sente ton cul.
J’essaye de faire diversion, mais je m’exécute, je me souviens de son regard lorsque je l’ai contrarié en allant le chercher sur sa bouche de métro.
• J’ai vu Berthe ce soir en sortant de notre boutique, je lui ai donné 100 €, j’ignore pourquoi j’ai fait ça.
• Tu es conne ou quoi, à cette heure, elle a déjà tous bu au bistrot du coin.
Avec ce temps froid, elle risque de grever, elle finit souvent dans un caniveau depuis que son fils est mort.
Une nouvelle fois, je cherche à retarder l’échéance inéluctable de ma déchéance annoncée.
• Je vous dis que j’ai vu Léon bouger !
• Tu m’emmerdes, allez suce-moi, glisse-toi sous le drap, tu sais comment faire !
Est-ce par peur, je veux y croire.
Lorsque je me confesserais dans ma tête, les curés ayant arrêté les confesses que j’aimais tant dans ma jeunesse dans le confessionnal où nous avions mal au genou sur ce meuble en bois.
Dire au père Lucien que nous avions bavé devant une pâtisserie de chez Le Nôtre dans les jardins des Champs Élysées.
Mais le clou de mes confesses, c’est lorsque j’avais environ seize ans, je lui ai dit que j’avais surpris mon père avec notre bonne dans la cuisine.
Il voulait tout savoir comment il était, couché sur la bonne qui était sur le dos sans que j’en voie plus, de peur de me faire surprendre.
Plus il me posait de questions et plus par la grille du confessionnal je voyais sa soutane bouger.
J’ai un peu mieux compris pourquoi après mon mariage ou j’avais lors de ma nuit de noces, suivi tous les préceptes que maman m’avait appris.
Papa avec la bonne, cocufiait maman sans qu’elle semble s’en soucier.
• Oui, comme ça, lèche là sur toute sa longueur, je parie que c’est la première que tu suces !
Tu verras dans un mois, tu seras la meilleure suceuse de la porte de Saint-Cloud.
• Dans un mois, Léon m’a dit que tu partais demain matin !
Mon Dieu, pardonnez-moi en plus de le sucer, je viens de le tutoyer, il va croire que je me donne, mais aurait-il entièrement tord.
• Tu n’as pas compris que tu avais affaire à un pleutre, une tante, une tarlouse, je ne serais pas surpris qu’il aille se faire enculer au bois de Boulogne !
Sais-tu s’il y va de temps en temps ?
Que cet homme est pernicieux, Léon chaque dimanche avant la messe se lève et sous couvert de faire du sport va marcher dans les rues du moins, c’est ce qu’il me dit.
Il me met un doute en tête, le bois est si proche de chez nous.
Serais ce possible qu’il se fasse un travelo pour contrecarrer le manque de sexe qu’il y a entre nous !
Ou le travelo, n’est-ce pas lui qui offre son cul pour satisfaire là encore ses débordements sexuels qu’il me refuse ?
Pourquoi m’a-t-il menti lorsqu’il m’a dit que tout était réglé avec Louis ?
• Amène ton cul, tu m’as assez sucé, je vais te baiser, je pense que tu mouilles !
Que de mots grossiers, mais qu’elle bite, dans la nuit comment ma bouche l’a développé, je suis sûr qu’elle a la même longueur que mon avant-bras.
Je sens que je vais vivre l’expérience de ma vie, simplement par le faite de me faire baiser dans le même lit où dort mon mari.
Je suis sortie, de sous les draps, je tente une dernière manœuvre, afin de dire à Dieu.
« Tu as vu, j’ai tout fait pour résister. »
Quelle conne de vouloir résister, un moment j’essaye de me justifier au moment où je sens ma chatte être écartée par le gland que j’ai été incapable d’entrer dans ma bouche.
« Merci mon Dieu de m’offrir cette bite gigantesque. »
Comme si, il y était pour quelque chose que je sois descendue le récupérer sur sa bouche d’égout.
• Alors tu vois, ça n’était pas plus compliqué que ça, profite ma grosse salope, je vais t’envoyer au septième ciel.
Me faire monter au ciel, toujours des références au catéchisme de ma jeunesse, même Marie la vierge à ce que dit la Bible, elle est montée au septième ciel chaque fête à Marie, les 15 aout.
Et puis, ça force, mais ça frappe sur mon cul à chaque fois qu’il me pourfend.
Elle est entièrement en moi, j’ignorais que j’étais ce puits sans fond.
Oui, j’ai un fond, en science nat j’ai appris l’appareil génital de l’homme et de la femme.
Sa verge presse mon utérus, me faisant éclater de tout le corps.
• Putain, tu as eu un orgasme, la Lulu, en a aussi, mais moins puissant que celui que j’ai senti dans ma queue.
Lulu, je m’en carre, je me la mets au cul, je jouis.
Non, je devrais dire je découvre la jouissance, je hurle, Gladys, à son étage doit penser que l’on m’égorge, rien à foutre, je suis la salope de Louis mon père Noël, SDF.
Et ça repart autant que Louis résiste à m’envoyer la purée !
Je sais, ce sont les catins qui parlent comme je parle une nouvelle fois dans ma tête.
• Louis, demain Léon m’a dit que tu partais, c’est lui que je vais mettre à la porte.
• Enfin des mots sensés, prends ça dans ta chatte, je sens que nous allons passer un très joyeux Noël.
J’ai tellement joui, que lorsque le père Noël me prend dans ses bras, comme une poupée de son, je dore repus de son sexe toujours en moi.
• Ma chérie, je vais te dire !
• Oui Léon, qu’as-tu à me dire ?
• J’ai fait un rêve stupide vu la fidélité que tu m’as toujours montré que ton SDF venait dans notre lit et qu’il te baisait une grande partie de la nuit !
Louis, que faite-vous là, voulez-vous laisser ma femme ?...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très belle histoire on attend la suite merci CHRIS71
j adore vite la suite
biz severine
biz severine

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